Naruto Sensou
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 Sinistre éternité...[Liluu]

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Akasuna no Sasori
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Akasuna no Sasori


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MessageSujet: Sinistre éternité...[Liluu]   Sinistre éternité...[Liluu] EmptyJeu 13 Déc - 18:50

Voilà plusieurs semaines que je bouge...je bouge régulièrement, alternant entre plusieurs tanières obscures où personne ne viendra jamais me chercher. La guerre fait rage et je trouve assez amusante la tournure que prennent les choses. L'être humain est suffisamment vaniteux pour s'autodétruire lors de guerres ninjas de cette sorte...grand bien lui fasse. Akatsuki a éclaté au grand jour alors que nombre de ses membres sont tombés au combat...détail intéressant quand on considère que la plupart des membres de l'Organisation ont été ressuscité et remis en service par Edo Tensei, la technique de Yakushi Kabuto. Instinctivement, on aurait pu penser que d'être réincarner par un gamin qui fut mon espion m'aurait quelque peu énervé ou vexé...mais il n'en est rien, je ne ressens plus rien depuis ma transformation et j'ai toujours jugé les sentiments inutiles...dans ce cas là ils ne m'auraient pas été plus utiles...la seule chose qui importait était le corps que je venais d'acquérir...en effet, Edo Tensei conserve les corps d'origine et j'ai trouvé le mien tellement dégoûtant que je m'en suis débarrassé pour me procurer un nouveau corps de marionnette...ce dernier ne me trahira jamais. Si j'étais connu auparavant pour ma brutalité et mon talent, je me suis vite rendu compte qu'au sein d'Edo Tensei, mes compétences martiales étaient banales en comparaison avec les autres shinobis réincarnés. Cela aurait probablement pu me toucher en d'autres circonstances, mais pour le moment je dois me concentrer à récupérer ma collection. Cette collection...je l'ai retrouvé meurtrie dans les ruines du repaire d'Akatsuki où la vieille et Sakura m'ont défait...elle n'était que débris et pantins brisés...du gâchis assez décevant, mais j'ai réussi à récupérer une partie des marionnettes, Hiruko et le Sandaime dans le lot. Etrangement, je n'ai pas retrouvé de restes de mon corps, ce dernier ayant probablement été emporté par un ninja désireux de pouvoir...cela n'a pas vraiment d'importance, je me suis fait un nouveau corps, identique à l'ancien et avec les mêmes fonctionnalités. Voilà encore un point que ninjas standards ne comprendront jamais...le caractère éternel de mon oeuvre, une oeuvre qui se transmet dans le temps et marquera à jamais les générations...l'école du Rouge, l'Hitokugutsu...le marionnettiste n'est pas simplement celui qui tire les ficelle, il est également un des acteurs principaux de son art, un Art particulièrement incisif puisqu'il m'a permis d'arriver à un tel niveau de contrôle de mes marionnettes que je peux, grâce à mon corps synthétique, en contrôler plusieurs centaines à la fois. Quoi qu'il en soit, la première étape de mon retour fut la réparation d'Hiruko...une réparation qui dura plusieurs jours continus de travail, les mécanismes de cette marionnette étant particulièrement complexes et fins...pas à la portée de tout le monde, une oeuvre qui permet d'ailleurs de prendre une apparence nouvelle aux yeux de tous...un avatar pour tromper mes adversaires et aussi une arme redoutable imbibée de poison.

