It's a story about revenge

1- : L'enfance

La richesse, une chose que toute petite déjà je connaissais, l'endroit où je vivais appartenait à mon clan, les Tsurara. Je vous explique, mon clan vivait dans un village entier, composé de six maisons traditionnelles japonaises et de deux dojos. Des jardins magnifiques et pleins de choses pour mon jeune âge s'y trouvaient aussi, pourquoi ne vivions nous pas à Kiri ? Car depuis des années, les gens aux Kekkai Genkai sont rejetés de cette ville, quand mes parents étaient là bas on les traitait comme des moins que rien. Et oui, même moi j'ai eu une belle enfance, toute en amour et en tendresse envers moi, la petite dernière, l'on me nomma Fubuki qui veut dire "tempête de neige" car a un ans à peine, je débordais déjà d'énergie. J'étais mignonne et la joie de vivre se voyait juste en regardant mon vissage, quand mon père partait en mission laissant ma mère toute seule, j'étais toujours là pour lui redonner le sourire. J'étais bien traitée, aimée de tous et chouchoutée mais ils ne savaient pas une chose, le pouvoir de mon père s'était propagé en moi, dans mon corps se propageaient les capacités des Tsurara qui ce transmettent normalement uniquement aux hommes du clan. Miracle ? Chance ? Mystère, je suis une exception moi, la petite Fubuki, devenue une légende pour quelque chose que je n'avais pas fait, je gigotais des mains dans mon petit berceau, je ne savais pas encore la chance que j'avais et en quoi ma magie me servirait, mon destin fut écrit depuis ma naissance. Quand ma mère me regardait un peu inquiète de savoir ce don j'étais capable, j'avais envie de lui parler et c'est alors que pour le première fois je dis "Maman !". Ma mère était heureuse et elle me prit dans ses bras, des larmes perlaient le long de ses joues maquillées, elle appréhendait la cérémonie de passage au Tsurara.

-Chérie, tu dois savoir, tu es une guerrière ma fille, je suis tellement fière de toi, tu seras la première Tsurara à aller te battre s'il se passe quelque chose contre notre clan. Tu es déjà nommée comme étant la future impératrice, la grande Fubuki. Ton père s'occupera bien de toi, c'est promis et j'y veillerais d'ailleurs. Sur ce, je vais laisser les bonnes t'habiller pour ta première cérémonie des Tsurara.

Elle m'embrassa la joue, Michiko me prit dans ses bras et m'habilla avec tendresse dans un tout petit Kimono en motifs de fleures de glace. J'étais heureuse, sans savoir pourquoi, j'avais alors deux ans. On m’emmena dans un des deux dojos, je fus placée au milieu de ce dernier c'est alors que dans toute la sale on pouvait entendre des chuchotements. A cette âge là, je ne pouvais pas comprendre, je souriais à tout le monde, allongée sur mon matelas central. Mon père se leva, il avait une épée dans la main, il tremblait. Bizarrement, plus un bruit ne se faisait entendre, il avança vers moi, je perdis mon sourire. Il ferma les yeux et déposa sur ma main le manche du Katana. L'arme blanche se mit à devenir bleue, mon père ouvrit les yeux et toute l'assemblée applaudit. J'étais la descendante de mon arrière arrière grand mère, créatrice du clan, mais aussi créatrice de la légende du clan : "Si une fille Tsurara possède un jour nos facultés, vous poserez sur sa main cette épée. Si elle devient bleue, alors cette petite fille sera votre seule espoir contre une catastrophe qui arrivera un jour ou l'autre." Cette épée marqua la fin de mon enfance.

2- : Rivalités

Maintenant Fubuki a huit ans seulement. Elle est connu de tous pour sa force, sa vaillance et son courage, heureusement son entraînement intensif n'a pas changer son caractère de jeunesse, elle est toujours aussi aimable et souriante, sans oublier sa paresse qui nuit de temps en temps à son entraînement et je ne parle même pas de sa nouvelle passion : les lasagnes bref, l'impératrice Tsurara était déjà très aimée pour toutes ses qualités. Malheureusement comme on le dit souvent, le bonheur des uns fait le malheur des autres, car en effet le clan qui habitait le village d'à côté n'existait plus comme étant un rivale potentiel au Tsurara alors qu'il l'avait toujours été. Ils se nommaient les Tsubasa, experts du Suiton ils étaient toujours la pour faire des combats amicaux mais, en quelques sortes, à cause de Fubuki, le clan qui s'était renforcé cherchaient des ninjas plus forts. Les Tsubasa devinrent la risée des environ. Mais ça, ils ne l'accepterons sûrement pas, et c'est d'ailleurs une semaine après leurs passage en bas de l'échelle que le clan du village d'en fad" proposèrent un combat qui les départageraient définitivement : le jeune fils du maitre Tsubasa contre Fubuki. Tous les Tsurara souriaient, certains rigolaient presque "Marché conclu !" Déclara le père de l'impératrice.

