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| Sujet: Départ des Iwajins du village des nuages. Ven 31 Aoû - 15:57 | |
| La réunion avait été mise en suspens, sans la présence de la Mizukage, nous allions perdre notre temps et tourner en rond, ce qui n’était pas très intéressant. Puisque le Raikage semblait capable de finir le travail seul avec ses troupes, et que nous avions déjà bien aidé, j’avais décidé de rentrer au village, que nous ne pouvions laisser encore plus longtemps notre repère désert. Je réunissais la plupart des troupes, ainsi que le maximum des personnes que je connaissais de vue ou de nom, puis je formais la queue pour le départ. En tête, il y avait moi-même et mes gardes du corps, et à la fin, des ninjas compétents et agiles en cas d’attaque. Le chemin allait être long, et nous devions être prêts. Le matin même, je mettais levé, dans une tante inconfortable, avant notre arrivée quelques heures plus tard au village. C’était le début d’après midi, et la réunion allait avoir lieux. Réunion, qui devait être donné uniquement entre moi et le Raikage, puisque cet évènement ressemblait plus à une grande rencontre officielle qu’à une réunion, jusqu’à ce que la princesse de Konoha et le jeune du sable nous rejoignent, sans nous prévenir. Nous avions, pour commencer par parler de la situation générale, pour vite attaqué celle des Bijuus et finir notre discussion d’une heure sur l’absence du chef du pays de l’eau. Cette petite réunion m’avait ouvert les yeux sur mon comportement qui pouvait jouer en la défaveur de mon pays, et je devais absolument me reprendre en mains et montré à mon village que malgré mon âge, j’étais encore capable de régner. C’était l’heure du départ, après avoir échangé un regard avec le Raikage qui scrutait depuis l’immense terrasse du QG, je m’avançai, la tête droite, vers les montagnes obscures qui me faisaient faces. Je n’avais pas peur de l’inconnu, bien au contraire, ça m’excitait, j’avais l’impression de perdre vingt ans et d’encore sentir cette fougue puissante au fond de moi. Les gens qui se trouvaient derrière nous semblaient fatiguer, déjà, alors que nous venions de partir. Je venais de me poser une question, avais-je fait les bons choix ? N’étais-ce pas une erreur de ma part que d’avoir fait bouger autant de personnes faibles ? Avais-je encore le droit à ma place ? C’était l’heure du grand départ, et je devais être sûr de moi, beaucoup plus que n’importe quoi. De nombreuses personnes comptaient sur moi… |
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