Naruto Sensou
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Naruto Sensou


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Disque dur SSD CRUCIAL P3 1 To (3D NAND NVMe PCIe M.2)
65.91 €
Voir le deal

 

 [Renforcer l'Alliance] - Équipe 1.

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




[Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. Empty
MessageSujet: [Renforcer l'Alliance] - Équipe 1.   [Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. EmptySam 10 Nov - 23:15



Chasse aux serpents !


L'humidité du pays brumeux, même tempérée par les vents marins, rendait la respiration difficile, et comprimait les torses par sa froideur épaisse. Il semblait, en inspirant, qu'on inhalait des lames, provoquant d'immondes douleurs à la gorge, puisque le nez jusqu'aux poumons séchaient déjà à cause du temps. Jamais Nadaré ne s'était rendu si loin d'Iwa ; et jamais il ne souffrit d'un tel climat. La découverte de paysages nouveaux tombait en désuétude face aux difficultés du pays. Bien que la douleur lui occupait principalement l'esprit, et l'empêchait de constater l'arrivée d'autres faces inconnues provenant des quatre nations, il ne cessait de disserter intérieurement sur le rapport entre la sauvagerie des Kirijins et leur climat barbare ; il conclut, évidemment, qu'on ne pouvait respirer un air aussi mauvais, sans en être troublé physiquement, d'où leur appétit naturel pour le sang, en plus de leur expression permanente de souffrant sans remède, et de leur voix asséchée par les conditions locales. La crainte d'avoir à agir aux alentours de Kiri pour plusieurs jours lui comprima tant la cervelle qu'il se trouva un instant hors du monde, pensant aux diverses futurs qu'offrait un événement pareil, et incapable d'imaginer son avenir prochain ailleurs que dans un pays plus doux. Il s'enfonça le nez au niveau de son col rouge – puisqu'il portait l'uniforme d'Iwa – et bien qu'incapable de camoufler les signes du froid, frotta son bras dépourvu de manche, et expirait lentement pour qu'on ne puisse pas voir la brume froide de son corps apparaître entre ses lèvres tremblantes. Le gelé ridicule refusait d'apparaître aussi pathétiquement auprès d'anonymes ; il s'attendait à une arrivée de dizaines de membres, il ne vit qu'une poignée d'hommes se réunir timidement, croiser leurs regards sans se parler, dont l'illustre frère du Raïkage en personne : Bee. Était-il le commandant en chef du groupe ? Son expertise le permettait. Tout le monde le fixait, puisqu'on le connaissait mondialement, et qu'il était capable d'égaler – bien que Nadaré ignorait la compétence des autres ninjas – la troupe entière.

Soudain, chose affreuse dans une vie, une apparition du passé frappa l'esprit de Nadaré et lui attira les yeux, qui en plus de manquer de lui sortir du crâne, annonçaient sa surprise : là, parmi le décor flou du lointain, entre quelques shinobis de Kumo, se trouvait la crinière blonde de l'enfant-serpent ; son élève, son acolyte, sa terreur ; et sa présence le surprît d'avantage que celle de Bee : Suruga Shinobu. À l'envie de vomir ses tripes dans leur totalité, puis de se jeter nu dans la mer glaciale des environs en hurlant de la poésie paillarde, succéda une réaction plus raisonnable : la stupeur. Nadaré demeura immobile face à la jeune acolyte. Il souhaitait tant l'accoster et en apprendre d'avantage sur son évolution d'apothicaire, mais également sur ses parents, qu'il fit un pas en avant. Puis, il se remémora la détresse avec laquelle il dût la contenir, et les points négatifs d'une telle personnalité ; aussi recula-t-il d'un énième pas. Mais le manque qu'avait provoqué la jeune femme, valait bien qu'il s'avança de nouveau ! Néanmoins, Shinobu appartenait à l'espèce des hybrides ; et sa mission envers elle avait cessé : il fit un quatrième pas en arrière. Et, tout en se persuadant de lui parler puis de l'ignorer, il marcha sur place, pareil à un automate déréglé, tandis que la gamine, splendide parmi la foule, lui porta une larme à l’œil, puisqu'il espérait secrètement, et dès leur séparation, qu'il pût revoir en ce monde le visage enfantin de son petit bonbon blond.

