Naruto Sensou
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 [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself

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MessageSujet: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyJeu 4 Oct - 23:16



Hasegawa Konohana-Ayame






Age: 18 ans
Sexe: Féminin
Rang souhaité: Au choix : )
Village d'origine: Un petit village sans nom important
Village souhaité: Iwa
Nîndo: Elle n'a pas vraiment de Nîndo. Juste être acceptée telle qu'elle est.
Pseudo/Prénom: Naoc
Âge: 16
As-tu signé la charte: vip
Comment as-tu connu le forum: J'ai cherché sur forumactif : )
Fréquence de connexion: 7j/7j
Autres choses: --

Mon Histoire

Un son lointain de sabots rencontrant la terre. Un cri, proche. Les muscles de l’animal s’étiraient. Un autre cri. L’allure du cheval accéléra. Un hurlement de douleur, tel qu’il n’avait jamais entendu. L’homme sur le cheval descendit de sa monture et courut entre les arbres, trop serrés pour y chevaucher. Soudain, il vit sa femme, allongée sur l’herbe tendre, tandis qu’une jeune demoiselle était à côté d’elle. En voyant l’homme venir, elle osa dire :

-Je suis désolée. Je lui avais dit de ne pas sortir. Mais… elle voulait… Elle exigea… Et je ne…

L’homme ne fit pas attention à sa voisine. Il s’agenouilla près de sa tendre épouse, prit sa main entre ses doigts et, avec une légère pression sur ses doigts, lui souffla à l’oreille :

-C’est bon, je suis là.

Elle serra la main de son mari et hurla de douleur, tandis que l’être dans son ventre se battait pour pouvoir respirer à l’air libre pour la première fois. L’homme, bien qu’attristé de voir sa femme souffrir, était soulagé. Heureusement, il était rentré plus tôt chez lui. Là, il demanda à sa fille Naoko où était sa mère. Elle lui avait révélé que celle-ci était allée dans la forêt. C’est alors que la peur l’envahit et, sautant sur son cheval, chevaucha dans la forêt, jusqu’à l’endroit où il espérait trouver sa femme. Et il avait raison. C’était leur coin, après tout, l’endroit où ils s’étaient rencontrés…

L’homme se prénommait Kaïen, tandis que la jeune femme, Maeko. Ce sont tes parents, Konohana. C’est l’histoire de ta naissance…

Naoko ne cessait de dire que si tu étais si bizarre, c’était à cause de ta naissance « prématurée ». Elle ne l’était pas tant que ça, juste un peu plus d’un mois. Elle t’a souvent embêtée avec ça, te disant que tu étais anormale, que tu ne devais pas être née. Toi, tu la regardais sans montrer une quelconque gêne, mais avec une telle intensité qu’elle se taisait immédiatement. Alors, tu répondais à ton aînée de six ans :

-Aujourd’hui, j’ai vu un papillon sortir de sa chrysalide.

Fronçant les sourcils, elle avait l’habitude de se retourner et de partir, sans ajouter un mot. Et toi, tu allais donc dans ton jardin, t’occuper des plantes. Vous n’avez jamais eu une relation très forte. En fait, en y réfléchissant, vous n’avez jamais essayé. Naoko ne se préoccupait que de son apparence, et elle ne voulait être vue avec une jeune fille si étrange. Tandis que toi, tu n’arrivais à comprendre le résonnement de ta sœur, et elle n’avait jamais attiré ta curiosité. Peut-être était-ce due au fait que tu la connaissais depuis toujours, que tu avais toujours vécut avec elle. Mais sans doute, son absence d’affection vous a tenu à l’écart depuis toujours. Sa jalousie, aussi. Car contrairement à elle, qui ne désirait qu’avoir les vêtements à la mode, toi, tu t’intéressais à la nature. Or, tes parents étaient tous deux apothicaires. Or, voilà enfin un enfant qui semblait avoir la même passion qu’eux. N’était-ce pas un cadeau du ciel ? Certes, tu n’étais pas parfaite. Mais après tout, personne ne l’est.

