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| Mon épée, mon amie, mon âme soeur ... | |
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Invité Invité
| Sujet: Mon épée, mon amie, mon âme soeur ... Lun 13 Aoû - 20:21 | |
| Une volonté à toute épreuve !La lune venait à peine de se coucher et le soleil de se lever. Il était tôt ce matin-là. C’était l’heure de l’entraînement ! Mais pas n’importe lequel ! Teikiatsu allait tenter d’affiner son art préféré, le Kenjutsu ! En effet, depuis qu’elle vivait seule, son seul vrai ami était son katana, il ne l’avait plus quitté. Comme si cette arme veillait sur la kunoichi. Dès qu’elle avait du temps libre, elle se hâtait de manier cette épée fine mais robuste. Elle connaissait donc son arme bien avant d’intégrer le monde impitoyable des ninjas. Difficile de trouver des arbres à portée de mains dans le désert. Il lui fallait se rendre à l’oasis le plus proche pour espérer trouver matière à trancher. Les rochers me direz-vous ? Et bien il était encore un peu tôt pour que la Genin sache pourfendre le roc. Cet entraînement avait pour but d’améliorer sa dextérité. Connaître parfaitement son arme et la maîtriser du mieux qu’elle pouvait. En mission solitaire, elle ne peut compter que sur elle. Elle n’avait pas donné de nom à son katana, peut-être qu’un jour après avoir traversée maintes et maintes épreuves, elle finirait par lui en donner un. Quel drôle d’idée qu’on les Hommes de donner un nom aux objets de valeurs, s’ils étaient magiques, pourquoi pas, mais dans le cas d’une lame banale, pas de quoi s’exciter. Mais pour Teikiatsu, cette fine lame n’était pas qu’un simple bout de ferraille. C’est sur ce morceau gris qu’elle put compter pour chasser, travailler et se défendre des petites emmerdes de la vie. Comme dit précédemment, cette arme l’a nourri, l’a protégé et en retour, Teikiatsu n’avait que de l’affection à lui donner. Cette intime liaison entre les deux êtres ; et oui, notre héroïne personnifiait ce katana car son arrête tranchante comptait autant que la vie d’une personne, rendait le Kenjutsu de Teikiatsu aussi fluide que le vent. Cet art ancestral était l’une des deux spécialités de la jeune fille. Associé à son affinité du vent, elle serait capable de porter des coups dignes des incisions d’un grand chirurgien. Bref, après avoir marché durant une heure entière, elle était enfin arrivée à cet oasis luxuriant. Un paysage bien paradoxal à celui du désert. De l’herbe fraîche poussait ici, les arbres tentaient de toucher le ciel et l’eau était chaude permettant la prolifération d’espèces exotiques. Ce lieu offrait un instant de paradis à tous nomades s’y rendant. Mais ce n’était pas des instants de plaisirs qui avaient attiré la kunoichi ici, mais les arbres. Ils allaient offrir à l’épéiste une cible idéale. Solides et nombreuses. La rencontre avec le kage l’avait tourmenté et pour se concentrer, elle se décidait à méditer. Elle s’asseyait sur le sol tandis qu’elle croisait les jambes. Elle était assise en tailleur, les paumes des mains collées l’une contre l’autre. Pendant une dizaine de minutes, elle ne fit aucun bruit, aucun mouvement, même pas un battement de cils. Zen… Enfin, quand elle trouva la paix intérieure, elle se releva et désigna sa première cible. Un immense tronc de baobab se dressait devant elle. C’était lui qui allait subir les premiers assauts du ninja. Elle dégaina son arme, l’a pris d’une seule main et s’échauffa un instant. Elle faisait des mouvements dans le vent pour préparer son poignée mais aussi tous ses muscles du bras. Une fois de la main droite, puis de la main gauche. Une fois prête, elle prit l’arme à deux mains et prépara la suite. Cet entraînement allait être composé de plusieurs phases. D’abord, améliorer son