Firmness for his friends [Entraînement Solo]

Un matin comme les autres dans le village de Konoha. La guerre continuait son cours, bien que les deux camps étaient sous replies. Nous les membres de l’alliance shinobi qui menaient un dur combat dans le but de préserver le monde des satanés plans de Madara. Toujours pourvu de son masque orange en spiral, il était impossible de croire ce type mandater pour le dialogue, plutôt que l’action. D’abord son harangue sur les deux clans fondateurs de Konoha, puis ensuite l’explication de sa détermination pour capturer Kyuubi et Hachibi. Impulsif sur la réalisation de son projet, il n’avait pas manqué de provoquer le monde shinobi, de plonger l’humanité dans une guerre factice. On pourrait croire que ce geste et ce comportement, était pratiquement enfantin, mais l’ex leader du clan Uchiha, semblait savoir ce qu’il faisait. Nous prenait-il bien pour des naïfs, au point de lui faire confiance. Avant sous l’apparence de l’être puéril et agaçant qu’est Tobi, puis soudainement avec le visage d’un ninja légendaire. Avec ses capacités d’espace-temps, beaucoup plus performantes que celles du Yondaime, il était difficile de l’atteindre, même en groupe. Il arrivait aisément à nous barrer la route et nous empêcher de retrouver Sasuke, jusqu’à ce que ce dernier élimine son frère cadet, Itachi. Un ninja sombre, ayant décidé de porter le fardeau de son clan, en éliminant tout membre Uchiha. Itachi n’était surtout pas un adversaire facile, j’allais même succomber face à ce tenace guerrier, s’il n’y avait pas les collègues de Konoha. Et pourtant, Sasuke à lui tout seul avait réussi à le vaincre. Je savais que le survivant du clan Uchiha avait de l’avenir, mais je ne pouvais imaginer qu’il atteindrait un si haut niveau. Aujourd’hui, sous la manipulation de Tobi, l’adolescent agit inconsciemment pour le compte de cette maudite organisation. Même dépourvu d’une bonne partie de ses membres, notamment ceux lui étant indispensables, le leader de l’Akatsuki ne s’avouait pas vaincu, jouant ses dernières cartes. J’allais jusque à affronter mon propre élève, mais sans vraiment pouvoir le battre et même que j’allais me faire transpercer par l’une des flèches de son Susanoo, si je n’avais usé de mon précieux pouvoir qui m’octroi le Mangekyô Sharingan.

J’avais des ambitions bien guidées, aujourd’hui à Konoha. Mon but étant d’atteindre un niveau hors pair avec mon Kamui, maîtriser parfaitement cette dimension parallèle. L’utiliser sans vraiment être touché par un abus du jutsu. Aussi, je prévoyais d’atteindre la capacité qui pourrait sans doute me faciliter la tâche en combat, une autre façon de me téléporter à la vitesse de la lumière, tout comme Minato-senseï. Kamui, une technique spéciale, qui maintenant apparaît comme ma préféré, délogeant de son titre, le Raikiri. Sasuke avait pu bénéficier de ce jutsu via l’entraînement que je lui avais faire subit, je lui avais permis par la même occasion d’acquérir une seconde affinité. L’adolescent était l’élève sur qui j’avais tout misé, le meilleur parmi les trois que j’avais, le plus assidu, mais surtout le plus compatible pour suivre mes « sérieux » entraînements. Sa trahison m’avait poussé à vouloir me concentrer plus sur le dernier du clan Uzumaki : Naruto. Pendant que Sasuke traînait avec moi, s’entraînant dur, le fils de mon ex-maître profitait des conseils d’un grand sage, Jiraya-sama, le maître des invocations de crapauds. Un vieillard, un shinobi légendaire pour qui j’avais beaucoup de respect. Je ne pouvais imaginer avoir d’élèves rivaux avec lui… Ramener Sasuke, c’est surtout cette ambition que me pousse dans mes entraînements, même si pour le moment, tout le monde avait l’esprit sur la guerre. Moi, chef de division, je devais plutôt me préoccupé de mes troupes. Gérer beaucoup de ninjas, une chose plutôt difficile, même avec l’expérience que j’avais acquérir tout le long de ma vie de shinobi, même avec le titre que je possède possède, il restait tout de même difficile de s’occuper de plusieurs ninjas en même temps.