C’était un jour ensoleillé. Il devait être environ quatre heures et tu te balançais doucement sur une balançoire. Ta mère parlait tranquillement avec une autre jeune femme, et les enfants dans le parc se poursuivaient, riaient. Tu vis un jeune garçon pleurer. Après l’avoir fixé un certain temps, tu descendis de la balançoire, te baissa et demanda :

-Pourquoi pleures-tu ?
-Je suis tombé…
-Et tu t’es fait mal ? Où ça ?
-Oui… Sur le genou.


Alors, imitant ce que faisait souvent ta mère lorsque ta sœur ou toi se faisait mal, tu baissais la tête et fit un bisou sur la blessure. Un « bisou magique ». Aussitôt, l’enfant, les yeux brouillés par ses larmes, se jeta à ton cou. Tu restas ainsi, à l’enlacer, jusqu’à ce qu’il arrête de pleurer. Alors, il te remercia et partit en courant rejoindre ses amis. Souriant, tu le regardais partir en gambadant. Tu te relevas et croisas les regards méprisants d’une poignée d’enfants d’environ dix ans. Puisque tu n’étais pas loin, tu pouvais entendre ce qu’ils disaient :

-Regarde, elle est bizarre. Hier, je l’ai entendu parler à un lapin.
-Et moi, j’ai entendu dire qu’elle avait déjà tué quelqu’un.
-Ouais. J’ai même entendu dire qu’elle se droguait. Pas étonnant, puisque ses parents en vendent.
-C’est sûr… elle ne pourra jamais devenir ninja. Ah ! Bien fait pour elle.


Et ils rirent. Alors, tu te promis de faire tout ton possible pour devenir ninja. Juste pour les faire taire. Ce n’était pas un rêve ou quoi que ce soit. Juste une nécessité. Pour leur montrer que tu n’étais pas conditionnée, et que chaque personne était libre de choisir son destin.

C’est à partir de cet épisode, alors que tu avais huit ans, que tu décidas de te contrôler. Les relations de tes parents t’avaient permis de ne pas aller dans un hôpital. Du moins, c’est ce que tu croyais, car tu n’es pas vraiment folle. Tu es juste différente de la plupart des personnes. Mais l’accusation continuelle de toutes les personnes que tu connaissais –même de tes parents, parfois, lorsque des mots leurs échappaient – t’empêchait de le voir ainsi. Après tout, si on te dit depuis tout petit que tu es schizophrène, tu vas finir par le croire, même si ce n’est pas vrai. Et peut-Être, même, que tu vas finir par le devenir. Mais bon.

Tu supplias tes parents à t’enseigner l’art du shinobi et, finalement, ils acceptèrent. Longue fut ta préparation, et tu passais toutes tes journées à celle-ci. Ton père était un ancien shinobi, mais il se souvenait de l’art du ninja et pouvait t’enseigner, mais seulement si tu promettais qu’un jour, une de tes spécialisations secondaire sera le fait d’être un apothicaire. Tu acceptas.

La zone entourant le village était protégée des animaux féroces par une grille, qui autrefois servait de défense contre le pays du feu, puisque ton village se situait non loin de celui-ci. Et donc, c’était un lieu parfait pour s’entraîner. Il commença par t’apprendre les bases, ainsi que de l’histoire. Il ne t’apprit pas beaucoup de techniques car, selon-lui, les techniques que tu maîtrisais devaient représenter ton âme. Ainsi, un combat est un moment intime où tu partages les recoins de ton cœur avec ton adversaire. Du moins, c’était son point de vue, que tu partages désormais, car il est vrai que tu apprends à connaître une personne en se battant avec celle-ci.

Rapidement, tu décidas d’aller dans la forêt toute seule, lorsque tes parents ne te surveillaient pas – c’est-à-dire, lorsqu’ils travaillaient. Au départ, ce n’était que pour t’entraîner, mais tu y pris rapidement goût. Tu désirais laisser l’énergie de la nature infiltrer ton corps, si bien que tu y allais régulièrement, et ce qui ne devait être qu’une journée parmi tant d’autre se transforma en une nuit, puis chaque nuit de la semaine. Dès que tes parents allaient se coucher, tu aimais y aller. Bien sûr, tes parents remarquèrent rapidement tes fuites nocturnes. Cependant, ils comprirent que c’était important pour toi, car ce « dialogue » - ou devrais-je plutôt dire monologue – avec la nature t’apportait de la paix et te permettait sans doute de ne pas souffrir aux critiques des autres.

