Sujet: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Lun 29 Avr - 0:08
Le bonheur total
Pour être franc, Mystogan eut surpris Kage lorsqu'il lui annonça vouloir rester en terre nuageuse quelque temps, voir quelques jours de plus. En effet, le jeune homme avait besoin d'un peu de temps, être seul à seul avec lui-même, faire en quelque sorte un bilan, un diagnostic tant sur sa vie privée que sur sa carrière en tant que Ninja de Konoha. Cet alors, qu'après s'être vivement débarrassé de ses imposants vêtements ensanglantés, masquant son faciès. Visage à découvert, le Chuunin se posa dans une plaine rocheuse à quelques kilomètres seulement de Kumo. Et tandis qu'il fumait paisiblement tout en regardant ses vêtements délabrés par la mission qu'il venait d'accomplir, une idée des plus banale émergea de son subconscient. Une idée toute conne qu'il irait dès le lendemain, s'acheter à kumo, des vêtements plus seyant, mais surtout, à sa taille et bien plus gracieux. Mais pour l'instant, des affaires bien plus pressantes tourmentaient son esprit, pourquoi donc le Cheney désirait tant détruire les deux cadavres, celle de l'ancien chef Amatera ainsi que de sa compagne. Alors, dans un silence des plus terrifiant, les yeux arpenter d'un reflet vert phosphore, Jellal extirpa d'une de ses poches, un rouleau. Sortant un bout de papier dans lequel il insuffla son énergie physique et spirituelle. La feuille se consuma telle une buche, signe de l'affinité Katon.
Ses mains se posèrent sur son faciès masquant ses yeux et ne laissant transparaitre que sa joie, un intense frisson parcouru chacune de ses cellules. Le vent soufflait avec une puissance non négligeable. tandis que le mâle restait de marbre, repensant à sa mission et à la lourde blessure qu’il y eut subi. Soulevant sur son passage maintes particules poussiéreuses dans l'air. Mystogan mit quelques instants avant de se ressaisir, chassant l'excitation qui avait envahi son cœur. Fort de son bref instant de repos, il releva la tête. Désireux de préparer son futur, il se mit en marche en direction du sud pour se situer à seulement quelques encablures des portes de Kumo. Au sources chaudes pour être franc, un endroit qu'il fréquentait que trop peu. A la suite des évènements récents le Chuunin avait bien la mérité un moment de détende , pour chasser de sa peau les odeurs et cendre des deux cadavres. Ces sources naturelles tombèrent à pic pour le vingtenaire. Sabres posé à ses côtés, paupières closes, l'homme à la chevelure azur laissa au fils des secondes divaguer son esprit vers de sombres pensés. Toujours est-il qui se devait d’apprendre une technique propre à l'élément feu.
Dans les cieux de Kumogakure batait un vent nouveau, celui de la déchirence. Une belle sirène était abatue au plus haut donjon de la citadelle. Flanant comme jamais elle ne l'avait fait. Son regard vide crevait les nuages de coton. Son corps chétif, tremblait au gré de la brise maladive qui lui faisait houle. Ainsi recroquevillée sur elle-même, sur la toiture du sieur Raikage, elle n'était plus qu'une ombre. L'ombre d'elle-même. Pour avoir fauté. Car plus tôt dans la journée, elle s'était disputée avec sa jumelle. Elle avait même giflée Nana qui ne pouvait croire à son rêve de les protégéer toutes deux. Mais Yomi avait craqué, elle désirait plus que tout assurer la sécurité de ces aimées. C'était elle la plus meurtrie par leur départs aux missions, affligées d'horreurs paranoïaques. Et pour lui faire comprendre, à cette petiote rosée, elle lui avait craché cela en plein visage, se mettant à nue pour une fois. Son masque d'hypocrisie, un instant été tombé. Ainsi la voilà, noyée dans son dégout de sa personne et de sa bêtise. Livrée à cette solitude qui l'étrange et qui menace de l'emporter que trop souvent. C'était là son lot quotidient d'effroi et de souffrance, le tout plongé en un profond mutisme.
Un fébrile murmure s'évadant de temps à autre de cet égout dorée, Baka nee. Aussitôt elle rabaissait les prunelle, en pêches écrasée. Sans la moindre coulure de bouille pour larmes. Dans l'idée de trouver refuge ou nouveau point d'encrage. Car la morsure de l'astre diurne était cruelle même avec ces apôtres. Mais elle n'apartenait à cette place de brigants et de fou sacrifiant leurs enfants. Elle crachait sur cette fine lamelle de métal prônant une paix hypocrite. Ces siècles de haine entre village ne pouvaient être décemment entérrés ainsi.Yomi ne trouvait sa place qu'en son mdeste foyer, au creux d'une romanesque embrassade ou encore en la couche du lit d'une soeur. Le reste n'avait son importance, ces camarades pouvaient partir au front et y rester, ce village pouvait bien être assaillit et ces citadins exterminés, qu'elle ne verserait ni ne s'ébranlerait cette enfant. Yomi portait en haine cette cité pouvant lui ravir son bien le plus précieux, son seul trésor du reste. Alors elle attendrait, d'être plus forte pour déguerpir et mettre enfin en sécurité, la prunelle de ses yeux. Et son voeu de l'instant fut, Qu'ils aillent tous en enfer.En épargnant à sa moribonde verve, deux adorées, bien ntendu.
Puis soudain, elle laisse s'échapper cet éclair d'argent hypocrite retenu au tissu noir, il ruisselle sur ces tuiles et va en devenir se perdre et s'écraser. Elle était déjà partie. Son Shunshin no jutsu l'avait faite disparaitre dans un tourbillon de flammes. Pour reparaitre en d'autres toits, plus loin. Comme libérée d'un poids fâcheux. Elle se laissa choir de cette corniche, pour en pétale de cerisier, toucher terre sans grand bruit. Et marcher, l'air absent, la conscience minée par le chagrin. Nule destination, elle ne fit que errer en ces ruelles tandis que le soleil se mourait dans la haute mer. Lui déclinant, embrasant les cieux d'une beauté sans égale. Rappelant à la belle, son adoration impie du brasier. Celui qui savait dévorer chairs et souvenirs. Elle n'avait que 14 ans et savait déjà l''horreur qu'était ce monde. En son coeur était un une abîme creusée par la peur et comblée par la haine. Cette bête un jour exploserait et incendirait ce paysage, c'était pensé. En attendant, Yomi, au détour d'une longue marche sans encombre, vint à faire halte aux sources chaudes. Seul bain qu'elle aima prendre de tout temps.Mais y dénotant la silouette d'un homme, lui causant rictus renfrogné aux lèvres, elle décida de faire étalage de son hypocrite bêtise.
Pour en se dévêtissant, sans qu'il ne le sache, car de dos à elle, elle fonde au bassin et bondisse pardessus l'inconnu et ne fasse une bombe dans l'eau. Tout en criant Yahoo ! Puis elle ressortie, en ondine sauvageonne, dos au bel homme, lui laissant voir son derrière tandis qu'elle lui lançait un clain d'oeil par le côté. Son but étant de l'outrer dans sa pudeur, de le faire déguerpir comme la bleusaille qui ne s'avait y faire face au charme, ou alors de le chasser par ces facéties d'enfant chieuse. En tout cas, d'un doigt porté aux lèvres ardents, elle joua la comédie du jeu des désirs.
« Serait-ce la vue qui vous amène par ici, étranger ? »
Dernière édition par Yomi Kisara le Dim 19 Mai - 0:19, édité 2 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mer 1 Mai - 2:12
Se mettre à nu
Jellal lisait un roman, allongé dos à une roche, le visage dissimulé par un épais voile brumeux. De temps à autre, entre quelques chapitres, le Shinobi de la feuille levait les yeux vers le ciel. Devant lui s'étendait un large ruban multicolore caractérisant le crépuscule, où gonflés par le vent, un oiseau zigzaguait sur la pointe ultime de l'horizon. Le temps était magnifique et il y avait des mois que le Chuunin n'eut véritablement assisté à un spectacle aussi divin. Pourtant, depuis le début de cette journée lourde en évènements, il se sentait oppressé, gêné, triste en quelque sorte. Ses pensées revenaient sans arrêt, lui rappelant sans répit son Nindo, son rêve, son objectif. Les douloureux liens de la vengeance qui l'unissaient à ce monde telle une carde de plus en plus serrée, cisaillant, effritant son âme de jour en jour. Mais, en cet instant, en ce lieu si .... Paisible, si reposant, tout semblait s'envoler, disparaître comme par enchantement. Au fur et à mesure que le temps s'écoulait, le panache nuageux qui recouvrait lesdites sources, s'intensifiait. Le bellâtre était au septième ciel, ce lieu semblable à un cocon de chaleur, l'incitait à fermer les yeux et se laisser, petit à petit, porter vers de doux et passionnants rêves .
Paupières closes, le vingtenaire était ancré dans un profond sommeil, un pur moment de détente, où il ne souhaitait être perturbé en aucun point. Lorsque sa gorge fut noyée, une eau brûlante, bouillonnante. Bordel de merde ! Qui osait donc perturber son moment de repos, punaise, lui qui enfin avait réussi à trouver le sommeil. Alors, se relevant lentement de par dessous les flots, Jellal orienta sa boite crânienne en direction de ladite personne qui l'eut tiré de son sommeil. Une chose est sûre, l'avoir dérangé dans un tel instant de repos, ne pouvait rester ainsi impuni, ledit gêneur devait être châtié. Une ombrelle émergea des flots, une chevelure écarlate semblable aux cieux, un petit bras délicat, puis un second. Petit à petit la silhouette de l'inconnue se révéla aux yeux du Ninja. Est-il nécessaire de dire qu'il fut surpris d'observer une adolescente toute nue et qui plus est.... le narguait ?! D'un petit doigt sournoisement posée sur ses lèvres, dos à lui, la gamine à peine gênée de voir un homme vêtu au plus simple appareil, verge à l'air. Ce qui l'eut surpris le plus ce fut que la petite parvienne à venir jusqu'ici sans le moindre bruit tel un ectoplasme. Alors, tandis qu'il replongeait à nouveau dans l'eau bouillonnante.
Dis-moi petite, n'es-tu pas gêné qu'un étranger puisse te voir nue ? Par ailleurs, bravo, bien que pratiquement endormit, je n'ai pas été en mesure de percevoir la moindre présence. Ajouta le Konohajin, affichant un faux sourire histoire de mètre en confiance son interlocutrice, avant que son faciès ne devienne plus sérieux. Saisissant lentement ses Katanas posés sur une roche à quelques centimètres à peine de sa position. Bien que ne désirant pas spécialement se battre, le bretteur n'était pas contre à l'idée de faire tâter sa lame à une gamine qu'il trouvait insolente. Après tout, l'homme était méfiant, presque maniaque, et savait que les apparences pouvaient être trompeuses.
Dis-moi... D'où viens-tu ?! J'ai généralement l'habitude de trancher en deux ceux dont j'ignore l'identité" prononça l'homme, arborant un sourire des plus hypocrites.
Sa grossière tentative d'attenta à la pudeur, en arrivant comme un cheveux sur la soupe, n'eut l'effet escompté. Puisque le mâle, bien viril et bâti, se replongea dans l'onde bouillante. Elle n'admira que vaguement son membre et ces bourses. La belle éprise du brasier n'aimait les hommes et leurs visions était d'un dégout complexe. Au moins il était quelques peu décontenancé par son apparition. Elle avait le pas léger de l'assassin mais elle fit grand étalage de bêtise à son irruption grosteste dans le bain. Pourtant on dit quec'est la destination qui dépasse la destination. Ici, l'étranger la complimentait sûr ce point. Ainsi se plongeant dans l'onde, lui faisant encore dos, elle lui rendit un petit sourire taquin. « C'est là la base du ninja, se déplacer telle une ombre, sans bruit. Effacer sa présence pour surprendre autrui. » Effectivement elle répondait à ce qu'on lui avait apprise, la pratique était donc cordialement bien assimilée. Soudain il vint à faire affront à sa douceur. Les hommes étaient-ils tous si dérangées ?, se dit-elle en le voyant porter une main à des lames endormies. Elle ne comptait le laisser faire impunément. Il pouvait s'agir là d'un détraqué notoire, ayant déjà la tête de l'empoi à ses yeux. Ainsi ellese retourna tout en douceur, laissant perdurer son air innocent et niais. Exécutant, sous la surface, une série de mudras.
