Ride on a dog that is good. The room is better.

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I'm hungry, come here little dog.

Tata Yoyo, habitué à perdre mon temps dans les rues du village, j’étais celui qui devait le mieux les connaitre. J’étais souvent là en train de faire une multitude de connerie sans même savoir d’où elles avaient bien pu germer. Mais mon jeu favori était sans le moindre doute la chasse aux petits animaux en tout genre mais plus précisément les chiens et les chats, aujourd’hui j’avais décidé que ce serait des chiens pourquoi eux ? Tout simplement parce que je n’aimais pas leurs airs misérables et méprisant, à mes yeux ils n’étaient que de vulgaire mendiant que l’on devait exterminer. Mais qui étais-je pour juger ? Qui étais-je pour décider de la vie ou de la mort ? Moi qui ne comprenais pas son déroulement. Mais bon aujourd’hui étant d’une humeur particulièrement bonne, je me baladais encore et toujours dans les mêmes chemins boueux et escarpés qui avoisinaient Kumo. Quand là j’aperçu un chien qui avait semblerait-il la patte cassé, moi sadique et méchant à souhait je me mis en sa direction puis arrivé à sa hauteur j’utilisais mon chakra pour soigner sa patte, mais aussitôt joyeux, je me mis a m’assoir sur lui, lui fouettant les fesses avec un bout de bois encore plus sale que le chien ne l’était, je l’entendais couiner encore et encore mais moi j’avais envie de plus alors je continuais jusqu’au moment où il s’arrêta se pleurer. Je le trouvais stupide, c’est donc pourquoi après avoir à nouveau soigné le chien je le laissais partir. Et sur le moment je dis avec une voie pleine de dégoût.

« Dégage tu n’es utile à personne et surtout pas à moi. »

Je m’ennuyais de mes parents et toutes personnes me connaissant un peu savait pertinemment que je n’étais pas réellement méchant mais je cherchais désespérément à trouver un moyen de ne plus penser à eux, concrètement, je n’avais que faire de faire cela pour attirer l’attention, les personnes que je ne connaissais pas ne m’intéressaient pas ou du moins très rarement, mais il fallait admettre que j’étais plus proche des femmes que des hommes pour la simple et bonne raison qu’aussi loin que mes souvenirs remontaient, mon père ne voyait qu’en moi une machine à changement et à argent, ma mère elle était aux petits soins avec moi. Ce qui me faisais penser que les hommes étaient plus mauvais que les femmes, même si ce n’étais qu’une idée reçut, j’y croyais mais attendais tout de même une preuve du contraire. Pour finir j’étais là à m’ennuyer tel un rat mort qui n’avaient rien à faire de ses journées. C’est alors que j’entendis des bruits de pas qui se dirigeaient vers moi, je me décidai donc de me tourner dans le sens de mon futur interlocuteur en lui disant d’un ton fort sympathique.

« Qui est vous mademoiselle ? »

Le regard joyeux, et un sourire aux lèvres j’étais tel un ange attendant une bonne action à effectuer alors qu’en réalité je n’étais qu’un enfant perturbé que rien ni personne n’arrivait jusqu’alors à dompter ou à cerner véritablement. Enfant connu du village de Kumo, je n’en étais pas pour autant aimé, mes actions néfaste m’avaient vallu la réputation et le surnom de « petit démon de Kumo ». et l’aura sombre que je dégageais n’étais pas sans rappeler à plus petite échelle le tristement célèbre « Zabuza Momochi ». Enfin hormis cela je n’étais qu’un enfant parmi tant d’autre qui avait fait ses classes et qui avait réussi à les terminer avant la plupart des autres. Un petit génie en somme. Ou un véritable intellectuel capable de miracle. J’avais un potentiel certes mais ne souhaitais en rien l’exploiter trouvant que personne ne valait la peine que je me décarcasse pour ses yeux. Je n’étais que « Ayano Kichi » Fils de la famille Kichi cruellement assassiné sans raison.

