Reina du clan Senju de la forêt

Native du Pays du Feu d’où ses ancêtres venaient également. L’une des dernières descendante du clan Senju de la forêt. Un clan distingué des plus puissants clans du Yuukan, un clan rival à celui des Uchiha. Peut-être parce qu’ils descendent directement du Rikudô Senin et qu’ils ont hérités de puissants avantages héréditaires. Pour certains qui en sont capable, peuvent contrôler l’élément du bois, mais seulement ceux qui en on le pouvoir si non, ils ne resteront qu’aux éléments de base du clan, donton et suiton. Pour ce qui est de certains autres descendant, ils possèdent de bonnes caractéristiques physiques pour le taijutsu et mentales pour le genjutsu. Cependant, il est possible pour un descendant de maîtriser toutes ces caractéristiques cependant, pas toutes à la perfection. Le ninjutsu, le taijutsu et le genjutsu sont toutes des spécialités différentes et tout bien complexe autant l’une que l’autre. Mais il n’est pas impossible d’apprendre à toute les maîtriser. Seulement qu’avec beaucoup d’effort et d’entraînement cependant, pour cela, il faudrait qu’un des derniers descendants de ce clan presque éteint. Pour ce genre de projet, il faut un jeune descendant avec beaucoup de volonté. Mais comme il y a toujours bien de grandes surprises dans le Yuukan et que rien n’est impossible, il semblerait qu’une enfant descendrait de ce clan et ne se tiendrait pas loin du village de Konoha vivant bien sur dans le Pays du Feu. Une jeune fille avec beaucoup d’initiative et du cœur à mettre dans son travaille. Une jeune fille élevée par de grands ninjas, des sages et des gardiens du Pays du Feu. Une futur kunoichi avec bien des ressources et du talent. Peut-être deviendra t’elle cette Senju prodige.

Dans les quartiers du palais du Daimyô Pays du Feu, vivaient de puissants ninjas ayant cédés leurs places aux nouveau ninjas. Des hommes et des femmes tous aussi puissants les uns que les autres mains ayant atteint un certain âge. Ceux-ci sages et tolérant, acceptaient par moment de prendre en charge quelques orphelins et les amenés sur la bonne voie. Une voie de sérénité et de paix amenant chaque nouveau ninja à bien faire leurs choix et à être fidèle envers le village de Konoha no Kuni. Parmi ces orphelins, se trouvait une jeune fille ayant été déposé dans ce domaine par des individus inconnus leurs ayant laissé des informations sur cet enfant et leur ayant laissé avant qu’elle n’eut sa première année. Alors une orpheline n’ayant jamais connue ses parents et n’ayant pas souffert de la perte de ses proches. Même si la situation était dramatique, elle était tout de même mieux que celle d’un enfant qui avait vue ses parents se faire tuer devant lui. Ce ne sont pas des choses fréquentent, mais elles ont déjà été vues. À cette époque, cette enfant du nom de Reina était un petit ange avant qu’elle n’apprenne à marcher et qu’elle se mette à courir dans tout le monastère lors des premiers cours d’adaptation avec les autres orphelins qu’il y avait en ces lieux. Celle-ci était l’une des plus jeunes qu’il y avait dans le monastère mais pourtant, même à cet âge, elle avait bien du caractère. Une jeune fille bien énergique et souriante. Celle-ci faisait ressentir aux anciens une certaine jeunesse leurs revenir. Une petite fille bien attachante. À ce jeune âge, celle-ci apprenait à bien s’exprimer et à avoir une bonne diction. Elle apprenait également à lire et à écrire avant de pouvoir un jour participer aux cours avec les autres étant plus vieux et pour commencer des entraînements qui avaient l’air beaucoup plus passionnant que de rester assise sur son coussin à écouter les anciens parler et à pratiquer la lecture en groupe alors que dans la cour les plus vieux pratiquaient la manipulation de leurs chakra. Mais même si tout cela était d’un ennui incomparable, elle persévérait se disant qu’un jour, elle y arriverait et pourra s’entraîner avec eux elle aussi.

Les mois passèrent assez rapidement et celle-ci commençait à avoir une bonne calligraphie et une très bonne diction. Sa lecture pour son âge n’avait rien de problématique même qu’elle était assez douée dans ce qu’elle faisait et y mettait du cœur, du temps et de l’application. Ce qui était bien avec ces jeunes âmes et esprits c’était qu’ils étaient remplis de vie et d’espoir. Étant certes naïfs ils étaient capable de mettre toutes leurs efforts dans ce qui importe le moins seulement pour réussir. C’était ce que faisait Reina lors des cours qu’elle suivait. Cependant plus ils avançaient, plus leurs cours se rapprochaient des cours que les plus vieux suivaient. Seulement pour l’instant, c’était la théorie qu’ils apprenaient. La futur kunoichi avait quatre ans, un bien jeune âge pour apprendre la théorie de la maîtrise du chakra, mais ce ne pouvait qu’être avantageux pour elle. Car c’était elle qui le voulait et c’était elle qui allait en bénéficier plus tard. Reina n’aura donc rien à regretter et en sera très rapidement fière. Lors des cours dans le monastère, les jeunes ninjas étaient assis à l’extérieur dans les petits sanctuaires de prières et suivaient sagement leurs cours donnés par les anciens. Ils commençaient progressivement à maîtriser leur chakra pour pouvoir le contrôler avant de le mettre en pratique lors des entraînements. Alors maintenant que la théorie était apprise, ils s’adonnaient à de petits exercices de concentration. Ils commençaient par essayer de marcher sur l’eau des bassins qu’il y avait dans la cour du monastère ou à monter dans les grands cerisiers. Ce n’était pas avec facilité qu’ils y parvenaient et ni en quelques jours. Ils pratiquaient jours après jours sans trop abuser non plus. Chaque ancien avaient leurs techniques et les apprenaient aux plus jeunes pour qu’ils puissent eux aussi monter aux arbres, se tenir sur l’eau, créer leurs premiers clones, reproduire des henge ou simplement lorsque les entraînements arrivaient à leurs fins, apprendre la nature de leurs chakra. Tout ceux qui avaient parvenu à passer les cours sans difficultés et à bine maîtriser leurs chakra étaient assit dans le monastère intérieur où normalement ce passait les cérémonies. Ils donnèrent des feuilles de chakra à chacun afin de savoir qui aurait quelle affinité. Dans le cas de Reina, la feuille était humide et commençait à mouillée les mains de celle-ci. Suiton pour la jeune Senju qui ignorait tout de ce dont elle était capable et de son importance dans le village de Konoha ainsi que son histoire qu’elle apprendrait probablement un jour.

