Hyûga Neji 日向ネジ [102%]

Disons que j'étais froid et fataliste, un guerrier sans âme et qui cherche sa voix dans ce monde étrange. Je me croyais serviteur, mais de qui au juste ? Eh bien la réponse se voit dans mon front, là où mon oncle, ce misérable personnage a apposé le sceau de l'oiseau en cage, signe de ma redevance éternelle envers des êtres pour qui je ne suis pas grand chose. C'est réellement à trois ans que tout commença, une journée d'hiver qui en apparence, était tout à fait normal. On m'annonça que le jour était venu, l'héritière de la Sôke, branche principale du fastidieux clan des Hyûga avait atteint l'âge de trois ans. En gage de servitude envers cette personne qui était en fait ma cousine, mon oncle, soit son père m'apposa le fameux sceau. C'était officiel, mon appartenance en la Bunke, branche secondaire du clan était complète. Pendant les années qui allaient suivre, je me devrais de protéger ma cousine du nom d'Hinata qui par son jeune âge, ne se doutait aucunement de la tristesse qui m'habitait. La seule personne qui me portait vraiment dans son coeur était mon père, après tout, c'était tout naturel. Seulement, cet homme qui fut dès mes premiers jours, un exemple pour moi fut froidement trahi par notre clan. D'abord une intervention de Kumo dans le but de voler le byakugan de ma cousine puis, la mort de l'ambassadeur. La petite avait été défendu par son père, le chef de notre clan, d'ailleurs vu ses faibles capacités, elle n'aurait même pas pu asséner un coup léger au malfrat...

Ça me rendait déjà en rage de la voir elle, chéri par tous les yeux de notre clan même si ses talents en matière de combat étaient très limités. De mon côté, je ne continuais que de croître. Aidé par mon père, j'enchaînais les journées au dojo de mon quartier, usant du poing souple avec fureur et détermination. C'était bien la seule façon de prouver ma valeur envers les miens. Mon père quand à lui, voyait là une injustice sans précédent envers mon intégrité sociale. Bien entendu, le clan n'acceptait en aucun cas ce genre de pensées et elles étaient sévèrement punis par quiconque les profanait. Il était rare de voir une révolte, vu la douleur que pouvait apporter le sceau de l'oiseau en cage. Du côté de la Sôke, ils n'étaient pas pensable de crier à l'injustice, la plupart préférant vivre grassement sous une servitude sans fin de la part d'un cousin ou cousine. Hizashi, mon défunt père et jumeau par minutes du chef des Hyûga émit un jour des remarques non appropriées envers le fait que malgré mes compétences sans précédent dans l'histoire de nos yeux, j'aspirais à une existence sans réel but et que de ce fait, la loi suivi par notre clan était injuste. Ce jour là, en colère après mon paternel, l'oncle et chef le puni d'un geste à l'aide du sceau qui ne portait que malheur et désarroi à une partie de notre clan. Depuis lors, je garda mes propos haineux pour moi, ne les partageant même pas avec mon père qui dépérissait de jours en jours.

Vint alors l'incident le plus intense de ma vie et surtout, celui qui changea ma vision du monde. Suite à l'évènement avec Kumo, le village caché de la foudre envoya un communiqué à notre Hokage pour témoigner de son désarroi profond envers les gestes commis par le clan Hyûga. De ce fait, ils réclamaient le corps d'Hiashi ce qui raviva légèrement la flamme d'équité qui brûlait toujours en moi. Avec la mort de mon oncle, il n'y aurait plus de successeur de la Sôke ayant les capacités requises pour prendre la tête du clan. Mon père pourrait probablement s'y hisser et nous serions délivrés de nos chaines. Ce qui arriva fut tout autre et beaucoup plus triste. Jumeau et forcé d'être serviteur vu sa naissance en retard de quelques minutes, c'est mon père que l'on envoya à Kumo pour se faire juger et donc, pour éviter une guerre certaine entre la foudre et le feu. À partir du jour de son départ, je ne le revit plus jamais et il ne me resta plus comme famille qu'une cousine pourri, un oncle fou et d'autres étrangers dont le nom ne m'intéressait guère. J'en vint à haïr profondément la Sôke et mon opinion était maintenant clair sur ce que devait être un ninja. C'était simple, personne ne peut échapper au destin qu'il a obtenu à sa naissance, en dépit des efforts et de l'entêtement.