Tu désirais devenir ninja de plus en plus, et ce souhait ne te quitta pas, si bien que, bientôt, ce but est devenu une obsession. Tu n’arrivais plus à dormir, et même tes « discutions » avec les éléments de la nature ne te permettaient pas d’obtenir le sommeil. Alors, tu commenças à consommer des herbes. Ô, au début, c’était tout à fait innocent, juste un peu de camomille pour pouvoir dormir. Mais rapidement, ça devint aussi une obsession, et tu désiras consommer d’autres plantes, plus « fortes » en sensation. Tu prenais des petites quantités dans la réserve de tes parents, si bien qu’ils ne s’en apercevaient pas.

Tu devais avoir environ douze ans lorsque tu passas pour la première fois le test de Genin. Et tu le ratas. Tu n’avais pas mis tout ton cœur, cependant. Ce ne fut pas réellement une déception, car, à ce moment, tu ne désirais pas le devenir. Rentrant chez toi pour « pleurer » cet évènement, tu vis que ta sœur allait se marier. Ainsi, ta famille te dit qu’elle était désolée, mais pas autant que tu l’espérais. Le sentiment de solitude qui t’as accompagné toute ta vie s’accrut soudainement et, cette sensation de rejet te poussa à consommer pour la première fois une drogue. Ne comprenant pas pourquoi tes parents, qui pourtant la cultivait, t’interdisait d’en prendre, tu vis là un moyen puéril de les défier, car tu n’as jamais été une personne très violente, alors tu ne désirais te disputer directement avec eux.

Tes parents étant apothicaire depuis toujours, ils t’avaient appris à camoufler les effets secondaires « physiques » des drogues, et ainsi il leur fallut plusieurs mois pour comprendre ce que tu étais devenue. Une droguée. Voilà ce que tu étais alors.

C’était une nuit d’automne. Il faisait particulièrement lourd, mais le vent frais permettait un peu de l’oublier. À cette heure-ci, la plupart des personnes étaient en train de dormir. Mais toi, tu marchais tranquillement, en transe. Tes vêtements en lambeaux dévoilaient des morceaux de peau tandis que ta démarche pouvait paraître lasse. Ton regard était vide, sans émotion. Tu ne regardais pas vraiment devant toi, tu étais dans un autre monde. Un doux sourire s’affichait sur tes lèvres, et tandis que tes cheveux ébouriffés tombaient sur ton visage, tu n’avais jamais paru aussi folle que cette nuit-là. Et tu l’étais. Les rues étaient peu éclairées par ces vieux lampadaires qui donnaient l’impression d’être plus âgé et rongé par la rouille que n’importe quoi dans le petit village.

Soudain, tu croisas ta sœur. Que faisait-elle là ? Tu n’en savais rien.

-Konohana-Ayame !

Car oui, ta sœur avait tendance à t’appeler par ton nom complet, et non Konohana comme tes parents. En effet, ceux-ci, à ta naissance, ne sachant s’ils devaient t’appeler comme ta grand-mère maternelle ou paternelle, décidèrent d’unifier les deux prénoms. Que ce soit légal ou non, ils n’en savaient rien et, de toute façon, on t’appelait plus Konohana plutôt qu’Ayame, sans raison valable. Ils disent que c’est parce que tu avais souris lorsqu’on t’avait dit ce prénom. Quoi qu’il en soit, tu n’as que rarement entendu quelqu’un t’appeler par ton prénom entier, sans doute parce que ce n’est pas usuel.

-Naoko, tu t’es perdue?
- Mais que… Tu as perdu la tête ? Quelqu’un pourrait te voir ! Tu as vu ta tenue ? Tu devrais avoir honte ?
- Ah !
tu t’approchais peu à peu d’elle en riant comme une demeurée, possédée par la drogue. Peut-être. Huuum. Tu sens bon. Je m’ennuie. Viens, on va jouer.
- Lâche-moi ! Tu es saoule, on rentre !
- Ne me donne pas d’ordre !
Tu la giflas. Tout ça, c’est de ta faute. Ils m’aimaient, avant ! Mais fallait que tu te maries, bien sûr ! Tout ça c’est de ta faute ! Mais le lapin sort de son trou. Ah ! Tu crois que la brebis est plus faible que le loup. Ahah ! Mais c’est la brebis qui mange le loup dans la vraie vie ! Ah ! Tu n’avais pas pensé à ça, hein !
- Tu délires ! Tu es folle ! Je le savais !
- Ne m’appelle plus comme ça !
hurlas-tu. Tu sortis un kunaï et le pointas à la gorge de ta sœur. Je vais te tuer. Je vais te tuer ! Fuis !