L’importance de savoir quel élément était doté à chacun était pour les mettre en équipe avec un ancien possédant le même affinité qu’eux. Dans le cas de la kunoichi, cette dernière était seule à maîtrisée cet élément, il était vrai aussi que l’eau n’était pas un élément très commun dans le Pays du Feu, la plus part possédaient comme premier élément le katon ou le doton et même le Fuuton mais très rarement le raiton et le Suiton n’étant pas de leur génétique. Cependant, tout ne faisait que confirmer que Reina appartenait vraiment à ce clan fondateur du pays de Konoha. C’est alors que le lendemain, les équipes fut faites et les sensei réparties. La jeune fille était avec un vielle homme qu’elle n’avait jamais vraiment connue et qui ne lui avait jamais vraiment enseigné avant. Il était majoritairement avec les plus vieux et leurs apprenaient à maîtriser le genjutsu. Une des spécialités ninja que celle-ci aimerait bien un jour apprendre. Mais avant de commencé à apprendre les spécialités, les anciens commençaient par les affinités qu’ils avaient. Une méthode peu conventionnel mais ce qui leurs donnerait un avantage pour l’examen Chuunin qu’ils iront passer au village de Konoha no Kuni. Oui, même s’ils étaient tous résident au monastère et qu’ils n’allaient pas à l’académie, ils allaient y participer. Seulement avant cela, des évaluateurs de l’académie de Konoha allaient passés pour évaluer chacun des nouveaux ninjas afin de savoir s’ils étaient aptes à passer au rang de genin et selon les nouvelles ceux-ci n’allaient pas tarder dalleurs, mais ce n’était pas parce qu’ils arrivaient plus tard que prévu qu’ils retarderaient l’entraînement. Reina dans son cas, il était sur qu’elle n’allait pas être recalé car même si elle était plus jeune que les autres de minimum huit mois, elle avait toutes ses chances car elle était l’une des meilleures de la classe et une des plus dévouée et des plus motivée. Le sensei qu’elle avait était également un homme à la hauteur de la faire performer rapidement. Lui qui pouvait être froid et directe par moment semblait être plus doux avec elle qui était à la hauteur de ses attentes également.

C’est après quelques jours que cinq hommes tous vêtus d’habits noirs arrivèrent aux portes du monastère avec à la main des feuilles et des calepins de note. Ceux-ci entrèrent et saluèrent les jeunes futurs ninjas ainsi que les ancêtres. Ils se présentèrent comme étant des évaluateurs de l’académie envoyés par l’honorable Hokage. Ceux-ci furent amenée dans une sale servant aux examens pour mettre en place ce qu’ils avaient de besoin pour faire passer l’examen et tout bien ordonner les choses qu’ils avaient amené comme séparer les examens et les corrigés, placés des examens sur les bureau avec un crayon et une gomme à effacé. Après une bonne heure, les élèves qui avaient prit une pause pour réviser la théorie qu’ils allaient avoir à l’examen. Suite à cette heure de concentration, tous les élèves furent envoyés dans la « salle d’examen » où ils allèrent s’installer en silence devant les examens. Les évaluateurs laissèrent le temps à ceux-ci de s’assoir avant de donner les règlements de l’examen puis d’annoncer le commencement de celui-ci. L’examen avait débuté et les élèves commençaient déjà l’examen. Reina de son côté répondait aux questions l’une après l’autre en suivant l’ordre étant surement au même niveau de tous les autres. L’examen mit une bonne heure avant d’être terminé. Une quinzaine de minutes avant la fin du temps, la jeune fille avait déjà révisée ses réponses deux fois avant de remettre la feuille aux évaluateurs en même temps que tous les autres. Sur d’elle la jeune fille retourna à sa place et attendait sagement avec les autres des réponses venant des évaluateurs comme ils n’étaient que sept élèves cette année la correction allait être facile. Ils mirent une dizaine de minute avant de tout bien corriger et bien heureux, ils annoncèrent à eux et aux « sensei » qu’ils avaient tous réussit l’évaluation théorique et que maintenant, ils pouvaient passer à la partie pratique de l’examen. Tous l’un après l’autre furent appelés dans la « salle d’évaluation » pour passer un après l’autre devant les évaluateurs.

Reina entra dans la sale après les quatre premiers élèves. Les évaluateurs étaient tous assit en demi-cercle devant elle avec crayon et calepin à la main prêt à voir ce dont elle était capable. Alors l’un d’eux lui demanda de créer des clones. Alors sans broncher même si elle était légèrement stressée, la jeune rousse composa les mudra nécessaires à la technique et créa près d’elle quatre clones. Tous étaient en bonne états et parfaitement comme elle. Elle les fit même parler pour qu’ils voient qu’elle avait réussit. L’un d’eux lui dit qu’elle pouvait maintenant passer à une autre évaluation, il voulait un henge. Mais comme Reina aimait les défis, elle activa son henge ainsi que sur ses clones. Il y avait avec devant chaque évaluateurs leurs doubles. Ils se mirent à rire avant de noter l’enfant sur cette technique. Celle-ci fit disparaître en même temps ses clones sous de petits nuages de fumée. Un autre évaluateur lui demanda de leur montrer si elle pouvait marcher sur le mur et se tenir au plafond. Avec un sourire aux lèvres, celle-ci s’exécuta et monta lentement s’assurant à chaque pas elle mettait la bonne quantité de chakra pour ne pas perdre des points et arriva au plafond où elle se tenait la tête vers le bas et les regardait. Ceux-ci baissèrent tous la tête pour noter la jeune fille qui se laissa retomber devant eux atterrissant sur ses pieds. Un curieux leva la tête et lui demanda de leur montrer quelque chose de plus que normalement, on ne voit pas d’un aspirant ninja. Ce dernier savait qu’ils apprenaient déjà à maîtriser leurs éléments. Ravalant sa salive celle-ci hocha la tête avant de composer quelques mudras plaçant ensuite deux doigts devant sa bouche, celle-ci cracha au sol une certaine quantité d’eau sirupeuse au sol. L’homme se leva et mit son pied dans la matière et tirait vers lui sans être capable de ramener sa jambes. Il regarda les autres évaluateurs avant de remercier Reina de ses démonstrations. L’homme se sortit de la technique de la futur ninja grâce à son chakra et retourna à sa chaise pour écrire son évaluation à son tour.