déplacement l’arme en main. Ensuite, esquiver les attaques aux corps à corps ; puis les attaques frontales avec l’arme et pour finir la rapidité d’exécution. Commençons donc par des déplacements souples, agiles et vifs tout en ayant l’arme en main. Il est important de ne pas se blesser avant de blesser l’adversaire. Le katana est une arme à double tranchants. Teikiatsu n’était pas dotée d’une force phénoménale, mais plutôt d’une agilité et d’une finesse à en surprendre plus d’un. Des figures telles que des saltos avant ou arrière, ou encore des vrilles horizontales n’étaient pas choses difficiles à réaliser. Mais avec une arme, l’exercice se corsait. Elle planta l’arme dans le sol et enchaîna les figures les unes après les autres. Pas de doute possible, elle était en forme et n’avait pas perdu de son habileté. Il fallait maintenant réaliser la même chose mais l’arme en mains. Elle retira le katana de la terre et se mit en position. « Souple et discrète comme le vent, je dois l’imiter. Virevolter comme une feuille tombant d’un arbre. Plus facile à dire qu’à faire mais en persévérant, j’y arriverais ! »Et par une impulsion sur ses jambes, elle s’éleva dans les airs. Mettant son poids vers l’avant, elle souhaitait faire un salto avant. Mais le poids de l’arme était à prendre en compte et il l’a déséquilibra sur le côté. Elle ne retomba pas sur ses deux pieds, mais sur la cuisse, s’écrasant sur le sol. Le choc fut violent et Teikiatsu ne s’attendait pas à une telle chose. Elle se releva, la motivation intacte ! *Je dois incliner légèrement mon corps sur le côté opposé de l’arme pour orienter mon poids à la fois sur l’avant et sur la gauche ou la droite pour rester dans l’axe et retomber correctement.*Elle s’y reprit à plusieurs fois sans y arriver. En retombant, elle avait reçu quelques griffures de l’arme. Heureusement qu’elle avait prévu ce genre d’entraînement car les effets en combats auraient pu être catastrophiques. Mais après une courte pause, elle recommença. Il en faudrait bien plus pour écorcher la volonté de la jeune fille. Et à plusieurs reprises elle lança son corps en l’air tentant d’accomplir l’impossible. Ce fut uniquement après une trentaine d’essais qu’elle réussit à atterrir debout sans se blesser ! Pour confirmer l’exploit, elle réitéra la manœuvre jusqu’à une maitrise parfaite de la figure. Puis, elle essaya le salto arrière. En avant, il n’y avait plus de problèmes et il lui fallut peu de temps avant de parfaire l’arrière. « Hehe ! J’ai enfin réussi ! Je ne pensais pas que j’en baverais autant. Ce genre de chose est tellement banal d’habitude. Mais l’arme a une masse et une taille qui sont à prendre en compte quand j’exécute tous ces enchaînements. Maintenant que les saltos sont réussis, je dois essayer les vrilles. Cette fois, je ne dois plus lancer le poids de ma tête et de mon corps sur l’avant, mais sur le côté. Et je dois faire attention à ne pas faire toucher l’arme sur le sol. Je dois trouver une position qui me permet d’effectuer la vrille sans être trop haut par rapport au sol. Peut-être, devrais-je mettre l’arme le long de mon corps. Pour les saltos, je sautais très haut et j’ai réussi à garder l’arme tendue pour former un cercle et une figure offensive. Avec la vrille, je garderais la lame le long de mon corps, l’arrête tranchante vers l’extérieur et si j’arrive à tourner extrêmement vite, je pourrais alors avoir une figure défensive capable de repousser certaines armes ! » ©Naruto Sensou
Dernière édition par Teikiatsu le Mer 15 Aoû - 17:47, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Mon épée, mon amie, mon âme soeur ... Lun 13 Aoû - 20:27 | |