« Je viens de Kumogakure, Yomi Kisara pour vous servir. Mais je vous annonce que vous faites là une grave erreur en étant si menaçant et en étant sur les terres de ma patrie. Mais peut-être devrais-je vous en disuader à ma manière. » Presque instantanément surgit de son corps nu, son charkra carmin. Se portant en flotaison pour réchauffer l'atmosphère et donner naissance à trois flamèches en suspention. Une devant sa poitraille, les deux autres de part et d'autres de ses flancs. Elle n'avait fait que levé un pitoresque obstacle entre eux, un écran pouvant être projeté à sa volonté. Le feu folet sur sa gauche fusa pour s'écraser près des sabres, histoire d'inimer à l'homme qu'elle ne plaisantait nullement. « Ce bain va être difficile à savourer à présent. Pourquoi ne pas aller se défouler un peu plus loin ? » Sans attendre une quelconque réponse, elle se releva, sans pudeur, face à l'homme pouvant se délecter de ces petites formes de jeune pousse. Puis quittant le lit de la mare torride, la rose toujours accompagnée de ces satélites gravitants autour d'elle, alla se rhabiller. Ceci fait, elle s'étira pour pouvoir profiter de toutes les capacités de son corps. Ainsi elle devint un poilsérieuse à l'effort. Pour faire plaisir à Nana qui avait raison, si elle n'y mettait pas du sien, Yomi ne deviendrait pas une légende et ne serait pas en mesure de protéger quiconque.
Spoiler:
Technique employée : Onibi no Mai (la danse des feux folets) (jutsu inventé) Spécialité de la technique: Ninjutsu Élément de la technique: Katon Rang de la technique: D Type de la technique: attaque Portée: 10m Champ d'action: faible Durée de l'effet ou du jutsu: 1 tour Avantage(s) de la technique: Rapide d'exécution, trajectoires maîtrisées et coût faible en chakra. Faiblesse(s) de la technique: Peu de puissance et facilement esquivable. Nécessite-t-il un temps de préparation ? La vitesse du jutsu sur 10 : 4 Description de la technique: Après une série de trois signes Yomi libère son chakra de son corps pour générer de petites flammes volantes qu'elles peut projeter comme des armes, à l'exeption que ces projectiles ocasionnent des brûllures minimes. Maximum trois en même temps.
Note : 1 sur 3 flamèches gaspillée, les deux autres sont maintenues pour le tour suivant.
Chakra bon - Santé pleine.
Dernière édition par Yomi Kisara le Lun 13 Mai - 6:07, édité 3 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Jeu 9 Mai - 19:14
Combattre le feu par le feu
Le bain lui fit le plus grand bien. Il accueillit l'eau chaude avec un bonheur teinté de soulagement. Le liquide bouillant effaçait avec une efficacité surprenante ses plaies. Le savon qu'il se passait sur le corps le purifiait, même si à présent cela n'avait plus tellement de sens. Une gamine, vint perturber sa quiétude, son repos bien mérité. Ignorant tout de la personne qu'il avait en face de lui, l'homme menaça l'inconnu. Yomi, de son doux prénom, semblait être elle aussi, un Shinobi. A l'instar du bellâtre à la chevelure océan, cette dernière était originaire des Nuages, de Kumogakure. Aussitôt, tandis qu'il envisageait de ranger sagement ses armes, la gamine fit mouvoir son chakra, son aura carmin. Créant trois flammèches émergent par-delà les vaguelettes du lieu paradisiaque. Une des sphères ardentes vint s'écraser à quelques centimètres de ses sabres. Mugen avait horreur du feu, c'était là son unique point faible. Ses mains fripées se posèrent sur les rives de la source afin de s'en extirper. Un sourire niais se dessina sur son minois tandis que l'utilisatrice Katon quittait le lieu sans même attendre réponse de sa part. La petite fleur désirait se mesurer au Konohajin. Hmpf, Intéressant !
A quelques encablures des sources divines, allait d'ici peu s'y dérouler un petit affrontement. Le lieu d'entraînement était entouré de maintes roches, certaines à la hauteur impressionnante, voire himalayenne, surplombait l'environnement. Un puissant souffle en provenance du sud projetait maintes particules poussiéreuses en tout sens. Pas un bruit si ce n'est celui des oiseaux qui chantaient et dansaient sur l'horizon apportant une petite touche poétique à l'instant présent.
Sûr de lui, confiant et n'envisageant pas une seule seconde la défaite qu'il se présenta devant la Kunoichis. L'ancien de la Racine ne prit même pas la peine de se revêtir, se présentant à son opposant à son plus simple appareil, supposant que cela ne prendra pas plus de cinq minutes et que très rapidement, il pourrait à nouveau plonger son corps dans les sources thermales. Observant attentivement la morphologie de son opposant qui l'attendait de pied ferme. Bras enchevêtre, l'homme munit d'un simple Kunai ainsi que d'un autre objet, se voyait mal affronter une gamine à plein régime. Alors, ce fut dans l'optique de tester son opposant qu'il lança au pied de son opposant, un Kunai sur lequel se trouvait gravée une note, rien de bien méchant en somme.
-Hum j'aurai bien dit honneur aux dames, mais, étant une petite fillette te définir ainsi serait erroné, de plus m'avoir extirpé de mon doux repos ne mérite telle faveur.
Alors, aussitôt après avoir lancé le Kunai que l'homme projeta au sol une sphère fumigène. Rapidement, un immense et épais voile nuageux vint à camoufler sa position ainsi que ses actes. L'homme voulait rapidement en finir cette sombre besogne, désireux de faire trempette à nouveau. Et, tandis que le puissant vent persistant balayait rapidement le fumigène, l'homme chargeait tel un guerrier en direction de son adversaire, désireux de la provoquer au corps à corps. Dans son dos se trouvait un clone, qui calquait ses mouvements afin de n’être perceptible par la gamine.
Ainsi donc l'hurluberlu ne prit pas même la peine de rendosser sa cuirasse de shinobi. Préférant l'habit d'Adam pour lui coller une branler surement magistrâle à sa pensée d'homme. Il devait la sous-estimer à croire qu'il pourrait la torcher en moins de deux. Tant mieux qu'il la croit faiblarde et idiote, c'est exactement ce qu'elle allait laisser entendre. Elle ne daigna pas prendre la moindre posture, gardant son petit air ahuri d'enfant. Quelle affreuse hypocrisie pour ce prédateur marionnettiste. Tromper le monde, transgresser les règles et les réécrire à son juste titre c'était son pêché mignon. Ainsi oeuvrerait la diablesse voyant l'éclair d'onyx décoché. Elle papillonna des paupières en guise de répondant ignare. La dague volante s'effritait ou plutôt le parchemin explosif enroulé autour du manche. Dieu qu'elle adorait ce mélodieux crépitement de la feuille dévorée avant l'explosion artistique. L'ange décida de se la jouer casse-cou et complètement allumée. Ainsi d'une impulsion du pied droit, elle entama un sprint à la vitesse d'un petit génin des bacs à sable. Lui avait disparu dans un écran de fumée, l'imbécile il aurait dû jauger la force du vent, voilà son entreprise avortée...
Lentement mais surement la brume le masquant, ce belître insolent, s'envola. Le laissant à nu et c'était peu dire au vu de son service trois-pièces bondissant comme un petit lapin des plaines. Elle ne le vit bien encore , les vestiges de son menu camouflage se perpétuant. Alors elle lui fonçait dessus comme une malade sans cervelle. Pourtant, s'il ne n'avait pas oublié ses feux follets volants, il allait les sentir passer de très près. Elle les envoya, pas la penser, fuser plus vite qu'elle. Deux modestes flammes se croisèrent avant de viser les flancs de l'homme, avec un si mince écart d'une trentaine de centimètres sur ces flancs. Trajectoires ayant pour but de le dissuader de se décaler de ce couloir de charge épiquement grotesque. Car s'il voulait esquiver la belle qui devrait paraître inoffensive comparée à ses projectiles, il prendrait le risque d'en essuyer un. Et avec sa chair à vif cela lui marquerait bien le derme. Quelle ridicule blessure de guerre, le pauvre. Mieux valait se risquer à prendre une beigne que cela. Bref les météores nains se crasheraient avant elle. À moins que ... Elle avait serré le poing à une bonne dizaine de mètres de l'homme qui tait enfin visible. Kunai en main. Elle avait toujours été inconsciente et casse-cou de première.
Pourquoi n'était elle pas armée pour tenter un bras de fer en acier ? Car bien qu'elle adule ces étincelles bleutées et rougeâtres provoquées aux baisers des lames, elle n'avait pris ici le seul objet contondant de sa panoplie de Rambo. Peu importait, elle avait autre chose en tête. Poussée par l'adrénaline du danger qu'elle s'infligeait toute seule, en jouant la débutante, elle jubilait intérieurement. Là elle se souleva drôlement de terre, dans son dos à quelques mètres explosait la note piégée. Soulevant dans un premier temps sa jupe et révélant sa culotte. Puis la projetant carrément en avant. Maximisant ainsi l'élan fougueux de sa course en dératée. Rendant aussi cet assaut plus menaçant et surprenant au dernier moment. Farfelue et déjantée, voilà ce qui la chartérisait bien. Yomi aimait se battre en s'amusant. La chose n'était qu'un jeu où elle n'avait à se donner à fond et être sérieuse. Et même si le taijutsu n'était son point fort, elle réalisait tout de même une performance stratégique pour le moins édifiante. Se propulsant sur son détracteur à grande vitesse, avalant la distance les séparant en hurlant Yahoo !. Son poing elle l'avait détendu au moment de son pseudo envol, ce n'avait été qu'une petite feinte. La véritable entreprise avait un nom qui déchire et fait mal. Le pied en avant, s'il ne le parait ou l'esquivait, ses bourses seraient broyées par un talon tout de même puissant pour le coup désiré.
Spoiler:
Je te laisse le soin de trouver une parade à mes facéties. A noter que la projection du personnages par l'exploson lui donne un certain boost de vitesse. Donc avec la surprise et le mince timing qui sérape le crash des feux folets et la malade qui te fonce dessus y a de quoi hésiter sur quoi prendre. Fin à toi de gérer, moi je vois pas quoi en penser >w<
Jutsu utilisé: Piétinement du Dragon (jutsu inventé) Spécialité de la technique: Taijutsu Élément de la technique: / Rang de la technique: C Type de la technique: attaque Portée: corps-à-corps Champ d'action: / Durée de l'effet ou du jutsu: / Avantage(s) de la technique: Mouvement simple, efficace et peu coûtant en chakra. Faiblesse(s) de la technique: Puissance moyenne, pas bien rapide et ne donne pas lieu à un enchaînement, donc débouche sur une faille dans la garde de l'utilisateur. Nécessite-t-il un temps de préparation ? / La vitesse du jutsu sur 10 : 5 Description de la technique: Après avoir bondit en pleine course, Yomi attaque en piqué, le pied en avant pour percuter sa victime et l'assommer, l'écraser à terre ou juste percuter avec panache. Peut être enchaînée avec l'Envol du Dragon si l'adversaire a été sonné avant.
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mar 14 Mai - 2:18
Un, Deux, Trois.... Soleil !
Ainsi donc, la petite prétentieuse se contenta de simplement sauter par-dessus le Kunai planté dans la terre. Elle prêta trop d'attention à l'objet lancé quelques instants plutôt par le maître des vents. Un fin stratagème que souhaitait mettre en place l'homme de la feuille. Sournois fut-il, en se servant presque comme de cobaye la petite genin des nuages, que l'homme la transporta dans un autre monde, dans Genjutsu pour être plus précis. Ryu Yanagi, ce petit Genjutsu sournois avait pour particularité de faire perdre à son utilisateur la perception de l'espace et plus précisément de ses membres, le clouant sur place à se demander ce qui lui arrive. Elle restait donc là, devant le mâle nu, sans faire le moindre mouvement, les membres tétanisés crispés au maximum. S'ils avaient été dans un véritable combat, la petite fleure rose aurait d’ores et déjà perdu tout avantage voir, possibilité de contre. Alors, prenant toutefois ses dispositions afin que la jeune impétueuse ne brûle sévèrement sa trompe, il fit apparaitre un rouleau, le fameux Fūka Hōin. Le parchemin d'un blanc immaculé n'attendait plus qu'une légère pression du bretteur avant qu'elle ne scelle les flammes qui gravitaient autour de la jeune demoiselle. Planqué tel un fugitif dans l'unique objectif d'observer les faits et gestes de la jeune téméraire, il sortit afin de réaliser ladite besogne. Lesdites boulettes furent aspirées en un claquement de doigts, comme de vulgaires spaghettis. Dix secondes s'étaient à peine écoulées que le combat aurait pu d’ores et déjà prendre fin. Devant elle, bras croisé, il prononça un petit speech visant à aider en quelque sorte son adversaire, son opposant du moment.
