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| Sayuki Koichi- La relève | |
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Gareki Chuunin d'Iwa
Messages : 111 Date d'inscription : 11/04/2012
Profil Ninja XP: (0/600) Rang: C Ryos: 315
| Sujet: Sayuki Koichi- La relève Mer 11 Avr - 12:25 | |
| Koichi Sayuki
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Age: 16 ans Sexe: Féminin Rang souhaité: Chunin Village d'origine: Konoha Village souhaité: Konoha Nîndo: Prouver n'est pas seulement la fille du 5ème Hokage mais aussi un shinobi de grande expérience |
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Pseudo/Prénom: Tamtam Âge: 16 ans As-tu signé la charte: yep Comment as-tu connu le forum: naruto vs sasuke top 100 Fréquence de connexion: 7/7 Autres choses: J'ai un double compte (Tsunade) j'ai eu la confirmation de deux staffs ^^ |
Mon Histoire Comment oublier...
Regardant au loin l’horizon bleuté l’Hokage décida de profiter de la magnifique journée qui s’annonçait, celle-ci profitait des rares vents de fraîcheur qui s’échappèrent à l’extérieur. Marchant dans les rues du village, des millions de personnes se promenèrent en cette belle journée. Parcourant des yeux les différentes marchandises, celle-ci prit une pomme qui se trouvait dans une boîte de bois. Fermant les yeux sur ce fruit rouge vif, un souvenir datant de longtemps lui vint à l’esprit.
Flash Back
Trainant dans les ruelles d’un petit village non loin de Konoha, une femme n’étant pas très grande, mais dont la beauté resplendissait aux yeux des villageois ne l’ayant jamais vraiment vu dans les parages. Elle était accompagnée d’une jeune adulte âgée de 22 ans et tenant par la main une autre jeune fille ayant dans les environs de sept ans. Celle-ci avait la même couleur de cheveux que la femme or, ses yeux étaient d’un bleu hypnotisant et profond. Baladant son regard sur les petits commerces, la petite fille n’arrêtait pas de réprimander la demoiselle qui lui tenait la main pour explorer ce lieu lui étant inconnu.
- M’man laisse-moi s’il te plaît! S’exclama- telle en attirant les regards de certains paysans.
N'étant plus capable de tenir sa fille qui la tirait vers la gauche, elle décida de la prendre dans ses bras pour lui donner des bisous dans le cou jusqu’attend qu’elle réclame un arrêt. Or, cela ne prit que quelques secondes. La petite fille épuisée décida de faire un somme pendant que sa mère marchait pour acheter quelques petites choses avec sa cousine Shizune. Laissant les deux jeunes filles près d’un arbre, la vaillante Tsunade décida d’aller faire les achats seule pour que les demoiselles puissent se reposer. Ouvrant un peu les yeux, Sayuki regardait s’il y avait une ouverture pour qu’elle puisse aller regarder les marchés sans que Shizune ou sa mère la remarqe. Étant dos à sa cousine, elle décida de filer en douce. Profitant de cette liberté, elle courra d’un bout à l’autre dans le village. Puis, elle eut soudainement un petit creux ce qui la mena à la recherche d’une pomme afin de se remplir l’estomac. N’ayant pas un sou, elle utilisa sa ruse pour voler une pomme.
*Après tout songea-t-elle, ce n’est rien qu’une pomme.
Décidant de prendre le fruit pendant que le marchand discutait avec un client, celui-ci se retourna aussitôt lorsqu’il l’a vu en train de lui voler sa marchandise.
- Toi! Petite garce rend-moi ça! Cria-t-il sur tous les toits.
Voyant le regard du marchand en colère elle décida de s’enfuir au plus vite. Ne faisant pas attention aux autres, elle fonça dans les villageois sans s’excuser. Détournant ses yeux pour regarder si le commerçant était toujours derrière elle, elle bouscula un homme ayant trois fois sa taille. S’excusant auprès de lui, celui-ci la fit valser à l’autre bout de la ruelle. Ne voyant pas à qui elle avait faire, elle vit son visage se dessiner peu à peu; grand avec une cache œil, une cicatrice au niveau du visage, cheveux courts et bruns et un bras dans le plâtre. Figée de terreur, elle recula d’un pas afin qu’il ne l’attaque à nouveau. Les habitants du village eurent la même réaction qu’elle. S’avançant de plus en plus prêt, il se prépara à l’attaque. Elle ferma les yeux et puis…rien. Elle n’avait ni mal ni aucune blessure lorsqu’elle rouvrit ses yeux. À son grand étonnement, une femme s’était interposée entre les deux; il ne s’agissait de nul autre que sa mère. Les deux ninjas se défièrent du regard. Par la suite, Tsunade recula et prit sa fille dans ses bras. Partant sans rien dire, son adversaire lui adressa la parole.
- Qui aurait su que vous princesse avez laissé un héritage. Pauvre enfant… Vivant dans l’ignorance de la mort de son père et son oncle de plus, je suis sûre qu’elle ne sait absolument rien sur vous cracha-t-il.
La Sannin ne voulait ni riposter ni se battre, la seule chose qui l’importait était son enfant, son unique enfant. Décidant d’utiliser ses talents de ninja, elle rejoignit Shizune n’ayant pas bougé d’un pouce au cas où. Vu les circonstances, la petite Sayuki baissa son regard vers le sol et des milliers de questions lui traversèrent l’esprit.