À peine tempérait-il son émotion et retrouvait son expression stricte, qu'une forme, plus poilue que les autres, accourût vers eux, la gueule pleine d'un parchemin suffisamment épais pour attirer les quelques cinquante regards réunis sur la plage. Que j'aimerais être un chien, et avoir chaud. L'Iwajin contemplait l'animal au milieu de ses futurs comparses ; certains déjà questionnaient sa venue, d'autres, aussi impassibles que Nadaré, continuaient à fixer le lointain de la mer, ou à discuter du climat. Le médecin fixa le chien ; il souhaitait ignorer Shinobu, ne pas croiser son regard, ou il devrait lui adresser un geste de salut ; ce qui, en plus de le déstabiliser, ne satisferait pas sa curiosité affamante. Ce qui n'était qu'une ombre devint bien vite un labrador ; il se dirigea vers le groupe, attira les derniers regards, devint le centre d'intérêt général, puis relâcha ses mâchoires, et se posa sur son derrière. Son odeur de chien mouillé aurait suffit à achever l'Iwajin s'il n'avait pas la moitié du visage dans son col. Le parchemin se déroula longuement ; de larges paragraphes y étaient inscrits, et attira immédiatement l'oeil de Nadaré, puisque son nom figurait étrangement en gros caractères, à côté de ceux de Bee, et d'un « Raimei », tous deux de Kumo. Ce ne fut que lorsqu'il constata l'organisation du document qu'il comprit sa fonction de chef ! Et la fierté, la joie de représenter Iwa au milieu de deux chefs Kumojins, lui embauma le cœur ; il semblait que son corps baignait dans une liqueur électrique. Enfin, il tenait des responsabilités, en plus internationales, puisque son groupe se composait du jeune Satsujin, d'une dénommée Akane et de... Shinobu ? QUOI !? Bordel. Le mot résonna longuement dans sa tête. Bordel parce que la jeune fille avait déjà subi Nadaré, et connaissait donc toutes ses manœuvres ; bordel également, parce qu'il faudrait recoudre le fossé lointain de leur première rencontre avec l'événement présent.

En plus de retrouver Shinobu, de diriger une équipe et de représenter Iwa parmi l'Alliance, il devait mener ses opérations favorites ; à savoir disposer du venin le plus bénéfique au monde, et qu'on ne trouvait qu'à Suna ; car y vivaient les spécimens les plus dangereux, et donc les poisons les plus utiles. Imaginer Shinobu en pleine lutte avec un congénère amusa Nadaré. Il était déjà pressé de faire plier Satsujin et Akane sous ses ordres ; mais il crût bon, malgré tout, de satisfaire également ses intérêts en profitant de la mission pour faire ses réserves du précieux liquide, qu'on ne trouvait qu'au marché noir, et à des prix aussi monstrueux que Shinobu ! Quelques notes sur leurs cibles, un regard jeté sur Kuro et Satsujin, puis l'Iwajin fixa Raimei et Bee, et considérant la quête du jour comme un moyen d'affirmer la supériorité d'Iwa sur Kumo, il partit dans la minute, hurlant : « Équipe 1, ON Y VA ! » ; puis, considéra sa position quant au soleil, et s'éloigna rapidement vers l'ouest, sans prendre le temps de présenter l'équipe, ou même les instructions. Arriver au terme de la mission avant les autres s'imposait comme le premier objectif. Ou il ramènerait les fioles verdâtres avant la dernière aube de la semaine, ou il ne ramènerait rien. Nadaré en était convaincu. Il crût courir seul, jeta quelques regards inquiets derrière lui, repéra quelques présences, et continua sa route.

