La Naissance d'un Trio ! [Pv : Yomi et Akira]

Nous retrouvons notre jeune allumette en compagnie de sa jumelle Nana. Toutes deux se balladant en la cité des nuages. par cette belle journée enrobée de sourires délicats et harmonieux. La vision de cette jumélité égaya le marchant de légume qui le reçut avec entrain. Ces deux roses étaient aux courses pour leur soeur ainée. L'aimable marchant leur céda ses menus bien, de beaux légumes frais et appétissants. Yomi en avait déjà l'eau à la bouche, sa bave s'évadant de sson égout doré. Lui vallant d'écoper d'une tape à l'arrière du crane et de se faire recadrer par le petit tyran rose. Soudain alors qu'elle eurent salué le gérant d'échoppe et que le cortège s'apprétait à rentre, les bras chargés par des sacs biens garnis; un mur apparu. Provoqant un fracas mou et agréable. Les généreux coussins de Lala avaient stoppés Nana dans son avancée. Son embaras de planche à pain complexée sucita un fou rire porté en harmonie par les deux autres. Elle déposa ses paquets pour bouder.

« Qu'est-ce qui t'amène onee-sama ? »

« Je venais te prévenir Yomi-nee. Tu es demandée dans la forêt pour rejoindre ta nouvelle équipe. »

« Bon débaras, enfin cette feignasse va se magner le derrière u_u »

Donnant ses paquets à sa grande soeur, Yomi vint caresser la frange de la boudeuse revancharde. Puis profitant de sa gène, elle lui donna un baiser sur la joue et s'enfuit.Décollant vers d'autres cieux, pour s'adonner à une escapade pourssuivit par un râle hurlant. La diablesse enhardie lui passerait un savon plus tard. Ainsi la princesse des incendies s'éclipsa de la place du marché, par les toits. courant et bonissant en gazelles pour rejoindre la porte des géants à l'entrée du village. Elle se stoppa devant des gardes bplutôt bourus. Ceux-ci ayant eut vent de ces facéties de coquine et d'échappée passablement désinvolte. Elle gardait un fastidieux sourire bêta aux lèvres, redoublé d'une mignoneté séduisante. Ses mains jointes dans son dos et les prunelles rivées sur ces figures d'empafés, elle attendait. Elle disait vrai, la confirmation de sa convocation leur avait été soufflé. Ainsi ils s'écartère, la laissant passé en lui relançant une brimade qui la laissa de marre mais la fit tirer la langue avant de filer. L'air pimpant aux pommettes saillantes.

Elle laissa flaner son esprit rêveur tandis qu'elle fredonnait en marchant. Prenant tout son temps en ce canyon escarpé sortant du village pour gagner une danse forêt noire. Ces sapins flamberait à merveille se dit-elle. Mais dans ce gigantesque brasier il y aurait une perte qui lui porterait préjudice. Si ce n'est deux ou quelques autres. On le lui vaiat soufflé ni le sexe, ni le nom, ni rien d'autre sur ces deux énergumènes qu'elle devrait se coltiner. Elle s'aima à penser qu'il y aurait au moins une fille sur les deux parias. Croisant alors les bras derrière sa tête relevée, elle sifflota enralentissant encore sa cadence de marche. N'en ayant que faire de s'entrainer ou faire ami-ami avec des pleutres. Elle n'avait d'entrain à l'effort que très rarement, où c'était ses soeurs qui l'embrasait. Ainsi ne révélait-elle jamais son véritable potentiel et encore moins son vrai visage de créature abjecte, froide, sadique et pyromane exentrique.

Elle ne faisait que retarder cette rencontre, trainant des sandales piétinant feuilles et faots. Tout était mort au sol et tout vivait là où vaquait son attention, dans les cieux. Sa pensée fut que ce monde était mortel et ennuyeux, qu'il lui faudrait devenir une céleste et atteindre ces joies immortelles. Sa folle rêverie la fit rencontrer la dure réalité, un fracassant baiser d'arbre qui l'assomma mollement. Après un profond gémissement elle entaa un sprint assez faramineux, crevant dans l'oeuf sa réputation de faiblarde. Pour parvenir au lieudit en peu de temps. Elle se freina dans la poussière en etntendant le bruit caractéristique d'une cascade. Ces trompes d'eau crachée par le ciel pour aller se fracasser sur la terre et les rochers, elle sentit une décharge lui parcourir l'échine. Du dégoût envahit son esprit, elle du se ressaisir pour sortir de l'ombre et gagner une sorte d'oasis à ciel ouvert.

Peut-être le vacarme de sa cavalefreinée aura sorti de sa transe l'inconnu trempé sous le torrent. Sans doute aura t'elle dérangé la faune craintive qui s'état avancée depuis peu au point d'eau. Ce cerf était appétissant se dit-elle, le suivant des prunelles naïves tandis qu'elle songeait à le carbonisait. Le voyant partir alors qu'elle s'était avancée e quelques pas pour le faire revenir d'un bras tendus, hélas il fuit et disparut dans les fourets. A son grand dam semblant image de sotte enfant. Elle du paraitre bien jeune et ignare sur tout savoir-vivre. Mais c'est qu'elle jouait ce rôle pour s'amuser tout simplement. Prenant grand soin de contourner le petit trou vaseux, une grosse flaque irritante pour elle, l'alumette s'approcha de très près du jeune homme. Pour en peindre un infâme portait. Le trouvant excitant rien que de vue, l'envie de l'incendier lui faisait battre le coeur en folie.

« Yo sempai, moi c'est Yomi. Tu l'as eut où ton joli masque ? »

Ses mains jointes dans son dos, la petiote s'était penchée en avant pour lui montrer son sourire éclatent. Et non pas de vue plongeante sur sa poitrine. Le petit top tuait le décolté de son par-dessus. (là) Par contre si l'on venait par derrière l'on pourrait voir un peu de sa culotte, sa juppe noire étant si courte et ici relevée. Elle resta figée dans son air bien niais et naïf, voulant plumer encore un pauvre bougre. Et le méritait-il ? Ils devraient faire équipe mais elle n'en éprouvait la moindre envie. Se disant que les manipuler et jouer avec eux serait une copieuse distraction. Si tenté est qu'ils n'étaient ni plus malins, ni plus doués qu'elle. Auquel cas elle ne s'imposerait championne de la trinité exécrable. Oui voilà, elle ferait mine d'être faiblarde et idiote sur les bords. Elle se redressa après qu'il lui répondit, mimant une surprise l'effrayant, elle bondit en arrière et se raidit. Où pouvait donc bien s'arrêtait son hypocrisie ?