- Le monsieur a dit…
Posant un doigt sur sa petite bouche en forme de cœur, elle comprit que sa mère désirait le silence. Par la suite, elle l’attira dans ses bras et ne lâcha pas son étreinte jusqu’à temps qu’elle est retrouvée son calme. Elle lui donna une pomme qu’elle avait trouvée dans un commerce et sa fille la dévora en quelques bouchés.
- Comme tu le sais déjà, ton père est décédé lors d’une mission durant la deuxième guerre ninjas. Ce que cet homme essayait de dire lorsqu’il a dit que tu ne savais rien sur moi et bien c’est le faite que je sois connue aussi sous le nom de la Sannin légendaire. Autrefois, moi et mes compagnons ont résisté au chef du village d’Ame reprenant son souffle, elle demanda à sa fille de la suivre. Il faut aussi que tu saches que tu n’aies pas vraiment de moi. Or, cela n’empêchera jamais le fait que je serais ta mère.
Sayuki n’avait jamais eu de problème au fait qu’elle soit adoptée. Lorsqu’elle visitait des villages sept ans plus tôt, Tsunade avait trouvé un petit bébé dans l’une des maisons abandonnées du village en ruine. Remarquant ses petits cheveux blonds et ses yeux bleus, cela lui fit penser à l’enfant qu’elle aurait pu avoir avec son mari Dan. Étant ninja médical, elle devina rapidement qu’il s’agissait d’une petite fille. Elle ne pouvait plus l’abandonner un lien maternel était soudée entre ces deux êtres. Décidant de se rendre dans un espace vert, où il n’y avait rien d’autre que de l’herbe et quelques arbres par-ci par là et plus loin, un étang rempli d’animaux marins (en particulier les poissons) comblait un long espace du terrain. Tsunade amena son enfant près de l’étendue d’eau afin d’attraper un poisson, l’assommer et lui donner par la suite. Il n’y avait aucun dégoût dans le visage de Sayuki juste des questionnements.
- Je t’ai montré les mouvements afin d’utiliser des techniques médicales, maintenant applique-les sur le poisson.
Voulant prouver qu’elle était confiante, elle effectua les mouvements et les techniques que lui avait apprises sa mère. Ne faisant que gaspiller son chakra, elle analysa par la suite la situation afin d’économiser un maximum d’énergie. La voyant à l’œuvre, un sourire se dessina sur les lèvres de la princesse. Astucieuse et persévérante, Sayuki réussi finalement, à la fin de la soirée à réanimer le poisson. N’ayant plus aucune force, elle s’endormit dans les bras de sa mère et dormit comme une roche. Tsunade se promit de lui apprendre à maîtriser davantage le chakra dans une seule partie du corps pour qu’elle puisse elle aussi utiliser une force surhumaine.
Le lendemain fut bref, les trois femmes partirent aussitôt s’entraînant en prenant la peine d’avaler un gros déjeuner remplit de protéines et de vitamines. Shizune pratiquait ses techniques médicales, tant disque Tsunade apprenait à Sayuki à maîtriser son chakra. Au début, ce ne fût point une partie de plaisanterie, trop de chakra, une quantité insuffisante de chakra, un débalancement. Puis, le midi ne tarda pas. Elles prirent une pause et en profitèrent pour faire le bilan. Trouvant le problème de sa fille, Tsunade fit un exemple de sa force. Impressionnée devant cette force, Sayuki avait davantage d’ardeurs à posséder cette technique. De même qu’elle s’entraîna la nuit sans que Shizune ou sa mère s’en rendent compte. Puis, à leur réveil, Sayuki était littérale écrasé sur le sol avec quelques marques de boue et de terre. Lorsqu’elle se réveilla, la princesse vit une flamme de joie dans les yeux de son enfant.
- Elle a réussie dit-elle.
Effectivement, ne pouvant attendre davantage elle fit un exemple comme lui avait montré sa mère. Bouche-bée, les deux femmes se turent et félicitèrent par la suite la réussite de Sayuki. Voyant que la nuit n’allait pas tarder, la Sannin prit la sagesse d’amener sa fille au village de Konoha. Lui expliquant en bref ses intentions, celle-ci la confia à son ancien maître. Cependant, Tsunade ne pouvait pas rester avec elle pour des raisons personnelles, elle voulait confier sa fille au troisième Hokage qui accepta avec grâce. Le plus difficile fut de faire accepter Sayuki sans que celle-ci riposte. Elle attendit que celle-ci s’endorme auprès d’elle et lui laissa un message dans lequel elle promit d’aller la voir de temps en temps. À son réveil, elle lut cette lettre se trouvant à son chevet et des larmes jaillirent de ses yeux. Elle avait l’impression d’être complètement abandonnée par sa propre mère; son unique parent. Étant décidée à la retrouver, l’Hokage la retenue, car tel était la demande de Tsunade. Mais pourtant, la volonté de la petite fille ne cessa de brûler. L’Hokage la lâcha et lui donna l’ordre de retrouver sa mère or, il lui demanda d’apprendre un minimum de techniques avant de partir à l’aventure; c’est-à-dire environ deux ans d’entraînements. Acceptant ce marché, elle s’entraîna jour et jour s’en relâche avec le troisième Hokage. Elle ne cessa de faire de grands progrès ce qui impressionna énormément l’ancien maître de sa mère. Deux ans s’écoulèrent et elle partit librement à la recherche de sa mère et promit également de faire justice en tant que ninja de Konoha. Or, la dernière fois que Tsunade vit le regard azuré de son ange c’était avant qu’elle parte. Elle avait fait ce choix car elle savait qu’elle était plus en sécurité au village de la feuille qu’avec elle. Ce qu’elle ne savait pas c’est qu’elle était partie à sa recherche depuis des années sans avoir la moindre nouvelle d’elle.