Bande de fumiers ! Monstres ! Tyrans sadiques ! (Le sadisme, c'est bien!) Ne pouviez-vous pas nous faire voyager directement à Suna, et ne pas nous obliger à repartir immédiatement du pays brumeux ? Ils l'auront leur poison, mais moi aussi, héhé ! Le trajet s'annonçait terrible. Passer des brumes gelées au désert déclencherait quelques maux pénibles pour la suite des opérations. Nadaré lui-même ignorait si son corps pouvait résister ; et même si le voyage allait duré moins de deux jours, la sécheresse de sa gorge, et la froideur de ses entrailles ne s'expieraient pas en chemin. Il faudrait souffrir. Satsujin, également d'Iwa, tiendrait le même problème. Habitués qu'ils étaient aux vents doux et à une température moyenne, ils allaient cuir après avoir congelé. La mission, bien que passionnante, serait rude. Aussi sa course demeura régulière et dépourvue de problèmes. À la tombée de la première nuit, Nadaré établit son campement bien en avance sur les autres, et avala ses pilules avant de somnoler un instant. Son groupe, peut-être, discutait déjà entre eux, éclairé par les étoiles. Dès l'aube, l'Iwajin reprit sa marche. Il s'enfonçait peu à peu dans les frontières de Suna ; là où les terres encore humides de Kiri s'estompent pour laisser place au sable. Au point de rendez-vous, d'où ils devraient procéder à la chasse aux serpents, Nadaré attendit ses compères de la semaine, aussi raide que la poutre de signalisation enfoncée face à lui. Adossé contre, il griffonnait un dessin sur un papier.

Alors, les visages candides de deux enfants et une gamine apparurent au loin, désespérants, et rejoignirent l'Iwajin : la mission commençait. Avant même qu'ils ne furent assez proches pour que débute une conversation, Nadaré claqua des doigts puis, l'homme discret situé à côté de lui se leva de sa sieste, et le rejoignit, l'air égaré. Il avait environ 70 ans, chancelait tant il avait bu, restait muet lorsqu'on lui parlait et avait l’œil gauche aveugle. L'immonde vieillard s'était endormi à la porte d'un bar situé sur le chemin lorsque Nadaré l'engagea pour guider le groupe dans le désert. Il lui avait assuré, en quelques phrases sourdes, avoir dirigé durant cinquante ans des caravanes marchandes, avant de tout perdre durant des conflits, et finir aux pieds d'une porte malfamée. Son haillon était typique de Suna ; et la sincérité qu'exprimèrent brièvement ses yeux parvinrent à convaincre l'Iwajin. Il déclara, flanqué de son nouveau camarade : « Je ne vous tiendrai pas rigueur de votre lenteur, et de votre retard ; sauf à toi, Shinobu, car tu connais mes méthodes. J'aimerais trop réaliser cette mission ; mais plus que tout, j'exige – entendez-moi bien – j'exige que l'équipe numéro une soit la première à rendre compte de sa mission. Bien ; voici Monsieur Akaranda, notre guide. Il connaît parfaitement la topographie des lieux, et voit des points de repère concis où nous voyons des dunes identiques. Il parle peu, mais sait beaucoup de choses. Je lui ai promis suffisamment de bière pour qu'il puisse finir ses jours plein comme un tonneau. Ça lui fera une belle mort ! »

