Dépaysage. [PV San Mizuke]

LE DÉPART

Cette après-midi était une après-midi plutôt basique qui faisait parti du train-train quotidien de Kuragari. Ce jour là, le soleil brillait comme à son habitude sur le village de Kumogakure no satô, bien qu’il commençait à se cacher derrières les pics immenses qui bordaient ce magnifique village.

En cette magnifique journée, le Shinobi aux cheveux noirs de jais eut une soudaine envie de voir du paysage. Il pensa directement à aller traîner aux abords d’Iwagakure no satô, le village caché de la Terre. Il avait déjà pu voir des Ninjas ayant comme affinité le doton, et il espérait bien qu’Iwa soit rempli de créations en tout genre faites à partir de ce type de Jutsus.

C’est ainsi qu’il se prépara, pris ses armes –eh oui, on ne sait jamais…- et tout ce qui allait avec, puis se mit en direction du pays de la Terre.

Il marcha pendant de longues heures, puis, lorsque l’astre brillant commença à échanger sa place parmi les étoiles sa fidèle amie qui n’est autre que l’astre brillant de la nuit, la Lune, décida de choisir un endroit calme et assez bien dissimulé afin d’éviter tous contacts hostiles. Après deux bonnes heures à méditer sur ce qu’il pourrait bien faire le lendemain, une fois arrivé sur les lieux de son expédition. Durant son sommeil, Kuragari rêva de cette nuit fatidique… De tout ce qu’il s’était passé avant aussi… De toutes ces années de pur bonheur qu’il vécu avec sa famille réunie…

Le lendemain matin, le Kumojin se réveilla lorsque la plus grosse et chaude étoile vint caresser ses paupières encore endormies. Il se leva d’un coup, et s’étira pendant une bonne minute. Il chercha des fruits à manger à proximité, car il était hors de question qu’il ne se remette en route le ventre vide ! Ah ça non, sa mère le lui avait bien dit ! « Ne pars jamais le ventre vide, Kuro-chan ! Tu te sentirais horriblement mal et tu pourrais tomber dans les vappes, ça peut être très dangereux, tu sais ! » En repensant aux paroles de sa mère bien aimée, le Chûnin devint nostalgique durant tout le reste de son périple, et, de temps en temps, une larme s’égara le long de ses joues afin de mourir au creux de ses lèvres.

Après plusieurs heures de marche, le guerrier finit par apercevoir l’entrée du village d’Iwa. Bien qu’il mourrait d’envie d’aller voir à l’intérieur, il ne voulait pas s’attirer d’ennuis en entrant directement comme ça, sans personne. Il décida alors de se balader aux alentours du village, dans « Les Rocheuses », comme ils appellent ça chez eux.

Il erra les deux prochaines heures dans ce magnifique endroit que sont les Rocheuses. Il se promenait tranquillement entre les pierres, l’herbe et les fleurs lorsqu’il vit quelqu’un au loin qui cueillait des fleurs.

« Sûrement une Shinobi spécialisée en Irou-jutsu… » Pensa-t-il tout haut, ayant remarqué les bocaux qui trainaient à côté d’elle, ainsi qu’en espérant qu’elle ne l’ait pas entendu. Il continua sa route vers le jeune femme, tout en faisant semblant d’avancer un peu au hasard, afin de ne pas paraître louche aux yeux de l’alchimiste.

Invité

Fait chier. Ca fait quoi ? Deux jours ? Et déjà plus rien ! Mais il n’y a jamais rien à récupérer dans ce pays de merde aussi. Pour aller chercher les plantes, v’la le chemin à faire. Alors c’est reparti. Après avoir craché toutes les insultes qu’elle connaissait, San attrapa d’un geste brusque une petite cape sur une chaise et sortie de chez elle en claquant la porte… Avant de se souvenirs que son frère dormait à l’étage. En espérant qu’elle ne l’ait pas réveillé… Bah de toute façon il ne disait jamais rien. Elle n’était même pas sure qu’il l’aime vraiment en fait. Enfin, si… Mais pas autant qu’elle le voudrait. Il était toujours calme, trop souvent silencieux… Trop semblable à leur père. La violence était là aussi… Pas envers elle, heureusement, mais elle évitait de trop hausser le ton devant lui. Pas qu’elle avait peur de lui, mais son regard… Froid, pénétrant, menaçant. Il n’avait rien besoin de dire en fait. Il suffisait d’un regard et elle baissait les yeux. Allez savoir pourquoi… Son frère est la seule personne devant qui elle se plie sans trop, voire pas du tout, de résistance. Bref !