Fin du Flash Back
Croquant dans la pomme, des larmes chaudes roulèrent sur ses joues.
- Où es-tu maintenant…? soupira-t-elle.
Les présents du passé
Ouvrant les yeux, une lueur du Soleil éclaira la pièce fermée. La fenêtre qui se trouvait face au lit était entrouverte laissant une brise de fraîcheur raviver les odeurs et la chaleur. Pourtant, ni le froid, ni la lumière ne fit réagir la jeune Sayuki. Une seule chose emplit son esprit; sa mère. Un sentiment étrange l’envahit; les larmes coulèrent peu à peu sur ses petites joues rosées. La souffrance, la solitude, la tristesse d’avoir été mise à l’écart et d’avoir été reniée par sa propre mère. Puis, soudainement, elle s’arrêta; plus rien. Un long silence retentit dans l’espoir d’obtenir une réponse de sa mère. Ce fût le cas, mais d’une autre façon; celle-ci lui avait laissé un message disant qu’elle souhaite qu’elle reste au village afin qu’elle soit en sécurité car les promenades avec elle était trop dangereuse et elle ne voulait pour rien au monde perdre sa fille. À côté de cette lettre se trouvait une photo d’elle, de sa cousine et de sa mère. Elle voulait des réponses, or, lorsqu’on demande on reçoit. Avant même qu’elle ne se soit posé une autre question, un vieil homme rentra dans sa chambre. Portant une longue toge blanchâtre, il s’approcha de Sayuki. Elle devina qu’il s’agissait du troisième Hokage.
- Ne croit pas qu’elle t’ait abandonnée. Elle fait ça pour ton bien. De plus, elle veut que je t’entraîne personnellement pour que tu puisses à l’avenir te défendre seule. Elle m’a dit aussi que tu maîtrisais déjà la base de la concentration de ton chakra et des techniques médicales ce qui te donne un gros plus dit l’Hokage d’une voix si calme et si reposante.
- Est-ce que je suis obligée d’aller à l’académie ? s’inquiéta-t-elle.
- Tu n’en auras pas besoin cependant, tu devras me suivre partout où je vais et tu devras m’aider de temps en temps pour des tâches minimes.
Puis, d’un sourire ravissant la jeune fille confirma d’un mouvement de tête qu’elle était prête à passer à l’action. Elle était bien déterminée à prouver sa valeur à sa mère. L’Hokage vit dans les yeux de la fille de son ancienne élève une volonté indestructible ne pouvant être stoppé par personne. Il était lui aussi déterminé à faire de cette enfant un ninja extraordinaire. Il débuta d’un pas difficile l’entraînement de Sayuki en la défiant de lui prendre une clochette. Bien sûre, ce n’était pas facile au premier abord, mais plus le temps filait, plus elle était rusée et le vieil homme décida de prendre les précautions nécessaires. Or, lorsque l’après-midi s’acheva, elle ne réussit point à prendre cette fameuse clochette. Mais elle ne voulait pas abandonner elle avait l’impression qu’elle allait le regretter toute sa vie si elle ne réagissait pas. Elle décida d’utiliser les techniques que sa mère lui avait apprises lors des séances d’entraînements. Concentrant son chakra, elle réussit à ravager terre et mer. Elle n’eut pas l’objet mais par contre, son enseignant la regardait maintenant comme une jeune demoiselle rusée et sans répit pour son adversaire. Épuisée, elle s’écroula dans l’herbe fraîche. Son sensei lui proposa de prendre une pause bien méritée. Décidant d’aller visiter le village, elle n’avait pas la force de marcher dans les milliers de rues qui remplissent le village. Or, elle remarqua non loin d’une rivière un jeune garçon à la chevelure noire, en dessous, on pouvait remarquer un symbole de couleur rouge et blanche. Ne jetant qu'un bref coup d'oeil, elle n'alla pas plus loin malgré sa grande curiosité.
Continuant son chemin , seule elle avait le sentiment d’avoir un énorme trou dans son cœur. Malgré les paroles rassurantes de l’Hokage, elle voulait s’assurer que ce n’était pas par sa faiblesse que sa mère l’avait laissé mais bien pour qu’elle soit en sécurité. Relevant le défi, elle s’entraîna d’arrache-pied afin de participer à l’examen des Chunins. Ces épreuves ressemblaient à un vrai manège; au premier regard, tu sens ton corps se figer. Tu acceptes finalement d’y aller et tu descends autant que tu remontes. Pourtant, ce n’était que le début d’une horreur.