"Un, deux, trois... soleil". Disait l'original presque ironiquement accompagné des deux doubles qui, jouèrent leurs rôles de distraction à merveille faut-il l'avouer. Nous t'avons touché trois fois, c'est trois fois de trop, surtout si tu affrontes un Shinobi usant du Fuinjutsu tel que moi." Disaient-ils en soupirant avant d'exercer à eux trois, une très légère pression sur le front de la demoiselle. Lui qui fut arraché d'un paisible sommeil bien mérité par la jeune femme, était sur sa fin. Le mâle en voulait plus, désirait véritablement apprendre à dompter le pouvoir du Kami Kagutsuchi, dieu des flammes. Alors, d'une voix grave, plus insistante qu'il y a quelques instants il fit à la gamine tout en se retournant lentement lui, ainsi que ses clones.
"Je voudrais que tu m'aides mais, si c'est tout ce que t'as là, c'est décevant j'ai quelque peu du mal dans la maîtrise du Katon. Je viens de sceller tes belles flammes, j'aurai voulu savoir si tu en avais d'autre en stock ?! Si oui n'hésite pas ! Montre-les-moi !" Exclama l'épéiste privé de son Katana.
La pauvre gamine toujours prisonnière du Genjutsu, avait là, droit à une deuxième chance, pour montrer, prouver au Shinobi qu'elle avait bel et bien des tripes, du courage. Dès lors, un des doubles se dirigea vers le rouleau qui gisait au sol, prenant la poussière sous les coups du puissant vent. Puis, d'un geste rapide du pied rappelant celui d'un joueur de football, propulsa ledit écrit dans les airs avant de tirer en direction de la petite. La gamine immobile, toujours paralysée se prit le papier en pleine figure, laissant par la même occasion une petite marque rougeâtre sur le front.
"Allez réveille-toi ! Fait moi donc voir t'es talent en Ninjutsu Katon !" Fit-il le sourire aux lèvres.
Ptit edit pour correction car la x) j'suis crevé a mort je te post sur le tas.
Un rêve, tout cela n'avait été qu'une chimère. Elle trouva la chose écoeurente bien qu'ingénieuse. Le pensant en véritable pleutre qui craignait de croiser le fer avec une enfant. Alors oui elle avait bu ses paroles mais sans les digérer. Elle détestait le genjutsu car il relevait du monde du rêves et de ses merveilles. Il venait de la laisser croire à sa fantaisie, elle exécrait qu'on bafoue l'espoir et la joie d'un enfant. C'était un véritable choc pour elle. Ce qui expliqua qu'à la tombée du sortilège, tandis que le rouleau lui frappait le visage, qu'elle possède ce regard mauvais des adorateurs de sang. Ces punelles framboises avaient, lors de ce fugace instant, rivé au mauve impérial. C'était son regard de Dragon, empourpré et désireux de meutre, oui d'assassinna barbare et justicier, à son sens. Mais elle tu vite cette face effroyable. Se portant une main au visage pour froisser le papier sans le vouloir. Elle tentait encore de maîtriser la Bête furieuse qui était-elle. Elle soupira en laissant retomber le parchemin au sol. Le regardant choir et dégringoler dans un petit bruit agaçant. Puis relevant les yeux, toujours sans rien dire, sa frange rosée pouvant tout avaler comme une lignée de larme. Mais il n'y avait rien d'autre qu'une petite colère dont elle étouffait les braises. Car il la dégoutait. Se croyant si supérieur ne la génait pas mais c'est bien qu'il veuille la pousser à bout qui l'ennuyait. Elle ne fit que gonfler les joues et jouer la boudeuse.
« Vous devriez avoir honte de vous cacher et de ne venir vous battre contre une enfant, vous m'avez bien déçu. Je suis peut-être jeune et démunie face au genjutsu, que je qualifierai de stratagème de pleutre. Pourtant j'ai bien autre chose, de plus puissant en stock. Mais vous n'en méritait en rien que je vous fasse démonstration. Rachetez-vous et venez-vous battre comme un homme. »
Mais avant de lui foncer dessus pour lui fracasser la machoîre, sans la moindre retenue, l'allumette allait craquer et embraser terre et cieux. Elle composa une brève série de signes et comme précédemment son chakra s'échapa de son corps, cette fois-ci à foison. Hanabitaikai, susurra t'elle d'une voix morne. Illuminant les cieux de par sa multitude de lucioles. Une bonne vingtaine de feux folets était à déplorer. Partout autour d'elle, répendus de manière éparse mais harmonieuse pour pouvoir être lancés où bon lui semblait. Elle brisa le sceau basique ninja de ces mains, soufflant qu'elle allait purifier le terrain et que le combat pourrait reprendre sur de bonnes bases. Là ses feux d'artifices fusèrent pour s'abattre tout autour d'elle et provoquer à chaqun une explosion sans unité, moins redoutable qu'un parchemin explosif. Ainsi balayait-elle le terrain de toute souillure de lâcheté. Elle se permise également de bailler à l'étoufée d'une main. Le petit choc de chaque éclatement embrasé avait soulevé un léger vent chargé de poussières. L'aveuglant seulement elle, sauf si l'homme ne lui faisait plus face. Mais la voilà qui, les iris scellés à demi, chargeait la seule silouette tenue dans les ténèbres du nuage. Son regard ne traduisait absolument rien, le néant s'était emparé d'elle. Elle allait tenter une percée pour au contact, si elle y parvenait, lui décocher un uppercut sous le menton. Son mouvement visant à s'immiscer au contact de l'ennemi, esquiver un coup en se baissant puis se redresser et lui éclater la machoîre inférieure pour l'envoyer dans les airs. Allait-elle seulement y parvenir ?
Spoiler:
Techniques utilisées: Hanabitaikai (festival de feux d'artifice) (jutsu inventé)
Spécialité de la technique: Ninjutsu Élément de la technique: Katon Rang de la technique: C Type de la technique: attaque Portée: 20m Champ d'action: effet de dispertion sur 10m (en lattéral) Durée de l'effet ou du jutsu: 1 tour Avantage(s) de la technique: Vitesse d'exécution et dommages explosifs. Faiblesse(s) de la technique: Projectiles faibles individuelement et coût fort en chakra. Nécessite-t-il un temps de préparation ? / La vitesse du jutsu sur 10 : 6 Description de la technique: Version améliorée de l'Onibi no Mai, ce jutsu est comme un bouquet final de feux d'artifice. Il consiste à générer une multitudes de feux folets, tant innombrables qu'il et difficile d'y échapper. Et malgrès le manque de puissance de ces boulles de feu, la multitude peut être rude puisque en trop grand nombre explosion il y a. Un bon gros final éclatant et explosif.(plus ou moins puissante qu'une explosion de note explosive)
Envol du Dragon (jutsu inventé)
Spécialité de la technique: Taijutsu Élément de la technique: / Rang de la technique: C Type de la technique: attaque Portée: corps-à-corps Champ d'action: / Durée de l'effet ou du jutsu: / Avantage(s) de la technique: Mouvement simple, efficace et peu coûtant en chakra. Faiblesse(s) de la technique: Peu de puissance, pas bien rapide et ne donne pas lieu à un enchaînement, donc débouche sur une faille dans la garde de l'utilisateur. Nécessite-t-il un temps de préparation ? / La vitesse du jutsu sur 10 : 4 Description de la technique: Une technique basique de taijutsu qui consiste à fondre sur son adversaire, à se baisser pour possiblement ésquiver un contre et à balancer un uppercut sous la machoîre inférieure. Si l'assaut porte ses fruit, l'adversaire peut être sonné en plus de faire un bon vol plané. Toutefois un adversaire spécialiste du taijutsu n'aura pas de mal à esquiver cela.
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Dim 19 Mai - 2:08
Hop, du calme !
L'honneur, la fierté. La petite enfantine à la chevelure rosâtre ne semblait pas avoir apprécie le fait d'être placé dans une illusion et contestait les agissements du maître du vent. Après tout, la frêle n'avait pas totalement tort même au yeux de son adversaire. L'odeur infecte du déshonneur sembla répugner sa comparse qui prise de rage se déchaîna sur le lieu, avait elle peur que le Chuunin eut laissé des Clones ou autre dans l'environnement ? Quelques temps plutôt, quelques mois avant cette rencontre, le mâle se serait blâmé d'avoir agi ainsi, se serait presque accusé d'avoir tenu là le rôle d'un vil monstre sans scrupule. A présent, touché au plus profond de lui par la mort de personne auquel il vouait une admiration sans faille. L'homme s'était juré de ne plus faire le moindre cadeau, même si pour cela, il devait être des plus sournois. Bref, l'homme reprit position devant son opposant du jour.Un sillage se forma derrière lui. Ses pieds nus laissèrent une marque mouillée sur le sol rocheux et le vent commençait à le faire sensiblement frissonner. Même s'il ne faisait pas à proprement parler froid. Les bourrasques en provenance du nord chassaient toute chaleur produite par son organisme. Peut être aurait-il, finalement, dû se revêtir et ne point combattre à son plus simple appareil. L'un de ses clones presque frigorifiés par le vent roula des pupilles. Le Chuunin peut enchanter par les paroles provocantes de sa collègue Shinobi entrepris un petit dialogue. Des mots froids et durs résonnèrent au travers de la Vallée rocheuse où ils se trouvaient.
Oy , petit bout de viande. Sur-le-champ de bataille, tu ne pourras dire à ton adversaire qu'il fait preuve d'un manque d'honneur. Après tout toi et moi sommes Shinobi, par définition des assassins de la nuit, devient donc Samouraïs si tu souhaites prôner l'honneur !
À peine eut-il lancé ces mots, que la Kunoichis se mit à l'assaut du bellâtre. Aveugler par sa colère elle n'irait bien loin dans ce monde. Sur de lui, pensant surement à tord qu'elle ne l'atteindrait pas, le trio ferma les yeux, sûr qu'elle ne toucherait que faiblement avec ses petits bras, l'un des sosies. Soudainement ! Un puissant poing vint à se porter sur son menton. Merde... Cette gamine avait, selon toute vraisemblance, plus de force que ce que pouvait laisser transparaitre son frêle physique. Sa force était incommensurable, propulsant le gaillard qu'il est dans les airs à une bonne dizaine de mètres. Les yeux clos, le spécialiste en Fuinjutsu savait à quel point il était dans la mouise en cet instant.
- Bordel ! elle en a dans les bras celle-là. Son minois se tourna en direction de la petite Kisara puis il enchaina avec: Ne pense pas me battre avec cela petite - clama le Konohajin
Quelque chose, un semblant de haine sommeillait au plus profond de ce petit bout de chair et de sang. Un monstre qui criait et cherchait à se repaitre se tapissait en elle. N'étant pas présents sur le lieu en tant que figurant, les deux clones bondirent presque immédiatement sur la gamine. Leurs objectifs étaient simples, immobiliser la furieuse, la maîtriser en quelque sorte. Le bretteur désirait surtout converser avec Yomi, en apprendre plus sur elle ainsi que cette colère enfui au plus profond. Cette même furie, qui se traduisait surement par cette force presque.... sur humaine.