Et vas-y qu’on se retape la montée des rocheuses. Elle s’écorchait les mains, elle manquait plusieurs fois de se ramasser et le risque de faire une roulade jusqu’en bas était omniprésent, mais tant pis. Elle devait retrouve les herbes qui lui manquaient sinon elle ne pourrait jamais mettre un terme à ce poison qu’elle tentait de créer depuis maintenant plusieurs semaines. D’ailleurs elle allait commencer à être à court de cobaye… Et courir après les rats du village commençait à la saouler, mais royalement quoi. Il faudrait qu’elle trouve une personne qui accepterait de servir de souris de laboratoire. Quelqu’un de fort qu’elle paierait pour qu’il prenne le risque de crever du mélange de ses plantes… Un sourire léger s’installa sur ses lèvres à cette pensée. Personne n’était assez fou pour accepter ça.

Enfin, et au bout de plusieurs longues minutes de marche ardue, San arriva en haut des rocheuses. C’était là, dans cet endroit où seule une végétation des plus fortes pouvait pousser, qu’elle trouverait ce dont elle avait besoin. Cette fois, elle n’avait pas oublié de prendre son katana et il pendait à sa ceinture, bien visible. Elle a souvent été attaquée par des bandits ici, trop souvent désarmée d’ailleurs. Donc maintenant elle prenait bien garde à ne pas sortir sans son arme. A la limite, pour quelques bandits, elle n’en avait pas besoin. Mais c’était plus fatiguant et plus long de leur faire peur à mains nues. En voyant une lame comme celle qu’elle portait à sa taille, les hommes s’y prenaient à deux fois avant d’attaquer. Donc elle s’abaissa pour commencer à ramasser les premières herbes qui lui tombaient sous la main, au hasard. Elle ferait le tri plus tard… Là, elle n’avait qu’une envie, repartir chez elle. Rentrer et se remettre à son travail. La cueillette, dans tout ça, c’est ce qu’il y avait de plus chiant. C’est pour ça qu’elle ne triait pas sur place d’ailleurs, ça lui faisait perdre du temps. Elle préférait largement faire ça sur la table de son laboratoire, qui d’ailleurs était en bordel comme pas possible. Des bonbons et des gâteaux étaient mélangés aux herbes qu’elle utilisait pour ses poisons et autres décoctions et plus d’une fois elle avait failli s’empoisonner elle-même en ne faisant pas attention à ce qu’elle attrapait. Métier dangereux… Mais elle aimait ça. Bref.

Elle avait ramassé maintenant un bon paquet de mauvaises herbes et de bonnes plantes lorsque des pas lui firent tourner vivement la tête. Elle posait alors ses yeux sur un jeune homme avec le bandeau de Kumo. Qu’est-ce qu’un Kumojin faisait aussi loin de son village ? Et le pire, c’est que ce bougre prenait un air innocent, comme si il n’avait pas vu qu’elle était la et comme si elle n’allait pas le remarquer. Y a marqué « quiche » sur son front ? La jeune femme se redressa lentement, posant une main sur le pommeau de son katana avec une méfiance bien à elle. C’est fou ce qu’elle a horreur des étrangers… A chaque fois qu’elle rencontre un inconnu, elle finit par avoir des problèmes. Alors pourquoi celui la serait-il différent ? Elle gardait le silence, obstinément, simplement la main sur son arme, observant chaque geste de l’homme qui lui faisait face. Chaque détail avait son importance et le moindre geste du Kumojin pouvait être interprété comme hostile aux yeux de la jeune femme. Elle n’était pas de nature offensive de toute façon… Mais autant rester sur ses gardes.