Je pris la porte de sortir de ma maison, empruntant un chemin vide, dirigé vers la stèle où fut gravé le nom d’Obito il y a de cela une vingtaine d’année. Ce fut tout de même un moment difficile pour moi, bien que je le dédaignais, la mort de ce défunt Uchiha n’avait pas arrêté de me perturber l’esprit. Je n’oubliais toujours pas de passer lui dire « bonjour », peu importe si j’avais un rendez-vous, qu’il soit important ou pas. Obito était quelqu’un d’un esprit dévoué, prêt à tout pour ses amis, il aurait donné sa vie pour sauver ses proches. En dépit de tous ces efforts qu’il fournissait, je le négligeais stupidement, sans vraiment connaître le sens de ses actions. A l’époque, j’aurai préféré mourir que lui ressembler, mais pourtant, aujourd’hui, certains gens me décrivent parfaitement comme lui, sans même avoir réellement connu le jeune homme. Oui, même à l’académie shinobi, personne ne faisait attention à lui. Tout le monde le méprisait, personne ne lui tendait l’oreille. Même qu’il essayait de se faire connaître, il n’y arrivait à rien… J’explique sa vie, comme-ci je l’espionnais… enfin peut-être oui, peut-être non. C’est un être que j’ai appris à connaître, former une équipe, c’est aussi ça. Sous les ordres du Yondaime, il était impossible d’éviter de travailler en équipe. Créer une bonne entente entre ses élèves, c’était le but premier de Minato, mais moi, j’étais beaucoup trop occuper à vouloir former une coalition avec cet ami, qui fut aussi un rival. Une rivalité portant un haut déséquilibre, j’étais le meilleur élève de tous, alors que lui était le dernier des cancres. Malgré la « chance » d’être dans le clan Uchiha, bénéficiant des précieux yeux écarlates, des talents impressionnants du clan, Obito n’était pas ce qu’on aurait espéré d’un membre de l’éventail… Je regrette toujours, pourquoi je n’étais pas présent pour tenter de l’épauler, l’aider dans les « lacunes » qu’il présentait dans l’art ninja. Un shinobi perdu parmi tant d’autres… Rin, aussi, celle dont l’assassinat fut un moment très difficile pour moi. Aujourd’hui encore, je n’arrive pas à comprendre, oui, on était faibles face ces nombreux membres de l’ANBU, mais en tant que prodige, le héros de l’équipe, j’aurai pu agit intelligemment… bien évidemment, la tué n’était pas la meilleur solution. Je regarde le soleil à l’horizon, puis je rejette mon regard juste sur le nom de mon ami. Je viens souvent le saluer et cela me permettait d’être encore plus motivé, même s’il s’agit de « jouer » avec mes élèves, Naruto et Sasuke, ainsi que Sakura.

Kakashi : « Yo, Obito, je passe te donner mon salut quotidien… J’espère bien que tu te portes bien de là où tu te trouves. Une nouvelle guerre a débutée et je me retrouve encore coincé dans les batailles de celle-ci. Si seulement tu pouvais là avec tes enfantillages, moi mon air stoïque et Rin notre pacifiste, qui aurait tout remis dans l’ordre, héhé » Me confessant à une tombe, tout en étant gêné de m’entendre moi-même. « En parlant de Rin, je dois aller la saluer aussi avant de partir, à plus tard ! » Donnant mon au revoir avant de me diriger sur la funeste tombe de la Nohara…