Après une bonne heure d’attente dans la cour du monastère, les ancêtre furent convoqués dans la salle d’évaluation et en ressortirent après un bon moment. C’est alors que les sensei et les évaluateurs sortirent de la salle pour aller rejoindre les élèves. Ont leurs ordonna de s’assoir en ordre devant eux. Ceux-ci tenaient des bandeaux de Konoha dans leurs mains et commencèrent à nommer les noms. Ils commencèrent à nommer le plus faible du groupe donnant sa note et son bandeau continuant en montant jusqu’à la dernière personne étant le meilleur élève du groupe qui fut sans étonnement la jeune Reina. Avec une note de quatre-vingt dix-neuf sur cent. On lui donna ensuite comme raison que la perfection n’était pas possible dans ce genre d’évaluation. Ceci venait de donner une gifle à l’orgueil de la ninja qui se promit qu’elle allait un jour avoir une note de cent sur cent car selon elle, la perfection pouvait être atteinte. C’était entre autre ce qui avait encore plus motivée la jeune fille à apprendre et à s’entraîner avec acharnement. Même que parfois, le rythme auquel la jeune fille avançait épuisait son sensei qui était déjà d’un assez vieil âge. Lui qui n’avait plus vraiment rien à lui apprendre hors l’aider à mieux maîtriser ses techniques suiton, ce dernier commença à lui apprendre l’art de l’illusion. Avec pour commencer une technique comme le Kai pour mettre fin à un genjutsu de son niveau. L’homme avait d’abord commencé à le lui apprendre théoriquement avant de mettre la matière à l’essai. Parfois une ou deux fois par jour, l’homme tentait de prendre la jeune fille dans un genjutsu du quel elle devait se sortir. Une fois sur trois elle se faisait prendre. Mais pour une jeune nouvelle genin, c’était une très bonne chose ce qui montrait qu’elle maîtrisait bien son Kai et avait de bons réflexes. Car il ne l’avertissait pas nécessairement avant de tenter une illusion.

Pour Reina, l’examen chuunin était proche. Cependant celle-ci sachant qu’elle avait un excellent niveau, elle ne voulait tout de même pas partir pour l’examen avant tout ses camarades. Alors en plus son entraînement, celle-ci allait aider le plus faible du groupe à bien maîtriser son chakra. Son sensei était fière d’elle car même si jeune, elle avait un si grand cœur et mettait tant d’efforts pour les autres. L’homme qui lui enseignait sentait qu’elle deviendrait un jour, un grand ninja et qu’elle deviendra bonne et juste. Les semaines passaient et l’examen chuunin arrivait à grands pas. Ceux-ci en étaient à l’entraînement aux shurikens et même au combat au corps à corps pour avoir de bons réflexes et une petite base en taijutsu avant de tomber sur un adversaire très bon au corps à corps contre qui ils auraient beaucoup de difficultés. Alors il était mieux d’en savoir un peu dans tout pour ne pas être mal prit. Dans le cas de Reina, celle-ci avait une petite base en genjutsu et en taijutsu. Même qu’en ninjutsu, elle se débrouille assez bien. Mais pour ce qui était des autres, c’était différent. La jeune fille continuait à aider celui qui trainait toujours de la patte derrière les autres qui l’amenait à s’améliorer dans presque tout et qui aidait également la jeune fille dans ce qu’elle lui montrait s’améliorant à son tour surtout dans la théorie. Le sensei de la jeune fille ne faisait que la regarder faire ne voyant pas quoi lui faire faire pour le moment. Car déjà pour une genin, elle en savait assez et même peut-être plus qu’une bonne partie que les autres ninjas qui se présenteraient à l’examen chuunin, cependant, ce qui manquait à leur apprentissage était des mission à exécuter. De petites missions de rangs assez bas mais qui leurs donneront de l’expérience. Alors quelques fois lorsque les ancêtres avaient besoin de quelque chose comme des épices pour une soupe, du lait ou des œufs ou si non, d’autres choses pour leurs rendre service qui serait compté comme une mission de rang D ou C. Quelques fois dans les semaines ils étaient deux ou trois à partir ensemble pour aller s’emparer de ce que les ancêtres avaient de besoin.

Rapidement, l’examen chuunin arriva. Alors les deux équipes de genin qu’avait le monastère du palais du Daimyô d’Hi no kuni partirent vers le village de Konoha accompagnés de leurs sensei. Ils mirent quelques heures avant d’arriver au village caché des feuilles. Ils s’étaient levés très tôt ce matin afin d’arriver aussitôt à l’académie pour s’inscrire. Les élèves et les sensei arrivèrent dans l’académie où ils déposèrent leurs candidatures et leurs informations personnelles avant qu’ils n’entrent seuls dans l’autre salle où se trouvaient beaucoup de ninjas qu’ils ne connaissaient pas. Peut-être plus d’une centaine et peut-être plus encore. La jeune fille était cachée derrière les plus vieux de son groupe et regardait tout ces ninjas qui avaient des bandeaux différents et qui avaient l’air si forts et si méchants. C’était comme si tous les regards de tout le monde étaient rivés sur eux même les ninjas de Konoha qui se demandaient qui ils étaient. Car jamais ils ne les avaient vus dans le visage et pourtant, ils portaient les mêmes bandeaux qu’eux. Cependant il n’y en avait aucun qui semblait assez curieux pour se lever et aller leur demander. Ils restaient à leur place à chuchoter au sujet de ces nouveaux ninjas. La kunoichi sortit d’entre les gens du monastère se frayant un chemin pour regarder les gens. Ceux-ci se mirent à rire en voyant une gamine d’environ neuf ans à l’examen chuunin. Ils se demandaient ce qu’elle faisait et se demandaient ce qu’une gamine comme elle pouvait faire là. La petite rousse les regardait tous mais pourtant même s’ils se moquaient, elle savait qu’elle était à la hauteur puisqu’elle était la meilleure du groupe dans lequel elle était. La grandeur et l’âge dans ce cas là n’avait aucune importance.