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Dim 19 Mai - 13:37
En ce jour mauvais, portant le sceau de la déchirence fraternelle, la rose allait mal. Toute retournée, boulversée. Un chambardement était elle, la possédant. Déchirant la toile de sa nature hypocrite pour la livrer ici en odieuse rascasse qui ne voulait qu'en découdre, jusqu'au sang. Le vent du déshonneur soulevé par cet homme n'était rien de plus qu'un prétexte, elle le savait et l'avait saisit. Ainsi il n'avait pas même bronché, la sous-esthimant d'avantage et sur deux fronts. Sa force de moineau tombé du nid et sa détermination, deux concept frêles qui sous la possession de la colère firent mouche avec fracas. Un uppercut parfait, l'imbécile s'était envolé, qu'il goute lui aussi à l'amertume de ses mots se disait-elle. Et la voilà qui ne bougeait plus, incapabled'allerle cueillir au vol. Elle voulait lui laisser une chance de rester en vie, car elle aurait eut le temps de déchaîner son ultime katon. Mais ses membres ne voulaient plus lui obéir, si bien qu'elle n'avait besoin de plus de bras pour la mettre aux fers. Comme si elle s'était vidée en cet assaut impie, pour accroître au paroxisme sa force de moustique. Peut-être, qui sait, du coeur viennent des forces insoupsonnables et défiant toute logique. Yomi n'y pensait pas, elle voulait bouger et l'éclater encore et encore et encore. Et même si elle devait devenir une bête infernale et tremper ses griffes dans le sang de cet homme, elle n'y verrait aucun regret. Ah les hommes, une grande histoire de haine ...
L'esprit de l'enfant assimilait l'homme au poison de ce monde. Depuis ces pontes qui oppressent leurs gens avec un système si dur, à son salaud de père qui la batait dans son enfance jusqu'à notre lascar en tenu d'Adam qui avait ravivé ce malaise du sexe mâle. S'en omettre le pire de tous, son ancien petit ami qui s'était rapproché d'elle, lui vollant tout dans son lit, pour atteindre sa soeur ainée et tenter de la violer. Cet instant où elle le décuvra pret à l'acte, la tenant prisonnière et endormie, la pelottant et glissant ces mains dégoutante sous son haut; Yomi l'avait gravé à jamais dans son esprit. Lui initimant furie sous le petit crocs argenté qui parait à ses belles lèvres ... Elle s'apprétait à laisser s'évader de sa jupe, sa mignonne queue de Dragon, pouvant la faire s'échapper à ses bourreaux lui fondant dessus. Mais là encore ses mains ne voulaient bouger. Elle restait paralysée. Quel grotesque confrontation, cela l'ennuyait encore plus. Si bien que ses prunelles devenues violacées, ne parurent en lumière, bien noyées sous sa frange rose fushia. Soudain, déchirant les cieux ombragés et son silence tortueux, fondit sur terre un météore. Yomi ne pu que redresser mécaniquement sa face désuette, de petits yeux grandis comme en proie au désarroi. Elle sentait une autre malade arriver, le genre que l'on ne veut pas énerver.
Si vive, si forte, telle était la petite foudre de la famille des trois dragonnes. Imposant son lourd piétinement aux pauvres doublures, elle les explosa à terre tandis qu'elle fesait face à sa jumelle. Des petites couettes sur les flancs du crâne tout aussi rose. Drapée en militaire, le bandeau au bras gauche, le gillet chûnin au buste et un short court et moulant au train. Alors oui en exterminant ces raclures dénudées, elle s'était paralysée à son tour, mais elle eut assez de force et de détermination pour mollement bouger. « Vous arrêtez d'vous fritter ou j'vous démolis tous les deux ? » Une giffle vint rougir la joue de la belle éprise du brasier, la réveillant de sa démence. Pour qu'elle susurre, au creux d'une embrassade, Désolée Nana-nee .... La tension était retombée d'un coup puis chassée par cette entrée fracassante. Yomi sourit à l'homme, pmardessus l'épaule de son adorée. « C'est rien on s'est juste laissés emporter par la bataille, mais le fait est qu'on s'entrainait. » Elle s'était replongée toute entière dans sa carapace d'hypocrisie indétectable. Un petit clin d'oeil naquit, à l'encontre du belâtre. Voulant lui transmettre la pensée d'aller se rhabiller pour ne choquer la pudique enfant qui les avait rejoind. Heureusement que Boucle de sakura était paralysée. Car elle ne se retiendrait pas de corriger cet attenta à la pudeur ...
Spoiler:
Cessé le feu imposé par l'arrivée fracassante de mon pnj, immobilisée.
Santé molle - Chakra moyen.
Dernière édition par Yomi Kisara le Mar 21 Mai - 14:45, édité 1 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Lun 20 Mai - 19:57
Shunshin no jutsu
Un Uppercut bien placé, une mâchoire sérieusement atteinte, un voyage pour le pays des nuages. L'expert à l'affinité Fuuton fut propulsé à une bonne dizaine de mètres, il avait besoin de l'aide, de ses doublures Fuuton. Ses doublures entreprirent alors d'effectuer un bond en direction de la jeune demoiselle aux cheveux rosâtre. Inutile ! Ils furent tous deux littéralement écrasés. Non pas par un poids lourd, mais une autre jeune femme à la chevelure rosée. Plus âgée, plus mature et semble-t-il plus forte, cette femme parvenait tant bien que mal, malgré la forte paralysie, à bouger. Même son audition qui devait probablement avoir pris un sérieux coup la fit à peine broncher d’un pouce. Ça en devenait presque chiant, tout ce monde qui se ramenait d'un coup. La petite chanceuse était en quelque sorte sortie vainqueur de ce combat, jubilant par-dessus l'épaule de sa soeur cette dernière savait probablement qu'a la régulière, le scénario n'aurait été ainsi. Le poing du bretteur se serra, agacé par le fait qu'une fouineuse fourre son nez là où elle ne devrait pas. Bref, agacé, il se dirigea sans prononcer le moindre mot , laissant s'installer une lourde ambiance, en direction des sources chaudes où il y déposa ses vêtements. De retour après une brève absence, l'homme posa mainte question envers la fouineuse qui semblait avoir fait quelques sermons à la petite Yomi.
"Hey toi ! tu pourrais te présenter, nous étions dans un combat d'entraînement. " Clama le Chuunin de la feuille. "Qui es-tu pour intervenir de la sorte ?"
Le vent imposait encore et toujours sa loi. Dominant, soufflant sans répit sur les montagnes où culminaient les fameux cumulonimbus. Fameux nuages qui donnèrent le nom au village du pays de la foudre. Non loin de là, les bras croisés, comme il en avait souvent l'habitude, le bretteur attendait réponse à ses nombreuses questions. Savoir si oui où non la petite chipie aux flammes allait bien l'aider dans le développement de son Katon. Le voile quant à l'identité de l'arrivant fut rapidement levé, Nana, l'intervenant était ni plus ni moins que l'aîné de la petite peste, et se trouvait être aussi un Shinobi des nuages. L'unique mâle du trio masculin soupira, attachant ses Katanas à sa taille, il se préparait à quitter les lieux. Mais à l'instant, une technique particulière lui revit à l'esprit et attira son attention. Un mouvement pour être plus précis, le fameux Jutsu qu'usa la pucelle aux sources, le connu Shunshin no Jutsu. Mouvement d'une rapidité exemplaire, ne laissant qu'un court laps de temps à son opposant, voilà ce qu'est la technique du Shunshin.
" Dis-moi, c'est certes gênant de te le demander, mais, comment as-tu appris le Shunshin no jutsu ?! Peux-tu m'en décrire le principe ainsi que son fonctionnement ?" Demanda le sabreur.
Tandis que l'homme canon regagnait terre, toujours aussi pimpant et frustré, il fila à ses habits. Histoire de revenir deçent. Entre temps, l'intruse sapée comme une vraie kunoichi, impeccable dans son habit miliataire, lui rétorqua d'un ton grave et las. Comme quoi elle se nomait Nana Kisara, soeur jumelle de notre empotée d'allumette, qu'elle était également chûnin dont elle arborait fièrement le veston et qu'elle lui botterait les fesses s'il continuait sur ce ton. Yomi ne pu que la soutenir, un bras derrière la nuque et collée à son flanc. Elles étaient bien jumelles, mêmes yeux légèrement violacés, mêmes robes (chevelures) fushia et même bouilles d'ange. Et bien que la cheftaine soit encore engourdie par la paralysie des clônes du belâtre, elle se permis avec toupet de lui rendre son répondant musclé. « Ecoutes blanc-bec, t'es pas chez toi ici alors tu devrais rester humble et t'excuser pour cette pagaille. Même s'il y a fort à parier que cette allumette en est la plus responsable. En attendant ce que je sais, c'est que deux gosses se tapaient dessus à la nuit tombée et que croire à un rêglement de compte ou un truc du genre est tout à fait légitime. Bref t'es en tord, alors boucles-là avant de bouffer tes dents l'ami. » Cette petiote aux ailettes roses avait du caractère, un feu sacré et vraiment de la désobligeance à revendre. Ce que Yomi semblait ne pas être, comme pour être son antithèse. Elle essaya de la calmer ...
Elle papillonna des paupières tandis qu'il lui demandait en bon rédempteur, un service. Si l'un plissa ses yeux de braise, toute suspicieuse, l'autre lâcha son reflet pour joindre ses mains, toute folichonne. Suivit d'un grognement, la belle disparu en un tourbillon de flammes pour apparaitre dans le dos de l'homme. « C'est de ça dont vous parlez ? » Elle eut à peine le temps de finir sa phrase qu'elle se faisait déjà étrangler, avec mollesse, par sa furie de doublure draconique. Cette dernière qui, maître en taijutsu, et fort douée pour son jeune âge avait su disparaitre sans bruit, ne laissant qu'une image rémanante à sa place. Spectre qui s'éfritait déjà dans la brise glacée. Mais la belle andouille fut vite graciée, Nana lui faisant dos pour se reposer contre le sien, l'épousant. Elle était épuisée, Yomi l'avait sentit depuis longtemps. Cette pantoufle s'était surement beaucoup plus surmenée que lors de sa paralysie. « Eh bien pour tout vous dire, je fais mais je ne sais pas comment je le fais héhé. » Elle tirait la langue au garçon tandis qu'elle se gratait la joue, toute ébétée. Bien sûr elle jouait le jeu de l'idiotie. La petite voix fluette de l'autre s'éleva.
« Le Shunshin est une technique aussi simpliste que la marche sur l'eau, il suffit de libérer une infime partie de son chakra de son corps tout en en concentrant dans sa voute plantaire. Là on décampe en un éclair tout en donnant l'ilusion que l'on se téléporte comme par magie. Suivant notre affinité, le style du déplacement est assez atypique. Il te suffit d'essayer, blanc-bec. » Au travers de ces dédains grotesque et cette complicité de deux fragments d'un même miroir, avait été démontré que l'antithèse entre ces soeurs les unissaient également.
Spoiler:
Démonstration facétieuse du Shunshin no justu, plus explication théorique à Mystogan. Nana est épuisée.
Santé potable - Chakra passable.
Dernière édition par Yomi Kisara le Mar 21 Mai - 14:47, édité 1 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mar 21 Mai - 1:04
De la théorie à la pratique
Le mouvement du Ninjutsu, le Shunshin no jutsu. Technique, dite de rang faible, permettait à son utilisateur d'effectuer un déplacement rapide, plus rapide que la moyenne. Nana Kisara de son prénom intervint dans le duel qui opposait le dompteur Fuuton à Yomi Kisara, affrontement qui fut en quelque sorte perdu par le Konohajin. Bref, le combat était désormais achevé depuis belle lurette. Le bretteur de Konoha, posa avant de quitter les montagnes, une unique question à la peste de Kumo. Comment une petite chipie telle quelle pouvait utiliser le Shunshin ?! Puis soudainement, la petite du haut de ses petites mèches rosâtres disparut dans un tourbillon ardent, laissant le Shinobi seul, les yeux s’ébahirent devant une technique aussi banale. Son regard arpentait les lieux essayant de voir où la chipie allait réapparaitre. Puis, une voix s'éleva dans son dos, immédiatement, le dompteur des vents se tourna pour faire face à l'insolente gamine. Le coup entouré d'un bras, la sœur de la petite s'était également déplacée à une vitesse prodigieuse. Le vingtenaire n'en croyait pas ses pupilles. Il se retourna et y vit une sorte d'hologramme.. Non plutôt une image rémanente de l'experte Taijutsu. Il comprit à cet instant qu'elle s'était elle aussi déplacée à une vitesse supérieure à celle du Shunshin. Une prouesse que le bellâtre de Konoha ne pouvait qu'admirer en gardant le silence. Yomi fut châtié avant de recevoir la clémence de sa jumelle, puis s'expliqua quant à la manière ingénieuse dont elle avait procédé afin de réaliser ledit mouvement.