À cette époque, Fubuki-sama ne ressemblait pas du tout ce qu'elle est aujourd'hui et d'ailleurs le lendemain après-midi, Fubuki était là, en tenue de combat prête à le battre ici. Le jeune fils du maître Tsubasa arriva aussi en face de la jeune fille, il portai un long manteau noir et il mettait la capuche sur sa tête, on voyait juste ses cheveux gris voir noir mais surtout, sur le côté de sa capuche il y avait un masque à en faire peur ici. Avant le combat, le petit rituel énergétique de Fubuki pour gagner tous les combats s'imposait : Lasagnes ! Michiko, la servante apporta son plat de lasagne à la jeune fille, cette dernière parti et à peine avait-elle eu le temps de faire un thé qu'à son retour, Fubuki dormait par terre, plus rien dans le plat. Très impressionnée, la bonne débarrassa pour laisser sa maîtresse dormir. C'était bientôt l'heure du combat.

Le jeune adversaire répétait sans cesse "droite gauche saute descend" bizarre allez vous me dire et pourtant il le disait tout le temps jusqu'au début du combat. À ce moment où l'adrénaline monte dans tout notre corps que l'on est existé pour commencer le combat et tout à coup la main de l'arbitre qui descend et se produit alors une danse harmonieuse ente les deux combattants. L'une portait des coups forts et rapide, l'autre esquivait et tapait certaines fois mais souvent ses attaques échouaient, ce fut un beau combat qui dura bien 15 minutes. Car oui Fubuki n'utilise pas d'énergie elle ne fait que taper en suivant son adversaire qui lui fait des bonds, des roues et des acrobaties, ce dernier ce fatigue vite et Fubuki lui met un coup de pommeau dans la tête le faisant tomber par terre. La petite fille et tous ses sujets eurent un fou rire face à cette humiliante défaite mais moi, je le savais bien, le jeune Tsubasa était amoureux de la jeune Tsurara. Et c'est pour ça qu'elle gagna si facilement. C'était donc la fin pour le clan plus qu'humilié, ce qui provoqua une haine intense envers les Tsurara, mais bon, ça ne changera rien a l'infériorité des Tsubasa.

"Je suis fière de toi ma fille ! Ma petite Fubuki, qui aurait crut qu'un jour tu deviennes notre impératrice, notre chance et porte bonheur ? Personne sûrement, tu es née ainsi, enfin, trêve de bavardages et portons un toaste à Fubuki !"

Tous les vers de la sale se levèrent, après un souper plus que succulent, tout le monde restait assis dans un des halls des nombreuses maison. Que pouvait-il arriver ? Pas grande chose et pourtant quelqu'un vint perturber ce moment de méditation. On voyait quelqu'un arriver en cheval blanc, un jeune homme très bien fait par la nature si je puis me permettre et il déclara : Je suis là pour prendre votre main douce impératrice ! Dit-il avec un plat de lasagnes dans les mains, ce jeune prince sur son cheval avait très bien comprit comment s'y prendre. D'ailleurs Fubuki lui sauta dessus, et dégusta les pâtes qui s'accompagnèrent d'une bonne sieste.

3- : Mariage ?!

"- Dès que j'ai entendu parler de vous ma belle impératrice, dès que j'ai vu ce portrait de vous, l'amour prit mon corps et maintenant je suis ici et je veux vous épouser. Je viens tout droit d'Iwa, je me nomme Iwamaru Yajima !
- C'est très mignon mais il en faut plus que ça pour se marier avec moi."