Tu jubilais. L’idée de chasser ta sœur te remplissait d’adrénaline. Tu n’avais jamais senti ça et, plus tard, lorsque tu penseras à nouveau à cet évènement, tu en auras peur, car tu appris qu’au fond de toi, régnais un désir de meurtre. Tu voulais la tuer et, bien que la drogue ait diminué ta capacité de jugement, tu te demandais maintenant si c’était bien à cause de ça. Si tu n’étais pas… réellement une meurtrière. D’ailleurs, tu aurais pu la tuer. Certes, elle avait six ans de plus que toi. Mais elle n’avait jamais appris à se défendre. Toi, tu as appris l’art du ninja. Et surtout étais armée d’un kunaï de ton père.

Quoi qu’il en soit, heureusement, ton père arriva. Il était partit chercher Naoko, qui devait être rentrée depuis une bonne demie heure. En voyant ce que tu t’apprêtais à faire, il te plaqua contre le mur, si violemment que tu perdis conscience. En te réveillant, tu te promis que plus jamais tu ne consommeras autant de drogue. Tu demandas des excuses à ta sœur et partit vivre à Iwa, décidant que ta place n’était plus là-bas. Que ce village faisait remonter en toi tout tes aspects mauvais.

Te voilà donc à Iwa, où tu poursuivis ta formation. Puisque tu n’étais pas Genin, tu repassas le test. Tu avais alors treize ans. Et cette fois-ci, tu désirais réellement le réussir ; c’est donc sans surprise que tu le réussis. Tu restas dans la capitale pour devenir plus fort et monter en grade. Tu ne consommais plus vraiment de drogue, juste de temps en temps, lorsque personne ne te surveillait. Mais il fallait être prudent, pour que personne ne s’en rende compte.

Lorsque la Quatrième Grande Guerre Ninja commença, tu ne pus t’empêcher de ressentir de la peur. Après tout, c’était ta première guerre. Néanmoins, tu savais que tu devais donner le meilleur de toi-même. Ta survie en dépendait. Mais aussi celle de tes camarades. Tu ne pouvais pas simplement les laisser faire et ne donner qu’une petite partie de tes capacités, pour pouvoir mieux fuir. Oh, tu aurais pu le faire, bien sûr. Mais à quoi bon ? Vivre en tant que lâche ? En tant que traître ? Tu ne voulais pas de ça. Non. Agis de façon à ce que tu puisses vivre avec les conséquences de tes actes…



Physique & Caractère

Comment décrire une personne en quelques lignes seulement? On ne peut que faire un léger sommaire de son caractère, mais la seule façon de réellement le connaitre, c’est de vivre avec elle, non ? Cependant, il est vrai, que parfois il peut être utile de connaitre ne serait-ce qu’un peu la personne qu’on va rencontrer avant ladite rencontre ; alors, en ces quelques mots, j’essayerais du mieux que je le puisse de vous décrire Konohana-Ayame Emiko Hanako Kaya Hasegawa.

Voyez-vous, cette jeune fille peut paraitre équilibrée lorsqu’on la croise : elle ne se fâche ou pleure que rarement – en publique du moins – et bien qu’elle n’affiche non plus forcément un sourire, sa voix reste calme, douce, et n’hausse jamais le ton. Mais ceci n’est qu’une image car, comme sa mère lui disait souvent, ce monde est basé sur les apparences. Soit une personne charismatique et attrayante, et à toi le succès. Une façade, voilà ce que c’est. Car la réalité est toute autre.