L'évolution de la flamme
Une forêt sombre avec ni chemin et ni sentier pour se rendre au centre du village. La lumière était rare vu l’énorme feuillage qui encombrait chaque millimètre de ce vaste espace verdâtre. Le souffle court et les jambes en feux, Sayuki décida d’arrêter sa course fulgurante en s’assoyant sur l’une des branches d’un arbre parmi tant d’autres. Elle ne pouvait pas continuer dans cet état et elle le savait bien. Pourtant, elle cherchait à tester son endurance en montant de plus en plus la barre. De plus, elle cela faisait partie de sa stratégie; elle avait prévu un temps d’arrêt durant cette course or, elle s’y prépara rapidement. Le souffle coupé, elle entendit des explosions provenant du fin fond de la forêt et elle savait que ce bruit allait se rapprocher plus vite qu’elle ne le croyait. Jurant dans sa barbe, elle se dépêcha de désinfecter les plaies et bander sa blessure à l’aide d’un morceau de tissu de son chandail. D’un geste vif, elle prit son katana et sauta sur l’arbre le plus près d’elle. Puis en une seule fraction de seconde, une énorme bête suivit du troisième Hokage se retrouva face à la jeune fille. Un sourire se dessina sur les lèvres de la kunoichi et son adversaire comprit rapidement qu’elle n’avait pas dit son dernier mot et que ruse s’ensuivait. En effet, elle avait dissimulé des parchemins explosifs formant un cercle autour de ses deux adversaires. Un cri de surprise s’échappa mais ils repassèrent tout de suite à l’attaque avec des techniques de Doton et de Katon. La petite Koichi fit de même, maîtrisant l’élément du katon, elle réussit à combattre le feu par le feu. Sans lui donner le temps de reprendre son souffle, la bête qui se trouvait être un singe plus costaud et plus gros que la moyenne, attaqua la petite fille sans relâche. Malheureusement pour lui, elle était petite et vite, deux éléments qui lui échappa autant au sens figuré qu’au sens propre car elle réussit à s’éloigner. Elle courait le plus vite possible afin d’échapper à cette invocation et son maître. Regardant en même temps sur son bras gauche, elle remarqua qu’il ne restait plus que deux minutes avant la fin de son test pour devenir Genin. Puis, une odeur de brûler se fit sentir à des kilomètres à la ronde. Du coin de l’œil, Sayuki remarqua l’énorme boule de feu qui la suivait de près brûlant une partie de son habit. Voyant un cours d’eau, elle se décida à sauter à trois pour éviter de finir griller.
*1, 2, 3 !
On entendit seulement le crépitement des arbres qui se faisaient dévorer par la boule de feu. Elle n’avait plus d’énergie et toute force l’abandonna. Rampant jusqu’au rivage, elle sentit quelqu’un la soulever. Son maître accompagné de son singe vint à son secours. Le sourire aux lèvres, l’homme lui donna un bandeau en signe de réussite.
- Ta mère aurait voulu que tu portes le sien dit-il sagement.
Sur ces paroles, elle s’endormit la tête en paix. Ce qu’elle sait, c’est qu’elle est maintenant promue Genin. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que cet examen n’était que le début d’une autre aventure mortelle. Cependant, elle put se reposer la tête tranquillement sur ses deux oreilles.
Plus les années passèrent, plus elle développait ses techniques et les améliorait. Exploitant à fond son élément primaire le Katon, elle ne lâcha pas de vue sa force surhumaine et la pratique du Ninjustsu médical. Et pourtant ce jour-là, il lui aurait fallu multiplier ses efforts afin de combattre ses ennemis. Bien avant cela, elle dut affronter des ninjas de calibres différents, survivre durant plusieurs heures en essayant de préserver une cadence assez rapide, réfléchir à différentes stratégies et finalement, répondre à un examen en utilisant ses deux plus grandes qualités; sa ruse et son intelligence. Vint après l’étape finale avant de pouvoir devenir Chunin, le tournoi. Or, il eut un léger imprévu sous l’étonnement de tous excepté les ninjas de Suna et certains provenant d’Oto. Une attaque soudaine surpris autant les ninjas que les villageois. Il ne fallut pas grand temps avant que l’alarme du village soit déclenchée sous le regard approbateur de l’Hokage demandant à son garde du corps de s’en occuper. Assise dans les gradins, Sayuki suivit du regard son maître disparaissant parmi la foule elle essaya de le rejoindre mais fit arrêter par un Junin. Un de ses yeux était caché et il portait un masque cachant sa bouche et son nez. Cette description correspondait exactement à Kakashi, le ninja copieur du village. Le maître de la jeune kunoichi lui avait enseigné l’histoire des villages et il énuméra, également, le nom de plusieurs shinobis ayant marqué les diverses générations. Faisant partie de cette liste, le troisième Hokage décrivait le parcours de ce ninja maintenant reconnu partout à travers le monde. Voyant que le Juunin cherchait à la protéger, celle-ci s’écarta en acquiesçant de la tête en signe de compréhension de son geste. Elle décida de se diriger vers la tour de l’Hokage, malheureusement, elle n’y trouva personne. Rebroussant chemin, elle fut encerclée par des ninjas de Suna. Elle ne pouvait pas tous les affronter, elle aurait beau utiliser toutes ses techniques cela ne ferait qu’épuiser ses ressources de chakra restant. Ne voulant pas mourir dans cette condition embarrassante, elle prit son courage à deux mains et parvint à concentrer son chakra afin de faire part de sa force légué par sa mère. Des éclats de roches et de terre aveuglèrent la vision de ses adversaires or, ce n’était pas assez. Elle repartit à la charge avec la boule de feu suprême comme lui avait enseigné son sensei. Cependant, lorsqu’elle effectua son attaque, elle fût soudainement emprisonnée par l’ennemi. Puis, ils lui firent avaler une pilule et après, le néant. À son réveil, le même ninja lui ayant sauvé la vie une fois vint encore à sa rescousse. Malgré ses yeux grisâtres, elle vit que son regard était livide et triste. Par politesse, elle évita toutes questions en le remerciant de l’avoir sauvé. En se relevant, elle entendit le ninja copieur prononcer des paroles à voix basse et malgré elle, elle l’avait bien entendu. Son maître était décédé lors d’un combat contre un certain Orochimaru. Un flot de rage parcourra ses veines d’un seul coup. Au lieu d’être en colère contre l’ennemi, elle s’en voulait à elle-même de ne pas avoir été assez forte afin d’affronter plusieurs ninjas à la fois et par la suite, venir en aide à son maître. Or, un restant de chakra se concentra dans son poing et elle l’abattit dans un énorme rocher se trouvant à proximité d’elle. Doter d’un grand savoir et d’une grande connaissance du monde ninja, Kakashi fit rapidement le lien entre la princesse Tsunade et la jeune fille qui venait de détruire un rocher sous ses yeux. Puis elle disparut. Elle ne revint que lorsque les funérailles eurent lieu mais resta tout de même à l’écart des autres. Les poings serrés, ses larmes coulèrent en même temps que la pluie qui coulait le long de son visage. Les larmes chaudes, elle se fit la promesse d’abandonner toutes faiblesses afin de devenir plus forte et plus endurante pour éviter qu’une autre occasion de ce genre se présente encore sans qu’elle ne puisse réagir.