C'est alors que la quête d'Iwamaru commença, son nindô était là, sous ses yeux et pourtant intouchable, implacable, Fubuki. Tous les jours, il lui faisait le petit déjeuner, l'aidait à tout faire, il faisait vraiment tout pour que ses sentiments soient réciproques. Je le confondais même parfois avec un esclave mais au fond, il n'y avait que moi pour savoir que notre petite impératrice était plutôt attiré par ce jeune Yajima. A chaque anniversaires de ma protagoniste, il lui demandait sa main, encore et encore, jusqu'à ses 15 ans, Iwamaru se disait que si elle disait non cette fois là, il abandonnerait mais par miracle elle accepta. Fubuki lui dit qu'à ses 18 ans elle serait dans un des jardins dans une magnifique robe et qu'elle dirait oui, le jeune fiancé tellement ému lui vola un baisé, le premier baiser de l'impératrice. Elle se laissa faire et ce fut un moment magique pour elle comme pour lui. Le jeune homme rentra chez lui pour l'annoncer à ses parents et revint aussitôt chez sa deuxième famille : les Tsurara. Les années passèrent toutes plus belles les unes que les autres, Fubuki et Iwamaru s'entendaient à merveilles, ils s'aimaient et ils formaient une équipe imbattable. Ils étaient le couple parfait, une complicité que rares pouvaient avoir et un amour qui durera bien plus que trois ans. Enfin, après une dispute il savait qu'un plat de lasagne suivie d'une bonne sieste arrangeait toujours les choses.

"Demain tu as 18 ans ma belle, j'ai toujours rêvé de ce jour, je t'aime tellement ..."

Les joues rouges, Fubuki se leva et détacha les bretelles de son sous-vêtements, lui faisant comprendre qu'elle lui appartenait et qu'elle l'aimerait toujours, elle aussi. Une nuit inoubliable une harmonie charnelle, une dance à deux, un moment indescriptible ni par les sensations ni par les descriptions. Durant la nuit, enfin, durant son sommeil, elle rêvait de son mariage et du buffet dans lequel se trouverait des lasagnes. Le lendemain, Iwamaru n'était plus dans le lit, il y avait juste une rose, il attendait sa femme dans le jardin décoré pour la cérémonie. Fubuki était aidée de sa mère pour mettre la magnifique robe. L'impératrice marchait lentement vers le jardin, il y avait une odeur bizarre. Elle arriva dans le jardins, elle poussa un hurlement, tout le monde était tranché en pièce. Les larmes coulaient sur sa joue, il ne restait plus que sa mère, l'on entendait ses hurlements de souffrance, dans la cabane de cérémonie, il y avait une chaise sur laquelle était posé le cadavre d'Iwamaru, sans tête. Fubuki ne reconnaissait même plus le magnifique endroit que c'était avant le carnage, le sang était le roi de cette terre morte et maudite à jamais. Malgré elle, l'impératrice s’avança vers la cabane, il y avait une flèche et une lettre. Elle détacha la lettre et lut "Tu aurais dut me choisir moi." Tout de suite, la jeune femme compris qu'il s’agissait des Tsubasa, elle déchira sa robe et rentra chez elle. Un semaine auparavant, Iwamaru avait acheté une tenue pour ne jamais l'oublier, elle mit alors ce fameux ensemble qui lui allait si bien, elle se jura de ne plus jamais l'enlever. Fubuki, avait trouvé sa quête elle aussi : Se venger. La destinée de la jeune femme et son épée n'étaient pas si vraie que ça en fin de compte, elle était arrivée trop tard.

4- : Vengeance

Elle s'entraînait jours et nuits, sans relâche, elle apprenait des techniques, elle devint une pro du Hyoton, elle passait les examens, les test et autre, elle devenait folle, toujours en quête de puissance, de force et de quelque chose qui la calmera. Sa mère, Kurena, s’inquiétait beaucoup pour elle, elle aussi avait perdu son mari et pas que ça, toute sa famille et ses ami(e)s. L'ancienne impératrice ressemblait un peu à Fubuki, était elle aussi en quête de puissance, elle voulait protéger son clan contre une invasion de monstre, elle et son épée étaient très fortes, plus puissantes que tous les hommes du clan réuni et grâce à elle les Tsurara gagnèrent la guerre contre ses bestioles assoiffées de chaires humaines. Quand Kurena regardait sa fille, elle voyait aussi son arrière-grand mère et donc fondatrice du clan. Trois ans plus tard, à ses 21 ans, Fubuki avait mit au point son style de Kenjutsu, la dance du dragon glacé, elle était une experte du Hyoton et se débrouillait en Taijutsu, en tous cas, elle était fin prête pour tuer ce Tsubasa à la noix !

