Un Sensei? (PV Mystogan)

Un Sensei
Sakunie Yuurei

U n nouveau logis…Et maintenant un nouveau départ, un pas vers la voie du Shinobi. Elle avait finalement prit son courage à deux mains, mettant le pas dans le bureau de l’Hokage, toujours une mine sévère cette femme… La jeune fille avait osé demander, après un long silence, à être dans une équipe. Le regard vers le bas, les joues rosée par la gêne, lorsqu’elle entendit un ‘’oui’’, sa tête se relevait de surprise, les yeux ronds.

« P-our de vrai? Osait-elle demander.»

L’hokage fit un signe positif de la tête, donnant ensuite le nom, puis l’endroit de la rencontre. Dans le village… Ce n’est pas une place que Sakunie aime bien, mais elle pouvait bien se forcer un peu, elle allait avoir un sensei! Vous imaginez?! Un sensei! Elle qui croyait se faire balayée et châtié à jamais pour avoir été impliqué dans une merde de criminel…

« Merci ! Dit-elle en souriant. »

Cette nuit, elle avait bien dormit dans son petit lit, rempli de fleurs. Une nuit sans rêve, mais mieux que son habitude. Se levant, elle se préparait, se rafraîchit un peu, regardant l’heure.

« Merde j’vais être en retard ! Criait-elle en engloutissant son déjeuner. »

Sakunie fit son lit, laissant la vaisselle trempée. En fermant la porte, elle jetait un dernier coup d'oeil à ses rubans qui la caractérisaient des autres, puis verrouillait la porte pour sortir. Une grande inspiration, qui pourrait bien être son sensei? En marchant, elle s'imaginait pleins de visages, de vêtements, parfois très drôle, peut-être avait-il une barbe? Elle était d'un positivisme hors du commun! Cependant... Et s'il était une merde? Un mec qui profite et qui la regarde de haut? Elle grinçait des dents et serrait les poings, ''Je lui casserais les dents!'' dit-elle. Rien ne vaut la peine de s'exciter... Elle verrait bien de quoi il est... Observant l'heure, elle pressait le pas en marmonnant des injures, puis arrivait finalement, le dos courbé, les mains sur les genoux, en respirant fort.

« Mais bordel d’heure stupide qui passe trop vite! Dit la Kunoichi en regardant aux alentours, il restant encore quelques minutes, soit elle ne l’avait pas vue, ou il n’était pas encore arrivé »

Une disciple ?

Le jour se levait à nouveau paisiblement sur Konoha. C'était le matin et pourtant ! Un soleil de plomb s'abattait en ce jour avec lourdeur.Bien que l'appartement assombrit par des rideaux opaques drainaient une grande partie des rayons de l'astre. Les fruits desséchés des arbres s'étendaient à perte de vue. Une intense chaleur écrasante parcourait les pores du Chuunin, la réchauffant par la même occasion. Ce matin, un petit thermomètre situé sur la fenêtre de sa chambre d'hôtel indiquait que la chaleur extérieure avoisinait les cinquante degrés, oui cinquante degrés ! Lui, dont le visage était perlé de sueurs et qui fut toujours hanté par les fantômes du passés, peinant à trouver un quelconque repos à la nuit tombée. Bref, toujours est-il que malgré sa non disposition à enseigner qu'il clamait haut et fort, l'homme à l'écharpe était avant tout Shinobi du village, par conséquent un fardeau lui fut imposés, un élève eut-il comprit dans la lettre de l'Hokage. Portant rapidement à sa bouche un fruit dont la couleur n'était plus à décrire avant de se vêtir de son accoutrement habituel, écharpe et bonnet, seul une ou deux mèches bleutés ainsi que ses yeux furent à peine visibles.

"*Humpf, j'ai totalement oublié ce problème.*"-Fit il épuisés de devoir se mouvoir en une pareille journée.