« Eh bien pour tout vous dire, je fais, mais je ne sais pas comment je le fais héhé. » Clamait-elle tout en tirant la langue en direction du mâle.
"Nannni ?!" hurla le spécialiste en Kenjutsu. Sa voix résonnait en de puissants échos se propageant dans les vallées rocheuses à la vitesse du son. Un profond rictus se profila sur son visage, accompagné d'une moue digne des cartoons les plus hilarants. Épuisé face à de tels enfantillages, Mystogan porta à son dos les sabres qu'il affectionnait tant. Cependant, l'explication détaillée de Nana Kisara l'éclaira bien plus que celle de la petite peste. La belle déclara que le Shunshin se trouvait être une technique des plus simpliste, pouvant même être comparé à la marche de Jésus sur l'eau. Le Chuunin se mouva de quelques centimètres où il y déposa Mugen. Le bretteur n'avait besoin de plus de détails pour débuter un petit entraînement sur le tas. Après un rapide échauffement, l'expert Ninjutsu fléchis ses jambes tout en y insufflant du chakra. D'une vive poussée de ses muscles il tenta d'y mêler son affinité Katon, celle qu'il découvrit quelques instants avant même d'arriver ici. La tentative se solda par un cuisant échec. Ne voulant point paraître pour un raté où encore un nul à ne pas réussir là où une petite... diablotine, Chipie tout ce que vous voulez, y parvenait sans le moindre souci, ni même savoir comment cela fonctionnait ! Alors, comprenant qu'utiliser l'affinité Katon compte tenu de la situation ainsi que de sa maîtrise précaire de l'affinité ardente, l'ex-membre de la racine se mit en tête d'utiliser le vent dans sa seconde tentative.
Alors, répétant les mêmes mouvements réaliser quelques instants auparavant. Le Chuunin fit signe à son centre névralgique d'insuffler du chakra de nature Fuuton dans ses membres inférieurs. Un puissant courant d'air émanait de son corps, puis, presque instantanément l'apprenti de fortune disparut tel l'éclair. Quelques roches chutèrent provoquant un bruit assourdissant. Il s'agissait du mâle, s'étant déplacé sans la moindre idée de là où il comptait atterrir, ce dernier se propulsa presque dans le précipice n'étant désormais maintenu par delà le vide par sa main gauche.
"Oy, dis-moi faut avoir une idée précise de là où il faut se propulser sinon c'est en quelque sorte l'anarchie ?!" Clama Jellal tout en se relevant tapant ses vêtements afin d'y éjecter la file pellicule poussiéreuse qui le recouvraient puis il reprit la parole. "La nuit est tombante avez-vous un logis, une sorte d'hôtel où je puisse sommeiller avant de reprendre route pour Konoha ?!"
Yomi à gauche, Lala au centre, Nana à droite. (là)
La peste de Kumo se paya bien cette tête d'ahuri en lui faisant avaler des couleuvres. Son cri s'était fait si perçant qu'il couvrit le bruit de fond de son fou rire. Nana s'était retenue de les étaler pour avoir la paix. Et s'en gardant bien, elle le laissa faire mumuse avec cette simpliste arcane shinobi. Elle ne dit rien de plus, bredouillant qu'il devrait se débrouiller seul. Yomi restait entre eux pour calmer la petite tension orageuse. Riant comme une gamine ébétée.Du reste, à sa dernière demande, elle joint ses mains contre sa poitrine, des étoiles pleins les mirettes d'améthyste. « Oh oui oui oui vous pouvez rester chez nous ce soir *O* » Dans son dos, l'autre était mortifiée. Elle manqua de s'étouffer en reprenant ses appuis pour leur faire face. Et de lui coller un poing sur le crâne et le frotter. « Tu dérraille ma vieille ?! On peut pas accueillir un lascard étranger, surtout qu'il s'est même pas présenté. Et puis tu crois qu'elle va en penser quoi Lala-oneechan, elle vas encore croire que t'as merdouillé u_u » Mais l'invincible jutsu des yeux de chiens battu allait vite la faire plier. Si bien que cette ogresse détourna le regard, géné, croisant les bras pour tenter de résister. Et la voilà qui signait rédition en poussant un profond râle. « Ok on va voir si c'est possible. Mais c'est aniue qui décide >.> »
Elle n'attendit pas plus longtemps, toute exténuée et lessivée également mentalement, elle n'aspirait qu'à se jeter en sa couche si douce. Elle leur emboîta le pas vers l'entrée des géants et la marche au coeur du délale de ces rues sombres. Les brois croisés derrière le crâne flanat dans les nuages au clair de lune. Yomi la suivit avec entrain. Elle était plus qu'heureuse du retour de cette adorée, même ronchonne. En même temps elle essayait d'imaginer la tête que ferait la grande soeur en voyant débarquer ces deux garnements avec un homme. Tant qu'il n'avait pas des vues sur elle, Yomi ne commettrait forfait. Tuer était un jeu d'enfant pour elle et un assassinna de plus ou de moins ne lui pèserait pas plus. Un fruit pourri voilà ce qu'elle était. Ses derniers vestiges d'humanité allant à l'adoration fanatique de ses soeurs. En chemin, une sacrée trotte dans les ténèbres pavetées, le duo jumeau papota. Riant ensemble de leurs anneries, l'une grognant lorsque l'autre la chariait un poil trop. De vraies petites filles, semblant innocentes et à cent lieux d'être des machines de guerre. Le périple s'achevait, encore quelques mètres. Maisle cortège s'était figé. Le lien si fort entre ces jeunes filles leur intimait une frayeur, dissimulées sur leurs faciès d'angéliques.
Elles n'étaient senseurs mais avaient à merveille deviné qu'un gardien était là. Derrière la porte en bois rouge. Elles s'attelèrent à s'enfoncer dans l'entrée de la bâtisse modeste pour y être surprise. Se tenait là, assise à l'écar, dans un fauteuil de cuir, le regard perçant de la plus belle de la trinité. Lala Kisara, elle qui se leva d'un coup, laissant sa longue traine de comète fushia avaler la distance jusqu'à ces petiotes. Et les étreindre de bonnes ronces. Hormis sa taille de corps et de poitrine plus mure, il n'y avait que la couleur de ses yeux pour la différencier, ceux-ci émeraude. Nana la repoussa, lui faisant faire quelques pas en arrière. « Vas étouffer quelqu'un d'autre, je suis crevée, je vais me coucher, salut u_u » Et la rabajoise exécrée s'en alla, glissant quelques mots de prudence au creux de cet oreille sage. Avant de s'évanouir dans l'espace et monter à sa dernière demeure. Yomi revint enlacer sa grande soeur, pour profiter de cette chaleur et de cette douceur maternelle. Tout en lui expliquant que le belâtre n'avait trouvé logis pour sa pomme et qu'après avoir fait connaissance, elle l'avait invité. Yomi savait la belle très charitable, et bien que dormir à la belle étoile soit fantastique, la rigeur de la nuit était peu recommandable contrairement à un bon lit.
Ainsi, congédiant son jeune moutard, en la poussant de ces doigts de fée dans le dos, Lala faisait plus parente que soeur. « C'est d'accord mais à présent files te coucher jeune fille. » Après avoir obligé l'enfant à montrer en sa chambre, l'Aphrodite demanda le nom de son convive, et de la suivre au salon. Un petit séjour, banal, pas si vide mais jovial. Elle débarassa le canapé de quelques trucs y trainant, pour lui faire de la place. « Voilà qui sera parfait, un instant je vous prie mon brave. » Elle s'éclipsa chercher une couverture et un coussin en sa chambre puis lui tendit avec un sourire radieux. « Voilà qui devrait vous aider à apprécier la nuit. Comprenez que je ne peux vous laisser monter à l'étage. Et c'est même votre jour de chance, nos parents ne reviennent pas avant quelques jours. Aussi j'aimerais vous voir accepter notre hospitalité autour d'un petit déjeuné. Puisse la nuit vous être douce.» Elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle filait à l'étage, baillant de sa veillée nerveuse. Pour rejoindre au pays des songes ces deux trésors ...
Spoiler:
Je te laisse le soin de faire une élypse temporelle jusqu'au matin A toi de voir si tu veux rester ou partir XD
Dernière édition par Yomi Kisara le Mar 21 Mai - 23:39, édité 1 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mar 21 Mai - 19:02
Nuit mouvementée
L'orphelin de Konoha fut pris au dépourvu, presque surpris de par la proposition de la petite chipie de Yomi. Cependant, il conservait un air stoïque et indifférent, sans nul doute trop fière pour laisser transparaitre de telles émotions à la vue de tous. Dans le dos de la gamine, la jumelle mortifiée ne semblait point être du même avis. La proposition fut un choc pour elle, la faisant sursauter au point qu'elle manqua de s'étouffer. Bien qu'il était indifférent quant aux lieux où loger, l'héritier Fujin Kami du vent, n'était pas le genre d'humain à dormir chez les fillettes, encore moins lorsque celles-ci se trouvaient être de vils démons.
"Hoy, Hoy, les chippies ! J'ai demandé un logis pour la nuit. J'ai une tête a dormir chez des gamines moi ?!" clama le Konohajin, de sa voix grave masculine déterminer à trouver logis dans un endroit neutre semblable à un hôtel. "C'est bien, car je ne dispose d'alternative, n’allez pas vous imaginer quoi que ce soit " toisas l'invité presque dépité. Yomi, la gamine semblait relativement heureuse quant à l'idée de recevoir un convive chez elle, alors qu'il y a quelques instants cette même Kunoichis furieuse assenait un puissant uppercut dans la mâchoire dudit convive. Perplexe, le Chuunin allait garder un regard des plus attentif quant aux agissements de la fillette ardente. Son comportement, imprévisible, mais surtout instable, réservait bien des surprises à notre protagoniste. Au cours d'une brève marche, dos au soleil couchant, le cortège parvint enfin à la modeste demeure des Kisara. Sans prévenir les diablotines stoppèrent nette la marche, surprenant quelque peu le Chuunin de Konoha avant de qu'elles ne se ruent tels une meute de loups sur la porte de la bâtisse.
Vestibule franchit le bellâtre, invité de fortune, parut quelque peu surpris, presque ébahit. Ses bras enchevêtrés comme toujours se décroisèrent à la vue de la grande soeur des triplés. Gardant quelque peu la distance, par simple précaution. Le spécialiste en scellement put observer le charnel câlin de Yomi à l'intention de sa soeur Lala. En toute franchise, l'originaire de la feuille s'attendait plus à une déferlante de coups à l'encontre de la sotte qui invita un inconnu presque sur le tas. Cette femme aux formes généreuse semblait bel et bien plus âgée, plus mature également. Parent absent, la jeune femme semblait jouer à merveille le rôle de mère vaillante, m'étant presque immédiatement au lit les jumelles avant de s'occuper comme il se doit du convive. La déesse débarrassa le canapé en cuir des quelques objets trainant, un rapide ménage des lieux, puis porta au Shinobi couverture et coussin. Lala Kisara de sa voix douce, presque divine annonça à l'homme qu'elle serait ravie de le compter pour le déjeuner. Mystogan, assis sur le canapé, le visage impassible, une main appuyée sur sa clavicule comme pour calmer une crampe, acquiesça d'un simple hochement de la tête. Son autre main, libre, vint à se saisir d'une belle pomme posée sur le bureau dans ce qui pouvait s'apparenter à un panier de fruits. Le combat lui creusa quelque peu l'estomac et le bellâtre se trouvait être un fin gourmand qui plus est.
Soudainement, alors que Lala allait le laisser seul, au salon, le bellâtre vint à se saisir de la main de la sublime femme. Aux contacts des deux mains, un vif courant statique parcourut sa main de par en par. Son visage, son regard ténébreux, s'ancra profondément dans les pupilles angéliques de l'aînée du trio. Puis tout en l'invitant à s'asseoir quelques instants à ses côtés, le convive brisa le silence qui s'était installé comme par magie depuis le départ des diablotines.