De retour à la maison
Du bout des doigts, la kunoichi effleura l’écorce dételé de l’arbre titanesque. Sentant la douce odeur de la verdure l’entourant, elle tenta de discerner l’arôme que dégageait son adversaire. Ses paupières se rabattirent tranquillement sur ses yeux azurés afin distinguer le chakra de son ennemi qui essayait de le dissimuler parmi l’abondante végétation de la forêt. La main à l’arme, des sons à peine audible vinrent entonner l’oreille de Sayuki ayant aiguisé ses sens depuis ces années passé à pourchasser des déserteurs. Elle sentait le cœur de son ennemi battre à tout rompre. Ses pulsations cardiaques augmentèrent à chaque minute de cette course. La jeune Koichi détacha son bandeau avec la plus grande précaution pour en faire usage d’un miroir. À quelques mètres elle vit le kunai de son ennemi reluire à la lumière de la Lune. Or, Sayuki attendit quelques secondes avant de passer à l’action. En un seul battement de paupière, elle se retrouva le katana à la gorge du Nukenin. Puis, le silence se fit comme un écho dans les hautes chaînes de montagnes. Comme une lionne affamée, elle ligota sa proie afin d’assouvir sa faim. Avant même que l’aube ne se lève sur les cieux ternes du monde ninja, la lionne ramena son butin à son terrier et repartit à la chasse. C’était une drôle de façon d’agir en tant que shinobi de Konoha mais Sayuki ne désirait pas tarder au village de Konoha depuis le décès de son maître. De plus, elle ne voulait point déserter le village où elle est naquit, c’était pour elle une question de principe. Au lieu de se rendre directement au bureau de l’Hokage, elle demandait à un ninja de lui transmettre les informations de sa mission. Lorsqu’elle avait quelques minutes de liberté, elle entreprenait des recherches sur sa mère qui était introuvable cela n’empêchait pas la jeune flamme d’espérer. Sur le chemin menant à sa maison, elle sentit son corps s’alourdir de fatigue. Sa demeure était installée à l’extérieur du village pour des raisons d’efficacité; plus précisément ses missions. Elle avait également un petit appartement dans le village mais elle y allait rarement, uniquement pour des occasions spécifiques. Lentement, elle se revêtit de son pyjama se résumant à une simple camisole et un minishort. La tête sur l’oreiller, elle songeait déjà au lendemain et à ses prochaines victimes. Sur ce, le sommeil ne tarda pas à la rattrapa dans son filet. Dès les premiers rayons du Soleil, Sayuki était prête à affronter une autre journée de travail. S’assurant que son katana soit en bon état, elle nettoya son fourreau salit par la terre et par la boue. Dévalant l’énorme forêt là séparant de son village, la jeune fille en profita pour s’étirer et prendre plusieurs bouffés d’air frais. Les temps étant froid et ardu, la kunoichi se vêti d’un veston bleu-ciel, celui que sa mère lui avait offert en souvenir du bon vieux temps. Le portant avec fierté, elle se fit remarquer par certains ninjas du coin. Dès le premier pas mis à l’intérieur du village, elle surprit une discussion de deux gardes de Konoha.
- Tu ne devineras jamais quoi! Le maître Hokage vient de se réveiller! Il paraît qu'elle était tombée dans un coma profond dit le premier.
- Ah oui tu parle de la princesse Tsunade? s’interrogea le deuxième.