J'ai rejoint une petite cabane de bois à la frontière du Pays du Vent, dans une zone où la forêt est dense, proche du Pays du Feu, un lieu isolé dans lequel je venais lorsque j'étais au début de ma cavale. Un lieu paisible et propice au travail...une cabane que j'ai construit moi-même et qui me sert aujourd'hui de refuge. Je ne suis pas encore prêt pour combattre, Kabuto le sait probablement et c'est d'ailleurs pour cela qu'il me laisse me cacher pour réparer mes créations. Un marionnettiste n'est rien sans ses marionnettes, c'est sa principale faiblesse...faiblesse que, pour ma part, j'ai compensé depuis longtemps en transformant mon propre corps en une oeuvre si parfaite et si édifiante que j'ai pu conserver un corps à l'abri du vieillissement et complètement détaché du temps. Le temps...mon vieil ennemi, c'est pour cela que j'ai toujours détesté attendre et faire attendre, toutes ces précieuses secondes pouvant être utilisées à meilleur escient. Malheureusement pour moi, je suis obligé d'attendre avant de dévoiler mon Art à toutes cette masse grouillante et inutile de ninjas qui s'attachent au concept de leur Alliance, cherchant à se débattre pour éviter des faits inéluctables. Les concepts et les certitudes s'effondrent, une crise foudroie le monde ninja et mon détachement m'a depuis longtemps mis à l'abri du remord ou du regret, c'est donc avec un regard amusé que je regarde tous ces gens s'agiter. Il est évident que j'ai rejoint Akatsuki, je ne suis donc pas totalement neutre dans cette guerre...mais après tout, le choix d'Akatsuki est purement égoïste, c'est cette organisation qui me permet de pratiquer mon Art sans limite, et celle là qui a eu de la reconnaissance pour la raison pour laquelle je combats...après tout, comme le disait Pain, l'ancien leader d'Akatsuki, nous avons tous des raisons pour nous battre. Pour moi, c'est tout simplement un état d'esprit, je me bat pour tester mes adversaires et sélectionner ceux que je sublimerai sur ma table de travail...les débarrassant de leur humanité nauséabonde. C'est presque un service que je leur rends, les débarrassant de tous ces sentiments inutiles et envahissants. Ma tête est peuplée de ces pensées alors que je m'affaire au travail.

L'intérieur de la cabane est faiblement éclairé par plusieurs bougies dont la couronne de cire en dit long sur le temps durant lequel elles ont été allumées. Pour ma part je me trouve au centre de la salle, face à une table de bois sur laquelle repose Hiruko...ma marionnette inanimée. Un bruit incessant et répétitif de clef vissant des boulons retentit. Je travaille en silence, assemblant chaque pièce, remettant chaque détail à sa place. La perfection de mon travail a quelque chose de rassurant...chaque chose prend sa place, tout est réglé au détail près...permettant ainsi d'assembler des créations efficaces et totalement vouées à la représentation. J'ai revêtu la cape traditionnelle d'Akatsuki : noire avec des nuages rouges cerclés de blanc...étranges motifs auxquels je me suis attaché, pas par esthétisme mais principalement car sa vue suffit à insuffler la terreur à n'importe quel ninja l'apercevant. Mes longs cheveux rouges tombent autour de mon visage poupin...aucune ride, aucune imperfection, on pourrait presque me prendre pour un enfant si je n'étais pas en train de réparer un cadavre que j'ai transformé en marionnette...ce corps a beau être en total décalage avec mon statut de criminel international, c'est comme ça que je le trouve convenable...il est si parfait...si efficace, la personnification de mon Art. Le temps n'a aucun moyen de pression sur moi, je ne me fatigue pas, je n 'ai pas de tristesse ni de lassitude, je travaille pendant des heures. Sous les pans de ma cape, on peut apercevoir mon pantalon gris se terminant par des guêtres blanches et des sandales ninjas bleus laissant apparaître des ongles soigneusement peints de cyan. Je n'ai pas rompu avec les coutumes d'Akatsuki et mon corps synthétique ne fait pas apparaître les caractéristiques propres aux Edo Tensei...en fait je suis la réplication parfaite de ce que j'étais avant...le fondateur de l'école du Rouge...un puissant utilisateur de techniques interdites. La décoration de la pièce est sommaire mais des planches sont posées sur des tréteaux contre les murs, de nombreux pantins sont disposés en vrac sur ces derniers, pour la plupart en pièces détachées...j'ai récupéré ce que je pouvais, je me suis simplement attaché à vérifier d'avoir récupéré Hiruko et le Sandaime, les deux joyaux de ma collection. Je travaille déjà depuis des heures et le crépuscule a enveloppé la petite maisonnette de bois avec son manteau d'encre noire...la scène a l'air irréaliste, un petit poupon de bois travaillant dans sa petite cabane. Sur un autre tréteaux, de la verrerie de laboratoire est installée sur un petit réchaud d'où s'échappent des flammes et une petite odeur de gaz...dans cette tuyauterie complexe constituée d'erlenmeyers, de réfrigérants à eau et d'ampoules se distille un liquide violacé inquiétant...une autre de mes création, un nouveau poison de ma création...plus puissant et plus mortel encore que tous ceux que j'ai pu élaborer avant...j'ai amélioré la formule, concoctant cette fois un puissant mélange d'alcaloïdes, de métaux lourds et de bêta-bloquants pour m'assurer de la mort de mes adversaires. Un bécher contenant quelques dizaines de millilitres de ce poison se trouve d'ailleurs à côté de moi, lentement, je saisi une poignée d'aiguilles et les trempe dans le poison avant de les fixer dans la bouche d'Hiruko...répétant la manipulation jusqu'à ce que la bouche soit totalement chargée en aiguilles. Dans mon antre, je suis le roi, le seul maître à bord, les coulisses d'une bien macabre représentation. Non, cette fois je ne me laisserai plus surprendre par des novices, j'ai appris de mes erreurs et ne compte pas les commettre à nouveau.