Elle arriva au village de ces derniers, elle entra dans la plus grandes demeures, il n'y avait personne, enfin elle croyait qu'il n'y avait personne, la maison était trop grande pour ressentir le chakra depuis le hall, elle s'aventure dans les étages, elle sentait de plus en plus la présence de quelques que ninjas; trois précisément. Elle arriva au cinquième étage et dernier, il y avait un silence de mort, pas de lumière mais ils étaient bien là, soudain les trois ninjas se jetèrent sur elle. Fubuki n'était pas bête, dans le noir elle n'avait aucune chance, heureusement la pièce était petit, elle avait la technique parfaite, Fubuki pouvait tuer les trois d'un coup et c'est ce qu'elle fit. A peine au milieu de la sale elle déclencha Hissatsu Hyōsō (rang A Hyoton dans la bibliothèque). Tous les ninjas se prirent au moins de piques de glaces géants dans leurs corps, ils ne purent rien faire. Seulement après avoir allumer une torche, ce n'était que des clandestins sans argents, les Tsubasa n'était plus chez eux.

"Que la traque commence." Déclara l'impératrice. Pour récolter des informations, elle n'avait pas le choix, elle devait aller à Kiri et faire comme si elle n'avait pas de Keikkai Genkai. Ce qu'elle ne savait pas en revanche, c'est qu'en ce moment, il y à la guerre et à Kiri aussi et puis il y a un nouveau Mizukage, une femme très belle à ce que l'on disait. A peine arrivée à Kiri, Fubuki failli se faire tuer, pour rien au monde elle ne se laisserait mourir, elle devait absolument savoir où pouvaient bien ce trouver ses maudits Tsubasa. Avec tous l'argents qu'elle avait prit, elle loua vite une chambre dans une auberge et commença aussitôt ses recherches. Je me demande si un jour elle arrivera à aimer un autre homme.

Physique :

Il y a des gens moches et des gens beaux. Personne ne sait pourquoi, mais c'est ainsi. Si l'on devait trancher, Fubuki appartient sans doute à la catégorie des beaux. Il faut dire qu'elle possède plus d'un atout qui font d'elle une femme très belle, bien que, il faut l'avouer, cela ne suffise sans doute pas pour être nommée Miss Kiri. Pourtant, l'apparence de la demoiselle dément sur son âge qui, avouons-le, fait plus jeune que son véritable âge. Lorsqu'on observe la demoiselle de loin, du haut de son mètre soixante-quatorze, elle ne donne pas l'impression d''être une jeune femme femme de 22 ans . En réalité, Fubuki depuis sa plus jeune enfance, donne l'impression d'être quelqu'un de particulier et même d'avoir des talents du côté magique. Sa façon originale de s'habiller comme une magicienne égocentrique, son air toujours hargneuse et décontracté, le caractère insouciant et désinvolte qu'elle manifeste sans cesse qui se retranscrit au travers de ses expressions malgré son sourire omniprésent.

Pourtant, et peu de gens nieront cette vérité, c'est une femme très belle, et elle le sait puisque sans ça, elle n'aurait pas une telle confiance en elle. Mais décrivons plus en détail le physique de cette demoiselle, puisqu'elle se démarque tant des autres. Commençons par le haut, à savoir ses cheveux, longs et lisses, bleus marines, d'une belle couleur brillante. Cette crinière scintillante flotte dans son dos, se soulevant à chacun de ses pas, et si cela devrait lui donner un côté désordonné ou sauvage que de les laisser librement voguer au rythme du vent, ça n'a pour effet que de la rendre davantage mignonne. Une forme de beauté, plus sauvage, qui ne s'obtient pas avec des tonnes de maquillage, mais bien avec une apparence naturelle. De toute façon, avec une telle longueur de cheveux et son flemmard omniprésent, elle serait bien incapable de les coiffer autrement que par une queue de cheval. Plus que leur longueur, leur nature en font des cheveux impossible, et ce n'est pas peu dire.