La porte s'ouvrit en craquant au premier mouvement, Mystogan était sur le départ. La puanteur de l'escalier de cet hôtel miteux le frappa comme un coup de poing dans la figure, lui qui rêvait presque éveillé en fut extirpé par la même occasion. L'homme se mit en direction des vastes terrains. Il allait mètre du temps peut être plus pour atteindre le lieu indiqué dans le plis de la princesse Tsunade. Chaque pas le vidait de ses forces. Ce jour-là, une paresse aiguë s'empara de tout son être, à tel point que par excès de zèle, il composa un seul et unique mudra nécessaire à l'une de ses technique Ninja. Un double apparut aussitôt, il venait à l'instant de réaliser un Bunshin. Ce dernier eut rapidement compris la situation et se dirigea sans plus attendre vers l'endroit ou son futur élevé devait attendre. L'original quant à lui marchait, se baladait, l'air de rien. Il fit une courte pause, balayant du regard le tapis de feuille qui le surplombait. Étonnamment son inquiétude le surplombait. Non pas pour lui et ce qu'il venait de faire, mais le disciple qui eut la malchance de l'avoir en tant que sensei. Un bref sourire se profila sur son visage avant qu'il ne reprenne route.

Bunshin:

Mon moi, l'original m'invoqua à nouveaux pour réaliser une tâche dont il ne souhaitait point exécuter. La chaleur était pesante, un horrible costume pesant, lourd y ajoutait certainement quelques degrés. Même moi le Clone éprouvait-là une certaine réticence à me rendre au point de rendez-vous. Je me haïssait, chaque parcelles de mon corps éprouvait une forte haine à l'encontre de l'original en cet instant! Bref, toujours est-il que j'étais en retard, un rire sournois se dessinait sur mon visage. Un sourire que personne ne pouvait observer sous cette hideuse écharpe verte. Quelques minutes après, je fus enfin arrivé sur le fameux lieu. Une pesante chaleur se fit sentir, aucune brises d'air, aucun nuage à l'horizon pour m'apaiser moi! un malheureux petit clone. Mes yeux se portèrent rapidement sur un homme, non une femme, une adolescente plutôt. Pressé d'en finir et n'ayant point de temps à perdre, mes lèvres brisèrent le silence.

-"C'est donc toi la malheureuse qui m'aura comme Sensei ?"disais-je froidement.

©Naruto Sensou/@SH

Un Sensei
Sakunie Yuurei

L a jeune Kunoichi trouvait le temps un peu venteux à son goût. Non qu’elle détestait, mais, ses yeux fermaient souvent, dérangeant ceux-ci. La tête un peu perdue, elle ne remarquait pas tout de suite que son cher nouveau sensei était arrivé. Il lui prit encore plus de temps, à comprendre la phrase, son caractère surgit.

«Oh, et bien je vais m'assurer d'être un joli poids que tu vas trimballer crois-moi! Dit-elle, une pointe de sarcasme, accompagné d'un clin d'oeil.»

A bien le détaillé...Ce mec semblait louche. L'air perplexe, elle le regardait de la tête au pied plusieurs fois. Il avait un feu sauvage aux lèvres pour cacher ainsi son visage? Elle dressait son corps sur la pointe des pieds pour voir une quelconque parcelle de peau, rien. Un peu agacée, elle soupirait. Sakunie était une jeune très curieuse, elle aurait bien aimé voir cette bouche. Elle réfléchit un peu, le temps que le sensei tente une nouvelle réponse. Son propos, laissait croire qu'il ne croyait pas être un bon sensei? Alors, pourquoi l'était-il? Sakunie eut, un bref instant, une expression surprise... Était-il obligé? Elle grinçait des dents. Dans le fond, il ne voulait peut-être même pas avoir d'élève. Heureusement, son caractère ressorti puis elle dit :

« Dommage, je suis pris avec toi maintenant. Dit-elle, un petit sourire en coin. »