©Naruto Sensou

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Enfant de Kumo

Une belle journée ensoleillée commençait à Kumo. La chaleur était au rendez-vous, tandis que la population déjà en pleine activité, je marchais tranquillement comme à mon habitude. J'aimais bien prendre mon temps lorsque j'en avais bien évidement. J'en profitais donc pour faire ma petite balade matinale, regardant aux alentours. Bien que ce n'était pas la première fois que je visitais ces rues, c'était pour moi comme si cela était nouveau, chaque jour était une aventure, une nouvelle découverte, un nouveau jour. Tous étaient différents et c'est pour cela que j'appréciai tant faire ces promenades. A Yuki, mon village natale, je n'avais pas pour habitude de marcher, les jours, contrairement à ce village, se ressembler tous. Les seuls moments que j'appréciai étaient ceux que je passais en compagnie de mes défunts amis … Ces instants, je n'avais plus envie d'y penser. Ce que j'avais vécue depuis ce drame, me dégoutter au plus haut point. J'avais été rejeter de la manière la plus odieuse qui soit, alors que j'étais une des leurs et je n'y étais pour rien dans ce malheureux accident … J'avais appris avec le temps à ne plus m'en vouloir. Je n'avais pas à culpabiliser, à m'infliger de telle chose. J'en avais assez souffert jusqu'à présent et aujourd'hui je voulais changer de vie.
J'avançais calmement quand soudain, j’aperçus au loin un jeune garçon tout près d'un chien. Ces gestes attirèrent mon attention. Alors qu'il effectuait des premiers soins à ce jeune animal blessé, quelques minutes plus tard il s'installa vulgairement dessus, le fouettant avec un bâton. Mon sang ne fit qu'un tour. Quel était l’intérêt de le soigner si c'est pour peu de temps après lui faire du mal. Prise de rage, je me mis à marcher d'un pas rapide vers sa direction. Il remarqua rapidement ma présence. En même temps, ma démarche montrait bien ma colère, mes pas étaient lourds et mes sourcils froncés. En quelques secondes je me trouvais devant lui. C'était un jeune genin d'une dizaine d'années. Les cheveux en dessous des oreilles, d'une couleur bleu clair et des yeux azurs. Je ne l'avais jamais vu auparavant. Étrangement, il me souriait, comme si de rien n'était. J'étais révoltée. Le regard sévère et les bras croisés, je le regardais droit dans les yeux. Si il y a bien une chose que je n'aimais pas, c'était la méchanceté gratuite et surtout envers de petites choses innocentes et sans défenses.

« Quand on est polie on se présente avant de demander le nom de la personne que l'on rencontre tu sais ... »

Lui répondis-je calmement. Je n'avais pas envie de m'énerver tout de suite, préférant comprendre les raisons de ses agissements.

« Au fait, pourquoi as tu fais du mal à cette pauvre petite bête alors que tu venais de le soigner ? »

©Naruto Sensou

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I'm hungry, come here little dog.

Encore et toujours ce regard significatif, comme si j’étais encore le plus mauvais garnement que la terre n’ai jamais porté. C’était lassant même pour moi cela devenait lourd et commençait à me poser des problèmes de conscience mais je n’avais pas de temps à perdre avec des futilités et des gens ne cherchant jamais à comprendre ma façon de penser, ma vision du monde était totalement différente de la leurs et sous tous les angles, pendant qu’ils trouvaient une chose insignifiante moi j’y cherchais le pourquoi. Et pour les animaux dit sans défense, moi je cherchais à comprendre où était leurs limites, mais ce n’était pas tout. Alors que je lui demandais avec un sourire sans limite qui elle était cette femme me répondit avec calme mais un certain mépris se fit sentir. Je le sentais puisque toute ma vie j’avais subis ce sentiment, même si tous savaient que mon histoire était tout sauf belle, ils n’en avaient rien à faire et bien au contraire certain se permettaient même de juger mes défunts parents comme de vulgaire incompétent à la tâche d’éducateur. Le pire étant sans nul doute les insultes qui lui étaient lancés il entendit un homme lui spécifié que si ces parents étaient mort c’était pour avoir conçu un enfant comme moi. Mais le plus insupportable à mes yeux c’était ce regard celui qui me paraissait comme étant le poids du monde je me décidai enfin et lui répondit avec tout le respect possible.