Après quelques minutes, la porte du fond s’ouvrit et un évaluateur s’adressa à tous les ninjas de la place les invitant à entrer en gardant le silence pour ensuite aller s’installer dans la salle à l’endroit où leur noms étaient inscrits. Étant les derniers à entrer, les ninjas du Daimyô entrèrent et trouvèrent leurs places parmi les quelques unes de libres entre les inconnus. Reina était assise entre deux hommes qui semblaient avoir plus de treize ans. Ils la regardaient avec un fou rire se retenant à peine. Leur subtilité n’était pas légendaire. C’est alors que ceux-ci se turent lorsque le chef des évaluateurs prit la parole. Ce dernier donnait les règlements de l’examen avec que les autres évaluateurs, peut-être une trentaine si ce n’était pas plus passaient les feuilles d’examen et les crayons. L’homme disait que pour cet examen tous avaient dix points de base mais chaque erreur dans l’examen enlevait un point. La triche si remarquée enlevait deux points alors s’ils se faisaient prendre cinq fois à tricher, le ninja était recalé ainsi que toute son équipe. Et si un des ninjas de l’équipe ne réussissait pas l’examen, toute l’équipe aussi était recalée. La pression que mettait l’homme sur le poids de chacun était lourde, mais c’était le genre de poids qui reposait constamment sur les épaules d’un ninja lors des missions. L’examen n’était que logique en faite. Car l’équipe était de la force du ninja le plus faible, comme la résistance d’une chaine qui est de la puissance de son maillon le plus faible. Cet homme les testait et Reina le remarquait. Mais même si elle le savait, l’homme était très sérieux et convaincant. L’homme poursuivait en disant que tous les évaluateurs pouvaient nous voir et notaient tout, alors si on trichait, ils allaient le savoir. Il commença alors à parler de la dixième question, selon lui, une question très difficile. À ce moment là, la jeune fille, curieuse regarda la feuille d’examen pour compter les numéros sur la feuille. Il n’y a avait que neuf numéros, elle regarda le derrière de la feuille lorsque l’évaluateur en chef annonça qu’il allait donner la dernière question lorsque l’heure allait être écoulée. Sur ces mots, l’homme annonça le début de l’examen.

Reina regardait sa feuille et lisait les questions. Voyant que les questions de l’examen étaient très difficiles pour elle, celle-ci se doutait très bien que les autres ninjas du monastère auraient ce même problème. C’est alors qu’elle se mit à réfléchir après avoir lue toutes les questions, elle se demandait si la triche n’était pas le but de l’examen ? Car dans le cas contraire, tricher les aurait déjà éliminés. Au moment où elle pensait à cela, une personne fut nommée par les évaluateurs se faisant rétorquer qu’il avait été vue à tricher cinq fois alors il devait quitter avec son équipe et revenir l’année suivante. Le ninja niait avoir triché et demandait si l’homme avait des preuves. Des évaluateurs vinrent le chercher lui dit qu’ils n’avaient pas de preuve à fournir. Ils sortirent le jeune homme et Reina baissa de nouveau les yeux sur sa faute. Comment allait-elle pouvoir réussir sans se faire voir. C’est alors que cette dernière regardait autour d’elle et vit légèrement devant elle en diagonale un ninja replier sur sa feuille et qui écrivait les réponses de l’examen. Pensive, celle-ci gardait ses yeux rivés sur la feuille et leva les yeux vers le jeune ninja qui écrivait ses réponses. Celle-ci pensa à un genjutsu. La jeune femme leva donc son crayon en l’air le faisait tournoyer. Les évaluateurs se mirent à la regarder seulement à cause de ce mouvement curieux lorsqu’elle vit qu’un bon nombre des évaluateurs la regardait même tous ainsi que quelques ninjas qui passaient l’examen, ceux-ci virent des plume descendre du plafond et commencèrent à s’endormir presqu’instantanément. Ainsi que quelques autres personnes qui ne la regardaient pas. Alors pour tester sa technique, la jeune femme se leva et regardait autour d’elle, tous dormaient, certains élèves profitèrent eux aussi de ce petit moment pour triche. Rapidement elle arriva derrière l’élève qui écrivait ses réponses. Elle lui serra les ouïes et le jeune garçon tomba inconscient. Il avait heureusement terminé par contre et il ne restait qu’une vingtaine de minutes à l’examen. Alors très rapidement avant qu’un évaluateur ne se réveille, cette dernière révisait les réponses avant de retourner à sa place remettant la feuille à sa place. Reina transcrit donc les réponses et annula son genjutsu. À ce moment là, ceux-ci se réveillèrent et remarquait un grand nombre de ninjas tricher. Ils notèrent et disqualifièrent des équipes. Celle-ci avait terminée de recopier les réponses et attendait sagement.

Lorsque l’heure fut écoulée. Le chef des évaluateurs se prononça. Il disait que l’examen était terminé. Il était alors l’heure de la dixième question. Reina regardait autour d’elle et remarquait qu’il ne restait que très peu d’équipe. Environ une quarantaine si ce n’était pas moins. C’est alors qu’il introduisait les règlements de cette dernières question disant que maintenant si les participants étaient prient à tricher ils étaient disqualifier avec leur équipe. Que s’ils échouaient la question le ninja n’ayant pas réussit n’allait jamais devenir chuunin, il ne pouvait donc pas revenir les années suivantes pour l’année prochaine. Alors ils avaient tous le droit d’abandonner. Pour ce qui était le cas des ninjas du monastère. Les grades n’avaient que très peu d’importance. Alors l’avoir ou ne pas l’avoir ne faisait pas la différence, ils apprendraient tout de même ce qu’ils voulaient apprendre grâce aux anciens qui avaient une différente façon de le montrer. Cependant, en regardant autour d’elle, celle-ci remarqua que la deuxième équipe d’où elle venait avait été disqualifiée lors de l’examen. La jeune fille leva les yeux vers l’évaluateur en chef pour continuer de l’écouter. Il laissa alors le temps aux ninjas de prendre leurs décisions. Ceux-ci semblaient affreusement déchirés face à ce choix. Ils avaient peur, étaient effrayés et tremblaient. Pour d’autres, trop confiant et très sur d’eux comme Reina. Environ une vingtaine d’équipes venaient de quitter la salle avant que le silence ne règne. Un sourire mal-saint se dessina sur le visage de l’homme et félicita tous les élèves ayant restés dans la salle expliquant qu’il ne fallait jamais hésiter lors d’une mission et toujours être là pour ses camarades. Et que s’ils avaient un doute, ils ne devaient pas le faire car cela pourrait nuire à la mission et mettre en danger l’équipe. Ne pas abandonner et rester pour le bien de tous. C’était la leçon qu’apprenait aujourd’hui tous les ninjas de l’examens qui se sentir encore plus soulagé après les dires de l’homme expliquant le but de la question dix qui n’avait pas lieux d’être. Tout comme l’examen qu’ils venaient de passer qui n’avait aucune importance théorique. Seulement pour savoir s’ils étaient capables d’obtenir discrètement des réponses. Alors tout ceux qui n’en étaient pas apte avaient été recallé. Cet homme était brillant et très logique. Reina était fière d’avoir passé l’examen avec un homme aussi bon que lui. C’est alors qu’un autre évaluateur entra dans la classe et annonça que le lendemain, ils allaient passer l’examen avec lui où ils allaient en éliminer la moitié. Un combat ? Ce ne pouvait qu’être cela. Alors tous les élèves furent prier de quitter la salle pour rejoindre leurs sensei.