Que fais-tu si loin de ton village ? Demanda-t-elle d’une voix profondément cassée, naturelle. Neutre.

UNE RENCONTRE AU PAYS DE LA TERRE

Alors que le Shinobi s’avançait tranquillement et d’un air innocent en direction de la jeune femme, celle-ci se retourna d’un coup et se leva comme une trique. Celle-ci eut comme premier réflexe le réflexe de poser sa main sur son sabre, prête à dégainer à tout moment. Kuro n’avait pas intérêt à faire le con, sinon ça pourrait mal se passer… La jeune femme le toisa du regard tout en l’observant quelques temps, tout en épiant le moindre de ses mouvements. « Humpf… Elle a du se faire attaquer un bon nombre de fois pour être aussi méfiante dès qu’un étranger se pointe… » se dit-il intérieurement. Après quelques instants de pur silence, la Shinobi rompit le silence afin de demander qui était le nouveau venu.

Kuragari ne répondit pas tout de suite. Il inspecta la jeune demoiselle. Celle-ci était plus petite que lui, et avait son sabre qui pendait le long de ses fines jambes. De plus, elle avait des longs cheveux. Et elle était plus maigre que Kuro, fallait l’avouer. Bref. C’était pas le même gabarit. Le Kumojin rompit à nouveau le silence de marbre afin de répondre à sa question.

« Humpf… Eh bien… Je m’appelle Misatachi Kuragari. Je suis un Chuunin de Kumo. Pourquoi cette question… ? Bon allez, je ne suis pas spécialement d’humeur massacrante aujourd’hui, je vais donc répondre à tes petites curiosités féminines. Je suis ici parce que… J’avais envie de voir du paysage. Pourquoi Iwa ? Lui demanda-t-il à son tour, puis il patienta quelques secondes avant de reprendre. Parce que j’avais déjà vu des Shinobis maitrisant le Doton, et je trouve que ce type de jutsu peut faire de magnifiques choses en bois, tu comprends ? Et donc, je me suis dirigé vers ton village, Iwa, situé au pays de la terre, en ayant une once d’espoir de voir des créations faites à partir de cet élément. »

Il la fixa dans les yeux. Un regard noir. Un regard noir qui se voulait intimidant. Le Chuunin provenant de Kumo espérait qu’en l’intimidant ainsi, il la dissuaderait d’ôter ses mains de son katana pendouillant suivant le même axe que ses jambes.

« A moi de te poser des questions maintenant. Il ne lui laissa pas le temps de dire quoi que ce soit. Qui es-tu ? Et que fais-tu dans un endroit aussi dangereux ? Tu n’as pas peur de te faire attaquer par des Ninjas malveillants, toi qui doit être spécialisée en Irou-jutsu, vu toutes les plantes dont tu fais la cueillette. » Lui demanda-t-il avec un ton neutre, bien qu’il se voulait autoritaire avec la jeune médecin.

Il la regarda avec attention en attendant les réponses aux questions qu’il venait de poser. Il la trouvait pas si mal que ça en fin de compte… Bien qu’elle ressemblait énormément à sa mère. C’est peut-être pour ça qu’il se trouvait un peu attiré par elle… Non. Il devait tout de suite effacer ça de son esprit. Il était hors de question qu’il éprouve n’importe quels autres sentiments en dehors de l’amitié pour cette femme. Même si elle ressemblait à sa mère. Il n’avait pas le droit. Il ne devait pas. Sinon, ça finirait mal. Très mal. Pour lui ou pour elle, ça, il n’en savait trop rien…