« Je vous présente mes excuses, je me nomme Ayano Kichi. »

Si elle ne me connaissait pas physiquement elle allait sans le moindre doute savoir qui j’étais maintenant qu’elle connaissait mon nom mais cela ne m’intéressait pas elle se mit alors à me questionner sur le pourquoi d’un tel comportement envers l’animal que j’avais maltraité précédemment, mais je n’avais pas envie de lui sortir une réponse mielleuse sans intérêt, je décidais alors de garder le silence un temps non pas pour réfléchir à quoi lui sortir comme excuse mais plutôt comment lui dire mes motivations sans la traumatiser, c’est alors qu’une idée germa dans mon petit cerveau étriqué, je m’installa alors au sol posant mon postérieur sur l’herbe qui s’y trouvait et me passant la mains sur le coup pour me gratter, je prononça alors quelque mot avec politesse.

« Et bien pour tout vous dire, je mène des expériences sur les animaux, vous les trouvez sans défense ? Moi aucunement, ils montrent une résistance à la douleur plus accrut que les hommes, alors je cherche à définir pourquoi la vie les a créé ainsi et nous non, alors je peux comprendre votre réaction. »

J’avais parlé calmement montrant mon intérêt pour la vie tout en montrant une certaine curiosité envers elle ce qui pouvait être interprété de façon bien différente, mais je n’en avais que faire, j’étais un enfant en mal d’affection cherchant partout un moyen de me défaire de ce manque qui ne souhaitait pas disparaître, je devais paraitre bizarre aux yeux de la jeune fille mais je n’en avais rien à faire et pour cause, elle n’était pas membre de mes rares connaissances et de plus son regard empli de haine et de mépris me mettait mal à l’aise, j’en étais gêné et cela devait se ressentir, mais bon comment pouvais-je cacher un sentiment aussi encré en moi ? Je n’en étais pas capable, pas encore et surtout pas sans avoir compris les raisons de l’assassinat de mes parents. Je me mis alors à sourire béatement puis de ma bouche sortie une phrase.

« J’aimerai savoir ce qui vous amène ici en un si beau jour ? Les lieux avec une vue splendide ne manque pas à Kumo alors pourquoi choisir un chemin boueux et accidenté ? »

©Naruto Sensou

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Enfant de Kumo

Ce jeune garçon au regard bleu se nommé Ayano Kichi. Étrangement, il ne semblait pas étonné par ma réaction, comme si il était habitué à ce genre de réflexion. Peut-être avait-il pour habitude de faire ce genre de bêtises pour se faire remarquer ? Du moins, c'est ce que à quoi j'avais pensé dans un premier temps. Après tout, je ne connaissais rien de la vie de ce petit genin, ou même son passé. Beaucoup de choses étaient donc possibles et pouvaient justifier un tel comportement, mais lequel ? Peut être allais-je le découvrir tôt ou tard, ou peut être pas. Je n'en savais rien. Mais plutôt que d'agir bêtement et sans réfléchir, je préférais rester neutre et ne pas m'en prendre à lui pour n'importe quelle raison et m'emporter comme n'importe qui l'aurait fait. J'étais peut être jeune et inexpérimentée, mais j'étais loin d'être bête et méchante. Je dois avouer que ce comportement m'intriguer quelque peu. Il était si jeune et pourtant, quelque chose de froid habité en lui et ça se ressentait rien qu'en lui parlant. Qu'avait bien t-il pu se passer pour qu'il ai l'air si triste malgré son sourire ? J'étais bien trop curieuse, mais je ne pouvais me permettre de lui demander. C'était la première fois que je le rencontrais, je ne savais rien de lui et j'étais encore qu'une étrangère, une parfaite inconnue à ses yeux. Alors que m'aurait-il dit ? Rien certainement. Qui se confirait à une inconnue de toute façon ? Je me posais beaucoup trop de questions, toutes sans réponses. Finalement, je préféra réagir de la façon la plus naturel et neutre possible.

