La guerre faisait rage -à cette époque- en dehors du village de Kumogakure no Satô. En effet, le monde Shinobi connu plusieurs grosses batailles, notamment l’attaque du plus fort et terrible des démons à queues, Kyûbi, celui qui possédait neuf de ces maudits suppléments de colonne vertébrale. Cependant, il n’y eût pas une seule et unique attaque sur le village caché de la feuiile. En effet, Nagato Uzumaki, actuellement Edo Tensei, attaqua ce village afin de choper Naruto Uzumaki, bien qu’il le battu rapidement avec son mode Senjutsu. Bien sûr, il y a eu d’autres lieux ravagés par les guerres, mais ces deux batailles sont les plus connues à nos jours. Bref.
Ce jour là, Kuragari se réveilla comme à son habitude, puis ouvrit les volets afin d’admirer le… De maudire le temps pourri qu’il aperçut : de la pluie, chose assez rare en ce pays situé aux pieds des montagnes de Kaminari. N’ayant pas spécialement envie de sortir, il s’habilla rapidement afin d’aller chercher à manger et à boire dans une épicerie située à quelques pas de chez lui, puis il rentra pour… Se faire à manger et lire dans son lit. Il mangea son délicieux plat de ramens comme un roi, puis il se coucha confortablement sous ses couvertures pour lire tranquillement.
D’ailleurs, cette tranquillité du dura pas plus de deux heures. Une saloperie de pigeon vint toquer à la fenêtre du grand Shinobi pour lui apporter un courrier, dont le destinataire était un parfait inconnu du Village des Artisans. Cette lettre disait que ce parfait inconnu tenait absolument à voir le jeune descendant des Misatachi, car il avait quelque chose d’important à lui dire. Kuro réfléchit quelques instants, puis il pensa que de Kumo à ce fameux village, une journée de marche devrait suffire, et, dans cet écrit il était dit que cet homme l’attendrait dans deux jours, à l’aube, devant l’atelier Orga & Co’.
« C’quoi d’ce délire encore ?! » Pouffa Kuro, plus qu’étonné par cette étrange lettre. Il allait donc devoir se mettre en route le plus tôt possible, afin de ne pas arriver en retard à son lieu de rendez-vous. Bien qu’il n’avait pas l’air méchant dans sa lettre, Kuro préféra se méfier de cet homme là –et aussi des risques que présentaient ce petit périple-, de ce fait il prit son Katana, ses pochettes Ninja avec tout ce qui était nécessaire d’un point de vue stratégique en combat, c'est-à-dire des parchemins explosifs, des fumigènes et autres projectiles bien tranchants. Une fois prêt, il se rendit alors en direction des portes du village.
Tandis qu’il commença à les franchir, les gardes lui posèrent des questions assez… Gonflantes pour Kuro, qui commença à en avoir de toujours avoir à répondre la même chose à chaque fois qu’il comptait se barrer. « Non mais bordel, j’suis passé Juunin, j’ai plus besoin qu’on me surveille comme un nourrisson de six mois ! Kuso ! » S’énerva-t-il intérieurement, resserrant le poing dans sa poche tout en se canalisant. Une fois que ces abrutis de garde le laissèrent enfin tranquille, il se mit en direction du Village des Artisans.
Tandis qu’il marchait tranquillement sur un petit sentier menant au seul village qui séparait le Kumojin du village où travaillait l’homme qui lui envoya la lettre, un homme d’environ un mètre soixante-cinq essaya de l’agresser. Cependant, Kuro n’en fit qu’une bouchée : il sortir son Katana et lui entailla l’épaule, puis il continua sa route. C’était pas possible le nombre de voyous qui s’improvisaient ninja de haut rang pour dévaliser les pauvres passants sur des sentiers paumés comme celui-ci… Enfin bref. Quelques heures plus tard, alors que le crépuscule commençait à habiller la terre de son grand manteau noir et étoilé, Kuro arriva à son premier arrêt. Il se dirigea vers l’auberge, et demanda une chambre basique. Il s’installa bien confortablement dans sa chambre, posa toutes ses affaires au pied de son lit, se coucha dix minutes et se releva d’un coup pour descendre à la taverne du rez-de-chaussée pour boire un coup et se détendre. Après avoir passé deux heures à boire comme un trou, il remonta dans sa chambre plutôt spacieuse et dont la décoration était plutôt simple mais magnifique pour le grand ninja. Il s’endormit quelques minutes plus tard, et fit de beaux rêves.
Le lendemain matin, il se réveilla en pleine forme grâce aux rayons du soleil, le beau était enfin revenu ! Le membre de la famille Misatachi se dépêcha de s’habiller, rassembler ses affaires et tout, puis de descendre prendre un rapide petit-déjeuner et de payer la note. Ainsi, il repartit aussitôt en direction du village des Artisans.