Tous sortirent de l’académie de Konoha rejoindre leurs Sensei. En cette belle après Midi, l’équipe de Raina se trouvèrent un endroit où dormir dans le village caché des feuilles. L’argent qu’ils investissaient dans l’examen, les repas et l’auberge était financé par le Daimyô et son conseil afin d’assurer la relève des douze ninjas gardiens. Du pays du feu. Pour faire partie de ces ninjas, devenir fort et loyal était une des restrictions. Pour Reina, en arriver jusqu’à eux était un rêve, c’était son ultime but, pourquoi elle s’entraînait tant et pourquoi elle mettant autant d’effort dans ce qu’elle faisait. Protéger le Pays du Feu était pour le moment son seul désir et son seul but. Les trois genins du monastère qui n’avaient pas été éliminés se promenaient paisiblement avec leur sensei dans les rues de Konoha. Les rues grouillaient de ninjas de tout le village, les commerces se distinguaient par leurs couleurs, leurs odeurs et leurs bruits. Les habitants du village semblait à la fois si heureux et si inquiets de voir autant de ninjas de tous les villages passer devant eux. Il était vrai que de voir des ninjas armés jusqu’aux dents pour l’examen se promener dans le village alors qu’ils n’étaient pas des alliés du village pouvait s’avérer inquiétant. Mais en en prenant pas compte de ces détailles là, ce n’était que magnifique de voir autant de ninjas au même endroit. Jamais dans sa vie Reina aurait crue voir autant de gens dans un tel endroit. Déjà que lorsque les cinq évaluateurs qui étaient précédemment venus au monastère pour les évaluer était pour elle un bien grand nombre de ninja. Cependant, maintenant ce n’était plus comparable. Mais sans trop s’en faire, ceux-ci regardaient les kiosques avec le sourire aux lèvres et curiosité. Lorsqu’il commençait à ce faire tard, les ninjas allèrent manger un bon repas avant de profiter du reste de la soirée pour vaquer à leurs occupations personnelles et ensuite se reposer.

Lorsque le matin venu, l’ancien réveilla les jeune ninjas afin qu’ils se préparent rapidement pour ensuite retourner à l’académie pour se présenter à la deuxième partie de l’examen chuunin. Excitée, Reina ne s’était jamais lavée et habillée aussi rapidement. La jeune fille de neuf ans courait partout dans la chambre de l’auberge jusqu’à ce qu’ils en sortirent pour se rendre à l’académie. En arrivant, la jeune fille prenant le temps de bien regarder les participants. Des ninjas de tous les villages qui semblaient d’un très bon niveau. La petite kunoichi marchait entre eux pour tenter de trouver son équipe qu’elle avait perdue de vue parce qu’elle était trop concentrer à regarder les autres. Après quelques esquives pour éviter d’être poussé ou frappé par accident, cette dernière se cogna contre un ninja qui portait sur son bandeau frontal un sablier. Le ninja avait avant la collision une tasse de thé qu’elle avait malencontreusement accroché lors de l’impacte. Celle-ci s’était versé sur lui l’avait probablement brûlé. Reina ravala sa salive en se reculant tentant de s’excuser. Le ninja donna sa tasse vide à l’un de ses coéquipiers en disant à la jeune fille qu’elle allait le lui payer très cher. Rapidement cette dernière passa ses avants bras devant son visage pour prévenir le coup. L’homme fut intercepté lors de son élan par un bandage qui s’enroula à son poignet. La genin ouvrir les yeux pour regarder le ninja qui avait tenté de l’attaquer et remarqua que son sensei l’avait empêché grâce à un long bandage blanc qu’il avait contrôlé avec son chakra. Le ninja du pays du vent retira son poignet de l’emprise de l’ancêtre qui s’était avancé pour s’interposer entre les deux. Sans rien dire, le ninja jeta un regard noir sur la jeune fille avant de se tourner et partir avec les membres de son équipe. Le sensei de Reina prit l’enfant avec lui pour la ramener près de l’équipe du monastère et se mirent à attendre l’arrivé d’un évaluateur qui leurs donneraient les indications pour la seconde partie de l’examen de sélection des chuunins pour laquelle l’homme n’était pas nerveux pour la réussite de ses ninjas.