Sa sœur la prenait pour une folle. Peut-être avait-elle raison. Elle n’avait que faire de ce qu’on pensait d’elle. Non, elle n’est pas ce genre de personne, qui se préoccupe de son image, ce qui, vous me direz, est incompatible avec ce qui est dit plus haut. Or, je n’ai pas dit qu’elle contrôlait ses émotions pour qu’on ne la pointe pas du doigt, mais simplement pour ne pas aller à l’asile. Incompréhensible, aussi. Les idées ne se suivent pas dans un ordre logique. Elle peut penser à un chien et, la seconde d’après, se demander s’il pleut à l’autre bout du monde. Généralement, elle pense à ce qu'elle va dire avant de le faire, c’est ce qui la permettait de ne pas rentrer directement à l’asile. Cependant, il lui arrive de lâcher une ou deux phrases sans vraiment le vouloir, voilà pourquoi les gens ont généralement l’habitude de dire qu’elle est « bizarre ». D’ailleurs, elle l’est sans doute.

Trop franche, aussi. Il ne lui arrive pas à l’idée de mentir aux autres. Si un enfant lui demande si son dessin est beau, et elle ne le trouve pas réellement attrayant, elle lui répondra que non. Ce n’est pas de la méchanceté, mais pourquoi lui cacher la vérité ? Ça ne fera qu’accroître son égo. Ô, bien sûr, elle est capable de mentir. Je ne dis pas qu’elle ne l’est pas. Lorsqu’elle donne sa parole, elle tient sa promesse coûte que coûte. Donc si on lui demande de garder un secret, elle le gardera.

La nature l’a toujours attirée. Elle grandit sans suivre les règles humaines, s’infiltre partout, dès qu’elle le peut, vit librement. Elle y voit une férocité, une sauvagerie qu’elle apprécie. Elle aime passer ses nuits dans la forêt à écouter la nature, à sentir l’herbe sous ses pieds, le vent jouant avec ses cheveux, le feuillage caressant sa peau nue. Lorsqu’elle regardait le ciel, elle restait submergée par la beauté des étoiles, regardant celles-ci sans pouvoir relâcher son regard, se demandant combien d’étoile il pouvait bien y avoir, se promettant bien naïvement qu’un jour, elle touchera ces astres.

Ce n’est pas une personne méchante. Elle est simplement différente, il faut juste apprendre à la connaître, et alors son sens de l’humour un peu décalé et son manque de tact pourra vous montrer qui elle est réellement, outre ces préjugés sur sa « folie ». Car, lorsqu’on la connait, c’est une personne gentille, certes un peu naïve, mais altruiste. Douce, tranquille, sa simple présence est apaisante. Joyeuse, elle aime rire et dire des blagues, parfois pas très marrantes, certes. Elle n’est cependant pas une de ces personnes énergétiques qui bougent partout. Certes, elle est heureuse, mais plus calme…

En outre, elle aurait être intelligente, si elle avait été dotée d’une plus grande cohésion dans ses pensées. Car dans ses mouvements, c’est tout autre chose. Lorsqu’on lui demandait si elle avait pris des cours de danse pour être si gracieuse, elle avait l’habitude de répondre qu’elle ne faisait qu’exprimer les sentiments de la nature, ce qui accentuer sur le fait qu’elle est assez étrange. Selon elle, ce sont ces « discutions » avec la nature qui lui ont permis d’être ainsi. En effet, elle aime danser après être passée quelques bonnes minutes seule, dans la nature.

Ses longs cheveux bleus caressaient doucement ses mollets à chacun de ses mouvements, et prenaient une allure platine la nuit. Ses yeux, d’un bleu plus vif que sa chevelure, plus clair, azur, plus profond, n’exprimaient que rarement des émotions en publique. Souvent dans le vide, on disait d’elle qu’elle est lunatique. Et c’est vrai. Konohana est lunatique, souvent à penser à quoi-que-ce-soit. Et inutile de lui demander à quoi, car, un jour, un jeune homme le lui a demandé. Et lui a répondu qu’elle se demandait si les âmes des papiers souffraient lorsqu’on écrivait dessus, ou si alors elles ressentaient un profond sentiment de joie au contact de l’encre. Par la suite, il ne lui a plus jamais parlé, voyant qu’elle était sérieuse.

