Kaguya Sasilvia, survivante du clan Kaguya

Dès le début, je sus au plus profond de moi, que je vous haïrais. Tout d’abords vous père, cet homme vil que j’ai tant détesté pendant mon enfance. Un homme qui a conduit notre clan, notre espèce, notre famille à sa perte. Lui qui était d’une soif de sang et de combat incommensurable était jaloux de son propre fils, lui qui avait peur de la force d’un enfant. A cause de lui, je suis seul.

Je te hais également, toi vil serpent blanc. Toi qui a emmené mon petit frère loin de moi, toi qui a usé de tous tes subterfuges et de sa faiblesse pour le corrompre. Je te tuerais, je te fais la promesse qu’un jour je trancherais ta tête, ton sang viendra colorer la blancheur de mes os.

Alors que nous faisions le travail qu’eux même n’arrivaient qu’à peine à faire. Je les haies du plus profond de mon âme, eux qui ont détruit mon bonheur, eux qui m’ont enfermé dans une sphère de douleur et de haine que je n’arriverais peut-être jamais à m’enfuir.

La naissance est le début du commencement. Le début d’une longue marche de joie, de haine, de tristesses, d’amour… En fait, nous nous dirigeons tous vers la même direction, sans le savoir, vers la paix éternelle, un talion certain et qui semblerait bien être infaillible à mes yeux. Une clairvoyance des plus sinistres et déplorables. Personne ne voulait de ça, mais pourtant le contraire était adéquatement dans le droit chemin. L’humain est vil, l’homme ne pouvait changer. Il naissait avec cette nature inévitable, celle de vouloir prendre le dessus sur les autres, de vouloir être respecté, de posséder le pouvoir. Une puissance pour tous nous soumettre, pour tous nous faire souffrir. La vie c’est comme une échelle, après tout. Il est possible de monter et de descendre aussi rapidement que nous sommes montés. Grimper jusqu’au sommet n’est jamais quelque chose de facile, surtout lorsque nous avons le vertige. Une peur, une frayeur, une phobie, une psychose d’aller plus loin. Il faut vaincre nos craintes afin d’aller plus haut, ceci est le but de la vie.

Ma naissance, voilà un jour qui devait être normalement heureux, remplit d’amour. Malheureusement se ne fut pas le cas, car je n’étais pas un garçon. Pour que vous puissiez comprendre je dois vous parlez de mes géniteurs. Mon très cher père et ma tendre mère sont tous les deux des membres du clan Kaguya, clan connut principalement pour leur soif du combat. Mon père était le chef de ce clan et donc devait avoir un hérité qui deviendrait à son tour chef du clan Kaguya. En apprenant que la femme du chef du clan était enceinte cela avait engrangé une grande joie au sein du clan malheureusement lorsqu’on apprit que c’était une fille et non un garçon. Une femme ne pouvait devenir héritière du clan Kaguya. Ma naissance avait donc eu lieu dans un sentiment de déception. Pourtant ma mère était aimante et m’éduqua de la meilleure façon que se soit. Comme toute kaguya, j’appris à manipuler les os de mon corps, à savoir les compressés et les rendent d’une résistante inouïe. Il fallait ensuite apprendre les différentes danses et développer au maximum ces talents au taijutsu. Les enfants du clan allaient rarement dans les académies de ninja pourtant on m’autorisa à y être former. Le clan kaguya était nomade mais dans la période de mon enfance le clan c’était installé près de Kiri no kuni.

3 ans après ma naissance. L’enfant désiré naquit, Kiminaro. Mon jeune frère allait enfin être l’hérité de mon père mais pourtant mon jeune frère semblait avoir des capacités digne d’un géni. Malgré son jeune âge il maitrisait déjà notre kekkai Genkai et excellait dans notre taijutsu, mon père eu peur de lui et enferma mon frère dans une petite cellule loin du monde extérieur. Bien évidemment cette décision fit débat au sein du clan, ma mère et moi nous avons même voulut combattre mon père. Malheureusement son châtiment pour cet affront fut terriblement sévère, il tua ma mère et m’emprisonna tout comme mon frère dès l’âge de 9 ans à la cellule. Dans celle-ci je m’entrainais sans relâche pour tenter de briser cette cellule mais bien évidemment ils avaient fait attention pour que celle-ci puisse résister aux assauts répétés des techniques kaguya. Ma cellule était isolée de tout et loin de mon jeune frère, seule dans le noir je devais garder la foi pour ne pas sombrer dans une folie comme la plupart des kaguyas à qui on infligeait cette punition.