C’est alors qu’après quelques minutes, un homme entra dans la sale se présentant. Il était l’évaluateur qui s’était présenté la veille et comme il l’avait dit, ce dernier allait s’occuper de leur faire passer le deuxième teste de l’examen. D’un ton sévère, celui-ci demanda à tous de le suivre. Il sortit de l’académie et tous se mirent à sortir avec lui. Les ninjas marchaient en groupe vers le fond du village et arrivèrent devant une grande clôture avec des parchemins d’avertissements n’étant pas très réconfortants. Derrière cette haute clôture se trouvait une étrange forêt que l’homme présenta sous le nom de la forêt de la mort. L’homme expliqua l’épreuve qu’ils allaient devoir faire, une épreuve de survie d’où le nom la forêt de la mort. Lors des explications, il mentionna quelques informations au sujet des dangers qu’il pouvait y avoir dans la forêt telle les animaux carnivores, les insectes et plantes venimeux. Pendant un court instant, le ninja montra une carte de la forêt montrant une tour au centre de la forêt étant séparée par une petite rivière. La forêt était encerclée par la clôture et en sortir était naturellement interdit. Enfin pas avant la récupération des deux parchemins, celui de la terre et celui du ciel qui devait se jouer dans les prochains cinq jours, autrement dit en cent vingt heures. Un moment de silence fut avant que l’homme ne leur dise qu’il leur laissait du temps pour se préparer entre eux avant de partir. Reina s’avança vers la clôture pour regarder plus attentivement cette forêt sombre et lugubre avant de se tourner vers tous les autres participants qui semblaient nerveux face à cette épreuve. Après tout, qui ne l’était pas ? Mourir était une possibilité dans cette épreuve et ce ne semblait pas être un problème pour les évaluateurs. Ils évaluaient les ninjas face à leur force, leur rapidité, leur intelligence et leur travaille d’équipe et si une équipe ne réussissait pas maintenant, ce serait en mission qu’il périrait alors ce n’était que par logique. Ainsi est le sicle de la vie on y peut rien. Beaucoup de ninjas regardaient la jeune fille ayant presque pitié pour elle. Si jeune et déjà confrontée à ce genre d’épreuve et de choix. Mais celle-ci avait fait son choix et ne retournerait pas sur ses pas.

L’évaluateur reprit la parole pour annoncer la fin de la pause invitant toute les équipes à se placer devant une porte différente portant tous un numéro différent. Alors le sensei de l’équipe resta sur place laissant ses élèves partir. En tête de l’équipe Reina menait les deux autres vers une porte portant le numéro seize. Aussitôt arrivés, un évaluateur arriva discrètement donnant à la jeune fille le parchemin de la terre avant de disparaître. La kunoichi de neuf ans regardait les autres de l’équipe avant de ranger le parchemin dans ses vêtements à un endroit où il ne serait ni visible et ni nuisible. Avant que le départ soit donné. La jeune fille regarda l’équipe leur communiquant un mot qui pouvait leur permettre de se reconnaitre entre eux pour s’assurer de toujours être en compagnie des membres de l’équipe. Le mot était « Daimyô ». C’est alors que l’évaluateur annonça le commencement de l’épreuve et les portes s’ouvrirent grandes devant eux. Il était alors temps de partir et de luter pour leur survie. Reina entraîna avec elle son équipe et gardait comme point de repère le centre de la forêt. Cependant, qui serait assez fou pour aller s’y cacher ? Trouver l’équipe en possession du parchemin du ciel ne serait pas un jeu d’enfant, ils devaient donc trouver les gens qui possédaient ce parchemin. Mais comment allaient-ils y parvenir ? Quelle équipe serait de taille à posséder l’autre parchemin. Ce que la jeune fille espérait, c’était qu’elle n’allait pas croiser le ninja du vent car maintenant, elle était sur de ne pas se faire défendre par son sensei.

Se déplaçant dans la forêt de la mort, ceux-ci examinaient en premier lieux les obstacles de la forêt elle-même sans compter les ninjas qu’elle cachait. Ils regardaient les plantes, les insectes et tentait d’avoir le plus d’information sur la forêt. Car c’était en la connaissant bien qu’ils allaient pouvoir l’utiliser contre leurs ennemis. Dans son équipe, Reina avait un ninja possédant des techniques héréditaires le permettant de sentir le chakra autour d’eux grâce à ses yeux blancs et l’autre était un jeune garçon pas très intelligent mais sa rapidité et sa force physique était imprévisible. La jeune fille avait à la fois un peu peur de marcher dans cette forêt sachant ce qui l’attendait, elle qui possédait un des deux parchemins. Cependant, si elle ne s’en faisait pas, il était plus probable que les autres ninjas aient moins de doute à leur sujet s’ils ne démontraient pas tant d’inquiétude. Après quelques heures de recherches et d’évaluations, Reina et les deux autres membres de son équipe avaient prit bien des notes et avaient même peu faire un petit schéma du site où ils étaient identifiant les sources à problème dont la nature. Mais maintenant que l’après-midi se terminait, les ninjas devaient être impatients et peu à peu, les cris commençaient à résonner dans la forêt. L’heure était à l’inquiétude. L’Hyuuga de l’équipe surveillait les alentours, s’assurant que personne ne les observe. Jusqu’à ce qu’il commença à ressentir une présence. Il fit discrètement signe aux autres en se tapant sur l’épaule. La kunoichi de l’équipe se tourna vers son co-équipier qui lui fit signe de la position de leurs agresseurs. Le premier combat allait commencer et ce n’était pas une partie de plaisir qui s’annonçait et la gamine de neuf ans en était consciente. Ce n’était pas non plus pour le plaisir de chacun que cette épreuve avait été créée, mais pour les évaluer. Savoir leurs niveau et à quoi seraient-ils bon lors des missions. L’as du taijutsu commençait à s’échauffer et pour ce qui était de Reina, celle-ci sortit d’une pochette un kunai pour se défendre. Ceux-ci étaient près à recevoir une petite visite improvisée qu’ils attendaient depuis leurs entrer dans la forêt. Comment allait-elle se déroulée ?

En cour

Mental :
Reina est une femme des plus sympathiques et de plus agréable à côtoyer. Une personne sincère, honnête, intelligente, belle, gentille aimante et aimable. Cependant, étant plus jeune, la kunoichi a perdue beaucoup d’amis étant aussi ses coéquipiers, ses partenaires des douze ninjas gardiens, lors de du coup d’état les forçant à s’entre tuer pour la protection du Daimyo. Dans ces mêmes années, la jeune femme a également perdue son amant qu’elle due éliminer pour le bien du village, car il était en faite un espion ayant infiltré le village de Konoha durant un certain nombre d’années. Suite à tous ces évènements, Reina a du mal à s’attacher aux gens, elle a du mal à faire confiance également. Méfiante, cette dernière garde maintenant toujours un pied derrière la forçant à prendre ses distances et à toujours faire attention. Après tout, on n’est jamais trop méfiant dans la vie. Cependant, même si son cœur reste fermé pour les visiteurs, celle-ci laisse parfois quelques chances à certains hommes de venir prendre un verre et de passer de chaudes nuits. Mais ayant beaucoup de respect pour elle-même, cette descendante du clan Senju ne laisse pas ce genre de chance au premier venu. Même si la luxure et l’envie sont deux péchés qui la décri bien, elle ne se laisse pas abandonner dans les bras de tous les hommes. Déjà, depuis son défunt amant, jamais un deuxième n’a eut la chance d’admirer son corps sous ce kimono qu’elle porte. Mais peut-être bien qu’un jour, un homme se montrera, gentil et respectueux envers elle et la jeune femme lui fera cette fleure avec peut-être d’autres intentions sentimentales, c’est selon.