Sur la route de ce court voyage, rien de très extraordinaire n’eût lieu, si ce n’est quelques petits bandits de pacotilles qui essayèrent de s’en prendre à Kuro mais qui fuyaient quand il sortit son sabre … Pathétique. Bref. En fin de journée, il arriva au village des Artisans, et se rendit à nouveau dans une auberge. Cependant, cette fois-ci, il se rendit directement au lit, afin de regarder avec plus de minutie cette fameuse lettre, histoire d’analyser un peu la lettre avant de s’endormir, bien qu’il fût… Nul en analytique. Il s’endormit quelques heures plus tard, et se réveilla le lendemain, un peu après l’aube. Il se prépara en vitesse, prit un bout de pain au passage, paya l’addition et sortit de cette auberge. Il mit au moins une vingtaine de minutes avant de trouver l’atelier « Orga & Co’ »… A vrai dire, ce village n’avait pas l’air très grand à premier abord mais en fait si ! Avec toutes ces enseignes à tirelarigot… ‘fin bref, il finit enfin par se rendre devant cet atelier où se tenait un homme assez… Spécial.
Dernière édition par Kuro le Mar 18 Déc - 21:41, édité 1 fois
Sujet: Re: Mon prrrééééééééééééciiiiiiiiiieeeeeeux. Mar 18 Déc - 21:38
Ah ça, pour être spécial, il l’était… Et encore, ce n’est qu’une description physique là… Il avait de longs cheveux verts turquoise, et un bandana frontal en tissu noir. Cependant, malgré sa coupe des plus surprenantes, il était assez costaud, bien que légèrement moins que Kuro, et il avait au moins une tête de moins que le Juunin des nuages. Autre trait physique assez particulier, son espèce de collier qui faisait tout son cou, et fait d’or, à cent pour cent. Ce collier brillait de milles feux et tapa dans l’œil à Kuragari. De plus, il avait également des tatouages assez bizarres quand même… Sans parler des espèces de bout de tissu qu’il portait au niveau des poignets… Puis, pour seul vêtement, il possédait une cape jaune à pois noirs, cintrée au niveau de la taille, et un pantalon beige avec des rayures. Sinon, à part cet air loufoque, il avait l’air sympa, au fond. Après avoir examiné l’homme bizarroïde de la tête aux pieds, il s’approcha tranquillement, puis il lui tendit son bras afin de lui serrer la main, chose qu’il fit sans hésitations.
« Ah, bonjour ! Tu dois certainement être Kuro, si je ne m’abuse ? » Lui demanda le présumé Orga, gérant de cette armurerie de ce grand village artisanal.
« Bonjour. Oui, c’est bien moi… Commença le Shinob. Mais… Comment me connaissez-vous ?! » Finit-il par demander, le regard ébahit et avec une intonation très surprise dans la voix.
« Oulah… C’est une bien longue histoire, mon petit… Enfin… Mon grand… Répondit le forgeron. Mais viens dans l’arrière-boutique si tu le veux bien, je vais tout te raconter. » Proposa Orga à Kuragari, qui accepta sans hésitations. Une fois dans l’arrière-boutique, le vieil homme parti chercher deux verres remplis de Saké, puis il trinqua avec le jeune Kumojin. Durant près de deux heures trente, il lui raconta le pourquoi du comment il connaissait ce premier.
« Aaaaah je vois… Alors comme ça, vous étiez un vieil associé de mon père… Songea Kuro, à voix haute. Mais… Pourquoi m’avoir envoyé une lettre ? Et comment saviez-vous que j’étais à Kumo ? Et pourquoi maintenant, et pas avant ? » Débita-t-il, impatient de tout savoir.
« Hé hé hé… Alors, pourquoi t’envoyer cette lettre ? Car j’ai été mis au courant de ton passage Juunin par ta mère, et ton père m’avait demandé de t’envoyer une lettre de ce genre une fois que tu aurais atteint ce grade, si jamais tu étais devenu un bon ninja… Ce qui est le cas, apparemment. Dit Orga en souriant. Sinon, j’ai su que tu étais à Kumo car j’ai gardé quelques relations avec ta mère… Mais rien de bien méchant, hein ! Juste comme de vieilles connaissances, rien de plus. Et donc, comme je le disais, un jour, par courrier, je lui ai demandé de tes nouvelles et elle m’a expliqué pour ton père et ton exil à Kumo. Et pourquoi te l’envoyer là ? Et bien je te l’ai déjà dit il y a quelques secondes, car tu viens de passer Juunin. » Finit-il, tout en souriant encore, comme s’il voulait rassurer le jeune homme.