La kunoichi tutoyais déjà son sensei, elle n'était pas gênée, ni timide. Ce mec ne l'intimidait point, contrairement à certains. Peut-être parce qu'aux yeux de la jeune fille, la phrase qui lui était adressée avait donné l'impression d'une faible estime de soi. Par contre, si elle ne pouvait pas voir sa bouche, ses yeux étaient beaux. Ses cheveux semblaient aussi être doux. N'allez pas croire qu'elle a un coup de foudre, mais détaillé les gens qui l'entourent était comme un réflexe naturel pour la Konohajin. Un détail restait chez la jeune, elle était incapable de le regarder dans les yeux. Aussitôt qu'il semblait la regarder, elle sursautait légèrement puis regardait ailleurs. C'était là la faiblesse de Sakunie, pas timide cette fois, mais toujours incapable de regarder un homme dans les yeux.

Elle croisait les bras, un air toujours perplexe, quelque chose lui tapait sur les nerfs. Peut-être sa curiosité… Mais aussi.

« -Qu’est-ce qui me dit que tu n’es pas quelqu’un d’autre? Avec ce foulard, peut-être n’es-tu pas mon sensei? Demandait-elle, la bouche en rictus d’incertitude. »

Sa confiance était dure à gagner. Cette question en fut la bonne traduction. Incertaine et méfiante était les deux mots qui la caractérisaient pour le moment. Peut-être était-ce un mauvais coup? Une mauvaise blague?

Une disciple ?

Je n'avais pas d'expérience à proprement parler en tant que Sensei, moi qui fus façonné afin d'éprouver et surtout ne jamais faire par du moindre sentiment à autrui. C'est ainsi que moi et chaque membre formé à la racine étions machinalement programmé. Je me trouvais là, devant cette jeune Kunoichis qui désirait tant que je lui enseigne l'art Shinobi, savait-elle au moins dans quoi elle s'aventurait, qui j'étais ? L'ordre était la base de tout dans le monde Shinobi, j'en fus persuadé, nous, ceux qui étaient de la racines l'apprenions de génération en génération et travaillions dans l'ombre lorsque cela s'avérait nécessaire. Du moins, c'est ce que répétait à longueur de temps celui qui fut autrefois chargé de m'inculper les valeurs fondamentales du Shinobi. Ce fut donc avec surprise que je pus entendre mon nouveau disciple me tutoyer, comme un vulgaire camarade de classe. Elle avait du répondant, j'aimais ça! Mais je ne pouvais certainement pas laisser les choses se dérouler ainsi il fallait la façonner à mon image, la discipliner mais cela nous verrions plus tard, il y avait plus urgent. Tandis qu'elle sautillait bêtement dans l'unique désir d'observer les traits de mon visage comme bien d'autres avant tentèrent, je m'avança lentement. Mes mots brisèrent le silence, sonnant également la fin de la récréation. Ces paroles froides et glaciales pouvaient certainement, pour une gamine de son âge paraître sec mais, la réalité était ainsi et je ne souhaitais, pour l'instant, aucunement changer mon attitude envers elle.

""Si je ne suis pas ton Sensei, voyons tant de gens que ça veulent être ton tuteur,Hum ? Bref, sache qu'avec moi les entraînement ne seront point une partie de plaisir. J'ai eu vent de toi et tes frasque avec un certain Amatera. Tu as bien de la chance d'avoir survécue cependant, sache qu'il arrivera un jour ou tu ne pourras que compter sur toi, tes propres capacités. Prendre ton destin en main ou c'est lui qui te brisera!"

Je me devais d'avoir une idée approximative de ses capacités réelles au combat. Bien qu'étant un clone, je connaissais mes limites, mes restrictions, nous devions commencer par les bases même de la maîtrise du chakra quoi de mieux qu'un combat.

"Le contrôle du chakra passe par la maitrise de ton corps, de ta respiration de ton rythme cardiaque, ceci ne s'acquiert que par l'exercice physique. Utilise toutes tes techniques. Pour rendre la chose intéressante, ton objectif sera de me retirer ce bonnet et cette écharpe."