Elle sentit le temps se figer comme un coup à l’estomac. Les voix qui retentirent près d’elles devinrent de plus en plus basses pour finalement laisser place au néant. N’ayant plus la force de tenir debout, elle s’effondra près d’un arbre. Elle ne savait plus trop quoi penser ou plutôt ressentir; était-ce de la joie pigmenté de colère ou de la colère remplit de tristesse? Complètement désorienté (émotionnellement parlant), elle prit le temps de réfléchir à cette nouvelle en prenant de grande respiration. Les mains entremêlées dans ses cheveux blonds, elle songeait aux diverses options qui lui étaient offertes; se réintégrer dans la société afin de retrouver sa mère ou rester en plein milieu de la forêt pour continuer sa vie à pourchasser les Nukenins. Deux choix se retrouvant à l’opposé l’un de l’autre. D’un seul coup, elle se releva sur ses deux pieds ne désirant pas être abattu par une simple nouvelle. La mâchoire crispée, elle prit son courage à deux mains et prit direction vers le village de Konoha. Lorsqu’elle avançait de plus en plus près du village, elle ressentit une étrange chaleur au ventre se propageant peu à peu partout dans son corps; elle était nerveuse. Se rassurant intérieurement, elle avança d’un pas lent vers l’entrée du village en entendant certains ninjas et paysans s’échanger des paroles par rapport au nouvel Hokage. Les gardes qui surveillent les sorties et les entrées du village la saluèrent sachant qu’elle avait été autrefois sous l’enseignement du défunt Sarutobi qui l’envoyait la plupart du temps en mission. Cependant, ils remarquèrent son humeur maussade n’étant point habituelle pour cette kunoichi, selon les deux gardes, malgré la mort de son sensei. Tentant leurs chances, ils lui demandèrent si tout allait bien. En retour, ils eurent une réponse simple, nette et précise ne désignant de loin la vérité. Elle sentit ses jambes se ramollir ne se décidant pas vraiment à avancer vers l’énorme tour rougeâtre avec l’emblème du pays du feu. Les pas se firent de plus en plus lourds mais elle arriva enfin dans le couloir menant au bureau du Hokage. Le cœur gros, elle se plaça en position afin de frapper à la porte. Soudainement, celle-ci s’ouvrit toute seule et plus rien. La vision de Sayuki devint extrêmement flou et son souffle fut couper en une fraction de seconde. Non elle n’était pas morte, enfin presque…En faite, elle ne fût ni attaquer, ni sous le contrôle de genjutsu, uniquement l’opulente poitrine de sa mère qui lui bloquait complètement la vue et lui coupait sa respiration. Mère et fille furent submergées de surprise ne bougeant plus jusqu’attend que Sayuki soit projetée sur le mur parallèle au bureau. La Sannin se rapprocha tranquillement de la personne victime de sa force lui tenant le menton par sa main droite et le regard brunâtre plongé dans ses yeux azurés.
[b]- Où étais-tu? demanda-t-elle froidement.
- Je…dit-elle sidérée de cette attaque soudaine.
- C’est la dernière fois que je te le demande où étais-tu? Continua-t-elle sur le même ton en la coupant.
- C’est à moi que tu demandes où j’étais? Et bien si tu ne l’avais pas oublié tu m’as abandonné ici, au village de Konoha! De mon côté j’ai du progresser le plus vite possible afin que l’on puisse m’envoyer en mission et par la suite, en profiter pour te partir à ta recherche. Cependant, je n’ai eu aucune nouvelle de toi pendant cinq ans! S’exclama-t-elle prise de colère par ce fardeau qu’elle a dû porter durant plusieurs années.
Ayant terminé sa phrase, elle n’avait pas remarqué les larmes qui avaient envahis ses yeux. Tsunade se rapprocha lentement d’elle et finalement, elle se positionna devant sa fille afin d’effacer toute trace de tristesse. Touchée par cette marque d’affection, Sayuki ferma les yeux sentant les bras de sa mère l’entourer et par la suite, elle tomba dans un profond sommeil.
Physique & Caractère Physique
Les regards des villageois se retournèrent vers une jeune femme passant dans les ruelles du village de la feuille. Pourtant, il n’y avait ni rancune, ni haine dans ceux-ci mais de l’émerveillement et de l’admiration. Il suffisait de croiser son regard d’ange et on pouvait s’y perdre durant des heures. On aurait dit un océan nous transportant aux cieux. Ses pupilles scintillèrent à la lumière éclatante du jour et faisait ressortir toute sa pureté. La limpidité et la tendresse qui ressortait de son visage était si émouvant qu’il bouche-bas quiconque osa déplacer un commentaire. Lorsqu’elle cligna des yeux, ses longs cils sombres se rabattirent comme un battement des ailes d’un ange. Un nez parfait, que toutes les femmes désirent ni trop busqué, ni trop long, ni trop petit; tout simplement fin et parfaitement placé. On avait l’impression que Michel-Ange en personne avait sculpté son nez sans n’en oublier aucun détail de la perfection. Pourtant, les personnes n’avaient vu que le début de cette beauté divine. Des lèvres pulpeuses n’aillant aucune craque de sècheresse parfaitement peaufiné par un gloss. Les jeunes garçons se léchèrent les lèvres par se désirent abandon de goûter à celles-ci. Si belle, si rouge on aurait dit une vraie pomme fraîchement cueillit. On aurait dit que le froid aurait laissé une marque rosâtre et celles-ci étaient finement définit. Plus jeune, les gens avaient tendance à vouloir « lui croquer les joues » ce qu’elle détestait le plus au monde. La couleur et la douceur de ses cheveux blonds provenaient de sa mère. Cependant, elles les attachent rarement seulement lorsqu’elle s’entraînait sinon, elle les laisse naturelle en les brossant tout simplement ce qui lui donne un look rebelle et de plus en plus attrayant. Coupés jusqu’aux épaules, ceux-ci possédant la douceur de la soie. La forme de son visage se dessine comme un parfait ovale de dimensions proportionnelles.