Je pense qu'il est temps de me présenter. Je déteste me présenter. Je n'ai pas envie de me présenter. Mais il faut que je me présente. « Présentation rapide : je me nomme Buraindo Nadaré, ninja d'Iwa spécialiste en Irou et apothicaire depuis des années. Tous les dégâts que vous avez appris à causer depuis votre enfance, j'ai appris à les contrer et à les réparer depuis la mienne. Le peu que je sais de vous provient de mes fiches, aussi je vous accorde 5 minutes chacun pour vous définir avant que nous partions en quête de nos serpents. » Regard complice vers Shinobu. « Vous comprendrez bien vite que je n'ai aucune estime pour vous, et je me moque entièrement de votre personnalité ou de vos émotions. Aujourd'hui, nous servons l'Alliance ; qu'importe nos opinions sur le sujet. Notre réussite participe déjà à la défaite de l'Akatsuki. Le poison que vous retirerez aujourd'hui se trouvera dans leur sang demain. Néanmoins, la mission peut s’aggraver rapidement ; il peut y avoir des morts, aussi je n’admettrai pas une balade en solitaire sans mon consentement ! Vous vous dispenserez de penser durant les prochains jours et n'écouterez que mes ordres. Cela dit, passons aux instructions. » Le serpent était certes inoffensif, mais il convenait d'effrayer ceux qui se sentaient une âme d'aventurier, et risquaient de considérer la mission comme un voyage. Il fallait conserver à l'esprit que le désert tuait ; que ses habitants tuaient ; que ses autres espèces de serpent tuaient ; et au vu des visages imbéciles, semblant tout ignorer des serpents, il faudrait les tenir en laisse, pour qu'ils n'aillent pas attirer des nomades bandits, ou qu'ils ne se fassent point piquer par d'autres bêtes mortelles. Le précieux poison de Suna attirait également Nadaré ; il devait recueillir une cinquantaine de doses, mais l'Iwajin crût bon d'en augmenter le nombre afin de s'en approprier la différence, et sans attirer de soupçons. Il déplia le papier qu'il avait recouvert d'un dessin contre le panneau de signalisation, et qui représentait leur cible avec un maximum de détails. Le dessin était fort laid, et semblait avoir été réalisé par une main d'enfant, mais il contenait des signes suffisants pour en reconnaître un vrai. « Les cobras de jade se trouvent exclusivement dans ce désert. Il faudra s'y enfoncer pour en trouver d'avantage. Je vous apprendrai à recueillir du venin d'un serpent au premier que nous trouverons. Dès que l'un de vous verra une tâche émeraude parmi le sable, il devra dire ''J'ai !'' puis être accompagné obligatoirement d'un binôme pour être plus efficace. D'après vos fiches, vous, là, les deux garçons, vous ne maîtrisez pas l'Art Sublime et Spéctaculaire de la Divine Apothicaire ? Ma foi, j'ignore quelle sera votre utilité ; Koru ira avec moi, Sutsanij suivra Shinobu. Il nous faut 50 doses, mais mieux vaut en avoir 60, voire 65. Croyez-en mon expérience, un apothicaire a toujours besoin d'une réserve en plus ! Disons même cela : équipe 1, nous allons vider ce !#@%§& de désert ! » Le mensonge distillé, le jeune homme s'apprêta à dévoiler son plan.

Secrètement, l'Iwajin espérait les laisser travailler après avoir montré un exemple, et faire des châteaux de sable à l'ombre d'un oasis, auprès de son ami alcoolique. Il crût bon de cracher la bile qui lui gênait la goreg, et d'exagérer la maladie qu'il développa en chemin, bien qu'il conservait un visage assez stricte pour terroriser ceux qui ne l'avaient pas encore vu. Le jeune homme reprit d'une voix autoritaire. « Ces cobras raffolent des sucreries. Et le meilleur moyen de les attirer, sera d'avoir une proie. » Il sortit d'un large sac une dizaine de pots pleins de miel, de caramel, mais également de grosses baies en sucre, des bonbons à la fraise et une infinité d'autres provisions terribles pour les dents. Soudain, il s'adressa au Kirijin du groupe, savourant l'humiliation qu'il provoquerait. « Akane, nous allons te déguiser en pain d'épice géant. Le poids de l'avenir repose sur tes épaules. Ma jeune amie, tu t'apprêtes à rejoindre les nombreuses gloires de ta nation ; ne me déçois pas. » Un sourire sadique lui gagna les lèvres. Il voulût rire, mais ne pût, et ouvrit le premier pot de miel pour lui recouvrir le visage. Quel bonheur que d'être chef !


©Naruto Sensou



Dernière édition par Buraindo Nadaré le Dim 11 Nov - 19:25, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Gareki
Chuunin d'Iwa
 Chuunin d'Iwa
Gareki


Messages : 111
Date d'inscription : 11/04/2012

Profil Ninja
XP:
[Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. Left_bar_bleue0/600[Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. Empty_bar_bleue  (0/600)
Rang: C
Ryos: 315

[Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. Empty
MessageSujet: Re: [Renforcer l'Alliance] - Équipe 1.   [Renforcer l'Alliance] - Équipe 1. EmptySam 1 Déc - 1:55