| Se décourager ? Jamais !Malgré le fait qu’elle était essoufflée par les précédents saltos, sa volonté était toujours présente, aussi forte qu’à ces débuts. Et elle se remit en place, sauta en l’air, balança son corps de toutes ses forces sur le côté pour essayer de tournoyer tel un ballon de football américain, mais je ne crois pas que ce sport ne soit très populaire dans ce monde. Contrairement au départ, elle sut tirer profit de son épée. L’entraînement portait doucement ses fruits. Quand elle faisait un salto pour effectuer une simple esquive, la masse de l’arme l’avait déséquilibré et elle dut trouver une solution à ce problème. Manifestement, cet incident ne se produisait pas quand elle utilisait le katana pour faire un salto offensif en formant un cercle avec l’arme. En effet, bien dans l’axe de la rotation, la lame apportait une force supplémentaire et permettait à la figure d’être plus rapide et efficace. Teikiatsu le comprit enfin et elle utilisa intelligemment ces données pour donner plus de puissance à ses vrilles. Malheureusement, elle arrivait à tourner rapidement, mais pas assez pour lui permettre de repousser des armes. Elle semblait être encore trop jeune mais surtout inexpérimentée pour manœuvrer à la perfection. Il lui faudrait sans doute plus d’entraînement pour arriver à un tel résultat. *C’est dommage que je n’arrive pas à tourner plus vite. Je suis au maximum de mes capacités, je ne peux pas faire mieux pour le moment. Cette limite prouve bien l’importance de l’exercice et je ne dois jamais me reposer sur mes acquis. Car je tomberais toujours sur plus fort que moi. Atteindre la puissance du Kazekage est déjà un bel objectif, il me faudra du temps et du courage… Mais s’il est à mes côtés pour me soutenir, je n’aurais aucun mal à le rattraper, qui sait peut-être à le surpasser, mais je m’emporte un peu trop là !!*« Maintenant que je maîtrise correctement l’esquive à distance. Je dois apprendre l’esquive au corps à corps. Et là, c’est encore autre chose. Jusqu’à présent, j’avais le temps de voir venir les attaques puisqu’une certaine distance me séparerait de mes ennemis, alors que maintenant, je serais tout près. Savoir lire les attaques et les anticiper pour les esquiver, ou alors les contrer avec mon épée sont les objectifs ! »Mais comment et surtout contre quoi allait-elle bien pouvoir se battre. A part des plantes, elle n’avait pas vu grand-chose de mobile. Et une douce brise vint caresser les hauts des palmiers et des baobabs. Les branches se mirent à bouger aléatoirement. *Je sais comment créer des mouvements imprévisibles et me permettre de m’exercer !*Fuuton – Daitoppa Un courant beaucoup plus violent que la brise précédente perturba la tranquillité de la flore avoisinante. Les branches feuillues des arbres bougeaient rapidement dans n’importe quel sens. Teikiatsu n’était pas en mesure de prédire leurs mouvements, la situation parfaite pour améliorer son acuité visuelle et sa réactivité. Elle fonça vers l’immense baobab, grimpa sur le tronc grâce à son Konobori. Et elle fixa les grosses branches qui la menaçaient. Le but, atteindre le sommet sans se faire toucher. Mais, l’inexpérience de la novice se fit remarquer de suite, à peine avait-elle esquivé une première branche, qu’une seconde vint la claquer et la renvoya directement au sol. Une nouvelle fois, la chute fut brutale. Momentanément désorientée, il lui fallut quelques minutes avant de se remettre sur pieds. Sa motivation commençait à être entamer. Contrairement à tout à l’heure où elle maitrisait les bases, ici, elle n’a pas eu l’occasion de s’exercer dans le domaine. Elle commençait à zéro. « Je ne dois pas me limiter à regarder une seule branche ! Je dois être capable de savoir quelles branches sont susceptibles de venir me toucher. Foncer tête baissée a été mon erreur. Je dois analyser la situation. Savoir quelle branche peut me toucher