Et sa corpulence quand est-il? On remarque facilement que la pomme ne tombe jamais loin du pommier! Une poitrine attirant de plus en plus des regards autant admiratifs que désirant. La grandeur de la kunoichi se situe entre le grand et le petit. Cela ne l’empêche pas pour autant d’avoir une corpulence musculaire colossale. Évidemment, je ne parle pas d’un six packs bien musclés mais plutôt d’un corps très léger en poids et très élevés en muscles. Oui c’est la fille de Tsunade mais non elle n’est pas née avec une excellente forme et une excellente santé. Elle a dû travailler fort afin de récolter ce corps divin. La course, la marche, le jogging, l’escalade, la nage et tout ça sans avoir recours à la moindre goûte de chakra. Elle souhaitait améliorer ses aptitudes en cas d’urgence (manque de chakra).De plus, elle n’est pas végétarienne mais ses repas contiennent un excellent équilibre (cinq groupes alimentaires). Ce n’est ni son père étant décédé et ni sa mère qu’elle a à peine connu qui l’ont obligés à ce choix. Elle voulait avoir une meilleure santé pour progresser encore plus en tant que ninja. Quand est-il de son style vestimentaire? Lors de ses entraînements, elle portera un simple t-shirt avec un pantalon de course et une veste en cas de mauvaise température accompagnée de chaussure de course de haute qualité. Sinon, elle est vêtue d’une camisole blanche avec par-dessus des brettèles rougeâtres, un simple short terne de la même couleur que ses gants avec des trous pour chaque doigt et de grandes bottes de cuirs. Pour recouvrir le tout, une simple chemise blanche fait facilement l’affaire. Un style rebelle et légèrement rétro reflétant une grande partie de la personnalité de la jeune dame. Accroché après son short, son katana ornée d’un dragon comme manche renferme une grande histoire.
Caractère
Un visage si neutre, impassible d’émotions cachant parfaitement le jeu de la demoiselle au fort caractère. Cela ne paraît pas, mais lorsque tu oses tester ses limites tu comprends rapidement qu’il faut éviter de jouer au plus fin avec cette femme. Ne croyez pas qu’elle a ce caractère 24h sur 24, cependant, il se révélant comme un réflexe chez Sayuki. Tenant son caractère trempé de sa mère, elle n’a pas autant d’ardeur qu’elle. Son père à aussi contribuer à cela après tout, or, elle adopte un ton calme et serein lorsqu’elle est en rogne mais il y a autant de rage que lorsque la princesse hausse le ton. Elle n’a jamais aimée qu’on la traite comme étant la fille de la Sannin ou encore même du 5ème Hokage. Elle ne souhaite pas être et ni paraître là chouchou à sa maman. Malgré ça, l’admiration et l’amour qu’elle a pour elle est inconditionnelle. La plupart du temps, elle cherche à attirer son attention d’une façon subtile que seule sa mère réussie à décoder. Éventuellement, elle s’est mise en tête que personne ne pourra lui faire du mal tant et aussi longtemps qu’elle ne sera pas morte (Sayuki). Or, cette grande affection apporte par contre ses désagréments comme…la jalousie. Effectivement, la jeune princesse peut être facilement jalouse; lors de son enfance, elle n’a pas eu la chance de passer beaucoup de temps avec sa mère alors elle trouve ça injuste que Sakura, Ino, Hinata et Tenten en aillent davantage. Il n’y a pas seulement son caractère trempé et sa jalousie, il y a aussi son impolitesse envers des gens plus haut gradé; plus il est haut dans la monarchie plus le respect baisse. Pourquoi? Elle n’a jamais vu l’utilité de vouvoyer une personne uniquement parce qu’elle est plus hiérarchiquement parlant plus haute (cela exclus les personnes âgés). De plus, tant que le Kage (en exemple) ne la respecte pas et bien elle le traitera comme son égal malgré les nombreuses protestations de sa mère.
Assez parlé de ses défauts ! Après tout, elle possède des défauts tout comme des qualités. Est-ce l’orgueil ou plutôt le fait de ne pas paraître faible devant sa mère qui la rend plus forte et plus endurante? Effectivement, elle cherche à prouver à sa mère qu’elle mérite d’être sa fille autant de physique que de force et de caractère. Or, elle sait très bien qu’elle ne cesse de l’aimer même si elle est la plus faible des ninjas. Ne croyez pas qu’elle travaille fort uniquement pour paraître digne du titre de fille d’Hokage. Elle cherche également à corriger les injustices lui paraissant si évidente et si invisible aux yeux des dirigeants des nations (qui selon elle sont des moins que rien). Elle tient ci de sa mère, ça de sa mère et de son père? Contrairement à sa mère, Sayuki possède une grande patience lorsqu’il s’agit du travail. Cependant, elle déteste lorsque celle-ci lui met sous la patte une pile de document à remplir lorsqu’elle sait pertinemment qu’elle fait ça uniquement pour éviter le sale boulot. Possédant un grand sens de la stratégie, elle sait facilement s’orienter sans aucun outil, elle peut rapidement trouver un plan de secours en cas d’urgence et elle n’a aucun difficultée à éliminer un ennemi sans avoir recours à son chakra ce qui lui est très utile. De plus, cette fille est aussi rusée qu’un renard; elle peut s’infiltrer aussi facilement que faire croire à quelqu’un qu’elle pleure. Persévérante, curieuse, perspicace, intelligente, calme, aimable, protectrice et une tonne d’autres qualités!