Déchargé de mes rendez-vous avec mes anciens coéquipiers, je pouvais maintenant continuer ce que j’avais débuté. Cet endroit était aussi un de mes plus précieux. En effet, ce fut ici que la team Minato s’était regroupée pour la première fois, marqué par le retard d’Obito. Lui et ses multiples projets. L’Uchiha n’avait jamais hésité à donner des explications à ses fréquents retards, mais en plus, il ne perdait pas de temps à se présenter, dès qu’il fit vu. Etre Hokage, tel était son nindô, le but qu’il voulait atteindre. Dans mon ancienne personnalité, j’avais tout de suite qualifié mon ami d’utopiste. A mon humble avis, il était beaucoup trop faible pour finir un jour chef d’un grand village comme Konoha. Je trouvais ses paroles insensées. Quoique, je faisais fausse route. Aujourd’hui, je l’ai bien compris, ce qu’il disait. Un rêve n’est possible à réaliser que si l’on s’y donne à cœur joie, si on veut vraiment l’atteindre. Mon élève du clan Uzumaki en est une parfaite preuve. Et que même, que c’est Obito, qui m’a fait croire en Naruto. Bien que dernier de sa classe, le cancre de sa promotion, il se trouve être le héros de Konoha. Le seul qui ait réussi à nous sauver de l’assaut brutal et très direct de Nagato, pseudo chef de l’Akatsuki. On avait perdu tout espoir, lorsque le blondin fit son apparition, au plus grand soulagement de tout le village. Suite à ce combat, je ne pouvais qu’être fier de lui. Il avait agir en tant qu’un chef, même Tsunade-sama avait tout misé sur l’adolescent.

Cette aire d’entraînements était aussi le point de rendez-vous de l’équipe 7. C’est ici qu’on avait réalisé l’examen des clochettes, qui fut bien évidemment un échec de la part des Genins. Un examen qui était censé les permettre de travailler en équipe, leur permettre de créer leur propre coalition, comme le faisait si bien le Yondaime avec nous ; par contre, les jeunes shinobis n’avaient encore rien compris à cela. Ils n’avaient pas su travailler en harmonie… Cet endroit est aussi là où moi et Gai organisons très souvent nos défis enfantins. Défis puérils dans le sens où les épreuves n’ont aucun but précis, aucun sens et plus subtilement épuisants. Mais ça, ce n’est que mon point de vue, qui soit, le maître du Taijutsu voit les choses différemment que moi. L’écart entre nos visions est assez grand, car celui-ci voit en ces défis, bien plus que quelque chose d’enfantin. Criant toujours à la rivalité, essayant désespérément d’être meilleur que moi, me surpasser. Ce qui est, malheureusement, impossible. Son propre décompte des scores, lui montre clairement que j’ai plus de victoires que lui, à ses propres « jeux ». De toute façon, l’homme au collant vert n’est pas prêt d’abandonné, du moins, pas tant que je serai devant lui au score. Mais ce qui pourrait paraître étrange, c’est que je n’ai cependant pas envie de me faire dépasser par Gaï, bien que je porte moins d’importance à ses enfantillages, je me donne toujours au meilleur de moi pour le vaincre, tant que je peux. A quand s’arrêtera notre rivalité…?

Cependant, je restais toujours dans l’impasse, sur ce que j’allais faire vraiment ici. Entraînement, je l’avais déjà décidé, même que ce sera sur le Kamui, mais comment le faire, la procédure ? Je mis mes mains dans les poches, alors que je regardais le ciel à l’horizon. C’était ma façon à moi de réaliser une réflexion, quoi faire et comment le faire. Depuis toujours, ce fut le cas, même lorsque je devais apprendre ma technique foudre qu’est le Chidori ou Raikiri si vous voulez. Technique surpuissante, qui après entraînement rude, me permit d’atteindre un grand niveau, stade qui me permis de fendre la foudre en deux. Cette technique est certes assez puissante pour vaincre rapidement un adversaire, mais elle s’avère aussi être dangereuse pour l’utilisateur. Sasuke ayant hérité de la technique n’a cependant pas pu atteint le même niveau que le mien. Mais ses capacités avec cette technique Raiton, s’avéraient être puissantes, lorsque je le rencontrais à nouveau pour la dernière fois, avant cette facheuse guerre shinobi. L’Uchiha avait réussi à façonner son Chidori en plusieurs façons, selon ce que j’aurai appris sur lui, en tant que ninja déserteur. En senbon, en lame, en épée, sur tout son corps… Bien évidemment, même moi, j’aurai jamais espérer atteindre un tel niveau avec ma propre création. Comme quoi, l’élève a surpassé le maître !