Être gentille, merveilleuse, magnifique, honnête et digne de confiance sont de bonnes qualités, mais personne n’est parfait et Reina n’est pas une exception. Celle-ci a beaucoup de difficulté à être avec des femmes. Simplement parce que toute sa vie, les femmes l’ont détestés pour sa beauté et sa popularité auprès des hommes. Les seules qui acceptaient d’être avec elle était celles qui voulaient se faire remarquer auprès d’eux et non parce qu’elles l’aimaient bien. Des manipulatrices, voilà ce qu’elles sont toutes. Non pas que Reina ne l’est pas, mais disons qu’elle, ce n’est pas pour le même genre de situation. Cette dernière manipule seulement ses cibles lors des missions pour avoir les informations et les renseignements qu’elle veut. Mais dans ces cas là la manipulation se transforme en moyen de persuasion. D’autres péchés autres que la luxure et l’envie qui seraient la décrire serait probablement l’orgueil et l’avarice. Oui, selon certaines personnes, l’orgueil est vu comme un défaut, mais pour cette Konohajin, ce n’est qu’un état d’esprit la forçant à persévérer, à aller plus loin, toujours plus loin et à réussir. Mais parfois, être une personne orgueilleuse peut être nuisible. Avare ? Oui, elle est une personne qui aime bien l’argent, surtout lorsqu’elle est dans ses poches. Souvent, se défaire de quelques ryos lui fait mal au cœur même si c’est pour une bonne bouteille de saké de fin de soirée. Souvent, celle-ci base ses choix en fonction de son argent cherchant toujours la façon la plus économique cherchant surtout à économiser et à accumuler d’avantage son argent. C’est entre-autre la raison de son implication au sein du village. Faire des missions pour avoir bien de l’argent et ainsi vivre en paix.

Les senju sont normalement réputés pour être pacifistes et calme. Ils ont également une légendaire joie de vivre et une bonne patience. Reina fait partie de ce clan et s’y est facilement étiqueté. Calme, pensive, patiente, tolérante, sage et souriante. Celle-ci est visiblement une femme facile d’approche et agréable à fréquenter. Toujours avec un grand sourire aux lèves, celle-ci vie sa vie au jour le jour essayant de profiter de chaque seconde, de chaque bouffé d’air et rayon de soleil sachant qu’un jour, c’est elle que l’on viendrait chercher. Étant descendante du clan Senju, ancienne ninja gardienne du Pays du feu, cette dernière n’est pas rechercher pour des actes criminels qu’elle aurait commit seulement pour l’histoire, les rumeurs et pour les bonnes actions commit. Sans vraiment l’avoir cherché, Reina a un corps qui a une énorme valeur auprès des receleurs chez qui les chasseurs de primes et les criminels vont se faire quelques pièces. Alors pour celle-ci, se méfier de tout et de rien est toujours important et utile. Hors de sa vie professionnelle où elle est ninja et joue au héro jour après jour, celle-ci tente de pimenter sa vie personnelle avec des gens sympathiques avec qui elle aimerait passer d’avantage de temps et pouvoir un jour s’attacher à quelqu’un. Veut, veut pas, à cette âge là, les gens y pense plus; peut-être avoir des relations sentimentales, peut-être même éventuellement fonder une famille qui sait. Reina est une femme rayonnante de vie très positive et joyeuse. Elle aime les enfants et adore s’amuser. Porter son aide aux autres c’est ce qu’elle aime faire tant qu’elle peut se rendre utile. Une femme spontanée et énergique. Aucune journée est pareille et aucune routine : ce qu’elle déteste dalleurs.

Cette ninja est loin d’être une personne timide ou gênée, elle n’est gênante dalleurs. Très extravertie et enthousiaste, Reina n’a pas peur de s’afficher et ne craint pas le ridicule. Parfois, lorsqu’elle passe un belle journée et qu’elle est heureuse, elle donne l’air d’être plus jeune qu’elle ne l’est. Non, ce n’est pas totalement de l’immaturité, seulement, elle aime bouge, jouer, rire et avoir du plaisir. Pourquoi s’arrêter pour les autres ? Après tout, c’est prouvé : ceux qui gardent toujours une perception positive sur la vie et qui ne ratte pas une occasion de rire vivent plus longtemps. Alors probablement que Reina vivra une décennie ou une trentaine d’années de plus que les autres. Seulement, l’alcool n’est pas ce qui est le plus avantageux pour l’espérance de vie ce qui baisse lentement sa moyenne. ‘Mais que faire ? Le saké a un i bon goût, comment s’en priver ? Oui, limiter à un verre lors des repas serait une bonne façon de limiter ces désavantages, mais ce n’est plus pareille si non et Reina déteste la routine alors elle ne s’en imposera pas une pour boire son saké quand même. Pour ce qui est du caractère de cette dernière, c’est ce qui résume très bien ce qu’elle est en plus d’avoir un tempérament impressionnant malgré sa trop bonne humeur. Donner une ou deux gifles ou coups de poing afin de remettre quelqu’un à l’ordre n’est pas ce qu’elle préfère, mais lorsque nécessaire elle peut même s’y donner à cœur joie pour la satisfaction de l’acte. Alors prenez gardes car un mot de trop pourrait vous êtres désavantageux, favorisez la politesse et le respect. Enfin ce n’est qu’un conseil.