Rapidement vu mes capacités et en dépit de mon infériorité sociale, je fut intégré à une équipe de shinobi. On m'attribua un certain Gai comme maître et je n'appris à l'apprécier qu'après de nombreux jours. Avec moi, on pouvait retrouver un certain Lee, un ninja qui possédait une force correct mais qui se retrouvait quand même très loin derrière moi. J'appris à le connaître et lui, à m'hair. Incapable d'utiliser toute forme de ninjutsu, mon compagnon se voyait obliger d'utiliser uniquement du taijutsu en combat ce qui limitait fortement ses actions. Avec nous, il y avait aussi la fille du groupe, Tenten, longtemps sans vraiment de talent qui fini par combattre uniquement avec des armes de jet. Moins forte que moi ou Lee, elle arrivait quand même à nous surpasser à chaque lancer de kunaï puisqu'elle ne ratait jamais sa cible. À notre première rencontre, notre Senseï nous demanda d'exprimer notre nindô soit sa façon d'agir et de réaliser ses buts. Quel stupidité de penser de la sorte... Mes rêves même si ils étaient légions ne pourraient jamais s'accomplir ! Que je sois aussi fort qu'un kage ou genin, mes envies ne devraient jamais contredire à la volonté de la branche principale Hyûga. Hinata, cette stupide héritière sans talent, elle, pourrait décider de toutes nos actions et de la continuité du clan même si elle n'arrivait pas à se défendre contre une mouche... Foutaise ! J'allais leur montrer un de ces jours... restait à trouver comment se défaire de cet horrible sceau. Pendant l'année qui suivi notre entrée dans l'équipe de Gaï, nous fument tous trois entraînés à divers techniques de combats mais surtout, au taijutsu pour ma part, suivi par Lee dans toutes les disciplines connexes mais jamais battu. Tenten quand à elle, rivalisait peu avec nous deux, préférant affûter ses couteaux ce à quoi je ne comprenais rien. Notre maître tenta de nous montrer des techniques visant à ouvrir l'une ou plusieurs des huit portes de chakra présentent dans le coprs humain pour en libérer un flux énorme qui nous permettrait de triompher plus facilement de nos ennemis. À ma grande surprise, ce jour là, je ne réussi en aucun cas à ouvrir la première porte là où Lee fut le seul à réussir. De toute façon, ce genre de chose m'intéressait peu et je me concentrais plutôt sur mon poing souple qui se devait d'être parfait pour l'examen chûnin. J'appris beaucoup durant cette période et ma force décupla de jour en jour.

Le dit examen

Parlons de ce moment qui fut décisif pour moi, on peut dire qu'il changea ma vision de la vie. Vu la chance que j'avais, je me retrouva face à ma cousine Hinata lors de la première épreuve. Je n'aurais aucun problème à gagner ni même à l'abattre si l'envi me prenait, mais vu l'emprise qu'elle avait sur moi, je ne pourrais agir ainsi. Cependant, il me serait tout de même possible de remporter la victoire, ce en quoi je mis toute ma vigueur. Ce combat était très important pour moi et c'est avec plaisir que je démontra à la foule ou plutôt, aux autres genins présents, la puissance du poing souple. Avec des parades assez simple et en y mettant pas toute ma force, je réussi à mettre Hinata à un point critique et c'est à ce moment que tout me sembla clair. Il me fallait l'éliminer, certes, je mourrais suite à ces actes mais ça m'était égal, rien ne me l'était plus d'ailleurs. Tentant ce qu'aucun n'aurait voulu faire, j'allais mettre fin à une partie de l'héritage de la Sôke. Levant mon poing à une certaine vitesse et le rapprochant maintenant peu à peu de ma cousine, je vis devant mes yeux plusieurs ninjas apparaître d'un peu partout pour me retenir. Même s'il m'avait arrêté cette fois-là, j'étais bien décidé à poursuivre ce que j'avais commencé plus tard, dans un futur qui pouvait même s'avérer très prêt. Puis, ce fut l'heure du combat de Lee qui malgré son hérédité peu avantageuse, me surpris par sa vitesse et son désir de vaincre. Malheureusement, il faisait face à un génie qui aurait même pu me surpasser, un certain Gaara de Suna.