M’enfin, mon entraînement n’allait pas se baser sur ça. Ce n’est pas en apprenant cela que j’allais à présent courir après de tels apprentissages. Le Raikiri me suffisait certainement déjà. Perforer le cœur des gens avec facilité, c’était déjà mieux que d’apprendre à se façonner plusieurs autres Chidori. En plus d’avoir un si faible chakra et dire que le jutsu en requiert pas mal. Sasuke est certainement devenu assez aguerri pour posséder autant de chakra, pour déjà utiliser le Mangekyô Sharingan, avec ses légendaires pouvoirs, en plus d’utiliser le Chidori sous plusieurs formes, sans compter les dévastatrices techniques du répertoire Katon que possède son clan. Les Uchiha n’auront pas fini de nous surprendre, posséder du chakra faisait aussi partie de leurs multiples capacités ? Enfin, c’est tout de même l’un de leurs pouvoirs me rend à présent encore plus puissant que je ne l’étais dans mon enfance. Capable de copier les jutsus élémentaires, en plus du Genjutsu et du Taijutsu, comme tous les autres Uchiha, je reçu le surnom de ninja copieur. Les membres du clan à la pupille écarlate étaient aussi des copieurs, mais pas comme je le suis. Bien entendu, ceux-ci privilégiaient les pouvoirs du Mangekyô Sharingan, prêtant moins d’attention au pouvoir de copier. Néanmoins, certains Uchiha, comme mon ex élève Sasuke et son frère Itachi, avaient déjà copiés des jutsus. Moi, Kakashi Hatake, je n’ai juste fait de ça qu’une spécialité au combat. A un tel point, il semble impossible de me surprendre avec un Ninjutsu élémentaire, comme je l’ai bien montré à Zabuza, deux fois de suite, lors de notre premier combat (où il utilisa la grande cataracte) et notre deuxième (pour le dragon aqueux). Depuis la mort de Rin, où j’ai fini par atteindre l’acquisition du Mangekyô, j’ai – pendant le voyage de Naruto avec Jiraya-sama – développé une nouvelle capacité avec mon œil : le Kamui. Me permettant le contrôle de l’espace-temps, bien que pas vraiment parfaite, à cause de ses multiples faiblesses…

La maîtrise complète de cet immense pouvoir s’avérait être mon intérêt en cette journée calme, ce qui n’est pas toujours le cas, dans l’ère dans laquelle nous sommes. La guerre, cause de batailles, ici et ailleurs, à tout moment. Une lutte sans merci entre la célèbre Akatsuki et l’alliance shinobi qu’avaient formé les cinq grandes nations. Qui aurait cru voir un jour ces cinq villages s’alliés et combattre ensemble ? Enfin, c’était le destin. Madara Uchiha n’avait eu froid aux yeux en déclarant proprement la guerre au monde entier, dans le but de réaliser ses « rêves ». Dominer le monde était le but premier du leader des Uchiha, le contrôle total de l’humanité. Chaque humain serait la marionnette du marionnettiste masqué, s’il arrivait à ses fins. Le projet œil de la lune… Le Tsukyomi. Celui que j’avais subir face à Itachi m’en avait montré des couleurs, je n’ose pas imaginer que cette technique serait sur la terre totale, et ce, pour toujours. En gros, être leader du clan aux pupilles écarlates ne suffisait plus au chef de l’Akatsuki. Il voulait être le Dieu de la terre, à en croire ce qu’il projette de faire sur les humains. Nous, étant ces humains, et refusant totalement de se faire contrôler comme des poupées, sommes dans l’obligeance de combattre main dans la main pour empêcher Madara de capturer les Jinchuriki restant : Hachibi de Kumo et Kyubi de Konoha…

Je m’avançais tranquillement au pille milieu de la zone, qui allait me servir à la réalisation de mon entraînement, qui peut-être, pourrait bien être difficile, voire quasiment impossible. De toute façon, je n’allais pas baisser les bras. Tous ces shinobis qui travaillaient sous mes ordres, ce n’est certainement pas eux qui allaient assurer tout le boulot, mais, c’était plutôt à moi qu’appartenait ce rôle de « joker ». Les affrontements ne cessaient de se faire entendre aux quatre coins du monde, et on pouvait être confronté au combat à tout moment. Il me fallait donc, être rapide et précis dans mon exercice. J’effectuais très rapidement le mudra « préféré » de Naruto, me permettant de faire apparaître à mes côtés, deux clones d’ombre, qui allaient me servir pour la suite des évènements. Les deux clones se faisaient face, sous mon ordre, bien entendu. Chacun des deux activant son Sharingan, c’est-à-dire remonter vers le haut son bandeau frontal. De toute manière, chacun d’eux avait son subconscient et pouvait agir selon ses envies, s’il n’avait pas d’orientation précise.