Invité

Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre un voyageur égaré pas vraiment égaré. D’un côté, ce kumojin n’avait rien à foutre ici, de l’autre, s’il avait envie de voyager c’était son droit. Avec la guerre en approche, c’est vrai que les villages étaient plutôt « pacifistes » - entre gros guillemets – entre eux, mais faut pas venir chercher la petite bête non plus quoi. Donc il en profitait, ok, mais il était un peu trop prêt au goût de la jeune femme qui le toisait de bas en haut, sans lâcher son katana. Le regard noir du jeune garçon, au lieu de la convaincre de lâcher son katana, ne fit qu’amplifier la prise que sa main avait sur l’arme. La jeune femme l’observa en silence pendant qu’il se présentait. « Ces petites curiosités féminines » … ? Non mais il sort d’où celui-là ? San haussa un sourcil, genre « boulet », qu’elle pensa si fort que son interlocuteur avait une chance d’entendre. Elle relâcha lentement son arme, la voix douce du garçon contrastant avec l’air méchant qu’il essayait de se donner, et un léger sourire un coin s’installa sur les lèvres du médecin. Un sourire un rien moqueur, un peu tendre aussi. Un gamin en voyage qui tentait de découvrir le monde par lui-même, c’est tout… Rien de plus, rien de moins. Il n’avait rien de terrifiant mais elle restait méfiante quand même. Tout du moins, elle lâcha peu à peu l’emprise de son katana pour finalement croiser les bras sur son ventre en l’écoutant parler, sans lâcher ce petit sourire sur les lèvres. C’était visible, c’était compréhensible, c’était franchement voyant même pour un aveugle, elle se foutait de lui. Et royalement. Quand, enfin, il finit son spitch, la jeune femme se permit à prendre la parole.

Et bien tu n’es pas prêt d’en voir alors. Pas que je ne veuille pas, mais je ne maitrise pas cette affinité. Et tu ne rentreras pas dans le village. Donc la question est réglée.

Elle ramasse le panier d’herbe qui était prêt d’elle pour s’éloigner, et s’arrêter un peu plus loin, alors qu’il posait milles et une questions chiantes. Elle écoutait ses paroles en silence, retenant chaque question dans un coin de sa tête pour pouvoir y répondre. N’empêche que l’interrogatoire lui tira un soupire d’agacement. Pourquoi est-ce que quelqu’un maitrisant l’Iroue serait moins dangereux que quelqu’un d’autre ? Parce que les gens ne voient que ce qu’ils veulent voir. Il a remarqué les plantes, il a remarqué le katana, mais l’herbe a primé. Alors que si ça se trouve les herbes sont juste là pour la soupe de ce soir et qu’elle est une experte de la mort qui tue en Kenjutsu. Ce qui… N’est pas le cas, faut avouer. Mais ça n’empêche pas qu’elle n’est pas sans défense, bordel ! Bref. Elle secoua la tête légèrement en soupirant – une fois de plus – et se redressa pour se tourner vers le jeune homme, laissant le panier de plantes à terre.

Bien. Apparemment je ne suis pas la seule à avoir une « curiosité féminine », rétorqua-t-elle d’une voix moqueuse. Je me nomme San. Oui, juste San, elle n’allait pas lui donner un point gps de sa position non plus. Je suis Juunin au village que tu vois derrière là, Iwa, rajouta-t-elle avec un ton qui s’annonçait légèrement dédaigneux et qu'elle ne tentait pas de cacher. C’est tout ce dont tu as besoin de savoir.

Sur ces mots, elle approcha du jeune homme et posa doucement sa main en dessous de son cou… Pour y exercer une légère pression pour simplement le pousser un peu. Elle s’accroupit, releva une fleur doucement sur laquelle il marchait avant qu’elle ne l’y sépare et la cueillit, avant de la mettre dans son panier. Elle se redressa et posa son regard amusé sur le jeune homme avant de regarder le village. Elle avait totalement lâché son katana.

Tu devrais t’éloigner. Iwa n’aime pas les étrangers. Elle plongea son regard dans celui de l’inconnu. Et moi non plus.