Alors que je suis en train de travailler, un détail attire alors mon attention...quasiment rien, mais un léger mouvement que je perçois dans mon dos. Ce n'est presque rien pour quelqu'un d'inattentif, mais pour un ninja...c'est un signe qui ne trompe pas...celui qu'un de ses semblables l'observe. Un sourire synthétique s'affiche sur mon visage et ma voix retentit.

« Plus la peine de te cacher...tu es déjà repéré... »

Je ne sais pas à qui je m'adresse mais si c'est bel et bien un ninja, il connait probablement Akatsuki et je pense que je serai directement identifié comme un criminel de classe internationale...mais cela n'a pas d'importance...je continue à travailler comme si de rien n'était...attendant que mon nouveau camarade se manifeste.
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Sinistre éternité...[Liluu] Empty
MessageSujet: Re: Sinistre éternité...[Liluu]   Sinistre éternité...[Liluu] EmptyVen 14 Déc - 9:14

Un ninja était mort. Suna portait un léger deuil comme ele le faisait quand la situation l'obligeait, mais au fond à qui cela importait-il vraiment, hormis quelques amis et peut être de la famille? Suna était un village patriotique certes , tout comme je l'étais... Mais il faut arrêter de se mentir. Contrairement aux ninja de Konoha pour qui l'amitié et les sentiments comme la joie , la convivialité et le bonheur de vivre ensemble étaient chose courante voire même obligatoire... ici ... à Suna , les gens étaient plus froids entre eux. En dehors des rares fêtes, vivre rimait avec survivre. Peut-être que le désert changent les âmes. Peu m'importait , je les regardais s'éparpiller comme des fourmis aux tâches prédestinées dans les flots de maison arrondis et replongeai mon regard sur la tombe. Pauvre petit gars. Même pas chunin... Dans un coin , sa mère pleurait. Cela me fit mal au cœur pour elle, mais je n'arrivais pas à verser de larmes. Non pas que je sois insensible à la chose, mais j'avais trop pleuré... Il arrive un temps où la barrière se met et où l'on ne trouve plus comment faire. Un automatisme de fermeture. Ma vie avait déjà son lot de fardeau bien suffisant. Ce n'était pas de l’égoïsme , juste un réalisme douloureux. Je ne pouvais pas aider toute la planète, et en plaignant les endoloris , on ne l'aide pas à faire son deuil, on ne fait que lui rappeler que l'autre est mort.