" Pouvez-vous rester quelques instants en ma compagnie ? J'aimerais discuter avec vous de Yomi, et, pourquoi pas, si l'envie vous prend bien entendu, de vous ? "
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mar 21 Mai - 23:42
Spoiler:
Je joue mon pnj Lala à partir de maintenant
Alors qu'elle comptait s'évader à son tour et regagner son éternel donjon de solitude, on la retint. Sa pure main captive d'un démon charmeur. Lala était ce genre d'être sencible, même pour une kunoichi de son niveau, car elle était jeune avant tout. Mature mais pas encore adulte. Sa suplique, elle ne pouvait que l'exhausser. Car laisser une âme errante dans le doute pouvait être mauvais présage. L'ami d'aujourd'hui pourrait devenir le détracteur de demain. Il n'était question d'elle mais de sa cadette. Cette petite crevette et belle andouille avait du encore importuner quelqu'un et s'attirer des foudres impériales inextinguibles. Ainsi donc, Aphrodite se devait d'éclairer la lanterne de ce brave homme. Il n'avait l'air ni d'un briguand de grand chemin, ni d'un mauvais bougre. Car autrement la tornade rose l'aurait rossé illico. Elle pouvait sentir de la douceur chez cette personne, un chakra à peine épicé et remué en l'instant. Après tout elle était remarcable senseur. Elle s'était assise depuis peu, prenant ses aises à l'extrême du canapé. Ecoutant ses déboires qui devait aimer les histoires. Dommage, il n'y eut point de feu de cheminée ce soir là. Juste deux êtres un peu coincés, dont les regards se fuyaient.
« Je consens à vous apprendre un peu mais dîtes-moi d'abord votre patronyme au moins. En attendant, je vais nous faire du thé. » Elle du toucher un point sencible car le belâtre se sentit bien bête de ne s'être présenté bien avant. Ainsi donc elle levait son royal postérieur de la douceur de ces nuages pour filer en cuisine. Pièce voisine communiquant sans mur. L'atmosphère était revenue au calme, bercé en douceur par ce chant de sirène, fredonant en vaquant à ses affaires. Après un petit temps laissé à l'étranger pour se mettre à l'aise et pleinement s'imprégner de la douceur du foyer, la belle revint. Les bras chargés d'un plateau d'argent sur-lequel étaient posés deux tasses en céramique blance et à queue, plus une théiaire ardente et pleine. Elle déposa son chargement, avec grâce et volupté sur la petite table basse fesant fasse au canapé puis resta penchée au-dessus de cela. Pour servir, avec entrain radieux son convive fort plaisant. Elle lui tendit sa tasse, prenant garde à ce que leurs doigts ne fassent que s'effleurer. Puis elle se servit à son tour, attrapa la cuve au brevage divin par la queue et se glissa dans le confort du dossier de velour. Tout était fin prêt pour papoter jusqu'aux aurores. Voilà que paru sa voix charmeuse.
« Il ne faut pas en vouloir à me cadettes, Yomi a gardé son âme d'enfant et est assez espiègle mais c'est une brave petite. Pour ce qui est de Nana, eh bien disons qu'elle est à peine plus mature, complexée et forte tête, elle n'en est pas moins adorable quand on ne l'irrite pas. Pour ma part je n'ai pas grand chose à dire, je suis celle qui fait le fleuron de la famille, assez brillante kunoichi et je travaille dur pour êtrecapable de protéger ces petites diablesses. Peut-être me comprenez-vous, si vous avez de la famille aussi. » Elle eut grand soif et se permise d'écourter ces révélation pour savourer une gorgée revigorante de son nectar vermeille. Puis, elle avait laissé le temps à son comparse de se délier la langue s'il le voulait et elle reprit. « Il y a peu de temps, trop peu pour que cela ne l'affecte plus, elle a été victime d'un traumatisme assez violent. Le genre qui vous change. Nous étions en mission, j'avais la charge de son équipe mais je perdis connaissance sur la fin. Yomi me tira de la panade mais elle vit périr ces camarades dont son amour. Depuis elle semble assez excentrique et ne pleure pas. Comme si elle voulait effacer ce chagrin par ces enfantillages. Je ne sais pas si elle a peur de reconnaitre sa tristesse ou si elle se refuse de s'apitoyer. Mais je sais une chose, c'est qu'elle m'inquiète. Mais je dois vous ennuyer avec nos histoires de famille, après tout la mort chez les enfants ninja est monaie courante. »
Dernière édition par Yomi Kisara le Mer 22 Mai - 2:26, édité 1 fois
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Mer 22 Mai - 2:22
Le monde Shinobi
En tout franchisse, il serait mentir que de ne pas affirmer que le bellâtre de la feuille ne fut pas surpris par la divine hospitalité de l'aîné. Sa maturité était à s'y méprendre. Le jour et la nuit en comparaison avec les deux petites folles qui dormaient à quelques encablures du salon. Assis sur un canapé cuir, la jeune dame fit remarquée à son convive que ce dernier ne s'était point présenté. Habitué aux conflits et à ne pas donner de nom le bellâtre en avait presque oublié les bonnes manières. "Heu.... Jellal" fit le Konohajin, presque gêné de ne pas l'avoir dit plus tôt. Être gêné, sentiment qui lui arrivait que trop rarement pour ne pas dire jamais ! Suivant du regard comme tout homme le ferait, les courbures du corps de Lala lorsqu'elle se leva, Jellal glissa le coussin rond du canapé en direction d'un des angles dudit fauteuil. N'étant désormais plus une gêne, le Shinobi de Konoha no Sato s'adossa contre le dossier afin de se détendre quelques instants. À la lumière de la lampe basse qui éclairait la pièce, il put admirer de nombreuses photos de famille, notamment celle de Yomi ainsi que ses jumelles. Détendu, le parfum suave du thé mêlé à celui de Lala embaumait l'air et commençait presque à bercer l'invité vers de lointains horizons. Mystogan de son surnom, tressaillit lorsque demoiselle Kisara revint, plateau d'argent en main, dans la salle de réunion. Le thé fut posé avec une grâce sans égale, et l'odeur qui émanait de cette boisson bienfaisante attirait ses nerfs olfactifs.
L'ambiance y était paisible même si tout au fond de son être, l'héritier de la racine, couvait un incoercible sentiment indescriptible. Bien que rafraîchi, détendu, c'était son insatiable esprit combatif, qui courrait en ses veines en cette paisible atmosphère. La petite Kisara, qui a l'heure actuelle devait être profondément ancré dans son sommeil, excita le vil démon qui sommeillait en lui. . La belle entreprit une explication quant à l'image qu'elle se faisait de la petite Yomi ainsi que de sa jumelle. Toisant que la petite Chipie Kunoichis, avait conservée son âme d'enfance et se trouvait être une gamine relativement espiègle. Malgré tout, il était audible aux oreilles de l'invité une forme d'amour fraternel assez fort envers les deux fillettes, et ce, malgré leurs comportements plus que particulier. Puis après quelques instants où elle en profita pour quelque peu se désaltérer, elle reprit en affirmant qu'elle perdit il y a peu, bien trop peu même, de proches amis. Affirmat même que cela provoqua en elle un tournant dans sa vie. Le Chuunin dévorait littéralement les paroles de sa collègue Kumojin et fut relativement surpris de voir qu'elle puisse imaginer que cela pouvait ennuyer son invité. Les dernières paroles poussèrent le Chuunin à réfléchir quant à la question même de l'existence des Shinobi dans ce vaste monde. Alors, tandis que sa main se posait sur la tasse de thé pour en vider le contenu, l'homme rétorqua à la demoiselle.
"Oh détrompez-vous, cette petite histoire m'intrigue beaucoup. Cependant, je suis presque soulagé de voir que vous faites parties des réalistes et que vous connaissez les sombres facettes du métier de Shinobi. Pour ma part, je suis orphelin de naissance. Précoce, je n'acquis il y a 21 ans au village de Konoha, ma mère mourut durant l'accouchement et mon père génétique m'abandonna. Son regard se baissa quelque peu, s'orientant vers la théiere vide posée sur la table. De par son attitude intrigante voir étrange en comparaison de ce que les gens pouvaient attendre de lui, notre héros pouvait donner à son interlocuteur, la vague impression que notre jeune protagoniste se morfondait dans un flots de pensées négatives. Je pense qu'il devait probablement me considérer comme ni plus ni moins qu'un vulgaire fardeau, souvenir de la mort de celle qu'il aimait. Par la suite je fus adopté dans une famille de classe noble à Konoha, cependant ce monde ne m'inspirait pas tant, je désirais devenir un Shinobi, être connu de tous, bref le rêve d'un gamin. Ma mère mourut lors de l'attaque de Kyuubi et à la suite de cela je pris une longue trêve. Je me devais de revenir aux bases comprendre le véritable sens du mot Shinobi avant de m'y engager. Voila c'est à peu près toute mon histoire" Jellal omit volontairement de parler de la racine à une fraiche rencontre, et qui plus est, une Kumojin. La confiance était chose rare en ce monde et le vingtenaire le savait.
" Et vous ? Votre parcourt Ninja fut aussi parfait que le mien ?" Termina ironiquement le mâle de la feuille. Chose étonnante, lui qui habituellement froid, ne montrait que trop peu d’intérêt pour autrui se trouvait prit par ses propres sentiments et sensations.
Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Ven 24 Mai - 22:35
Elle l'écouta parler longtemps. Lors de cette longue tirade, loin d'être barbante mais ne la captivant que par compassion, Lala souriait. Espérant atténuer l'horreur du réçit. Buvant quelques gorgées torride par moments. Elle avait croisé les jambes, laissant son dos s'enfoncer dans le canapé de velour. A présent toute détendue par l'arôme envoûtant du brevage. « Oh il est tout à fait classique. Je suis encore assez jeune, gradée depuis peu et je commence à peine à me faire un nom dans la profession. Avoir ces deux andouilles comme soeurs aide pas mal à se tailler une réputation sympatique. Du reste mes parents sont encore en vie et m'ont bien élevée. Après vous n'êtes pas sans savoir que Kumo applique une très rude discipline à ces habitants. Le hic qui m'a vallut, comme mes cadettes, d'être mal vue et même une honte c'est que la famille n'avait d'héritier masculin. Et puisque le système est des plus virils et que l'homme est plus influant, j'ai du grandir vite pour devenir assez forte. Pour mériter du respect. C'est ce que le village et mes parents voulaient. Je ne les ai pas déçus, je me pense assez forte et douée pour mon rang. Après, j'ai supporté la dureté du système grâce à ces deux petits anges, je n'étais pas seule et je voulais pouvoir les protéger. C'est ma motivation à être ninja. »
Tandis que l'une de ces petites cachotières s'affairait à espionner la scène depuis les coulisses, l'autre était tout aussi en feu. Admirant également des courbes se dessinant à merveille sous le fin tissus de cette nuisette rose. Au creux de ce sourire malingre, se faufilait une langue de feu. Toute excitée par l'appétissante vision de ce chassit. En d'autres mots, Yomi mattait le derrière de sa jumelle. Tentant bien que mal de se contenir. Elle avait envie de tater cette peau lisse de bambin, de la caresser même et intimement. Ce qui l'amena à baver et rire en murmure comme une bécasse des plus perverse. Au creux de ses yeux n'existaient plus que ces belles fesses, une petite vu du ventre nu sans poitrine et une culotte blanche. Elle profita bien que sa jumelle soit omnibulée par sa petite colère à l'encontre de ce dragueur de pacotille. Yomi vint à craquer et lui palper une fesse, au même moment Nana sursauta. Elle comptait aller stoper ce massacre de romance et faire sa fête à l'empafé de la feuille. Seulement la diablesse de Kumo lui avait attrapé la queue qui venait à peine de se glisser dans l'espace. Ce serpantin noir et fin se tortilla dans tous les sens, si sencible et fragile, la brute était faite et la sélérate pouvait disposer de son corps. Ce que la belle fit, lui massant une rondeur d'une main, tandis que l'autre glissait d'avant en arrière sur l'apyndice étrange. Ces frictions lui firent pousser de subtils petits cris d'excitation sexuelle, qu'elle étouffait en se morillant un doigt. Nana ne cessa de murmurer Yamete.