si je passe par tel endroit et laquelle viendra s’ajouter ou se perdre à chacun de mes pas. Dans quoi je me suis embarquée ! Comment puis-je avoir à l’esprit toutes ses branches et continuer d’analyser la situation tout en courant et savoir de laquelle je suis à porter ou non. Comment font-ils ? Tous ces ninjas qui sont capables d’esquiver une pluie de shurikens ? Je comprends maintenant pourquoi Gaara-senseï a dit que les entraînements allez être ardus ! Mais je ne dois pas me démotiver, ce n’est que le début et même si je n’arrive pas du premier coup, je pourrais venir entre deux missions m’entraîner de nouveau ! »Elle sut se redonner confiance et elle grimpa à nouveau l’immense être-vivant. Et au lieu de se focaliser sur une seule branche, elle étudia de la base à la feuille le mouvement de celles-ci. Victoire, elle put franchir non pas une mais deux branches avant de se faire propulser dans les airs. Moins surprise que la première fois, elle retomba sur ses pieds. Et elle repartit à la charge. La colère se lisait sur son visage. Honteuse de se faire battre par un arbre, jamais elle n’oserait retourner auprès de son Maître avec un tel échec. Mais le fier baobab ne l’entendait pas de la sorte et il repoussait sans cesse les assauts de Teikiatsu. Elle changea de sorte et s’entraîna sur un palmier, le résultat fut le même. Pas moyen d’atteindre la cime des arbres ! Sa motivation lui faisait défaut. Elle doutait sérieusement de ses capacités. Elle qui savait se tortiller dans tous les sens n’arrivait pas à esquiver de simples bouts de bois ? Mais là n’était pas la question. Avant de pouvoir les esquiver, il fallait pouvoir lire les mouvements et les anticiper. Chose que la jeune genin avait beaucoup de mal à comprendre. Alors, elle se posa de nouveau en tailleur sur le sol. Fixement, elle examinait de nouveau le baobab. Elle se décontractait, se concentrait sur ses mouvements. Contrairement aux ninjas plus expérimentés qui étaient capables de décrypter toutes les situations, même les plus complexes en un rien de temps, Teikiatsu était une amatrice et il lui fallait énormément se concentrer pour pouvoir dénouer ce méli-mélo. Effectivement, beaucoup plus de temps fut nécessaire pour enfin arriver à comprendre. Elle se releva, calme et chargea de nouveau le bombacacée. Une tentative fructueuse ! Elle avait quasiment atteint le haut du tronc. Trois nouvelles tentatives furent nécessaires pour enfin y arriver. Mais comme dit, il ne fallait pas se reposer sur ses acquis et d’autres entraînements allaient voir le jour pour améliorer sa perspicacité et sa faculté d’analyse. ©Naruto Sensou
Dernière édition par Teikiatsu le Mer 15 Aoû - 17:47, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mon épée, mon amie, mon âme soeur ... Lun 13 Aoû - 20:34 | |
| La fatigue, un ennemi insaisissable« Ne jamais se décourager ! De belles paroles, certes vraies mais difficiles à appliquer. Je sens que je suis moins motivé que ce matin. Il est déjà 13h et je n’ai toujours pas fini, je voudrais bien me reposer, mais à cette allure, je serais encore là demain à l’aube ! »Il était donc l’heure de passer à la suite de cet entraînement endurant. Mais l’étape à suivre était la plus plaisante et la plus facile. En effet, il s’agissait de se défouler avec son épée sur le tronc massif. Rassurez-vous, la gamine ne serait pas capable d’entailler assez profondément le baobab au point de lui hotter la vie. Du moins, c’est ce que l’on pouvait penser avant de voir la suite. Toujours avec la même vigueur, elle s’élançait contre l’arbre, katana en main, dirigé vers l’écorce. Elle commença d’abord par donner des coups de hauts en bas et de bas en haut. Elle répliqua l’attaque une vingtaine de fois. Avant de modifier le mouvement et de