Satsujin Nazaki


Ne jamais oublier sa crème solaire!
Je n’ai rien à dire de plus que…Il fait froid. À peine pourrais-je vous le dire étant donné que ma lèvre supérieure se retrouve à faire le bacon sur ma lèvre inférieure. Mon corps quant à lui se contente de rester sur place sans avoir l’intelligence de se réchauffer un peu en bougeant. Mais bon, je ne peux que me blâmer moi petite âme déchu par le froid de ce monde. Debout face à la mer, je ne vois que de petite tête vêtu de bandeau ayant l’emblème des différents villages du monde Shinobi. Tous ressemblaient à des colons perdus par ses indifférences nous rassemblant aujourd’hui afin de « renforcer nos liens ». Peut-être souhaitait-il nous faire part d’un superbe concours de château de sable ou encore d’un tournoi de beach volley ou!...je suis carrément dans le champ n’est-ce pas? Je n’ai pas la moindre idée de ma présence ici sur le sable…froid et…humide. Aussi pénible qu’il le soit, je tentais désespérément de me faire un brin de chaleur à l’aide de mes mains glacées par les vents et par la température. Or, il n’en fut que d’échec. Dans une situation semblable, ma mère aussi maternelle qu’elle le soit m’avait proposée de me mettre en petite boule et de me couvrir à l’aide de mon pull. À ne jamais faire à la maison ceci est exécuté par des professionnelles telles que moi. Enfin, vous pouvez essayer de le faire, mais vous ne feriez que perdre toute crédibilité face à autrui. C’est vrai quoi ressembler à un fœtus ce n’est pas des plus agréables tous les autres te regardent comme si tu étais de retour dans le ventre de ta maman. Personnellement, je me fiche des commentaires de tout le monde, mais bon je n’aurais pas aimé me faire fixer lorsque j’étais fœtus. C’est désagréable quoi. Fin de tranche de vie.

Malgré le froid, il me semble être encore conscient de mes actes et de mes mouvements.
Me donnant quelques tapes pour me réveiller, je vis un chien…brun. Soit que c’est une illusion soit qu’il en était vrai. C’est lorsqu’il me sauta dans la figure et me lécha le visage que je compris l’éventualité qu’il soit un vrai chien. Je trouve cette marque d’affection passionnante chez le chien. Cependant, il y avait son mauvais côté; tu ne sais pas où le chien à poser sa langue avant. Dit comme ça, ça parait plutôt…ouais enfin bref… Poussant l’animal sur le côté, je vis à son cou un parchemin s’adressant à moi. Flattant le dessus de sa tête poilue, je pris le rouleau et en lu le contenu à mi-voix. Serpent? Venin? Extraire? Entendre ses mots me décourageait de plus en plus. Pourquoi ne pas tout simplement leur rouler sur le corps? Évidemment que non! Nous sommes dans l’alliance shinobis il faut se jumeler avec les autres villages et faire copain, copain avec cet espèce d’invertébré pour ensuite lui faire cracher le morceau. Trois noms furent soigneusement écrits sur le parchemin, dans le coin droit en bas; Nadaré Buraindo chef d’équipe, Akane Mitsuki et Suruga Shinobu. Alors en gros, je me ramassai avec un chef d’équipe homme sandwich qui s’appelle Buraindo se rapprochant drôlement de Buritos, une équipière au nom de famille ressemblant à Kakane (dont je n’ai pas la moindre idée de la définition) et une Shinobu déviré de Shinobis et surement que ses parents étaient congestionner lorsqu’ils ont essayés de prononcer son nom, mais bon c’est compréhensible tout le monde peut être malade dans la vie! Je rejoignis aussitôt mes supposés « coéquipiers » pour cette mission de GRANDE envergure…Ah que d’ironie il faudrait bien que je me retienne afin de ne mettre irritant auprès de mes compagnons de mission quoi que…Jetant des regards rapide à mes équipiers, je fixai notre chef qui lui nous regardais avec un enthousiasme étrange. Enfin, comment puis-je le juger sans le connaître. Prenant en compte chaque membre, j’eus soudainement la grande surprise de ce hurlement : « Équipe 1, ON Y VA ! » Évidemment, un peu plus et je suis sure que même l’Akatsuki aurait pu être au courant de nos déplacements tel en était la joie et la force dégager de ses paroles.