Sur ces mots, elle lui tourna le dos pour se diriger vers le chemin qui la ramènerait au village. Si Misa ne la retenait pas, bien sûr.

UNE HOSTILITÉ PAS SI HOSTILE QUE ÇA

Le Kumojin exerçait toujours son regard noir afin de faire pression sur la jeune et belle femme, sauf que cela n’eut pas exactement les effets escomptés par le jeune Kumojin. La jeune femme resserrait de plus en plus son étreinte sur le Katana, puis elle finit par reculer de quelques pas, tout en haussant un sourcil suites à la série de questions que le Kumojin venait de lui poser, et elle lâcha enfin son arme. Elle lâcha un petit sourire au passage. Un petit sourire moqueur, mais doux. Mais moqueur. Mais doux, et c’était ça le principal. Elle ramassa alors son panier rempli d’herbes et de plantes en tout genre. Une fois que Kuro eut fini de parler comme un moulin à paroles, elle lui répondit, d’une froideur plutôt surprenante pour une femme. Elle lui assura que le Shinobi maitrisant le Raiton ne risquait pas de voir des constructions faites à base de Doton ici. Ce n’était pas contre son grès, comme elle le disait, mais elle ne maitrisait pas cette affinité. Comme il l’avait remarqué, elle maitrisait l’Iroue. Puis, de toutes façons, elle ne le laisserait pas entrer dans son village, ça c’était clair, net, précis et embarquer.

Quelques temps après, elle arrêta de le toiser de haut en bas, puis lui rétorqua avec une voix quelque peu sournoise qu’elle n’était pas la seule à avoir une curiosité féminine, comme il l’avait si bien dit quelques minutes auparavant. Mais elle lui répondit tout de même, bien que sa réponse fut on ne peut plus dédaigneux. Elle lui donna alors son prénom, mais juste ça. Elle s’appelait San.

« C’est un beau prénom, je trouve… » Lui répondit le Kumojin, pensant que ça allait la déstabiliser.

Puis elle reprit son speech. Elle montra son village du doigt, et Kuro regarda dans la même direction. Elle lui présenta le nom de son village, Iwa, et lui indiqua qu’elle était Juunin, puis elle finit par couper court au dialogue en lui faisant remarquer que c’était tout ce qu’il devait savoir. Une fois les discussions finies, elle s’approcha du Chuunin et posa délicatement sa main en dessous de son cou. Kuro pensait que cette jeune femme était bien entreprenante après une conversation un peu hostile, mais il se trompait… Elle exerça une légère pression à ce niveau du robuste et grand du Kumojin afin de le faire reculer. En effet, il marchait sur une délicate petite fleur qui n’avait rien demandé. San la cueillit sans se préoccuper de Kuragari, puis elle la posa doucement dans son petit panier en osier. Quand elle se redressa, elle lâcha un petit sourire sans s’en rendre compte, puis elle regarda Misatachi droit dans les yeux, sans broncher. Kuro en profita pour admirer ses magnifiques yeux. Ils étaient d’un bleu éclatant, un peu comme les magnifiques yeux de chats. Il se souviendrait de ces yeux toute sa vie, il s’y sentait comme… Absorbé… Il espérait de ne pas être tombé amoureux… Sinon, ça allait vraiment l’emmerder, ces conneries…

L’Iwajin, tout en le regardant dans les yeux, sourit à nouveau. Elle venait sans doute de s’apercevoir qu’elle avait lâché son Katana. Elle ne le lâchait pas du regard, mais elle finit par ajouter un truc comme quoi Iwa n’aimait pas les étrangers, ou un truc du genre. Kuro était tellement absorber dans son regard merveilleux. Lorsqu’elle se retourna d’un coup sec afin de rentrer au village, Kuro sorti de sa torpeur. « Gné ? Qu’est-ce qu’elle vient de dire au juste ?! ». Lorsqu’il s’aperçut de la direction qu’elle prit, il décida de la rattraper. Il voulait parler d’avantage avec elle. De plus, elle lui rappelait énormément sa mère…

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