Passons désormais à son visage, lequel, plutôt ovale, est exempté d’imperfections. À l'inverse, il semble rayonnant de jeunesse, l’impératrice étant toujours souriante malgré elle, durant les moments où elle ne dort pas, la bouche ouverte en marmonnant des choses incompréhensibles. Des mèches de cheveux couleur cuivre masquent le front de Fubuki, d'autres couvrant ses oreilles et masquant les bords de sa tête. Pourtant, cette coiffure désordonnée, si tant est que l'on peut parler de coiffure, n'empiète pas sur sa vue, laissant de ce fait ressortir juste son œil gauche bleu tel un diamant. Plantés au milieu de son visage, ils sont cependant la plupart du temps fermés, et la demoiselle en train de dormir sur le canapé le plus proche. Le reste de son visage tient cependant de la normalité, son nez et sa bouche n'ayant pas de caractéristiques spécifiques et aucun signe particulier comme un tatouage ne prenant place sur son visage ; et l'on suppose sans avoir besoin de les voir, ce qui est le cas, que ses oreilles sont également normales.

Pour ce qui est du reste de son corps, on ne peut pas dire que Fubuki n'a pas un magnifique physique. Au contraire, c'est en réelle innocence qu'elle se vante de certains de ses atouts, n'hésitant pas, par exemple, à se vanter de sa poitrine. Mais ce n'est pas les seules qualités corporelles qu'elle possède : son tour de taille, par exemple, est parfait selon elle, malgré le fait qu'elle mange sans cesse de mauvaises choses. Il serait bien entendu exagéré d'affirmer qu'elle n'a d'égal que la perfection, mais malgré son alimentation malsaine, il faut avouer que son physique étonne assez. Ses bras, tout d'abord, sont assez fins, contrairement à ce que l'on pourrait penser si l'on regardait son menu quotidien, ne présentant pas, ou peu de graisse à première vue mais au contraire du muscle, il faut bien ça pour se battre. Ses mains également sont dans les normes, les longs doigts fins de la demoiselle possédant bon nombre d'habiletés qui lui permettent de faire pas mal de choses, dont sa magie qui réclame une extrême finesse de sa part.

Un ventre assez fin, et de longues jambes qui le sont tout autant, avec des cuisses assez musclées, ce qui étonne toujours en vue de ses repas. Son physique pour le moins « beau », étant donné que, même si on note l'absence de graisse, les muscles ne sont pas non plus en masse, est tel que ses prouesses restent celles d'une jeune femme de son âge. Ayant reçut beaucoup d'entraînements en tout genres, elle le montre en quelque sorte son corps si l'on regarde son style vestimentaire.

Tenue de tout les jours et de combats :

Une tenue vraiment sortie d'on ne sais où mélangeant tout les style caractériels de l’impératrice. Commençons par sa robe avec un beau bustier qui met sa poitrine en valeur. Elle est bleu avec des bouts de tissus blancs parsemés sur la robe courte. Le détail important de ce ‘’haut’’ doit sûrement être la ceinture qui est sensée ressembler à une queue de je ne sais quoi. Pour ses bras, elle détient de très belles manches détachées de la robes sur les quelles sont brodées les initiales « FT » qui veut dire Fubuki Tsurara. Pour finir, elle porte des collants bleus et ors qui tombent directement dans ses fines chaussures noirs.





G.o.u.r.m.a.n.d.i.s.e. C'est sans doute, parmi les sept péchés capitaux, celui qui touche le plus la jeune demoiselle. Sans cesse en quête de nourriture qui soit susceptible de la requinquer, elle n'hésite pas à rentrer dans les endroits hors de prix, tant qu'elle y gagne de la nourriture. Par ailleurs, il se trouve que, habituellement méfiante, la faim fait perdre à Fubuki la plupart de ses sens et instincts, la réduisant à un état que l'on pourrait qualifier de larve, puisqu'elle est capable de croire les pires histoires ; même fantastiques, si tant est qu'au terme des indications qu'on lui donnera, la nourriture est présente. Son plat préféré ? Il s'agit des lasagnes, bien trop compliqués pour elle pour qu'elle puisse s'en préparer elle-même ! À ce propos, elle serait capable de frapper chez quelqu'un, ingrédients en main, et demander à la personne d'en faire à ses côtés, pour les déguster ensemble, bien que les parts aient une part de déséquilibre en sa faveur.