La seconde épreuve quand à elle, m'opposa à un certain Naruto qui à ce qu'on m'avait dit, était un garçon turbulent et qui s'était démarqué comme le plus idiot de notre classe. D'abord en avantage facile dans ce combat dont la fin était prédestiné, celui qui me faisait face s'avéra très endurant et impossible à mettre k.o. Grâce à mon tourbillon divin, j'arriva à éviter la majeur partie des attaques de Naruto. Ce dernier semblait puiser son chakra d'une source extérieur puisque même en lui ascénant plusieurs coups dévastateur, il se relevait toujours aussi vif que jamais. Après plusieurs minutes de combat, j'en avais enfin fini ou plutôt... c'est ce que je croyais. Sortant de la terre à grande vitesse, l'Uzumaki me prit de plein fouet avec un uppercut bien placé sur la mâchoire. Je rebondis sur le sol à plusieurs mètres de là, l'esprit en fureur et le corps meurtri. J'avais perdu, moi, le petit génie jusque là jamais défait par mes coéquipiers... Est-ce que la persévérance pouvait défier les dons ? Je fus transporté par l'équipe médical à l'hôpital de Konoha, déshonoré d'avoir perdu face à un nigaud. À mon réveil, je fut très étonné mais aussi en peur de voir la personne qui m'attendait. Devant moi se tenait le chef de notre clan et mon oncle, qui selon moi, était venu pour exprimer une réprimande solide à mon égard. Il m'avoua plutôt ce qu'avait été le rôle de mon père dans les évènements tragiques qu'avaient subit le village il y a quelques années. Je fondis immédiatement en larme, soudain soulagé par cette affirmation. Hiashi poussa la chose jusqu'à se prosterner devant moi pour me demander mon pardon, un juste choix que de mes yeux mouillés, j'accepta.


Mes blessures qui n'étaient pas de trop grande ampleurs furent rapidement soignés et d'ailleurs, même si ça n'avait pas été le cas, les évènements majeurs qui avaient suivis l'examen chûnin auraient forcés mon départ de l'hôpital. Le village avait besoin de tous ses ninjas pour combattre l'attaque de Suna allié au mystérieux village caché du son. Moi qui pensait m'opposer à des troupes de masse, je fut plutôt incorporé dans une équipe sous la tutelle d'un autre genin du village, Shikamaru Nara, un fin stratège. C'est au cours de notre poursuite des quatre du son dans les bois que je combattu un certain Kidômaru. Il s'avéra être un analyste hors pair et l'un des rares à contrer les effets du Byakugan. Rares étaient ceux à déceler le poing faible de notre oeil mais lui y arriva. Derrière la tête de chaque utilisateur de ce dojutsu se trouvait un angle mort de cinq degré impossible à voir. Grâce à ce défaut, un ninja habile pouvait nous prendre de revers en maniant bien les degrés. Là où auparavant, j'aurai su me soumettre face à ce genre de ninja, je décida alors de combattre pour ma vie qui valait désormais quelque chose à mes yeux. N'ayant pas prévu que mon adversaire exploite l'unique faiblesse de mon oeil, je reçu une flèche en plein corps mais ma vitesse d'exécution me permit d'éviter la flèche en plein coeur de justesse. Je pris la dernière flèche de l'homme-araignée pour mettre fin à ce combat très dangereux. Grâce aux toiles d'araignées, je réussi à le déstabiliser par une impulsion de chakra ce qui me donna la temps de le finir avec le fameux poing souple de mon clan. Je m'étendu ensuite sur le sol, entre la vie et la mort mais heureux d'avoir pu aider Naruto dans sa quête vers Sasuke.