Cette scène érotique se déroulait bien jusqu'à ce que Nana perde pied et s'éffondre en avant. Bien la moitier de son corps, avait commit fracas au plancher, mais surtout était visible depuis le séjour. Elle était mal. Yomi lui lâcha la queue et toutes deux sortirent de l'ombre. La plus grande qui n'avait rien senti, puisque son radar avait été captivé par un autre. Elle ne fit qu'un bond, comme une gamine prise sur le fait d'une bourde. Se dressant hors du sofa pour afficher, à elles, une mine mortifiée. L'air de dire -vous êtes là depuis longtemps ?-. « J'arrivais pas à dormir avec l'autre casse-pied qui te voulait savoir en haut. » Toussa t'elle dans un poing. Par dessus son épaule un petit visage taquin se dessinait. « Moi je les trouve mignon ces deux là hihi. » A ces dires Lala vit grandir ces yeux, médusée par cette sotte pensée que sa cadette avait eut. En même temps Nana avait fait volte-face, empoignant de puissantes serres les épaules de sa jumelles. Le regard terrifiant que Yomi vu la pali en véritable linge blanc. L'Aphrodite relança par dessus son épaule, un petit sourire au belâtre qui pouvait s'être étouffé devant tant d'absurdité. Puis elle riva à nouveau ses mirettes vers ces nabots casse-bonbon. Le regard mauvais. « Retournez vous coucher, je ne serais pas longue. » Le mâle pouvait avoir vu l'étrange queue de diable qui fricottait avec l'air, dans le dos de Nana.
Dernière édition par Yomi Kisara le Sam 25 Mai - 18:11, édité 1 fois
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Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Sam 25 Mai - 17:27
- Arc Kumo -
Désires et envies
La plupart des hommes devaient être tant captivés par la beauté de Lala Kisara qu'ils n'imaginaient surement pas qu'elle puisse avoir tant de talent. Son visage délicat, le teint porcelaine de son épiderme étaient parfaitement représentatifs pour une divinité de son âge. Tout homme aurait pu fondre devant telle beauté. Même un homme tel que Jellal. Notre protagoniste, qui avait pourtant la fâcheuse réputation d'être plus froid et glacial que le blizzard, en oubliait presque le but de sa venu au pays des Nuages. Le Chuunin, dévorait littéralement les paroles de sa comparse. Attentifs au moindre mot, ses iris admiraient les traits purs de l'ange, dont la bouche douce et fruité, susurrait au mâle de les dévorer, les marteler de tendre bisou. La lèvre supérieure, un peu plus large et bombée que sa lèvre inférieure, dessinait un sourire tout aussi angélique que le reste de son corps. La femme au sex-appeal monstre, vêtue d'une fine jupette blanchâtre, comptait à cœur ouvert, son parfait parcourt au sein des troupes du Raikage. Le ventricule plus rapide qu'une voiture de course, Mystogan tentait tant bien que mal de ne pas se ruer tel un sauvage sur la demoiselle, après tout, elle lui offrait logis et nourriture, agir de la sorte serait stupide et immature. Mais..... L'envie... était si forte, si enivrante, qu'il était presque impossible de résister. Soudainement, sans prier garde, deux petits esprits apparurent de chaque côté de ses épaules. L'un d'une blancheur presque sainte, l'autre plus diabolique et ensanglantée que Nana, les deux, furent spectateurs des déboires amoureux de l'ancien disciple de Danzo. Son front se perlait peu à peu de sueurs ardentes et ses pieds commencèrent à dangereusement trembler, témoignant d'un stress de plus en plus insurmontable. Mais Bordel ! Que lui arrivait-il au juste ?! .... Un petit bruit émergea du couloir, suffisant pour sensiblement attirer l'attention de la Kunoichis. Profitant du court délai qu'il lui fut accordé, notre amoureux en herbe, essuya d'un vif mouvement les gouttes qui coulèrent de par-en-par, tout le long de son épiderme.
Les deux petits êtres postés sur chaque côté comprirent rapidement que l'expert Fuin n'était pas vraiment à son aise et que ce dernier ne savait trop quelle attitude avoir afin de faire chavirer le coeur de l'aîné du trio Kisara.
"*Bon, écoute petit ! Tu vois les femmes, c'est comme le football si tu vises bien c'est le but assuré. Méfis-toi cependant des deux gamines là Yomi et Machin Nanya ou Nanaat. Nana. Bref, dans ton cas elles représentent le gardien de but, si elles émergent, tire encore plus fort droit au but. Éloigne Lala de ces deux petites chipies et la victoire sera tienne*" glissa l'esprit au teint rougeâtre dans le lobe gauche du jeune en panique. L'homme dont les vaines du cou devinrent saillantes, couvertes de transpiration, les bras tremblants, n'en pouvait plus. Ses yeux, avec leurs pupilles dilatées par tension et exaltation, ressemblaient plus que jamais à des yeux de chat. Notre protagoniste, sur le point de craquer, n'espérait plus que l'autre hallucination ne le raisonne et lui montre la sainte voix.
"*Nah tu te trompes, Konoyaro. Fonnnce Jellal Foooooonnnce!*" Hurlait, presque exciter l'ange pervertit, allant même jusqu'à danser avec son opposant satanique. "*Bon sang, bon après tout, j'suis pas mal du tout, voir canon, j'ai peut-être toutes mes chances... Fin peut-être qu'elle ne reste que par sympathie ou autre AHHH BORDEL. Bon cette fois-ci je me lance*". Lala lui fit durant tout ce temps, dos, cherchant à connaître la provenance du bruit. L'occasion fut immédiatement saisie par le Konohajin qui fit un rapide mouvement sur le canapé afin de pouvoir établir à nouveau un contact physique. Son bras gauche quitta ses hanches afin de prendre lentement, mais très lentement, le chemin de l'épaule de celle qu'il appréciait tant. Soudainement ! Alors qu'il s'était enfin résolu à passer à l'action, les deux petites chipies émergèrent COMME PAR HASARD des tréfonds ténébreux du couloir. Son minois descendit rapidement en températures, ses yeux bridés aux maximums. Surpris, par les deux diablotines, le bellâtre recula, se logeant à l'opposée. "* SHIMAAAATAAAA. SHIMAATTA*" Le pétrifié citait toute sorte d'incantation, hindouiste, Shintouiste, toutes les divinités, pour que Nana, la plus brutale du trio, n'eut temps de voir ses faits et gestes.
Envoyant un faux sourire en direction de la petite Yomi, les iris marines du Fernandes furent rapidement tournées vers toute autre chose. En effet, tandis que Lala sermonnait les petites chipies. Dans le dos de Nana, fut perceptible à l’oeil du Chuunin, un objet remuant de gauche à droite, dansant tel un serpent. Paniqué au premier abord, le bellâtre débordé par les sentiments posa ses deux viriles mains sur ledit animal. Conscient que saigner à blanc un animal devant tant de monde pouvait être choquant, le bretteur tenta d'apprivoiser ce qu'il pensait être un reptile, effectuant de sensibles caresses.
Dernière édition par Mystogan le Dim 26 Mai - 1:08, édité 8 fois
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Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Sam 25 Mai - 18:49
Yomi finit par reprendre des couleurs, sa jumelle avait tu sa lueur farouche et foutrement violacée. Leurs écrins d'améthistes se répondant à nouveau, une petite symbiose s'instala entre ces deux diablesses. Comme si leur pensée était commune. Il s'agissait d'un lien qui leur était propre, une sorte de télépathie qui les fit tomber d'accord sur un point. Ce blanc-bec n'aurait pas Lala. Plongées de concert dans leur complot machiavélique, traduit par leur airs niais, ces petiotes n'entendirent la demande de leur ainée. Celle-ci s'impatientant de voir sa commande exécutée. Elle avait également sommeil et comptait faire coucher tout le monde. Mais le Destin en eut décidé autrement puisque le belâtre commis une erreur monumentale en attrapant la queue de Nana. Celle-ci se crispa d'un coup avant d'écarquiller ces pauvres mirette à nouveau victimisées. La grande soeur s'avança de quelques pas, prise d'un petit embaras. « Ce n'est pas ce que vous croyez ... » Elle eut deviné que l'homme avait songé à un serpent ou une bestiole du genre et la prenait en menace. Cependant voilà qu'il caressait la palme en tête de queue. Endroit extra-sencible et on ne peut plus excitant. Ce qui la fit relacher un gémissement de plaisir malgré elle. Sur l'instant elle souleva hors de terre un de ses pieds nus. Pour replier sa jambe et la carer en arrière, avec assez de force pour briser les valseuses de l'impudent. « Vas au diable !! » Avait grondé la belle dans l'acte tortueux.
Yomi le vit être violement projeter en arrière. Pensant qu'il n'avait reçu que juste châtiment pour avoir titillé son jouet de désir à elle. Notre peste locale se glissa dans le dos de sa pauvre âme soeur torturée. Pour faire barage à toute autre soucis. Entre temps Lala de sa célérité détonante rattrapa au vol le belâtre. D'une pour que son corps ne fracasse rien en se crashant et de deux pour qu'il ne soit pas plus meutri. Elle parvint à stopper sa déchéance et sa course dans les airs hélas elle recula de quelques mètres. A un cheveux de se faire applatir par lui contre un mur. Elle le tint fermement contre son corps où il ne pourrait déplorer que de molles douleurs ou douceurs. Elle pu soupirer de soulagement en relâchant l'homme pour se déporter toute entière devant Yomi. Une tension naquit dans leur regards. Yomi voulait protéger sa jumelle même contre la fureur de la matriarche. Cette dernière avait les poings campées aux hanches et s'eut légèrement penchées en avant. Un petit instant orageux enflama l'atmosphère avant que des lèvres s'entrouvrent. « Nana, excuses-toi pour ça. » L'acusée se sentait encore plus seule dans les ténèbres. Elle n'avait que méprit et rage à l'encontre de celui qui sembla être innocent. Mais il avait provoqué cet accident.
Elle se détacha du dos de sa doublure et fit volte face. Relevant les yeux larmoyants et furieux, voilés sous sa frange, après un bref Je refuse. Yomi assista impuissante à la tombée des Enfers déchirant les coeurs, tandis qu'elle la suivait du regard. Murmurant au passage le prénom de la belle comme pour traduire sa surpise. Nana s'était postée de sorte à ce que tous la voient et lisent en elle, son ressenti de cette affreuse journée. Elle serrait les poings et sa queue fouettait l'air avec violence.« Un pervers pose ses sales pattes sur moi et tu m'en veus de m'être défendue ? Ouais je vais aller me coucher, c'est le mieux que j'ai à faire. Sans quoi je lui refais le portrait dans l'instant. Et au passage, aniue, merci sale traitre ! » Elle s'enfuit à la vitesse de l'éclair, s'évanouissant dans les ténèbres. Seul retenti le foulement lourd et furieux de sa montée dans les escaliers. Yomi s'était tournée pour la voir disparaitre. Compatissant et devinant que là haut serait engandrée une bien longue lignée de larmes. La dernière des cadettes riva un doux regard par dessus son épaule. Mais au lieu d'enfoncer le couteau dans la plaie, sa petite voix fluette et taquine, visait à détendre l'atmosphère. « Je m'occupe de la consoler. » Elle partit à sa rencontre en douceur. Lala avait honte mais l'enterra pour faire bonne figure devant le convive secoué et surement confus.
La dernière et seule soeur des Kisara, se devait de rester. Se retounant lentement vers le pauvre homme qui avait encaissé la fureur d'une dragonne. Se glissant une main à l'arrière du crane et parssant ébéttée. « Je pense vous devoir explication. Mais encore une fois je vous supplie de ne point lui en vouloir. Tout ceci ne fut que méprise et accident. Il y a chez nous une technique secrète de transformation assez atypique. Nous dotant d'une fine et longue queue noire de diable. Si on oublie ses secrètes capacités, ilen résulte qu'elle est très sencible et provoque au toucher de l'excitation sexuelle. Et Nana lorsque trop irritée, l'invoque. Je vous laisse imaginer le dégout qui l'a traversé. Pardon j'aurais du vous en faire part plus tôt et tout ceci ne se serait déroulé ... » Sa petite mine tristounette l'absorba un instant. Réfléchissant à sa sottiste qui l'anima et le moyen de se faire pardonner par son trésor.