C.u.p.i.d.i.t.é. Une jeune femme aussi remplie de joie de vivre peut-elle être atteint de ce péché capital ? En piochant sur toute la longueur de la définition et rattachant l'avarice à l'argent, le pourcentage de compatibilité de Fubuki avec ce mot est de zéro. N'ayant aucun intérêt pour de vulgaires bouts de papier décorés, elle est du genre à ne pas s'inquiéter pour le jour suivant pour ce futur qui semble barrer la route de nos espérances, croquant dans la vie de toutes ses dents sans se préoccuper du reste. Toutefois, il faut avouer qu'elle peut se montrer quelque peu avare sur les bords par rapport à certaines choses notamment ces incontournables lasagnes auxquelles elle semble vraiment vouer une adoration particulière. C'est son pouvoir, autrement, il ne peut servir qu'elle et ses intérêts. C'est ses affaires, autrement, elles ne peuvent que lui être utile à elle seule. C'est sa vie, autrement dit, elle peut en faire et y faire ce qu'elle veut, et ne partagera jamais ce droit-là. Jamais.

P.a.r.e.s.s.e. On peut dire que, après la gourmandise, la flemmardise est des plus présentes chez la jeune femme dont l'amour des lasagnes n'a d'égal que celui de son lit. Toujours à la recherche d'un endroit où elle pourrait dormir sans risque d'être dérangée, Fubuki peut passer des heures à ronfler sur un canapé ou un fauteuil, même si elle vient de se réveiller d'une longue nuit de douze heures. Ayant un sommeil très profond, la demoiselle pourrait continuer de roupiller avec des travaux bruyants juste à côté de chez elle, même si elle gardait la fenêtre ouverte. D'une imperturbabilité sans bornes, elle semble devenir une autre personne quand elle sombre dans les méandres de la sieste : la chaleur ou le froid ne la dérangent pas, tout du moins, pas plus que la tenue qu'elle porte au moment de son repos. Avec tant de temps passé à faire de l'administration, vous vous en doutez, c'est un peu normal de se retrouver face à une fille hyperactive et sans cesse en train de bouger ! Quel paradoxe.

J.a.l.o.u.s.i.e. Même s'il donne un côté plutôt humoristique à notre personnage, ce défaut est quand même on ne peut plus présent chez Fubuki. La jalousie, que peu de gens, en plus de posséder, n'assument pas, du fait de la nature-même de ce sentiment. Jalouse des autres, puisqu'elle voudrait ceci ou cela qu'une autre personne aurait, jalouse des autres, puisqu'elle aime beaucoup la tenue à qui elle lui va si bien, jalouse des autres, parce qu'elle possède cette maladresse omnipotente qui, à défaut de la faire rire, la met en colère. Elle est tellement jalouse, la demoiselle, qu'elle ne remarque même pas ce qu'elle a déjà. Elle est belle, elle a une magie puissante, une superbe ville, mais elle ne le remarque pas : elle ne se regarde pas, elle regarde les autres. C'est pour ça qu'elle est jalouse, et que, tant qu'on ne lui dira rien, elle le sera toujours. Il est d'ailleurs déconseillé de lui faire remarquer sa jalousie, rien ne pourrait l'énerver davantage que ce fait-là.

O.r.g.u.e.i.l. Oui, il touche aussi, Fubuki, ce péché qui coûte beaucoup de choses aux gens qui en sont touchés, la vie comprise. Ce n'est pas parce qu'elle ne voit pas sa propre force qu'elle n'est pas arrogante, loin de là, elle sait reconnaître les gens forts des faibles, mais si elle ne peut pas évaluer la force, son sens de l'observation impressionnant lorsqu'elle n'est pas à moitié endormie lui permet de savoir si elle a des chances de s'en sortir ou non. C'est pour ça que, en combat, il lui arrive très souvent de faire montre d'un orgueil sans bornes lorsqu'elle se sent et se sait supérieure, tout comme face aux nouveautés de la ville, dans le simple but de les taquiner, cette fois-là. Elle a beau ne pas en avoir l'air, elle est assez confiante en ses propres capacités, sans quoi elle ne pourrait pas fanfaronner de la sorte. Sachez pour finir que, lorsqu'elle est en colère en combat, elle fait montre d'un orgueil jamais vu, n'ayant cesse de se vanter, quoique cela tient davantage du sadisme.