Me sentant extrêmement catholique de l’intérieur je jurais dans ma barbe par cette chaleur qui accablait notre équipe. Maintenant je sais comment se sent un poulet qui est entrain de griller. Peut-être que la métaphore n’était pas la meilleure non? Enfin, l’effet de chaleur elle, n’avait pas bougé d’un poil. D’une pensée complice, j’imagine que mon capitaine d’équipe avait le même pressentiment météorologique que moi. Habituellement, Iwa est un village bien tiède d’activité et de température ni la chaleur et ni le froid nous son persistant au point de s’en plaindre. Cette fois-ci, c’était le contraire. Je dois vous le dire cette mission me fait suer. Dire que d’autre s’amuse à lancer des confettis et gonflés des petits ballons mff…Mais bon, il ne faut pas trop s’apitoyer sur son sort après tout on ne peut pas avoir tout ce que l’on désir! Une fois notre campement établi, nous prîmes tous places au tour d’un bon feu de camps. Malgré nos pays éloignés les uns des autres, nous fîmes respectueux les uns envers les autres. D’un côté jamais une hybride et de l’autre une femme aux cheveux rouges. Notre chef quant à lui c’est retiré afin d’être en paix. Enfin, me voilà le regard rivé sur les étoiles laissant plutôt les deux demoiselles discuter entre elles n’étant pas un grand parleur. Finalement, je m’endormis s’en vraiment en avoir conscience s’entend mes paupières s’alourdirent et mes muscles se relâchant. Lorsque le lendemain nous fit coucou, nous reprîmes immédiatement notre fameuse marche emplit de gaieté et de bonheur! Tous le sentaient, nous, nous rapprochions de notre destination sentant la forte chaleur se dissiper à travers l’air. Nadaré était déjà arrivée et s’amuser à dessiner je ne sais trop quoi!