© A.T.O
Dernière édition par Sayuki Koichi le Sam 12 Mai - 2:23, édité 7 fois | |
| | | Gareki Chuunin d'Iwa
Messages : 111 Date d'inscription : 11/04/2012
Profil Ninja XP: (0/600) Rang: C Ryos: 315
| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève Dim 22 Avr - 22:52 | |
| Petit Up *croise les doigts* | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève Lun 23 Avr - 8:13 | |
| Bonjour bonjour Sayuki-chan ! Nice story sweety ! Entrons dans le vif du sujet et attardons-nous plus sur les points négatifs afin de faire avancer la chose : Tu fais de nombreuses fautes d'inattention si je me fie à tes RP. Une relecture à tête reposée peut aider. ^^ Après, pour ton univers, pourquoi pas. Une touche de gaieté avec un soupçon d’innocence dans un monde aussi violent, ça ne peut faire que du bien. Mais là où je suis le plus critique, c'est lorsqu'on crée un personnage que l'on met en corélation avec des personnages d'un univers déjà établi et défini. Que tu sois la fille adoptive de Tsunade ne me dérange pas tellement en soit. Ce qui m'embête un peu plus, ce sont tes rapports avec les personnages du manga. Je vais prendre Sasuke en premier. J'ai vraiment du mal à l'imaginer s'ouvrir facilement à une fille inconnue, devenir ami avec elle au point de passer son temps avec elle et de l'inviter à manger chez lui. Pareillement, pour Naruto, devenir amis si tôt... Enfin... ce n'est qu'un détail ce passage. Le dernier point : Tsunade herself ! J'ai vraiment du mal à m'imaginer Tsunade aussi gnangnan si tu me permets l'expression. C'est tout à fait possible, je te le concède, notamment pour ton passé, mais pour ce qui concerne la fin de ton RP. Je ne vois pas du tout Tsunade-hime te serrer dans ses bras et t'accueillir à bras ouverts avec un sourire et simplement te souhaiter bon retour comme ça. D'ailleurs, je ne connais aucune mère qui agirait de la sorte. Pourquoi ? Tu as disparu 9 ans sans laisser de trace, tu as désobéit à ta mère, tu as déserté le village car oui, c'est de la désertion en bonne et dûe forme. Si tant est que Tsunade ait de l'attachement pour toi, elle se sera inquiétée au max. Elle est au village depuis environ 3ans et demi et donc Hokage. Elle a largement eu le temps de se rendre compte que tu n'étais plus là. A ton retour, elle aurait piqué une crise, t'aurait incendiée, peut être même détruit le bâtiment entier pour à la fin, après t'avoir menacée de son poing et mimé un coup qu'elle te donnerait, te forçant à fermer les yeux, finir par te déposer un baiser sur le front ou un truc du genre. Là encore, ce n'est que mon point de vue sur la chose... Ton histoire est entrainante mais parfois un peu confuse aussi... On a un peu de mal à situer les évènements. Je ne saisis pas trop l'avancée de ton personnage. Tu vises le rang de Chuunin, mais je ne vois pas du tout à quel moment tu aurais pu atteindre ce rang. Si je me fie à tes dires, tu avais 7 ans lorsque ta mère t'a laissé au Sandaime Hokage Sarutobi Hiruzen. Ce dernier t'a entrainé 2 années durant donc tu aurais 9 ans lors de ton départ de Konoha pour chercher ta mère. Tu dis avoir passé 9 ans hors du village or tu as 16 ans... 9+9=18. Voilà déjà un aspect qui fausse le tout et perturbe la compréhension et la cohérence générale. Ensuite... A quel moment es-tu devenue Genin ? A quel moment es-tu passée Chuunin ? Il n'y a pas eu d'examen durant cette dernière année donc pas de nouvelle promotion. N'oublions pas que l'examen de cette année a été annulé à cause de l'Akatsuki qui est passée à l'action en capturant et tuant Gaara. Il y a aussi l'aspect Nukenin... Tu es une nukenin et tu intègres le village aisément sous prétexte que tu es la fille de Tsunade. En plus, Nukenin à 9ans... A part si tu as les capacités de Haku ou Kimimaro qui à 15 ans et ayant de bons profs, sont capable de maitriser des ANBU voir un Jinchuuriki et un Kage. Tu aurais eu des difficultés à survivre face à des nukenins et à rendre la justice par toi même, d'autant plus que des villages semblent avoir mis ta tête à prix. Il aurait été bien de raconter un peu ces passages. Voilà en gros les quelques réflexions que je peux apporter à ta fiche, en espérant pouvoir t'aider dans ta quête de la validation. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève Jeu 3 Mai - 19:39 | |
| Tu as l'autorisation de répondre ici. Byye |
| | | Tsunade Hokage
Messages : 772 Date d'inscription : 07/03/2012 Age : 28
Profil Ninja XP: (365/2300) Rang: SS Ryos: 2571
| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève Jeu 3 Mai - 22:35 | |
| Je tiens tout simplement à souligner que je suis toujours entrain de faire ma présentation et non je ne l'ai pas abandonner x) Il se peut que cela prenne plus de dans que prévu vue mon mois d'examen qui s'annonce. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève Mer 23 Mai - 14:57 | |
| Je pense qu'il vaut mieux déplacer ta présentation dans les refusées pour l'instant. Je m'explique : ça nous évitera de venir up chaque semaine et donc de polluer inutilement ton sujet. Lorsque tu auras fini de remanier, tu pourras simplement mp un membre du staff pour la faire redéplacer et reprocéder à la validation.
Je me permets aussi un petit commentaire, en espérant qu'il ne te vexera pas. Tu incarnes Tsunade en personnage principal. C'est un personnage qui implique des responsabilités sur notre forum, soit diriger Konoha, faire bouger tes troupes. Dans de telles conditions, songes à si tu as réellement le temps de te prendre un DC. Je ne te dis pas que tu ne dois pas le faire, juste qu'il ne faudrait pas sous-estimer l'importance de Tsunade et de l'oublier pour ce compte. |
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| Sujet: Re: Sayuki Koichi- La relève | |
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