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| Sujet: [FLASH BACK : SOLO] HACHIBI VS LE BIJUU SANS QUEUE Mer 26 Sep - 13:01 | |
| HACHIBI VS LE BIJUU SANS QUEUE
La Passion ? Que voulez dire Sabu-Senseï ? Je n'étais qu'un débutant en Enka, ce célèbre chant pour lequel cet homme légendaire était connu. Se promenant dans diverses contrées plus riches les unes que les autres pour trouver la passion et l'inspiration suffisante pour son art. Toujours accompagné de son raton laveur géant nommé Ponta, Sabu-Senseï est passé maitre dans la diction et les paroles mélodiques de l'Enka. Quand à moi, qui a réussit à me glisser au sommet du Rap, fier guerrier musical de Kumo, je ne pouvais que m'incliner et me taire, apprenant sous ses bons soins les rudiments d'un style ancestral. Je m'étais rendu avec Hachi' jusqu'au pays du Fer. Un pays où la neige ne fait que tomber sans jamais s'arrêter une seule fois en cette saison. Encore sauvage, la nature a prit entièrement sa place dans ce paysage somptueux. Les flocons blanc de pureté tombaient lentement sur cette forêt de sapins aux cimes si hautes qu'on ne peut les distinguer de si bas, simple mortel. J'étais libre de me mouvoir depuis que ce petit gars de l'Akatsuki m'avait attaqué avec sa bande de palefreniers aussi faible les uns que les autres. Sasuke, qu'ils l'appelaient, hein ? Utilisateur d'un dojutsu que je n'avais encore jamais vu jusque là, ce dernier n'avait pas fait long feu face à ma maîtrise unique de l'épée. Attaquer avec huit épées n'est pas donné à tout le monde, mais c'est également le fruit de longues années d'abnégation et d'entrainement. Unique dans son genre, j'ai toujours repoussé les limites de ma spécialisation au kenjutsu. J'ai toujours mené ma vie en allant jusqu'au bout de mes passions et de nouveau sur la route, je visais à présent la route de l'Enka. La danse des sept Katanas est le fruit de mon dur labeur et de ma volonté à devenir quelqu'un de puissant. Face à l'ébène, je n'avais pas hésité à lui montrer toute l'étendue de ma puissance, j'avais même été stupide au point de faire du zèle. Une bonne partie de plaisir pour Gyûki et moi, cela faisait longtemps que nous n'avions pas eu un combat digne de ce nom. Je voulais leur montrer à ces étrangers du pays de la Foudre comment nous accueillons les types dans son genre. J'étais à deux reprises en position de l'achever, gravement blessé, sa vie était entre mes mains. Si ces trois alliés ne l'avait pas secouru pour le remettre sur pieds, leurs dépouilles seraient encore sur le sol de la Foudre. Enfin, tout ce serait passé comme ça si il n'avait pas profité de ma grandeur pour me balancer des flammes noires comme je n'en avais jamais vu auparavant. Il m'avait forcé à fuir malgré tout, emportant un vieux tentacule coupé sur le champ de bataille qu'il prit pour ma copie conforme. Indétectable à l’œil nu, ni même avec sa pupille aux milles Genjutsu ...
Sabu : "NON, NON et NON ! Bee-Chan, si tu n'y met pas plus de passion tu n'y arriveras pas ! Il faut que tu ressentes le monde et que tu l'extériorise. Ensuite, la note doit sortir de ton nez, comme ça !"
Je restais attentif à la leçon du maître, bien que je ne comprenais pas encore bien toutes ses notions et je n'avais aucune idée de comment faire ce trémolo dans la voix. Moi, B, frère du Raikage, je ne pouvais que m'incliner face à tant de puissance artistique. La Passion ? Je n'allais pas tarder à en trouver rapidement. Un bruissement de pas se fit entendre et un aura tout droit sortie des ténèbres vint perturber notre cours. Même Ponta, le Raton laveur géant, sentait ce danger. Je devenais subitement beaucoup plus sérieux, mes yeux se portant dans la direction de ce chakra aussi noir que nauséabond. Je pouvais aisément distingué la cape noire et les nuages rouges, présage de l'Akatsuki. J'avais déjà été attaqué par ce genre de type autre fois. Ils cherchent le pouvoir qui sommeil en chacun de nous, Jinchuuriki. Ils en veulent beaucoup plus à Hachibi qu'a moi même, mais n'hésiteront pas à tout donner pour me faire tomber à genoux. Ils peuvent toujours se brosser, il ne m'aurait jamais ! Lorsqu'il s'approcha, je pu distinguer son horrible face de flétan ou de squale, je n'ai jamais vraiment été physionomiste. Ce mec au visage bleu et aux branchies apparentent ne m’inspirait nullement confiance, à partir du moment où il portait cette robe noire synonyme de désastre. Il en avait après moi, sans aucun doutes. Alors qu'il s'approchait de nous, je pouvais distinguer dans son dos une sorte d'épée presque aussi grande que lui, enroulé dans des sortes de bandelettes étranges. Un épeïste, probablement. Il ne perdit pas de temps et lorsqu'il fut assez près de moi, je vis sur son visage encore plus hideux de près un sourire édenté béas d'autosatisfaction.
Kisame :« J'ai mis du temps à te trouver, Hachibi. Mais, vois-tu, mon épée adore les puissants chakras ! Je n'ai pas eu trop de mal à te suivre à la trace. Tu vas bientôt servir de pitance à Samehada ! »
©Naruto Sensou
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