Enfin reconnu

Changé par les évènements du passé et surtout, par ces trois années à m'entraîné, ma détermination avait changé et mon nindô, tout autant. Je n'étais plus la marionnette d'un destin que je pensais injuste mais plutôt, le gardien d'un dojutsu héréditaire. J'étais devenu quelqu'un d'autre durant ces trois années. En compagnie de ma cousine et de d'autres Hyûga, je m'étais entraîné sans relâche à fin de croître en puissance. Mon premier but, celui de chûnin avait été accompli sans trop de difficultés dans un examen qui suivi le premier de plusieurs mois. Il me restait maintenant à devenir jonin, chose que j'avais réussi à accomplir en moins de trois années. Je n'étais pas qu'un génie par légende mais aussi par réalité, c'était établi. C'est à ce niveau et après trois années d'entraînement que l'on me confia une mission de haut rang mais qui était surtout capital pour l'avenir de Suna. Ce même village qui nous avait attaqué des années plus tôt s'était calmé et nous demandait une assistance immédiate. Enfin, le but premier de la mission était d'épauler l'équipe de Kakashi composé de Naruto et de Sakura. C'est Pakkun, un chien traqueur qui me mena moi et mon ancienne équipe composé de Gai, Lee et Tenten vers le repaire de l'akatsuki, une organisation qui s'imposait comme dangereuse dans le monde shinobi. Nous fument tout quatre forcés de combattre Kisame Hoshigaki, un homme requin capable de beaucoup et ce grâce à son étrange épée et sa maîtrise parfaite du suiton, on aurait dit le Nidaime... Rapidement emprisonnés dans une prison d'eau, je réussi à me libérer grâce à mon poing souple et ce geste permis à Gai d'en finir avec l'homme requin. Il s'avéra que ce n'était qu'un clone de haute puissance ou un substitut. Ce combat fut déterminant pour moi car il s'avéra être mon premier combat contre un ninja de haut niveau et visiblement, je ne faisais pas le poids. Là où par le titre, j'étais l'égal de mon ancien Senseï, ce dernier quand à lui recelait de capacités surprenantes qu'il n'avait jamais montré à personne... Mon entraînement ne devait pas s'arrêter là ! Après cet époustouflant combat, on se retrouva face à une étrange barrière orné de plusieurs sceaux étranges. Repérer ces sceaux et les désactiver fut très rapide, trop rapide... Quelque chose clochait et je n'étais pas le seul à le sentir. À peine la barrière désactivé que des clones de chacun d'entre nous jaillirent de nul par. Chacun sauta sur son clone pour le combattre et ça s'avéra plus que difficile. Forcé d'utiliser mes meilleurs atouts face à celui qui me connaissait le mieux, je réussi quand même à triompher, toutefois épuisé par l'ardeur que j'avais dû y mettre. Notre tâche était déjà fini, rien de bien excitant comparé à ce que d'autres avaient vécus. Notre groupe rejoignit Ino et les autres, devant Chiyo qui accroupi sur le sol, tentait de soigner Gaara. La vieille dame à qui l'on attribuait plusieurs arts médicinaux avait l'air de mettre son coeur à la tâche. Naruto la rejoint dans son effort et le jeune homme se releva, à l'inverse de la dame qui tomba sous la puissance de son art. Je n'en revenais pas... Elle avait ressuscité quelqu'un ! L'amitié et la descendance étaient décidément quelque chose d'important.

Pain-Pong

Quoi, que qui ? Mais que pouvait-il bien se passer ? Ça ne tournait pas rond et les oiseaux nous le signalait. D'un geste, Gai me signala d'activer mon byakugan ce que je fis sans plus attendre. Je trouva Gama Bunta, le roi des crapauds incapable de bouger et en mauvais état... Ça ne disait rien de bon. Il nous informa de la destruction du village par Pain et ses jutsus déments. Notre équipe fonça tout droit vers Konoha pour aider ceux qui combattaient et je retrouva ma cousine peu après mon arrivée. Là où il y a quelques mois je lui aurais accordé un regard de dégoût, c'est avec une joie certaine que je l'aida à se remettre de ses blessures et surtout, je resta prêt d'elle pour la protéger. Devant l'avancée rapide des choses, je jugea imprudent la décision de Naruto de refuser l'aide de quiconque, même si ses talents n'étaient pas à défier, personne ne pouvait s'opposer seul au maître incontesté de l'akatsuki... Enfin, c'est ce que je croyais. À sa victoire, je fis parti de ceux qui l'applaudirent et qui criaient de vive voix son succès. Konoha était détruire mais ça restait une victoire pour nous, victorieux, j'étais fier, pas seulement de moi mais aussi des autres. J'avais changé ?