L’un des Kakashi engagea le combat en crachant une boule de feu de forme moyenne, s’approchant à grande vitesse de l’autre, tout ceci à la suite des quelques mudras effectuer pour l’attaquant. L’autre « fils » de croc-blanc n’avait ordre de riposter que par le jutsu Kamui. Détectant avec faciliter et reconnaissant les mudra du jutsu lancé, le Kakashi sous la défensive activait nette son Mangekyô Sharingan, se préparant déjà à contrer l’attaque de l’autre. Fixant le plein milieu de la boule brûlante, le clone aspira la technique très rapidement, alors que celle-ci allait presque le bouffer. Les effets secondaires ne se montraient aussi sévères que je l’imaginais, mon clone tenait sous ses pieds, même s’il lui était impossible de combattre, pas avant ces fameuses petits secondes, ce qui pouvait très bien être un désavantage pour le combat. L’autre Kakashi envoyait une seconde flamme en forme de boule, fusant à pleine vitesse et à grosse puissance (la taille) cette fois, sur l’opposant. Mes ordres pour ce « combat » étaient bien clairs, l’autre Kakashi devait uniquement utiliser Kamui pour se défendre, autant qu’il le pouvait et le plus rapidement possible. Ce qu’il faisait avec brio. Je vis que son chakra ne baissait pas rapidement, même après deux utilisations, pendant l’examen effectué avec mon Dôjutsu. En tant qu’un clone (le second), ça faisait beaucoup deux utilisations, bien qu’il ne lui resta qu’un jutsu rang D avant de s’écrouler au sol. Le temps d’attente avant utilisation était aussi court, ce que je ne manquais pas de remarquer.

J’absorbais les infos recueillis par mon clone ayant usé le Kamui, ses connaissances étaient maintenant miennes. Et ce, sans me salir les mains. Si un clone possédant le tiers de mon chakra atteignait un tel niveau, à imaginer où je pouvais en arriver. Le but de cet entraînement était plus en rapport avec mon affrontement contre Pain, où j’avais réussi à utiliser plusieurs fois Kamui sans m’épuiser comme à mes habitudes. En plus, mes portées et tailles pour l’absorption étaient plus grandes. Chose que je réalisais alors que Sasuke tentait de me tuer avec ses flèches de Susanoo. Tous ces exemples prouvaient bien le développement de ma nouvelle technique spéciale. Cette technique, si ce n’est le Sharingan classique même, représente beaucoup pour moi. A chaque utilisation, je voir le visage de mon ami, son dernier regard avant de quitter ce monde. Cet œil m’ait très précieux, et pas seulement pour sa puissance. Le Mangekyô Sharingan, rare sont mes utilisations. Les raisons sont de loin, parce qu’elle me rappelle aussi le regard innocent de Rin, alors qu’elle mourait, de mes mains. Moi qui ne voulais pas que Sasuke tue Naruto pour ce stade du Sharingan, j’étais au fond un assoiffé de puissance, tout comme le petit Uchiha. Plusieurs choix m’étaient proposés, fuir avec elle ou me sacrifier pour qu’elle puisse s’enfuir toute seule ou peut-être avertir les renforts, comme le premier affrontement où on était avec Gaï. J’étais un lâche et je m’en voulais terriblement, chaque jour. Mon Mangekyô Sharingan vit pour elle, je l’utilise en son honneur. La vraie douleur que je ressens après l’utilisation de Kamui, c’est le fait de voir les dernières images de Rin défilé dans ma tête… Enfin de compte, en repensant à ça, je repoussais la suite de mon entraînement pour plus tard. Celui-ci, allait être bien plus différent que le premier, moins fatiguant et demandant très moins d’efforts de ma part.