©Naruto Sensou/@SH

Spoiler:

Un Sensei
Sakunie Yuurei

L a jeune se croisait les bras, pas très enchantée de ce que venais tout juste de dire son nouveau sensei. Elle le fixait de son regard, il la prenait pour quoi? Une petite enfant qui avait souhaité tomber dans les pattes de ce criminel? Elle l'observait longuement sans dire un mot, ce qui ne lui ressemblait pas et laissait une atmosphère un peu plus lourde. Finalement, elle brisait ce silence, ne pouvait pas ravaler les paroles de l'autre.

«Je compte déjà que sur moi, tu crois vraiment que je comptais que là-dessus? Tu me crois dépendante c’est ça? Dit-elle d’un ton tranchant, les bras toujours croisés.»

Elle émit un profond soupire. Pourquoi est-ce que ceux de plus haut rang devait faire comme s’ils savaient tous sur tout… Elle écoutait ses dires, sur le combat et tout… Rien de nouveau pour le moment, les informations basiques elle en avait lu. Cependant, elle fut surprise d’entendre qu’elle ne pourrait pas utiliser ses techniques, mais tout en essayant de prendre le bonnet et le foulard. Sakunie affichait un regard interrogateur.

« Comment je vous piège si je ne peux pas utiliser de mes techniques? Vous venez juste de parler de ... hmmm... S'interrompit-elle, en pensant déjà à une petite stratégie. Alors je ne dois pas utiliser de mon affinité c'est bien cela?»

Peut-être que le sensei avait une affinité plus faible qui sait? Une chose était sûre, la jeune Kunoichi c'était un peu calmée. Oui elle était toujours en colère contre l'autre, mais il ne l'a connaissait pas, qu'il pense ce qu'il veut, Sakunie ne fera rien pour résoudre ce problème, jusqu'à ce que s'en soit trop. En attendant la réponse de son nouveau sensei, elle réfléchit encore pour établir un bon petit plan, qui ne manquait que la réponse du sensei sans nom. La Konohajin sursautait de surprise, elle ne savait toujours pas son nom...Rien de basic. Comment ferait-elle dans ce cas pour déterminer une bonne stratégie.... Sakunie réfléchit longuement, elle devait établir une stratégie que serait généralisée pour tous, et ensuite qu'elle adapte celle-ci. Cependant, elle n'y avait jamais pensé avant. Dans un soupir, elle ne comprenait pas trop ce qu'elle devait faire, mise à part retirer ce foutu écharpe et bonnet. Sans techniques. Un nouveau soupir, elle se mordait la lèvre pour vite trouver une stratégie, elle restait plantée là.

Intéressant

J'avais étrangement décider de devenir Sensei, cependant, je fus à mille lieux de m'imaginer que cela se déroulerait ainsi. J'allais en premier lieu le regretter et amèrement, pourquoi donc penserez-vous ? C'est simple le 5 ème Hokage, Tsunade-hime m'avait fait par d'un cadeau, un vrai de vrai. Une Génin des plus têtue, Yuurei Sakunie, cette petite avait du répondant et ne semblait être nullement intimidé par mon rang ni même par mon allure. Tandis que je portais un regard pensif sur la suite dès évènements porter, pour être franc la moindre attentions aux mots qu'elle pouvait déblatérer. Toutefois, elle put par, je ne pourrais vous dire quel miracle, m'extirper de mes pensées. Elle parlait et parlait sans cesse sans répit bien que je détestais cela, je ne sais pourquoi, je l'aimais bien et savait qu'elle ferait en fin de compte une excellente disciple. Pour être franc ! Je fus à ma propre surprise déçu que l'original revienne comme par enchantement, c'est dire. Tandis que au fur et à mesure la présence de l'original se faisait plus présente, j'éprouvais un sentiment de regret, apprendre à cette petite fille deux trois "trucks" m'aurai permis de tuer le temps, cependant c'était ainsi. Au final n'étant qu'un double, une vulgaire copie, dans cette histoire, me taire était la seule option possible. Je m'effaça donc dans un imposant panache nuageux.