« D’accord… Et pourquoi vouliez-vous me voir, monsieur… ? » Le questionna Kuragari Misatachi, qui avait beaucoup trop de questions en tête, bien qu’il savait pertinemment qu’il n’aurait pas toutes les réponses qu’il espérait, tout en regardant aimablement le forgeron qui se tenait face à lui.
« Ha ha… Dit-il en souriant au grand Kumojin d’environ deux mètres. Eh bien… En fait, il ya… Quoi… Quatorze ans ? Alors que tu avais six ans, ton père m’a envoyé un courrier afin de me demander de TE fabriquer un sabre assez… Spécial… » Expliqua monsieur Orga à Kuragari Misatachi.
« Mais… C’est… quoi… Ce… sabre… ? ‘fin… Son pouvoir ?! » Demanda le guerrier du village caché des nuages, Kumogakure no Satô, d’une voix assez brusque et on ne peut plus étonnée, au vieil artisan.
« Eh bien… Comme ta mère maîtrise le Raiton et que tu es son fils… Bah… J’en suis vite venu à la conclusion que tu le maitrisais aussi, et c’est ce qu’elle m’a confirmé. Donc, ce sabre, là, va pouvoir absorber trois jutsus Raiton, maximum, de rang B inclus et inférieurs, ainsi tu pourras balancer quatre boules, maximum, de foudre, qui sont équivalentes au Raikyû niveau puissance, mais beaucoup plus rapide… Ainsi, tu pourras vraiment surprendre tes adversaires, et contrer plusieurs techniques, ce qui n’est vraiment pas négligeable. Tu vois ? Bien sûr, je vais t’apprendre à t’en servir, ne t’en fais pas. Je connais un vieil ami qui maîtrise le Raiton mais qui ne se bat plus depuis Mathusalem, il sera sûrement très heureux d’utiliser ses vieux Jutsus d’antan contre une jeune Ninja aussi prometteur que toi. » Lui expliqua-t-il, toujours aussi souriant et bienveillant que depuis le début de cette conversation.
Une fois ces explications terminées, le vieil homme emmena le plus jeune –et grand- avec lui dans son atelier et lui tendit un magnifique Katana, dont la lame et le pommeau ressemblaient à un dragon crachant ses flammes. Puis, il remarqua une sorte de gravure sur cette lame, comme une sorte de jauge… Kuro demanda alors ce que signifiait cette gravure, et celui-ci lui confirma son hypothèse de jauge. En fait, elle était intimement divisée en trois parties, une partie correspondant à une absorption. Après, si la jauge venait à être pleine et qu’elle toucherait un jutsu Raiton, elle ne se briserait pas, Kuro se prendrait peut-être les dégâts, tout dépendant de l’attaque quoi, une fois pleine, en gros, ça redevient un sabre basique, et il faut attendre quelques heures avant de pouvoir absorber à nouveau les jutsus.
Bref. Kuragari prit l’arme dans sa main droite –il faut dire qu’il était vraiment beaucoup plus petit que son premier Katana, celui là-, puis il remercia le vieux de lui faire un tel cadeau. Ensuite, ils se rendirent alors chez l’ami du forgeron, qui prit le Misatachi dans son arène situé sous sa baraque –Kuragari n’en revint pas- et ils commencèrent à se battre. Le plus vieux –et expérimenté- commença par balancer un dragon de foudre, de rang B, que Kuragari parvint à absorber sans problèmes, les yeux grand ouverts. Ensuite, deuxième Jutsu : Raiton Shurikens. Shurikens que Kuragari absorba à nouveau sans difficultés, puis vint le tour du troisième et dernier jutsu : un jutsu de sa propre invention. Il fit sortir de ses mains deux triangles faits de Raitons qui se rapprochèrent à grande vitesse du Juunin, qui n’eut qu’un seul réflexe : mettre sa lame en direction des triangles. Puis, une fois la technique absorbée, il regardé la jauge gravée sur sa lame : elle était remplie de jaune crépitant comme… La foudre ! De ce fait, il fit un geste de son bras vers le vieux bonhomme, ce qui balança une boule de foudre petite mai extrêmement rapide. Il fit de même pour les trois autres, et réussit à toucher une fois le vieillard, qui n’avait plus vraiment la condition pour esquiver ainsi.
Sur ce petit combat festif, il remercia encore milles fois le vieux forgelolz et rentra en direction de Kumo, tout en faisant une pause pour la nuit dans la même auberge que la veille. Une fois qu’il se fût bien reposé et revigoré, il reprit la route en direction du pays de la foudre et arriva dans la soirée. La première chose qu’il fit en arrivant chez lui fût de se poser dans son lit, d’écrire une lettre de remerciements à sa mère et encore une fois au gérant d’Orga & Co’, d’envoyer les lettres par pigeon poulet et de s’endormir comme un bébé.
Mon prrrééééééééééééciiiiiiiiiieeeeeeux.
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