« J'accepte tes excuses Ayano. Moi je m'appelle Kaori Nishimura, enchantée. »

Lui dis-je avec un petit sourire comme pour lui montrer que je n'étais pas si méchante que ça et que je n'étais pas là pour l'engueuler malgré que ces gestes qu'il avait eu auparavant avec ce petit chien m'avait plutôt choquée. Petit à petit, je remarquais qu'il était plus à l'aise avec moi. Sûrement parce que j'avais cesser froncer les sourcils et de faire mon air méchant, je n'aimais pas tellement être comme ça. Ce n'était pas dans ma nature, loin de là. Tranquillement, il s'installa sur l'herbe. L'ambiance était meilleur pour parler. Il m'expliqua les raisons pour lesquels il avait agit de cette manière tout à l'heure. Son explication me perturba quelque peu. Un enfant de 10 ans penser déjà à ces choses là ? C'était vraiment bizarre et tellement inhabituel. Ce n'était pas vraiment la préoccupation des ninjas de son âge, loin de là. Je me demandais bien pourquoi il avait cette idée en tête. Qu'est ce qui l'avait poussé à avoir cette réflexion. Me sentant mal à l'aise à parler lui parler alors qu'il était assis et moi debout, je m'installa à mon tour sur l'herbe, les genoux serrer contre ma poitrine.

« Tu sais, ça ne sers à rien de faire de tels expérience sur les animaux, ils ne méritent pas d'être traité comme ça. La douleur il la ressente comme nous. Seulement ils ont le mental que nous n'avons pas. Nous sommes trop faibles mentalement, trop de choses se mélangent comme nos sentiments par exemple et c'est ce qui nous rend si faible par rapport à eux. Et du coup nous ne sommes pas conditionnés à résister autant qu'eux. Tu pourras faire toutes les expériences que tu veux, tu ne trouvera rien, c'est dans leur nature. »

Lui expliquais-je calmement, tout en espérant avoir été compréhensive et pas trop lourde pour lui. Ce n'était pas de moi de faire ce genre de moral, mais je pensais que c'était une bonne solution pour qu'il comprenne que ce n'était pas une bonne chose et ce que je lui disais, je le pensais très sincèrement. Les expériences comme celles là sont inutiles, la nature est bien faite vous savez. Les animaux sont étonnants, ils nous réservent beaucoup de surprises. Mais une chose est sûre, c'est que nous les humains à côté, nous sommes presque insignifiants, beaucoup trop faible par rapport à eux, c'est aussi dans notre nature. Mais c'est surtout à cause de notre éducation, de nos mœurs et valeurs. Tout cela, je l'avais appris lors de mon apprentissage avec Mononoke et les loups. J'avais vécue plusieurs années dans la nature en leur compagnie et j'avais appris énormément de choses et ceci en particulier. J'étais donc bien placé pour lui expliquer.

Je lui fis un sourire de nouveau. Sa question ne m'étonnais guère. Finalement, il n'avait pas l'air si méchant ce petit Ayano. Il me paraissait de plus en plus sympathique, bien que son attitude resta un mystère pour moi et qu'il paraissait malgré son sourire et sa petite voix toujours aussi froid. Au fond, j’espérais qu'en discutant, il soit moins renfermé car c'était assez pesant de sentir ce malaise inexpliqué, quelque chose qu'il renfermé au fond de lui. Je tourna mon visage vers lui, le regardant dans les yeux, essayant d'obtenir quelque chose par son regard tout tentant de desceller un sentiment, quelque chose, n'importe quoi ...

« Tu veux savoir ce qui m'amène ici ? Et bien, c'est simple … Je suis née à Yuki et avant d'arriver à Kumo j'ai vécu pendant plus de deux ans avec mon maître dans la nature en quelque sorte et avec des loups. J'apprécie de temps en temps me retrouver ici pour me retrouver, me souvenir de ces moments-là. Je peux réfléchir tranquillement, cela peut paraître vilain un paysage comme ça. Mais si on regarde bien on peut y apercevoir de très belles choses crois moi. Il suffit de prendre le temps de regarder de plus prêt. Et toi ? Que fais tu ici ? »

©Naruto Sensou

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I'm hungry, come here little dog.