C.o.l.è.r.e. Qui n'est pas touché par ce péché ? On pourrait croire qu'une femme si décontractée, enjouée et endormie, ne peut se mettre en colère. Au contraire, du fait de son impulsivité, Fubuki s'énerve très souvent. Si on refuse de lui donner ce qu'elle veut, il y a des chances de la voir s'énerver, râlant comme une enfant pour tenter de faire céder autrui. Lorsqu'on critique son physique ou sa ville, elle se met également en rogne, ne perdant pas pour autant son sens de l'observation. Chose à ne jamais faire devant elle : critiquer les lasagnes, les lits ou sa ville. Si vous le faites, en plus d'être assuré d'une mort lente et douloureuse ou, au mieux, une mage de Suna qui vous poursuit toute sa vie pour vous tuer, vous la verrez en colère comme vous ne l'aurez jamais vue. Elle ne réfléchit pas, mais plus encore, elle dit des absurdités enfantines auxquelles personne ne comprend rien, comme une enfant en pleine crise après avoir perdu un jouet cassé.

L.u.x.u.r.e. Mais quel est donc ce mot étrange ? Soyons clairs, Fubuki est bien trop « innocente » pour avoir un quelconque rapport avec ce péché capital. Pourtant, à l'inverse de ce qu'on pourrait croire, il lui arrive de l'utiliser, par mégarde, la plupart du temps, et de s'en servir sans le remarquer. Par exemple, rentrer en plein dans une personne pendant une balade ou une course et se retrouver dans ses bras après l'avoir faite tomber, attraper quelqu'un derrière les épaules pour chanter ensemble sans remarquer la gêne de l'entité en question, crier sur un interlocuteur en collant son front au sien, assez fort pour le faire tomber en arrière, ne prenant pas garde à la vue plongeante que ce fait lui procure. Oui, si elle ne prête pas attention à son physique, la maladresse et la colère de la demoiselle sont telles qu'elle l'utilise, bien que dans sa tête, de tels agissements soient inacceptables. C'est à cause de cette luxure qu'elle pense qu'elle a raison, et qu'elle ne changera pas.

En quête de vengeance : Je décris là tous ses principaux traits de caractères mais le voilà, le plus important celui qui peut tout faire changer, la revanche, cette soif qui ne sera jamais assouvie sans la mort de l’assassin de son cœur. Comme vous le savez, Fubuki a vu, de ses propres yeux, le meurtre des trois personnes les plus importantes à ces yeux : Son père, sa mère et son fiancé, tués comme de vulgaires animaux pendant le mariage de l’impératrice. Elle aura gravé dans son esprit ce ninja, et si elle le voit un jour, il ne risque pas d’aller loin. La revanche peut totalement changer ma protagoniste, si on lui parle de cet accident elle peut devenir folle et tout détruire voir même vous tuer. Chose à éviter par-dessus tout, lui parler de son mari, elle l’aimait vraiment beaucoup, elle vient de réussir à recoller son cœur alors ne le faîte pas se casser à nouveau.

En revanche, sachez que si elle possède des défauts, Fubuki possède aussi des qualités, et on ne peut plus nombreuses, faisant d'elle une personne vraiment extraordinaire.

E.n.j.o.u.é.e. Toujours prête à faire quoi que ce soit, tant qu'elle n'est pas seule ! Respirant la joie de vivre lorsqu'elle n'est pas en train de roupiller en murmurant des noms de plats dans son lit, cette fille hyperactive sera toujours là pour une quelconque activité qui relève de sa présence. Affichant toujours un grand sourire sur son visage, elle est si joyeuse qu'il semble impossible de lui refuser quelque chose lorsque cette expression cède place à de la tristesse bien qu'il ne s'agisse, la plupart du temps, que d'un caprice enfantin. Quelles que soient les choses qu'elle fasse, Fubuki est prête à les laisser tomber si elle peut partir s'amuser avec ses proches, principalement à Kiri. Elle est un peu comme le soleil du groupe, cette personne qui est toujours pleine d'entrain, toujours en train de bavarder, de chanter ou de raconter des blagues pourries. Cette personne qu'on aime tous, et qui nous manque lorsqu'elle roupille au fond de la salle.