Dernière édition par Yomi Kisara le Ven 31 Mai - 20:44, édité 1 fois
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Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Sam 25 Mai - 23:25
- Arc Kumo -
Anatomie
Fort de sa capture, Jellal se sentit presque poussé des ailes. Le héros, tenta d'apprivoiser ce qu'il pensait être un serpent par de douce caresses. Au même instant, la diablotine Nana poussa un frêle gémissement de plaisir. Bien que notre protagoniste se demandait la raison pour laquelle le maitre d'hôte poussait de tels sons. Puis, tout en reprenant ses esprits, le maître Fuuton remarqua que ledit serpent se trouvait être en fin de compte une queue, semblable à celle du Diable. Mais alors ! Tandis que ses deux mains relâchaient ledit appendice, notre vingtenaire fut foudroyé aux sens propres du terme. Nana s'approcha lentement du bellâtre, puis à la stupeur de ce dernier, envoya la plante de son pied se loger dans les bourses familiales du Fernandes. Les yeux écarquillés de douleurs, un flot massif d'impulsions électriques parcourut à vitesse lumière l'encéphale de notre jeune homme. Propulsé du canapé à une hauteur impressionnante, l'homme ne parvint pas à saisir la complexité de la situation. Son corps meurtrit du fourbe coup porté à son unique point faible. Mystogan allait s'écraser dans les alentours, chamboulant l'organisation du pauvre salon, lorsque tout à coup, Lala fit un bond récupérant par la même occasion le martyre qui, bien que réconforté par la douceur de ses courbes divines, souffrait horriblement. En effet, la douleur ne se cantonna pas aux testicules. La zone érogène pourvue de nerfs propagea la douleur le long des terminaisons nerveuses, propageant la douleur sur tout son corps. Allongé sur le canapé, tentant de vérifier de ses mains si ses organes reproductifs étaient toujours en un seul morceau, l'eunuque toisa à voix basse. "* Sale.... Tu vas me le payer, attend un peu toi et moi l'on va s'expliquer. *!".
Lala éhonté du geste minable de sa sœurette s'excusa auprès de son compagnon de soirée. Bien que cela n'atténuait en aucune manière la vive douleur qu'il éprouvait. Paralyser notre bretteur tenta de se lever pour se tenir tel Apollon. Impossible, aussitôt qu'il tint ses jambes debout, la douleur l'empêchait de se maintenir comme tout homme le ferait. Cette fois c'était sur et certain, cette peste aux cheveux rose allait amèrement le payer, regretter son acte. D'un rapide tâtonnement du doigt, notre héros put percevoir comme un gonflement sur ladite partie. De peur de définitivement perdre sa capacité reproductrice, le Konohajin tenta de sa frêle voix de quémander un verre d'eau en vain. Finalement il se contenta d'une gorgé du thé qui avait refroidit durant ces longs instants. Ses dites bourses retrouveraient leurs formes datant après un repos mérité.
De par ses capacités Fuinjutsu Jellal exposa avec difficulté un petit rouleau. Une poche de glace y émergea, ce rouleau pratique contenait toute sorte d'objets utiles en cas de plaies à cautériser ou de blessures moins graves. "Bon sang, on peut dire qu'elles sont spéciales, ces petites ahaha" l'homme tentait tant bien que mal par l'intermédiaire d'un rire des plus faux de rassurer la déesse Lala. La glace provoqua en lui un bonheur inimaginable, emportant ses vives douleurs dans un autre monde. Reprenant sur un ton plus sérieux l'homme ajouta " J'ignorais pour votre queue. Cependant Nana semble quelque peu réticente quant à ma présence en ces lieux “ L'esprit possiblement engourdi par la douleur, le mâle en oubliait ses douleurs à la vue du minois navrée de la Kunoichis. Épuisés le vingtenaire s'allongea sur le divan de velours, désireux de reposer ses parties intimes.
"Je pense.... que me reposer serait une bonne idée" Toisa le bretteur, sérieusement touché.
En avait si honte, pensant que cette catastrophe était de son entière faute. Car après tout si elle avait gagné son donjon pour y trouver repos, ces deux angéliques ne seraient descendues. L'inquiétudes qui les eut animées était également de sa faute. La coupable restait aux côtés du belâtre. Ayant mal pour lui, un poing demeurait pressé contre sa poitrine étraglée. Son malaise fit que son regard fuyait celui de braises de l'homme, comme si elle en avait peur. Sa petite voix fluette parue d'entre sa gène, la crevant commeune bulle, pour s'exclamer timidement. Elle n'était sur le sofa, juste plantée pas loin, dans la mire du terrible sniper. « Nana est un peu dure et semble asociale mais je pense qu'elle a peur du contact alors elle effrait pour être malmenée par ces sentiments. Tout comme Yomi, elle est tel un bourgeon de fleur qui doit éclore dans les ruines fumantes de notre monde si cruel avec les faibles et les enfants. Depuis qu'elle est Chûnin, elle a du voir bien plus d'horreur qu'elle ne l'aura imaginé. je vous demande seulement d'essayer d evous mettre à la place de ces enfants, leurs esprits ne sont pas prêt pour ce monde abject. Je n'étais pas prêtte non plus à vrai dire et vous non plus je pense. Mais c'est là le triste lot du shinobi, souffrir et servir comme un outil. J'aimerais changer cela, pour qu'elles n'est pas à risquer leurs vies. Pour qu'aucun enfant n'ai plus à perdre son innocence dans notre système si tordu. Mais je n'ai pas cette force et le monde tourne toujours aussi mal. Mais je vais vous laisser, peut-être à demain ... »
Ses doigts n'osèrent aller flirter sur la chaine de montagne de velours et caresser la tête du belâtre. car elle ne pouvait se permettre d elui laisser autre courtois souvenir qu'un petit regard. Nul billet doux, nulle caresse sensuelle comme il eut droit en son vol plané. Elle prit le sentier de la fuite et des ombres. S'engoufrant au détour d'un mur, dans un escalier en bois. Là sa mimine logée au coeur connue nouvelle torsion. Elle avait mal à la poitrine à cause du fracas salvateur mais aussi par ce qu'elle était ennuyée de le laisser si mal en point. Peut-être avait-il d'autres questions ? Elle n'aurait-eut le coeur de lui répondre, elle n'aurait pu affronter ce regard terrible l'ébranlant. S'évadant donc à l'étage en poussant un petit soupir. Elle y découvrait, en s'aventurant en la chambre des jumelles, qu'elle dormait déjà, l'une contre l'autre. Cette embrassade fraternelle était réjouissante à contempler. Tellement belle, que le mal habitant Lala s'envola. Elle fit plus que les regarder, elle se joint à elle, pour se serrer contre Nana encore la bouille imbibée de rosée cristaline. « Don't cry so more my baby. I love you so mutch ♥ Then have a good dream, you too Yomi ~ » Elle entoura ces deux soeurs de ses bras et vint à donner comme coussin, sa poitrine. S'endormant à leurs côtés pour espérer rejoindre leurs merveilleux rêves ...
Au etit matin, lorsque les premiers rayons de l'aube frappèrent la terre, pour la brûler. Un vers gesticata, puis un petit cri retentit. Nana était faite en scélérate par deux perverses biens roulées. La bouille nichée dans les mameles de sa grande soeur, elle se teint pivoine, gloussa puis se dégaea. Pour reprendre son souffle. Mais voila qu'un esprit malingre vint la peloter. Elle s'écria d'une petit voix aigue et donne un petit coup de boule à son détracteur pour la faire lâcher prise. Puis la voilà toute ronchonante qui sortait du lit. En tope et short court. Elle manqua de cogner à nouveau en voyant Yomi peloter la grande soeur rougissante et susurant des han ou yamete. Puis elle vit que Lala se réveillait, elle était à califourchont sur elle, l'air peunaud. L'une comme l'autre murmurant innocement un bonjour, alors que l'espiègle diablesse avait encore ses serres sur ces monts moux. Le remarquant, Lala la chassa avec la figure rouge, elle en profita une dernière fois avant de filer. Suivant les pas de sa jumelle pour retourner au séjour. Sans bruit, à pas de loup pour se glisser dans le dos du canapé. Là Nana se doutait de ce qui allait arriver mais ele ne fit rien pour l'empêcher. Yomi fit des chatouille dans le coup de l'endormi. Maintenant sa tête hors de portée d'un mauvais coup. Lala descendait en baillant et éclata d'un petit rire devant cette scène. C'était presque comme s'il était un memebre de la famille ou tout du moins un ami.
Spoiler:
Sasuke c'est le père noël, elle m'a donné carte blanche pour utiliser la queue quand je veux en hors-combat. Tu peux considérer qu'elles l'onr toutes les trois !
Dernière édition par Yomi Kisara le Sam 1 Juin - 11:24, édité 1 fois
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Sujet: Re: Lorsque le vent et le feu font danser les cieux [Yomi] Sam 1 Juin - 0:07
- Arc Kumo -
Premiers rayons de soleil
La soirée apporta son lot d'émotion à tous. Bourses douloureuses, le jeune homme restait silencieux, écoutant la douce Lala justifier à nouveau les actes peu vertueux de Nana. Il aurait bien voulu la rassurer, lui dire que ce n'était pas si grave que cela mais..... son entre-jambe disait l'inverse, cruel dillème pour le bellâtre qui fut forcé d'écouter ses testicules. Ses yeux palis par la douleurs se fermèrent d'eux même, pour une fois. Le sommeil lui fut aisément accessible, chose rare faut-il avouer. Tête adossée contre un coussin de velours, le bretteur rêvait. Non de Lala ou encore de choses plaisantes, mais du Kick monumental que ses bourses encaissèrent quelques instants plus tôt, l'œuvre de Nana. Le lendemain, un soleil de canicule brillait dans un ciel dépourvu de nuages au-dessus de Kumogakure. Notre protagoniste à la chevelure de neige passa l'intégralité de la nuit, allongé sur le canapé, seul dans le salon de la petite famille Kisara à cauchemarder. Tandis, que son sommeil devint enfin agréable, profitable. Son épiderme fut mis à rude épreuve, forçant l'une de ses mains à se mouvoir pour chasser ce qu'il pensait être une mouche. Rien à faire, les chatouilles ne s'estompaient point et continuèrent de plus belle. Alors, sourcil froncé, le mâle se tourna, espérant que cela chasse ledit gêneur matinal. TOUJOURS et TOUJOURS, ces chatouilles reprenaient de plus belle, cette fois, il en était sur, quelqu'un désirait l'extirper de son sommeil, pile à l'instant l'où son sommeil devint plus plaisant, plus paisible. Rêvant de Lala, son crâne calé entre les deux coussins naturels de la sublime apportant douceur et chaleur au cœur de notre jeune bretteur. Le visage couleur tomate, le Chuunin se prenait à rêver de pouvoir gouter au fruit interdit de Lala, du moins ce fut avant qu'il n'en soit extrait par les petites mimines délicates de Yomi. Les yeux endoloris, presque clos, Jellal put sentir que volume de ses bourses avaient fortement diminué durant la nuit, elles avaient fort heureusement pour le Konohajin, reprit , forme et couleur datant.
"Hoy, ça t'amuses de réveiller les gens ? " disait-il les yeux à peine ouverts. Son visage de couleur brique était profondément marqué par la nuit agitée et quand il clignait de l'oeil, cela n'était non sans peine. L'homme n'était vraiment pas matinal et n'appréciait pas d'être d'autant plus éveillé de la sorte. Enfin bref, étrangement, toutes ces pensées négatives disparurent à la vue de Lala. Bordel ! Pourquoi donc, à sa simple vue son coeur battait sans cesse la chamade. Pourquoi ! Fallait-il que cette femme prenne d'assaut son esprit et ses pensées, pourquoi donc ! Fort heureusement, le jeune homme avait un atout : il était parfaitement maître de lui dans les grandes occasions. Son manque total de sensibilité qui disparut la veille comme par enchantement, lui permettait de garder le plus souvent tête froide en des circonstances où des hommes plus sincères et fragiles devenaient embarrassés et bafouillant. Pinçant les petites joues de Yomi, tout en lui chatouillant la nuque avec sa main gauche. Peu de temps après le sabreur annonça tandis qu'il commençait à se dévêtir.
" Dis Yomi la salle de bain ? Elle est où ?"
L'ancien de la racine n'était pas en toute franchise quelqu'un de pervers, il manquait juste cruellement de pudeur. Dès alors, tandis qu'il attendait réponse, ses pupilles se posèrent sur les triplés, toutes trois munis d'une queue de serpent. "Oh je vois, je rêve toujours, Bon eh bien, Bonne nuit !" Termina-t-il avant de se rendormir complètement nu, l'homme pensait vu l'état dans lequel il était, avoir eu quelques hallucinations. Oubliant littéralement l'explication de Lala Kisara sur le pourquoi du comment elles étaient pourvues d'un tel appendice, l'homme s'enroula à nouveau dans sa couette de fortune.