Le clonage était véritablement une technique utile, que dieu bénisse son créateur. Cette dernière permettait à son utilisateur, si ce dernier avait un emploi du temps charger, d'un rapide dédoublement de sa personne, lui octroyait la possibilité de réaliser nombreuses tâches au même instant, mais également à une cadence élevée. Y a pas à dire, le Chuunin ne regrettait en aucun cas sa nouvelle trouvaille. Alors qu'il se trouvait toujours à quelques mètres de son nouveau et premier disciple, l'homme aux faciès masqué reçu toutes les informations qu'avaient réunit son double. L'aspect de du génin, pour autant que le clone eut à en juger, semblait positif. La gamine, en tout cas avait du cran ! Un légers sourire se profila sur ses lèvres, bien qu'elles n'étaient en aucun cas visible pour la fillette à la chevelure rose. L'apprenti semblait-avoir gagné le respect et l'estime de son tuteur qui prit la peine de se présenter.

"Heuuh, Moi c'est Mystogan enfin... Oui tu peux m'appeler ainsi, je vais être ton tuteur à partir de cet instant. Désolé d'avoir utilisé un clones mais, d'importantes tâches nécessitaient ma présence ailleurs, j'en suis réellement navrés."- Dit-il en tentant désespérément de faire passer de l'émotion dans le timbre de sa voix. Puis, il enchaîna sans même marquer un temps de repos. "Je vois que finalement vous alliez débuter un entrainement toi et mon clone, laisse tomber, j'ai une bien meilleure idée".

Ce n'était pas des paroles prononcées dans le seul et unique but de brasser l'air, et non vous ne rêvez pas, l'homme à la chevelure marine vient bel et bien de s'excuser. Mais cela lui parut futile et sans importance sur l'instant. Un demi-tour rapide l'orientât en direction des terrains d'entraînements. La suite allait être passionnante pour Jellal.

Naruto Sensou/@SH

Spoiler:

Un Sensei
Sakunie Yuurei

S akunie réfléchissait longuement, pourquoi ne voulait-il pas qu’elle utilise de son affinité? En fait, elle en eut la preuve, vu que son sensei partit en fumer. Son visage vint tranquillement, du menton, jusqu’au front, rouge. Les yeux grands ouverts elle allait sortir les plus grandes insultes de tous les temps. Soudain, les excuses furent prononcées. Un soupir de relâchement, il s’en était fallu de peu pour qu’elle perde son sang-froid disons-le. Elle reprit tranquillement sa couleur blanche, puis l’observait. Avait-elle vraiment besoin de se présenter?

« Bof, Sakunie, mais ça, tu le sais déjà. Dit-elle, comme un certain reproche, avec une pointe d’amusement.»

Elle n’aimait pas les fouineurs. Quoiqu’elle-même était une curieuse, elle n’allait pas fouiller partout pour rien. Au moins elle avait l’avantage de se connaître elle-même, quand même… Il y a des limites au savoir de Konoha quant à elle. Écoutant ce que le sensei avait déduit de son échange avec le clone, elle roulait légèrement les yeux, ce qu’il était perspicace! Mais le fit subtilement. Ce mec gagnait dans la confiance de la jeune fille, et aussi dans le respect, alors le vouvoiement était quand même présent de temps en temps.
Les derniers mots de la phrase prononcée par Mystogan la laissaient pendouiller de curiosité. Avait-il trouvé meilleur entrainement? Elle jubilait d’impatience de voir à quoi cela ressemblait, elle qui avait toujours combattu seule, entraîner seule, fait toute seule. Cela serait une belle occasion de travailler un peu son travail d’équipe. Sakunie sentait que cela serait plaisant, depuis le temps qu’elle voulait tenter l’expérience. Certes elle était un peu déçue de ne pas pouvoir voir ce visage camouflé, mais le jour viendra. Elle suivit tranquillement son sensei, immense sourire, quoique penchant sadique, car ses vrais sourires étaient plutôt rares… Elle ne réussissait jamais à en faire un vrai. Derrière lui, elle continuait de marcher, une marche d’impatience.

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