S.o.l.i.d.a.i.r.e. C'est vrai que, si elle est capable de se montrer très égoïste en ce qui concerne la nourriture bien qu'elle n'hésitera pas à partager avec une personne au seuil de la famine, l’impératrice est plutôt généreuse sur l'aide qu'elle peut offrir aux autres. Toujours présente lorsqu'il s'agit de remonter le moral à une personne, elle pourrait y passer des semaines, même si elle devait ne rien faire d'autre de ses journées. Bien plus consacrée sur la santé des autres que sur la sienne, la demoiselle ne s'inquiète plus pour elle lorsqu'il s'agit d'aider ses amis. Si elle serait peut-être incapable de leur donner quelque chose qu'elle chérit, ou encore sa propre vie, elle n'hésite pas à passer outre son caractère pour satisfaire les autres. Oublier de se coiffer, oublier de déjeuner ou de s'habiller correctement pour arriver plus tôt au siège et aider les autres.

C.o.u.r.a.g.e.u.s.e. Bien entendu, la femme connaît le mot peur, mais cela ne l'empêche pas de conserver au fond d'elle une bonne dose de courage. La vérité, c'est peut-être qu'elle ne réfléchit pas beaucoup, et donc, qu'elle ne pense même pas aux conséquences de ses actes. Dans un sens, ce n'est pas un facteur très important, puisqu'à voir l'audace dont elle fait preuve, on peut penser que, en ayant réfléchit ou pas à la question, elle aurait quand même décidé de passer outre sa peur. La mort ne lui fait pas peur, sans doute parce qu'elle a déjà profité de la vie, trois fois plus qu'une personne qui a dépassé la centaine, mais surtout parce qu'elle n'y a jamais pensé. Si elle est du genre à évaluer toutes les possibilités avant de se lancer une entreprise, le jeune femme n'a jamais ne serait-ce que survolé la possibilité de sa mort. Peut-être que le courage de la femme lui vient du fait qu'elle vit d'une logique illusoire, qu'elle n'ait jamais pensé à surpasser l'impossible.

O.u.v.e.r.t.e. Mais aussi digne de confiance. Si vous cherchez quelqu'un à qui vous confier, sachez que Fubuki est aussi renfermée et sûre qu'un coffre au trésor en diamant sans serrures, qu'elle ne laissera jamais vos secrets s'envoler. Si vous avez besoin de quelqu'un à qui parler, elle sera là, vous accueillant de son sourire. Ces pensées vous chagrinent, elles vous font déprimer ? Son sourire vous réconfortera, car elle verra toujours les choses sous un bon angle et tentera de vous redonner espoir d'une façon ou d'une autre. Elle n'est pas du genre à rester silencieuse, un air sérieux brodé sur le visage tandis qu'elle écoute les récits, mais plutôt à vous tirer par le bras en souriant pour trouver une façon de vous remonter le moral. À l'inverse, ayant malgré tout suffisamment de respect pour ne pas obliger les gens à faire quoi que ce soit avec elle, l’impératrice Tsurara est capable de se mettre très en colère si elle voit ses proches, en proie à leurs problèmes, malmenés par d'autres, qui que ce soit.

N.o.b.l.e. Autrement dit, le fair-play. La demoiselle possède aussi cette qualité qui est, à ses yeux, des plus importantes. Ne pas attaquer par derrière, ne pas se ruer à plusieurs sur un ennemi plus faible que soi ou de même force. Ne pas attaquer une personne à terre. Toutes ces règles de base, qui font que les gens conservent la tête haute, conservent une fierté et un honneur. Fubuki la possède et, bien évidemment, elle est à cheval sur ce respect, n'hésitant pas à désobéir et à manquer de respect à ceux qui piétineraient ces valeurs, quelle que soit la personne. Elle place cette noblesse avant toute autre chose, et n'hésitera pas à crier sur des personnes de sa propre ville, sur ses propres proches, s'il ne respecte pas ces valeurs et basculent dans la lâcheté. Peut-être serait-elle prête à mourir plutôt que de manquer à cette promesse qu'elle s'est faite à elle-même, celle de respecter ce fair-play. Après tout, pour certaines personnes, l'honneur et la fierté valent plus que leur propre vie.