Ce regard, il avait changé du tout au tout, passant du méprit à la bonté la plus pure qui soit, néanmoins je préférai rester sur mes gardes, pour la simple et bonne raison que je ne la connaissais pas, mais elle non plus ne semblait pas connaitre mon histoire, j’en conclus donc que son précédent regard n’était pas du à ma personne mais à mon geste envers l’animal que j’avais torturé pour le simple plaisir de mes recherches personnel, mais après mon explication j’attendais une réaction brutale une réaction piquante digne d’une furie mais il n’en était rien, elle était justement plus douce encore comme si elle souhaitait m’apprendre quelque chose, comme si malgré son ressenti elle voulait me démontrer que l’homme était inférieur à l’animal, je pensais certes la même chose mais je pensais être le seul dans se cas et le faite de rencontrer une personne comme celle-ci ne fit que de me combler, intérieurement j’étais heureux mais je ne savais comment montrer ce sentiment, j’avais toujours caché mon mal être derrière un masque. Alors comment montrer un véritable bonheur ? Je ne le savais pas mais instinctivement mon visage changea et laissa apparaitre un petit sourire plus que mignon, un véritable sourire cette fois pas une imitation comme j’avais coutume d’utiliser, et cela devait sans doute se ressentir. Mais lorsqu’elle eux fini de parler, elle reprit très rapidement pour répondre à ma dernière question, en effet, elle était capable de voir la beauté de cet endroit malgré les autres alentour, un profond respect s’installa en moi mais je ne savais pas comment l’exprimer et encore moins comment lui faire comprendre c’est pourquoi je me mis à sourire béatement puis répondre avec une voie douce et sincère.

« Je vous remercie Kaori San, grâce à vous je suis sure que je ne me trompai pas sur les animaux, mais les visions des gens étant tellement différente je ne savais plus quoi penser, grâce à vous j’en suis sure, nous avons tout à apprendre d’eux. »

Je ne savais en revanche pas quoi répondre quant à son observation du lieu où nous étions celui-ci était l’un des plus beaux, nous offrant une vision du village unique et simplement magnifique les jeux de lumière offrant un panorama plus qu’unique. J’étais émerveillé par ce lieu mais cela personne ne le savait tous pensaient que je n’aimais que la mort et les ténèbres. Alors qu’en réalité il n’en était rien, j’aimais la solitude et les lieux magiques ce que je n’arrivais pas à expliquer ma solitude me poussant à ne jamais m’ouvrir aux autres. Mais elle arrivait à me faire changer d’une façon que je ne m’expliquais pas, c’est pourquoi malgré un petit malaise je me mis à dire sans en comprendre la raison.

« Ce lieu est réellement magnifique surtout lorsque le soleil se couche la lumière nous offre un paysage sans nul pareil mais elle nous montre aussi que ce village est peuplé de gens aimant, on y aperçoit un endroit ou bon nombre de couple se rende et danse, ce que je trouve superbe, jadis mes parents s’y rendaient. Tous les deux jours ils me laissaient avec la voisine et s’y rendaient moi en cachette je venais me réfugier ici pour les observer et les admirer, ils étaient mes modelés me montrant la vie que je souhaitais du moins en ce temps, aujourd’hui je cherche à comprendre pourquoi la vie est ainsi pourquoi est-elle cruel envers les gens méritant le bonheur. »

Elle allait sans nul doute comprendre pourquoi j’étais aussi froid, je n’avais pas été direct mais mes propos laissaient comprendre que mes parents avaient été assassiné ou du moins qu’ils étaient mort, et moi du haut de mes dix ans j’avais du combler un vide et pour moi le seul moyen était le sadisme préférant cacher mes véritables sentiments sans jamais flancher, du moins jamais jusqu’à aujourd’hui et sans comprendre elle avait réussi à me faire dire ce que j’avais toujours caché, la mort de mes géniteurs n’était pas un secret mais mes sentiments eux l’étaient comme si un voile obscure était venu cacher mon âme comme ci celle-ci souhaitait disparaitre dans le néant de ma cruauté naissante, je n’avais aucune attache aucun moyen de faire comprendre aux gens mon profond sentiment de solitude, un savant mélange de tristesse et de haine, donnant naissance à un être sans cœur et sans scrupule. J’étais un enfant facilement maniable qu’on pouvait aisément changer avec les bons propos malgré le fait que je semblais déjà bien structuré. Kaori était-elle la femme capable de reprendre le flambeau de mes parents ? De m’apprendre ce que mes parents n’avaient pu m’apprendre avant de disparaitre sans laisser de trace ?