Mes yeux quittèrent la tombe quand mes doigts lâchèrent la fleur sur la pierre chaude. Le soleil allait se coucher. Je n'avais pas envie de trainer davantage ici. La proximité des esprits n'étaient pas une compagnie agréable, j'en préférais largement celle des vivants. Ils avaient au moins le mérite d'être chaud. Je m'éloignai sans un regard de plus, comme les autres, laissant la femme à ses larmes, ce qui l'incita aussi à partir. Il n'est pas bon de lutter contre les choses immuables. Ce gamin était parti , c'était certes une tragédie mais malheureusement , la guerre naissante allait en embarquer d'autres avec elle et ce jour là , ce jour où je finirai par me foutre en rogne , j'ose seulement espérer que les dieux me pardonneront de ne pas soigner les enfoirés.... Ma conscience me poserait un sérieux problème c'est sûr , mais les choix à venir s'annonçaient pénibles.

Ma main courut lentement sur les pierres ensablées de la récente tempête de sable et je fixai passivement les remparts. Quelques minutes me suffirent à bondirent jusqu'à leurs hauteurs vertigineuses, et les sentinelles me virent en redescendre pour poser mes sandales blanches dans le désert. un dernier regard derrière moi, un sourire à l'un d'entre eux qui commençaient à s'inquiéter , pensant certainement que j'avais décidé de venger le gosse. Non. Qu'il soit tranquille, j'avais juste besoin de marcher. Et puis venger de qui , où , comment? Il n'y avait qu'un imbécile pour se lancer tête baissée sas savoir juste pour tout défoncer. Je quittai Suna. Quelques kilomètres plus loin , assise au sommet d'une dune , j'invoquai doucement Zan'shi , dont le râle retentit sur les courbes sablonneuses. Toujours un pet de travers celui là. Comme si j'y étais pour quelques jours moi de ses siècles d'enfermement. Ce n'était pas moi qui avait trahi Suna mais mes ancêtres. Quand est-ce qu'il allait arrêter de m'en vouloir? Je croisai son regard et il comprit. pas un mot , il se coucha me laissant montre sur dos en tailleur et je le laissai me promener, au gré de ses envies, lui caressant lentement sa grosse carapace rouge , orné de signes blancs, son pacte avec les Ao'se et d'autres choses que je ne comprenais pas encore.

- Dis pourquoi j'accorde... autant d'importance à la vie... les gens semblent s'en moquer.....
- J'en sais rien , me dis pas ça, tu sais que je suis mal placé pour ne pas tuer qui que ce soit. Ces humains m'énervent tous. Ils sont presque tous stupides, égoistes et autodestructeurs. Tu veux qu'on en tire quoi...
- Je devrais faire quoi alors...
- Les laisser mourir.
- Hein mais t'es dingue ?
Mes poils s'étaient hérissés. Mais il est malade ce scorpion. Il veut buter tout le monde.
- Bah tu me demandes mon avis, j'te le donne. Tu rendrais service à l'humanité en laissant la sélection naturelle s'effectuer.