Quelques mois plus tard, on vint me chercher. Je fus tout de même accompagné de plusieurs membres du clan, j’étais avec mon frère devant celui qui était mon géniteur. Celui-ci vint nous dire que le clan kaguya ira combattre Kiri et qu’il avait décidé de prendre ce village par la force. Stupide, voilà le premier mot qui vint dans ma tête lorsqu’il m’évoqua son « plan » évidemment la majorité était content du fait d’une bataille prochaine.

Se qui devait se passer se passa, le clan fut écrasé. Tous furent tués, grâce à ma petite taille et de mon jeune âge je pus m’enfuir de cette « boucherie ». Mon frère fut lui exemplaire et réussit à s’enfuir malheureusement je ne pus le rejoindre. Je le vis peu après discuter avec un homme dégageant une aura maléfique Lui et mon frère disparut peu après.

Ma vie ensuite fut un terrible calvaire, je dus errer de pays en pays car Kiri avait envoyé leur Oi-nin chassé tous kaguyas qu’ils rencontraient. Mon errance dura des années, durant celle-ci j’avais également décidé de rechercher mon frère. Je cherchais à tous prit à le retrouver. Après quelques mois de recherches je découvris que mon frère était tombé entre les crochets de l’un des pires serpents que compte le monde des ninjas, Orochimaru. Cet homme était visiblement un déserteur de konoha et était connu comme l’un des trois sanins, trois ninjas légendaires connus à travers le monde des shinobis. Malheureusement celui-ci c’était détourner du « droit » chemin et était devenu déserteur, cela faisait des années que Konoha le recherchait. Celui-ci possédait divers planques à travers le monde shinobi et personne ne savait donc où il était précisément. Les chances de retrouver mon frère se réduisaient de jour en jour. Au bout d’une dizaines d’années d’errance dans le monde des shinobis, je décidais de m’installer dans un village, sur mon chemin j’arrivais dans le village de Suna. Ce village était très différent de Kiri déjà au niveau climatique, un grand désert. Mais cela ne m’effrayais pas, j’allais à la rencontre du Kazekage. Sabaku no Gaara , il paraissait que c’était lui le junchuriki de Ichibi et que cela lui avait donné la capacité de dompter le sable. Une capacité qui était forte utile lorsque son village est dans un désert. Il avait accepté ma requête si j’affrontais un autre shinobi du village, dès le début du combat au moment même où je sortis ma colonne vertébrale, le Kazekage commença à me questionner sur mes origines. Il m’avait dit qu’il avait combattu il y a de cela un an un ninja possédant les même capacités que les miennes. Je sus alors que c’était mon frère, Kiminaro. Malheureusement selon lui, il est mort brusquement lors du combat. Kiminaro avait donc hérité de la maladie de ma mère.

À ce moment un mélange de haine et de peine naquirent en moi mais pas contre Suna mais contre Orochimaru. Donc à ce moment précis je m’étais donnée un but. Tuer Orochimaru.

Maintenant parlons de l'une des choses dont une femme affectionne le plus, une chose qui peut sembler pour certaine capital et qui peut également servir pour celles qui en ont le plus beau. Cette chose est évidemment le physique qui est l'un des atouts par excellence de la gente féminine, malgré ce que l'on pourrait croire une shinobi peut évidemment prendre soin de son physique et être en maintenant une très bonne konichi. Même si les gens ne chercherons pas toujours à vouloir l’approcher, elle ne passera jamais inaperçue. Elle ne chercherait jamais à se faire remarquer par les hommes ou bien même les femmes, elle ne désire pas qu’on l’admire seulement pour son physique. En effet, son charme est tout à fait naturel, nous pouvons dire qu’elle est peut-être née pour plaire aux hommes du regard. N’oublions pas qu’à l’intérieur, essayer de la comprendre devient une chose difficile à la longue. Malgré cela, ceux-ci ne l’ont jamais touchée, du moins ils n’ont jamais osée mettre la main sur moi. Peut-être par peur, qui sait ? Les êtres humains ont souvent peur de ce qu’ils ne connaissent pas en profondeur. Son charisme ne fait qu’amplifier son irrésistible charme. La beauté plaît aux yeux et la douceur charme l'âme. Elle n’a absolument rien à envier physiquement aux autres femmes. Mais qu'est-ce que la beauté ? C'est une nouvelle aptitude à vous donner du plaisir. La vraie beauté n'est pas celle qu'on a du plaisir à contempler, mais celle devant qui on doit fermer les yeux et se soumettre tellement qu’elle est éblouissante. Sa démarche est gracieuse et élégante. Elle n’est pas portée à semer la peur autour d’elle. En la voyant approché, vous fondrez tous sous son regard. Quand elle vous regarde dans les yeux, elle peut voir dans le plus profond de votre âme. Le regard est une véritable arme de séduction et beaucoup plus encore.

Son regard, lui, il est d’un vert électrique comme tous les Kaguya mais celui-ci est particulier. La brillance de son œil signifiant sa passion, l’éclaire verte émeraude, son courage et l’astre noir sa fierté. Ses yeux sont profonds, mystérieux et indéchiffrables. De longs et épais cils ornent les yeux de Sasilvia. Comme tout membre de son clan dissimulé, elle porte sous ses yeux des marques rouges. Une véritable ressource de fatalité lorsqu’on se perd dedans. Ils sont si profonds que vous aurez toujours cette impression qu’elle lit dans votre tête, qu’elle déchiffre quelque chose en vous ou même comprendre ce que vous voulez dire, sans prononcer le moindre petit mot.. Les yeux, c’est le reflet de notre cœur, ils trahissent toujours les éléments qu’on cherche à cacher. Apprendre et savoir lire dans un regard est un véritable art lorsque l’on est une konichi, sans aucun doute le plus difficile à maitriser qu’il soit. Ils ont le pouvoir de donner une sorte de pression à nos paroles. Ses lèvres sont voluptueuses, luxurieuses et bien d’autre choses encore. Elles sont d’une très grande sensualité. Pas un homme ne saurait contester à les embrasser. Lors de ses sourires, elle étire ses lèvres vers le haut afin de dévoiler ses magnifiques dents blanches et droites. Un sourire moqueur ou sincère, il est toujours aussi magnifique, ne voulant dire la même chose, il n’hésite pas à tromper les gens de sa sensualité. Sa peau est d’une blancheur immaculé et d’une pureté incontestable, c’est l’une des rares choses qu’elle ait de « pure », son visage quand à lui est fin aux traits particuliers. D’une féminité certaine et jeune pour son âge.

La chevelure, un élément essentiel pour une femme, un homme aime toujours lorsqu'une femme possède des cheveux somptueux et doux au toucher qu’il pourra caresser lors d'une nuit d’amour. Pour elle, ils sont d’une longueur certaine. Ils sont blanc, aussi blanc que ses dents et que le lait. D’une longueur allant jusqu’à ses fessiers, lui donnant ainsi l’air d’une tigresse prêt à bondir sur sa proie ceux-ci sont constamment lâché tel une lourde tignasse ondulé aux reflets argentés. Elle n’est pas portée à semer la peur autour d’elle. Cependant, je sais comment imposer le respect, par un simple regard ou bien tout justement ma force et mon grade. La forme de mes membres démontre sa brève agilité au combat. Elle a souvent l’habitude d’étendre plein de vernis sur ses adorables ongles, elle aime mettre de la couleur dessus et trouve que ça lui fait un certain style de... sorcière ? Elle est capable de se dissimuler partout, tel un félin qui traque sa proie. Elle n’est pas une Kaguya pour rien. Comme tous Kaguya elle possède les deux points significatifs du clan mais ils sont constamment cachés par mon bandeau de Suna. Ainsi dit, comme les membres de ce clan, Sasilvia utilise ses os tel des armes, des os qui lui sortent de n’importe quel endroit de son corps, ils sortent d’une blancheur fraiche légèrement recouvert de sang. Son sang rouge claire et à la fois épais. Naturellement, la kunoichi est vêtue de vêtements très léger : Un tissus rouge ressemblant à du satin lui couvrant sa voluptueuse et généreuse poitrine, les manches de ce haut recouvre une faible partie de ses biceps laissant à découvert ses épaules. Un tissu de soie rouge translucide recouvre son ventre et son dos, un matériau facile à déchirer et à trouver lorsqu’elle s’est battue. Elle porte des pantalons noirs très serrés ressemblant à du cuire sans l’être et des bottes longues d’un noir également lassé rouge.



Vivre en étant que konichi surtout en tant que membre du clan Kaguya n’était pas une chose facile pour une femme. Cachés ses sentiments est une chose très dure à faire mais en tant que Konichi elle fut obliger et cela depuis longtemps de transformer sa peine et ses pleures en haine et rage envers les ennemi et même Kiri no kuni, et dans son cas particulièrement envers les shinobis rebelles. Malgré les nombreuses années qui se sont passées depuis qu’elle fut contrainte de s’enfuir de Kiri, ces « vestiges » de son passée sont encrés en elle et sont partis de soie. Elle affectionne très particulièrement ses relations avec la gente masculine, trouvant les hommes facilement manipulable, on peut visiblement tout obtenir d’eux. Elle doit l’avouer, elle a un talent d’aguicheuse l’utilisant soit pour énervé ou bien même pour charmer des ennemies pour peu après les égorger dans leur sommeil le plus profond. Dans ses états les plus « naturels », elle est une personne souriante et attachante qui aime prendre plaisir à la vie et à toutes les petites attractions qui l’entoure. Elle aime donner une jolie image d’elle-même, autant intérieurement qu’extérieurement à ses nombreux interlocuteurs afin qu’ils la regardent du bon œil. Lors des nombreux entrainement qu’elle eut au sein même de son clan , on lui apprit que le sourire permet aux personnes d’avoir une certaine confiance envers nous , qu’il soit vrai ou non donc l’utilisation de faux sourire est une de ses prédilections. En parlant de confiance, obtenir la sienne semble être une chose plus que difficile, malgré cela beaucoup de personnes lui font confiance .Nulles insultes ne pourront lui faire craquer sa divine patience d’ange et faire tomber mon sourire de tentatrice remplit de malice interdit.

Lorsqu’elle est en compagnie d’un possible adversaire, elle se transforme en personne dangereuse doté d’un certain sadisme. Elle ne foncerait jamais tête baissé sans en savoir plus sur la situation même si étant une Kaguya j’affectionne tout particulièrement le combat, elle préfère connaître davantage son interlocuteur avant d’en tirer profil. Elle est une femme très intelligente et maligne, le genre de personne qu’il ne faut absolument pas sous-estimé. Ne vous inquiéter pas, elle n’est pas le genre de femme qui va attaquer ou bien être méchante avec quelqu’un d’innocent. Cependant, de petits « accidents » sont arrivés lors de son passé. En effet, lorsqu’elle voit une personne qui a osé porter affront aux personnes de ses entourages, elle veut tout de suite lui porter affront. Elle est une Konichi assez calculatrice et a la capacité de facilement déjouer les pièges de ses nombreux adversaires, en tendant elle-même de nombreux pièges et fréquents à ses cibles. Elle affectionne par-dessus tous les embuscades et voir ses ennemis essayer de se défaire par tout leurs moyens d’un piège qu’elle vient de faire lui procure une joie intense. On peut la trouver mauvaise ou bien d'autres chose mais c'est comme si elle se nourrissait de leur peur, voir leur regard apeuré en me regardant, surtout lorsque elle fait bien attention ne pas tuer mon ennemie mais de lui porter un coup mortel le laissant là se vider de son sang. Laissez son adversaire sentir que sa vie le quitte.

Manipulatrice dans l’âme, pour elle tout être est capable de lui apporter quelque chose de bénéfique. Malheureusement elle possède un gros défaut qui fut l’une des causes de l’anéantissement de son clan, à Kiri : sa soif de sang. Mais sérieusement qui ne l’a pas ? Avoir le sang encore chaud de son adversaire entre ses mains, voilà une chose merveilleuse et délicieuse. Peut-être est-ce son coté sadomasochiste qui sort du plus profond d’elle qui la fait jouir de ce plaisir ou bien est-ce seulement parce qu’elle est folle ? À vous de voir Oui, certains en sont traumatisé ou bien répugner, mais ce sont que des faibles et où est la place pour les faibles ? Il n’y en a aucune, pour vivre il faut être fort et être capable de se laisser dans son indépendance afin d’avancer et de toujours réussir. Car s’il faut toujours être entouré de gens et être en équipe pour réussir cela signifie qu’ils n’arriveront jamais à rien seul. Selon Sasilvia, lorsqu’un partenaire se montre moins habille, moins rapide, moins résistant ou moins persévérant qu’elle, il est automatiquement un poids lourd, un boulet, un fardeau. Enfin, rien de bon, juste un appât qu’elle n’hésitera pas à utiliser pour sauver sa vie.