faire de gauche à droite et inversement. Puis, elle portait des coups obliques. Au fur et à mesure qu’elle frappait, elle laissait s’échapper un peu plus de rage, l’entraînement était éprouvant et pouvoir enfin se défouler de la sorte l’a libéré profondément. Et par des assauts continuels, malgré une force limitée, l’arbre commençait à être marqué. L’épaisse écorce se fendait et la chair du feuillu apparaissait. Qui l’eut cru ? Comment était-elle capable d’infliger de telles blessures ? Mais c’est en y regardant de plus près que l’on peut comprendre. Son chakra, son affinité fuuton était l’élément clé. Un vent créé à partir de son chakra parcourait légèrement la lame. Bien sûr, ce fait n’égalait pas le « Fuuton – Shinkūjin » mais sans le savoir ni le vouloir, elle était aux prémices de ce jutsu. Fier mais inconsciente de sa nouvelle force et ne voulant pas tuer ce pauvre baobab, elle arrêta de le déchirer. « L’esquive à distance, l’esquive au corps à corps et maintenant les attaques frontales. J’ai déjà accompli beaucoup de choses. Même si elles ne sont pas parfaites, j’ai déjà bien progressé ! J’ai montré que je savais manier mon arme de façon grossière contre une énorme cible, mais qu’en est-il contre une cible plus petite et en mouvement. J’ai remarqué quelques poissons dans l’étendue d’eau de l’oasis. En plus de me nourrir, ils me serviront à m’améliorer ! »*Quelle idiote je fais ! Je m’arrête de frapper un arbre par peur de le tuer, mais je n’ai aucun scrupule à trancher un poisson pour le manger, je suis bizarre … Bref, passons à la suite, la fin de journée approche.*En effet, le soleil allait bientôt se coucher et une fois cette nuit sans lune tombée, il ne serait plus possible de rentrer chez soi ! Sa volonté était à son plus faible niveau, mais le fait de s’excité sur le baobab a rechargé en partie la jeune fille. Elle s’approcha tranquillement de la grande marre d’eau. Elle se pencha et se débarbouilla le visage avec l’eau chaude. Ses actions passives faisaient déjà fuir les poissons, qu’en serait-il quand elle sera plus agressive ? Un rocher solitaire se tenait non loin du bord, elle y sauta et se mit de nouveau en tailleur. Toujours l’arme à la main, elle la tendit, prête à amocher la moindre nageoire qui passait dans le coin. Et une scène plutôt comique se produisit. Pressée d’en finir avec cet entraînement qui perdurait, elle tapait dans tous les sens pour toucher les poissons d’un banc qui passait par là. Elle était trempée, mais il n’y avait pas que de l’eau, de la sueur aussi s’écoulait le long de son corps. La fatigue allait bientôt mettre un terme à tout cela. Il lui fallait encore rentrer au village. Un poisson plus gros que les autres passa devant le rocher. C’était une chance unique pour abréger ses souffrances. Il devait être plus lent et plus facile à cibler. Et quand il fut à porter, par un coup net et précis, elle réussit à attraper le repas de ce soir. Fatiguée mais fière des efforts qu’elle fournit durant cette journée, elle se posa quelques instants sur la rive, profitant du début du coucher de soleil pour reprendre son souffle et repartir à vive allure vers Suna. Vue les étapes franchies et en vue des nouvelles à franchir, elle n’était pas au bout de ses peines. Notamment que Gaara lui préparait certainement de quoi la divertir pendant un long moment. Après une longue heure de marche, la nuit allait prendre ses droits, Teikiatsu rentra dans sa demeure. Ne prit même pas la peine de se déshabiller et se coucha tel quel. *Gaara-sensei, ne soyez pas trop dure avec moi, je serais fatigué …*Si seulement elle savait … ©Naruto Sensou [Hrp : Je me suis permis de séparer mon rp en trois posts afin d'éviter de claquer un "pavé".] |
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