C'était cruel , mais parfois je me disais que ce grognon de scorpion avait raison... Pourquoi se battre pour des gens qui continuaient à se massacrer entre eux. Je faisais partie de Suna je le savais, mais j'aurais tellement de mal à laisser mourir quelqu'un en face....Je soupirai. La condition humaine était franchement un casse tête. Ils ne pouvaient pas régler tout ça comme des grands, sans détruire la moitié du continent ? Et filer des terres à ces nuages rouges là ? Si tant est qu'ils soient assez humbles pour accepter juste ça... Tout n'avait aucun sens mis à part faire couler un peu plus de sang.... Nous arrivions en bordure de désert après plusieurs heures de balade quand une lueur à la frontière m'interpella. De ce que je souvienne , jamais je n'avais eu vent d'un habitant ici.... Je descendis du scorpion qui partit faire son petit bazar dans son coin comme bouffer, et m'approchai lentement. Je n'étais même pas armée. A la belle affaire, t'es une warrior Liilu. Machinalement je me mordis la lèvre. Une petite cabane. Yeux plissés, sur mes gardes, j'avançais encore et me collai à la paroi pour regarder d'un œil rapidement par la fenêtre et là , mon cœur résonna un cœur plus fort. Mes pupilles se dilatèrent. Mon souffle se stoppa. Non. Impossible. Cette cape sombre, ces sigles.... L'Akatsuki. Ici? Mais c'était quoi ce bordel? Où était les autres. Cette tignasse routine, les gonds sur les articulations de ces doigts ... nom de... Sasori. Le Sasori? Merde.... Je me prostrai contre la paroi, le regard fixe sur l'herbe sous mes pieds. Toute de blanche vêtue , jupe courte, bas blancs, et un corset à sangles, je n'étais pas spécialement discrète ici. Je collai mon poing sur ma bouche, réfléchissant. On se calme. La panique ne mène à rien. Si je m'enfuis, il va me chopper et m'exploser, et je n'ai pas spécialement envie de mourir. Je ne suis pas non plus taille à l'affronter.

Et il est où ce con de scorpion aussi ! J'aurai pu m'en servir comme excuse. Mais bien sûr! Je me figeai et me mit une main sur le visage. Non mais là , si je fais ça, c'est n'importe quoi. Liilu , il t'manque une case. Inspiration. C'est le seul moyen si je veux repartir en vie. Je connaissais tout de sa légende. Brrr.... des pantins en plus, c'était le pire de l'akatsuki pour moi. J’avalai ma salive et me redressai. Je frottai mes mains sur ma jupe et expirai. Courage. Je contournai la maisonnette , serrai les dents. Il fallait que je m'excuse. Quoi ? T'excuser à un membre de l'akatsuki ? Mais t'as loupé une branche ma pauvre Liilu? Je toquai à la porte poliment , pour l'ouvrir , et passer la tête et une épaule.

- Euh ... pardon de vous déranger, je ne vous espionnais pas... je suis ... euh à la recherche de mon scorpion et je suis tombé sur votre.... *blocage en voyant tout ça* oh...

Et derrière bien sûr , qui voilà pas ? Zan'shi , qui accourt entre les troncs comme un bourrin en grondant sourdement :

- Ne t'approche pas de lui Liilu !!!!!!! J'arrive !
Regarde dépité soudain , et je lève les yeux au ciel , en me redressant , ouvrant la porte et me dévoilant en entière , puis je se retournai et fixai l'insecte de dix mètres qui vient de se coincer une pince dans un tronc de chène. Bah voyons. Aussi doué que sa maitresse celui là.

- Arrête de faire du bruit , il ne m'a rien fait de mal. Regarde! Tu casses des arbres en plus! Calme toi un peu tu veux.
L'insecte bloqua et fixa Sasori dans l'encadrement de la porte.
- Liilu , c'est un membre de l'Akatsuki! Les autres ne sont peut être pas loin!
- C'est ça , décoince-toi la pince et réfléchis deux secondes... Ça ressemble plus à un .... repère solitaire qu'au QG de l'akatsuki non? Tu vas arrêter un peu? Et puis ... si je m'enfuis , il me tuera c'est sûr... Autant faire connaissance... même si....

Je regardai calmement et gentiment Sasori dans la petite maisonnette , captivée pour tout ça , comme frissonnante d'effroi face aux pantins.

- Même si ça peut paraitre absurde ... ça vous gène que... je me joigne à vous...?

Ok , y'a pas un Ao'se qui veut ressusciter pour foutre une calotte derrière la tête de Liilu?Je me tenais en face du rouquin et l'observais sans crainte mais pas très fière non plus au fond de moi. C'était pas n'importe qui. A quelques mètres, Zan'shi observait bien Sasori , avec un air mécontent , sa queue ballotant très lentement de gauche à droite, prés à exploser la cabane au moindre mal fait envers ma personne. Dans un sens ça me touchait. Incorrigible ce Kuchi.
Zan'shi:


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