Physique :
Comment se distingue la beauté humaine. Par le physique de l’homme ou par sa personnalité que définit une belle personne ? Beaucoup répondront en disant la personnalité en pensant au physique. Il était vrai que maintenant, la beauté humaine était basée sur le physique et non sur les gens comme ils étaient vraiment car si non, bien des êtres seraient laids s’ils seraient l’image de leur personnalité. Si c’était le cas pour Reina, elle serait surement à l’image du village. Étant une très bonne personne, elle resterait probablement très jolie. Mais comme les gens ne sont pas le reflet de leur personnalité, on dirait que Dieux a ajouté de la beauté et des attributs respectables dans le mélange pour la confection de cette kunoichi. Cette Konohajin est une femme assez grande faisant un mètre soixante-quinze soit cinq pied huit, pour une jeune femme du clan Senju c’est une grandeur raisonnable. Son poids par contre ne fait pas d’elle une plume. Non pas parce qu’elle est grosse, pas du tout même ! Seulement, elle est grande, elle a une bonne poitrine assez généreuse et une fine masse musculaire grâce au taijutsu et suite à tout ces entraînements qu’elle poursuit avec acharnement pour pouvoir bien maîtriser le suiton et le doton afin de pouvoir mieux contrôler le bois. Reina pèse cent vingt-cinq livres dont cinquante-six kilos. Non, ce n’est pas très lourd, mais c’est raisonnable pour une femme qui surveille son poids et qui s’entraîne nuit et jour développant sa force et son endurance. En quelques mots, cette dernière a ce que biens de femmes n’ont pas.

Des formes à faire rêver. Une bonne poitrine bien soutenue. Taille du buste faisant environs les soixante-douze centimètres ou les trente quatre pouces, taille du bonnet frôlant le double DD. Par sa taille impressionnante, la poitrine de Reina peut sembler lourde et encombrante et pour certaines femmes jalouses, elles s’imaginent que sa poitrine pend. Mais pour bien les décevoir, cette poitrine généreuse tien bien en place et est même assez ferme. Et comme cette kunoichi marche toujours avec le dos droit et la tête haute, aucune chance d’avoir mal au dos. La menton bien haut, celle-ci n’a pas honte de son corps et de qui elle est et elle fait bien d’en être fière. Ce n’est pas à tous les coins de rues qu’on rencontre une femme aussi bien faite avec une aussi belle attitude. Autre que sa poitrine, celle-ci a de bonnes hache cependant pas aussi larges que sa poitrine car si non elle aurait un gros derrière. Non, celle-ci a un tour de taille bien raisonnable, seulement assez prononcé pour remarquer ses hanches lorsqu’elle la balance sensuellement dans les rues, les faisant serpenter de gauche à droite avec une sensualité certaine. Une démarche féline ramenant la fragilité de la kunoichi. Enfin, l’apparence fragile qu’elle projette avec sa taille de guêpe, ses petits brans, son poignet maigrichon, ses longues jambes interminables et ses petites mains. Cependant, même si elle est petite, Reina cache bien sa musculature sur ses os sous sa peau. Des abdominaux finement dessiner pouvant montrer les six abdos principaux qu’elle a travaillé, ses cuisses de coureuse, ses bras qu’elle utilise pour frapper donnant des coup de poings entre trente et quarante livres chaque. Alors pour une maigrichonne, celle-ci est assez puissante.

Hors de son balancement et de ses proportion celle-ci aime bien d’autres choses de sur son corps. Après tout qu’est-ce une femme qui ne s’aime pas elle-même ? Il est plus joli de voir une femme qui s’aime comme elle est au naturel qu’une femme se trouvant jolie qu’avec son maquillage. Hors pour les homme qu’intéressé par son petit derrière bien rond et bien confortable et restant pendu devant sa voluptueuse poitrine tout comme ses hanches qu’ils aimeraient agrippés. Cependant, les chances qu’ils ont de pouvoir pratiquer ce sport avec elle son nulles. Afin, si ce n’est que parce qu’il est attiré que par son physique. Il vient de manquer sa chance. Le visage de la jeune femme a quelques traits pointus tel son menton et son nez en général. Si non, Reina a de beaux grands yeux bleus très clairs. Aussi clairs qu’un rayon de lune. Si bleu azure qu’ils en on l’air gris. Dans ce regard on peu y lire toute la sincérité et la passion de la kunoichi. Son courage et sa fierté ce lient dans un rayon claire caressant l’iris de ses yeux. De longs cils épais comme si elle était toujours maquiller mais pourtant sans l’être. Descendant le long de la peau de pêche de la kunoichi arrivant â sa bouche, on peu y admirer de jolies lèvres pulpeuses et rosées. Humectée et sensuelle prête à être embrasser. Mais attention, qui s’y frotte s’y pique. Qui prendrait le risque d’embrasser ces douces et chaudes lèvres sachant ce qu’ils risquent ensuite. L’engagement dans des chemins périlleux est plus que conseillé. Sous ces lèvres se cachent de jolies dents que Reina aime montrer tout au long de ses journées. Une femme souriante qui aime montrer sa jolie dentition, de jolies dents blanches et droites, un petit sourire accrocheur et séduisant.

Cependant, ses yeux, sa bouche, ses joues roses, le petit grain de beauté qu’elle a au coin droit de sa lèvre inférieur ne sont pas les seules choses qu’elle aime d’elle. Non, Reina aime également beaucoup sa chevelure. Sa longue et soyeuse tignasse rousse, descendant comme des flammes le long de son dos. Ceux-ci s’enflamment entre eux montre dans ses formes et ses courbes toute la sauvagerie de la jeune femme, toute sa spontanéité et son attitude rebelle comme certaines de ses mèches. Celle lourde chevelure lui caressant les fesses. Les cheveux roux de la jeune femme cachent bien des couleurs, du roux, du bordeaux, du blond, quelques mèches châtaines et parfois des cheveux d’un blond platine. Au contacte du soleil, la brillance de ces cheveux volumineux aveuglent presque les passant. Les rayons de cet astre de feu dans le ciel aiment caresser la chevelure de la kunoichi et y apporter sa lumière. C’était comme si de la poussière de soleil s’était caché dans ses cheveux et qu’au contacte de la lumière ils brillaient de miles feux. Ce roux est une magnifique couleur malheureusement, on ne la voit pas tous aussi merveilleuse mais lorsqu’on prend le temps de bien la regarder laissant les préjugés de coté. Les secondes de silences valent miles mots. Cependant, pour cacher la beauté de tout le corps de cette femme, Reina porte un long kimono noir avec deux petites bordures blanches et un petit foulard rose ayant une grande valeur sentimentale. Elle porte également des sandales de bois avec des chaussettes blanches. La kunoichi de Konoha porte à sa taille sur un tissus noir, son bandeau frontale pour attacher son kimono. Est-elle assez jolie à votre goût où ne poserez-vous aucun œil sur elle ni même sur son pendentif passant dans sa poitrine lorsque vous la croiserez dans la rue. Ne vous mentez pas à vous-même, l’orgueil est un horrible pêché.