" arrivais-je avec les autres sur le lieu de rencontre, un papi s’avança vers nous. Soit il venait de se réveiller d’une nuit endormi sous l’effet de l’alcool ou soit il avait fait une course de poche-à-patate toute la nuit en compagnie de ses amis les moutons…J’avais la curieuse impression que notre « chef » avait rapido-presto ramassé cet homme dans une vieille ruelle malsaine et l’avais traîné vers nous en le prétendant expert des invertébrés. Remettre ma confiance entre les mains d’un simple regard ne me servira à rien. Mieux valait expérimenter et par la suite en juger les faits quoi. Un bref regard s’échangea soudainement entre Nadaré et le vieil homme. Peut-être sont-ils amis et nous ne le savons pas? Peut-être est-il le pro des serpents? Puis, soudainement le capitaine de l’équipe nous sorti son deuxième dialogues de TOUTE la mission; « Je ne vous tiendrai pas rigueur de votre lenteur, et de votre retard ; sauf à toi, Shinobu, car tu connais mes méthodes. J'aimerais trop réaliser cette mission ; mais plus que tout, j'exige – entendez-moi bien – j'exige que l'équipe numéro une soit la première à rendre compte de sa mission. Bien ; voici Monsieur Akaranda, notre guide. Il connaît parfaitement la topographie des lieux, et voit des points de repère concis où nous voyons des dunes identiques. Il parle peu, mais sait beaucoup de choses. Je lui ai promis suffisamment de bière pour qu'il puisse finir ses jours plein comme un tonneau. Ça lui fera une belle mort ! » Bon oublions la première hypothèse que j’ai tiré de cette aventure! C’est clair comme de l’eau de roche Nadaré ne souhaite qu’exposé des sujets des plus morbides durant nos conversations de groupes ou même explications. Puis, il continua s’en avoir eu le temps de nous exprimer encore faisant une brève description de lui; « Présentation rapide : je me nomme Buraindo Nadaré, ninja d'Iwa spécialiste en Irou et apothicaire depuis des années. Tous les dégâts que vous avez appris à causer depuis votre enfance, j'ai appris à les contrer et à les réparer depuis la mienne. Le peu que je sais de vous provient de mes fiches, aussi je vous accorde 5 minutes chacun pour vous définir avant que nous partions en quête de nos serpents. Vous comprendrez bien vite que je n'ai aucune estime pour vous, et je me moque entièrement de votre personnalité ou de vos émotions. Aujourd'hui, nous servons l'Alliance ; qu’importent nos opinions sur le sujet. Notre réussite participe déjà à la défaite de l'Akatsuki. Le poison que vous retirerez aujourd'hui se trouvera dans leur sang demain. Néanmoins, la mission peut s’aggraver rapidement ; il peut y avoir des morts, aussi je n’admettrai pas une balade en solitaire sans mon consentement ! Vous vous dispenserez de penser durant les prochains jours et n'écouterez que mes ordres. Cela dit, passons aux instructions. » Sentant maintenant le regard de mes paires s’appuyer sur mes épaules, je soufflai un coup détestant dire des informations sur moi n’y voyant aucun intérêt! « Bon eh bien je m’appelle Satsujin Nazaki je suis Chunin d’Iwa je suis particulièrement doué pour le Kenjutsu et le Taijutsu. Je ne vous ai jamais vu de toute ma vie avant le début de cette mission à vos côtés dis-je laissant la fin de phrase dans un long silence… » Laissant ma place au prochain, je fixai le vide me demandant si les pingouins possédaient bien et bel un nombril ou encore mieux…des genoux. Lorsque tous eurent terminés, vint notre chef d’équipe qui ouvrit le fameux dessin qu’il avait griffonner un peu plus tôt avant notre arrivée à ses côtés. Effectivement, je ne suis pas le meilleur dans les dessins, mais celui-ci était carrément unique…en tous sens. Éventuellement, s’il ne nous avait pas expliqué verbalement ce…bout de papier crayonné, nous n’aurions rien compris ça c’est sûr. « Les cobras de jade se trouvent exclusivement dans ce désert. Il faudra s'y enfoncer pour en trouver d'avantage. Je vous apprendrai à recueillir du venin d'un serpent au premier que nous trouverons. Dès que l'un de vous verra une tâche émeraude parmi le sable, il devra dire ''J'ai !'' puis être accompagné obligatoirement d'un binôme pour être plus efficace. D'après vos fiches, vous, là, les deux garçons, vous ne maîtrisez pas l'Art Sublime et Spéctaculaire de la Divine Apothicaire ? Ma foi, j'ignore quelle sera votre utilité ; Koru ira avec moi, Sutsanij suivra Shinobu. Il nous faut 50 doses, mais mieux vaut en avoir 60, voire 65. Croyez-en mon expérience, un apothicaire a toujours besoin d'une réserve en plus ! Disons même cela : équipe 1, nous allons vider ce !#@%§& de désert ! »

Bon il y a rien là; trouvez de petites tâches émeraude dans le sable. Ce qui me causait le plus de tourment était la forte chaleur qu’évoquait cette énorme boule jaunâtre et blanche. Suivant ma compatriote surement milles fois plus douée que moi, je ne voulais toutefois ne pas paraître comme un fardeau et commença à chercher dans cet étendu beige et granuleux. La gorge sèche, je gargarisais ma voix de temps en temps afin de ne pas user trop de mes réserves d’eaux. Toujours le regard fixé sur les petits grains, je fus soudainement attiré par quelque chose de beaucoup plus marrant. Nadaré s’apprêtait à beurrer le visage d’Akane. Du jamais dirais-je? Personnellement, je crois qu’il devrait davantage équilibré la quantité de miel sur son visage. Je ne cherche pas trop à comprendre cette fois-ci honnêtement...En fait, depuis le début de la mission, je ne souhaite pas savoir ce que trame notre « chef d’équipe ». Me retournant vers ma coéquipière de fouille, elle ne semblait pas si impressionnée par cette évènement unique. À ce que j’ai pu comprendre elle avait déjà travaillée auparavant avec cet homme d’Iwa. « Dit-moi, où as-tu rencontré Nadaré? Dis-je toujours le visage face au sol. »





© Codage by Cacao sur Libre Graph



(Je n'ai pas encore corrigé )
Revenir en haut Aller en bas
 
[Renforcer l'Alliance] - Équipe 1.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Naruto Sensou :: Rôle Play :: +Pays du vent+ :: Le désert-
Sauter vers: