Un entraînement ? Il y a que ça de bon ! [With Kyojin]

Un entraînement ? Il y a que ça de bon !

Le soleil qui passe à travers les rideaux et titille mon visage, je sens la lumière chaude du jour dans mon corps, je ne peux plus résister à l'appel du pied au dehors de la couette qui fait ressentir après une chaleur environnante un courant d'air respiratoire. Passage obligé dans la salle de bain, j'attrape entre mes mains de l'eau bien chaude pour le réveil parfait et rapide. Pour ne pas sortir les fesses à l'air j'enfile mon petit pantalon souple pour mes grands gestes aérés et pour bien sûr ma célèbre agilité. Porte rigide premier obstacle de la journée, un petit coup d'épaule donnait pour une meilleure ouverture. Je ne me suis pas spécialement levé très tôt, mais il vaut mieux éviter les grosses matinées, les ruelles de ce beau pays de Kumo m'attire toujours, l'odeur des épices titillent mon nez et un goût d'amertume me tombent au fond de la gorge, car à cet instant, je préférais une petite soupe de Miso avec du wakame et tofu, un bon petit-déjeuner traditionnel. Je donne un petit coup d'oeil du côté du bureau du Raikage, au cas où un inattendu devait encore me demander disponibilité. Bref, que puis-je faire de ma journée : Rien faire ? C'est déjà fait et puis, j'ai faim, mais je pense avoir déjà pris trop de poids durant les derniers jours, l'exercice ne me fait pas de mal et puis j'aime bien ça, faire exploser les rochers, il y a que ça de vrai ! Le chemin parfait pour retrouvait les terrains montagneux, le meilleur endroit d'entrainement du pays, épandue plane avec des obstacles rocheux et une magnifique vue et par les petits sentiers traçaient dans le haut de Kumo, je ne dirais pas que je l'ai trouvé en sautant de maison en maison, mais j'ai bien fait. Toujours sur le pas de course, je monte les sentiers bourraient de virages et de gouffres plutôt surprenant, j'étais l'un des rares à prendre ce chemin, je connaissais quelques amis qui se donnent rendez-vous, mais les entraînements pique-nique ce n'est pas pour les vrais shinobis.

Je me dirige vers la dernière plaine qui est plus en retrait et donne vers les autres pays, plusieurs passages sont possibles pour rejoindre les grandes montagnes même sans entrée dans le village même c'est pour ça que des gardes font souvent le tour de la ville en surveillance dirigée par Aa, toujours. Depuis que j'ai été promu dans l'équipe du Raikage comme équipe de missions pour finir les missions importantes le plus rapidement possible, je suis beaucoup plus intéressé à l'univers de Kumo, certaines choses me sont passés sous le nez tel les gardes du corps du Raikage. En-faite, je commence à apprécier cet homme, attention à ne pas trop se soumettre à celui-ci, ce que je n'aimerais pas du tout, restons coéquipiers et rien d'autres. C'est aussi un honneur de défendre le pays de la foudre, quand je pense aux petits de la maison en face de la mienne qui a pleuré toutes les nuits depuis que son père est mort dans une guerre, je pense que c'est cette prise de conscience qui m'a fait réagir, mais je me bas pour garder l'assurance et la bonne attitude qui est mienne, sinon on tombe dans la folie du sang et de la haine tel d'autres shinobis des pays étrangers qui ont viré dans ce dangereux côté. Me voilà arrivé, je pouvais presque chatouiller les nuages, la température est beaucoup plus chaude mais l'humidité des roches gardait le lieu, frais et paisible. Je pris place sur un rocher tout à fait plat et je posais mon petit sac de mon personnage de livre, Usagi-man, je posais ma bouteille de Asahi bien sûr remplit de bières fraîches. Je réfléchis à mon entraînement que pouvais-je bien entrainer, je pensais surtout qu'il fallait entraîner mais base tel le raiton et le doton, avoir de grosses bases pour pouvoir voir plus loin tel les conseils d'un grand ninja. Je commençais par m'entraîner au lancer de couteaux sur un rocher de plus en plus loin, j'avais appris une grande dextérité à force de l'entraînement qui paye. Je termine mon dernier lancer qui rate sa cible et s'en va dans les nombreuses roches, j'avais perdu sa trace, je n'allais quand même pas laisser mon précieux couteaux dans les rochers, je partis donc à sa recherche.

Izaya Orihara — Petit, petit, petit !

©Naruto Sensou