©Naruto Sensou

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Leçon de vie

Je fermai les yeux, profitant des rayons du soleil qui venaient réchauffer mon visage. Je me sentais plutôt bien alors je me mettais à l’aise. C’était une belle journée aujourd’hui, particulièrement chaude. Pour moi, chacune de ces journées étaient comme une découverte, comme si cette chaleur je la vivais pour la première fois. Le matin je me réveille et une nouvelle aventure commence. C’est comme cela que je vois ma vie, car je sais très bien que cela ne sert à rien de vivre la vie comme une horloge, c'est-à-dire bien réglé, savoir ce qu’on fait à chaque instant. Je n’aime pas ce genre de vie. Je pense que la vie nous réserve plein de surprise et que les choses ne se passent jamais comme prévu. Ainsi, je vis ma vie au jour le jour, attendant de voir ce qu’elle me réserve et qu’elle serait la découverte du jour. Aujourd’hui, la surprise était cette nouvelle rencontre avec ce jeune Ayano Kichi. Je ne pensais pas rencontrais un genin surtout à cet endroit là où le paysage aux yeux de beaucoup n’avait rien de vraiment particulier. Mais lui et moi, nous le voyons autrement. Je lui souriais. Cela m’étonnait de voir quelqu’un qui ressentait la même chose que moi à propos de ce lieu. En l’écoutant, j’avais l’impression que cet endroit représenté beaucoup de chose à ses yeux et pas n’importe quoi. Malgré son sourire et ce sentiment si doux qu’il avait l’air d’éprouvé en se trouvant ici, dans sa voix et dans ce qu’il me disait, je ressentais beaucoup de tristesse. Je compris rapidement que quelque chose de tragique était arrivé. Il semblait joyeux en parlant de ses parents, mais on pouvait ressentir que quelque chose derrière était là en revanche, beaucoup moins heureux.

Était ce seulement un mauvais pressentiment ? Ou est ce quelque chose s’était réellement passé ? Je ne savais pas si je devais aborder ce sujet là ou non … Cela me bouleversée. J’étais soudainement devenue mal à l’aise à côté de lui. Comment un enfant aussi jeune, d’à peine une dizaine d’années, pouvait-il avoir vécu une chose aussi horrible que la perte de ses parents ? La vie me parut vraiment injuste et cruelle. J’étais subitement enragée contre elle au fond de moi, me disant qu’au final c’était toujours pareil. On devait toujours vivre de douloureuses épreuves et souffrir, et vous appelez ça une vie ? Si c’est cela, à quoi bon vivre et espéré un jour toucher du bout des doigts le bonheur pour que quelques instants plus tard tout tombe comme un château de cartes et s’efface pour souffrir encore et encore … C’était vraiment énervant … Mais je me posais beaucoup de questions. Qu’avait bien t-il pu se passer pour que ce petit homme perde ses parents ? J’étais curieuse de connaître son histoire, mais je ne voulais pas que cela soit déplacé envers lui ou même que cela soit trop dur de repenser à ses mauvais souvenir. En même temps, je me disais que si il abordait le sujet, au fond c’est qu’il avait peut être besoin d’en parler ? Alors, c’est avec beaucoup de douceur et de tact, mais hésitante malgré tout que j’essayai d’entamer la conversation et de creuser un peu plus son histoire :

« Ces souvenirs que tu évoques ont l’air très beaux en tout cas … Tu es né à Kumo alors si je comprends bien ? Mais si je peux me permettre, pourquoi dis tu jadis..? »

©Naruto Sensou

» it always hurts my heart to melt a good-looking guy… But you’re going to have to die.