Quoi qu’il en soit, son doux et fin nez se situe environ au milieu de son visage, juste au-dessus de ces lèvres sucrées qui ne s’étirent que légèrement en un fin sourire, ne dévoilant que rarement ses dents couleur perle. Sa peau a la couleur de la crème et est aussi douce que la soie. Ses fins doigts, aussi agiles qu’elle est gracieuse, lui ont rapidement permit à montrer certaines compétences au massage. Cependant, elle ne l’envisagea jamais comme métier et, rapidement, cessa de masser ses parents, si ce n’est certains jours particulièrement épuisants. Sa poitrine n’est pas des plus avantageuse, certes, mais n’a rien à envié à celles-ci. Quant à son style vestimentaire ? Ma fois, ça dépend des jours, logiquement. Mais, cependant, on peut dire qu’elle ne prête pas souvent attention à ce qu’elle porte. À quoi bon, de toute façon ? elle est une ninja, désormais, et c’est beaucoup plus important que sa tenue vestimentaire, sans oublier le fait que ses vêtements pourront très facilement se salir, et ce, très vite. Vaux mieux donc s’habiller avec des vêtements confortables qui n’entraveront pas ses mouvements afin d’éviter de mourir stupidement dans un combat, faute d’avoir pu éviter une attaque à cause d’une jupe trop serrée ou quoi que ce soit. Enfin bref…



© A.T.O


Dernière édition par Konohana-Ayame Hasegawa le Lun 8 Oct - 0:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyDim 7 Oct - 20:59

Bonjour, bonsoir : )
c'est pour dire que j'ai terminé ma présentation. Voila, merci beaucoup *o* Bonne lecture, et j'espère qu'elle vous plaira, même si je ne le pense pas * paan*
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Raimei Hokoru
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyDim 7 Oct - 21:31

Hola !


Globalement, je n'ai pas grand chose à redire sur ta présentation. Tu as intégré rapidement le contexte du forum à la fin de ton histoire, ce qui est un bon point. Je trouve ton personnage assez intéressant. Je regrette juste une ellipse assez large sur sa progression au sein de Iwa : cela aurait pu m'aider à te placer sur l'échelle de grade.

J'ai apprécié l'emploi de vocabulaire varié, pour l'histoire comme pour les descriptions. Cela a rendu la lecture très agréables à mes yeux. De plus, la narration à la seconde personne dans l'histoire est quelque chose d'assez original et j'ai aussi aimé ça.

Pour ma part, je pense que tu vaux au moins le rang de Chunin. L'âge de ton personnage pourrait corroborer avec Junin également, mais l'ellipse large faite en fin de présentation me laisse dans le doute. Cela dit, si un autre collègue estime que Junin est valable, je serais d'accord.

Voilà voilà, attends un autre avis.
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyMar 9 Oct - 0:44

Bienvenue sur NS

Personnellement, je ne suis pas aussi enthousiasme que mon comparse. L'histoire ne m'as pas accrochée plus qu'il faut, le style d'histoire rp et le changement de narrateur m'ont franchement dérangé. Quelques fautes globales qui auraient pu être éviter sur une relecture. Ton intégration à Iwa se fait beaucoup trop facilement à mon humble avis. On ne débarque pas comme ça dans un village qui n'est pas le notre en disant ; Hey je veux devenir ninja, prenez moi.

Tes descriptions ont un peu rattrapé le tout, bien ficelés et complètes.

L'intégration à Iwa serait à revoir.


Je reste sur l'idée de Chuunin, aussi.

Attend l'avis d'un admin ^^
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyMar 9 Oct - 1:14

Bienvenu sur Ns,

je n'ai pas grand chose à ajouter et je me range plutôt du côté de Karin. Je pense que tu as un style particulier, soit on l'aime, soit on ne l'aime pas. Personnellement, je n'ai pas accroché. Je pense qu'il y avait trop de "toi/tu" qui alourdissaient au final la lecture. Y a le style rp, inclure des dialogues dans l'histoire, très peu pour moi. Néanmoins, je suis capable de dire que tu as une certaine qualité d'écriture qui est appréciée.

Je plussois Karin sur l'intégration à Iwa, il faut vraiment plus pousser le tout. Arriver dans un village caché ne se fait pas super facilement, même si on habite le pays.

Je te laisse élaborer un peu plus ça et je repasse pour la validation =)
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyLun 15 Oct - 9:10

Bonjour,

nous attendons les modifications.
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself EmptyLun 22 Oct - 9:11

Bonjour,

je déplace.

Il te sera possible de récupérer le tout en mp un membre du staff.
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MessageSujet: Re: [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself   [Terminée] When you smoke the herb, it reveals you to yourself Empty

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