Les jours passèrent et les semaines se suivirent-elles aussi pour notre village en reconstruction. Lors d'une soirée en compagnie de ceux que je pouvais maintenant nommer mes amis, nous firent le point sur nos intentions envers Sasuke. Il était visiblement nécessaire de s'occuper de son cas pour éviter une guerre désastreuse entre Konoha et Kumo. Proche de Shikamaru, je me permis de lui suggérer quelque chose. Il fallait que le Nara explique la situation à Naruto et Sakura, son intelligence lui permettrait d'être assez percutant pour les mettre devant le fait accompli. Nous étions prêts, eh oui, cet entretien mena à un commun accord face à la mort de Sasuke qui n'apporterait que du bien à notre village. C'était décidé. Malgré tout, Naruto ne se fia jamais à nos décisions et à son retour au village après une mission prêt de Sasuke, il me révéla que c'était son devoir de le faire et que personne d'autre ne pourrait l'accomplir. Ce garçon était déterminé et même si je n'était pas tout à fait d'accord avec lui, quelque chose m'empêchait de le contester...

Physiologie & Psychologie

J'étais jeune et à l'âge où insouciance mène notre vie. Je dois dire que mon physique était semblable à tous les autres de mon clan, une peau blanche ne se démarquant par rien du tout hormis un énorme contraste avec mes cheveux d'un noir foncé. Mon front était vierge et beau, signe de liberté, telle l'oiseau, c'était des belles années. Mais Hinata vint tout changé et elle marqua ma tête à jamais, me rendant coupable d'un lourd fardeau de protection que je viendrais à comprendre avec les années. Mon père était alors mon idole, celui que j'admirais et que je croyais invincible... Si j'avais su !

C'est précisément ce sceau qui en apparence n'a rien de bien méchant qui changea ma vie. Il signifiait mon esclavagisme envers des gens pour lesquels je croyais être rien. Je compris plus tard que c'était tout autre mais pour l'instant, ça ne m'était pas très clair. Ma peau avait alors changé, j'étais passé de jeune enfant à adolescent en puberté, je n'étais plus tout blanc et des traits légèrement différents des autres Hyûga se dessinaient sur mon visage. À l'époque, avec la mort de mon père, j'étais devenu très froid et rien ne m'intéressait plus. Je m'entraînais et je combattais pour rien, ne sachant pas vraiment quel était le sens de ma vie.


Merci Naruto, pour tout, eh oui ! Merci de m'avoir aidé à trouver la voix du bon chemin, c'est grâce à toi que j'ai perdu et cette défaite m'a fait comprendre bien des choses. Sans elle, mon oncle ne m'aurait probablement pas tout dit et j'aurais continué à vivre dans l'ombre, tu es en quelque sorte mon sauveur... Tu m'as aidé comme personne avant ne l'a fait, sache que je te supporterai dans ta lutte pour Sasuke même si je suis contre tes idéaux.


Dernier moment de ma vie en tant que chûnin, grâce à mes énormes capacités, Konoha m'avait promu jonin et je n'étais pas peu fier. Mais j'avais accompli bien mieux durant ses trois années... J'avais des amis ! Des gens à qui me confié et avec qui partagé. Je n'étais pas restreint à l'atmosphère froid et sérieux qui régnait très voir trop souvent dans le quartier Hyuga. Je n'en restais pas moins un garçon sérieux et sévère mais disons que mon tempérament s'est affaibli pour devenir ce qu'il est aujourd'hui.