Invité Invité
| Sujet: Kakashi Hatake [Fini] Mar 11 Sep - 13:53 | |
| Hatake Kakashi
|
Age: -- 28 ans Sexe: -- Masculin Rang souhaité: -- Jônin ou Jônin spéc' Village d'origine: -- Konoha Village souhaité: -- Konoha Nîndo: -- |
|
Pseudo/Prénom: -- Ace Âge: -- 19 ans As-tu signé la charte: -- J'y vais de ce pas. Comment as-tu connu le forum: -- Root top. Fréquence de connexion: -- 5/7 Autres choses: -- Non |
Mon Histoire Pendant des années, nombre de citoyens du Pays du Feu auraient bien pu tuer pour intégrer le cercle très fermés des proches du légendaire Ninja au court sabre et réputé pour être aussi, si ce n’est fort que les Sannins légendaires. C’est dans la prestigieuse maison Hatake que le jeune épouvantail fit le jour, le poing en avant et les premiers cris déchirant le respectueux silence qu’imposait pourtant la présence du grand Sakumo. Les premières années de la vie du seul fils de la Légende se passèrent dans un cocon d’affection que vint à peine ébrécher la mort prématuré de la nouvelle mère des suite d’un second accouchement qui engendra avec effroi un enfant mort-né. L’épouvantail, comme il fut nommé, se trouva donc dés ses premiers printemps en seule compagnie de son père. L’image de perfection que renvoyait cet être extraordinaire marqua à jamais l’esprit de l’enfant, si bien qu’à mesure que les années défilaient, l’attitude du jeune enfant se mua en un simulacre d’exaspération constante pour son public tant les êtres de son âge éprouvaient des difficultés à des tâches que lui-même désignait comme aisées. Il faut dire que comme son illustre père, Kakashi vit la nature être plus que généreuse en lui offrant des prédispositions pour les arts ninjas plus que géniales, celles-ci associées aux sages enseignements de Sakumo ne tardèrent pas à faire passer le jeune prodige pour un véritable génie aux yeux des Ninjas de Konoha. Le passage de l’Eclair Blanc de Konoha dans l’académie du Village fut plus que bref et il sortit major de sa promotion avec le diplôme de Genin en bien moins d’un an. Un parcours dans les classes des Shinobis des plus rapides puisque l’illustre fils du Croc Blanc reçut son titre de Chuunin à l’âge de 6 ans, sans pour autant employer une seule technique de son cru, mais sa vitesse d’actions était déjà reconnue à l’époque comme un lointain écho grandissant face à celle légendaire de son père. Mais ce que retint actuellement le légendaire Shinobi de son enfance n’est autre qu’une continuité de caprices et sans intérêt qu’il eut commis avec mépris et suffisance pendant des années, prenant à l’époque l’ensemble de ses confrères de haut, car si il y a bien une chose qui caractérisait Kakashi à cette époque c’est son immense confiance en ses capacités qui lui faisait penser qu’il était bien plus fort que ses semblables, ce qui lui donnait le droit de les voir de haut.
Tout génie qu’il fut, le futur Ninja Copieur ne put s’empêcher des enseignements classiques aux armées de Konoha, si bien qu’il fit ses gammes dans une équipe aussi hétéroclite que non miscible par les caractères qui la composait. Il était l’eau, lui le génie fluide et clair dans ses objectifs, il était l’huile, lui et son clan ombrageux qui ne cessait d’être léger dans son comportement et elle était le sucre, la touche légèrement douce qui donnait une saveur à ce duo bien fade une fois ensemble. Une bien étrange combinaison qui fut chapeautée par le plus grand des Ninja qu’ai connu Konoha et le Monde, celui qui deviendrait quelques années plus tard le Yondaime Hokage, l’Eclair Jaune de Konoha à la réputation sans limite, Minato Namikaze ! Sous l’enseignement du Chirurgien des Champs de Bataille et porteur des préceptes de la maison Hatake, Kakashi progressait de jour en jour sur la voie du Shinobi. Mais au crépuscule de son huitième été, alors que la guerre grondait plus fort que jamais aux murailles du village caché de la feuille, un ressort fut déplacé pour un temps dans l’esprit d’enfant du génie aux cheveux gris. Pour les besoins d’une mission, son père, l’illustre Sakumo Hatake fut investi d’une mission, celle de s’infiltrer en territoire ennemi afin de ravir des plans de batailles qui auraient bien pu changer le cours de cette longue guerre. Mais une fois coupé de Konoha, en territoire hostile avec son équipe, le Croc Blanc de Konoha fut confronté au pire dilemme de son existence, la réussite de sa mission ou la survie de ses compagnons. Humain, le puissant Ninja se rangea sous la bannière de la raison pour finalement abandonner sa mission et s’en retourner à Konoha, son équipe en vie … Mais il est des lois auxquelles l’on n’échappe pas et en cette époque de conflit, celle qui affirmait l’interdiction d’abandonner une mission couta la vie à l’égal des Trois Ninja de la Légende. Pris sous le feu des critiques, mis au banc des rebus par ceux là même qu’il avait sauvé d’une mort certaine, Sakumo fut trainé dans la boue pour son choix car l’échec de sa mission fut très dommageable pour Konoha comme pour le Pays du Feu. A bout physiquement comme psychiquement après avoir subit une telle campagne de calomnies, Sakumo mit fin à ses jours … L’image de ce père sublimé se brisa en Kakashi.
Il fut dés lors observé un profond changement dans les attitudes du jeune homme tendant vers l’adolescence. Son esprit se referma sur lui-même, étanche à nombre de sentiments et ne retrouvant qu’un brin de perméabilité pour les paroles et les enseignements de son Sensei Minato qui devint peu à peu comme un père de substitution. Mais la rude expérience qu’il connut dans l’humiliation infligée à son père modifia pour un temps la psyché de l’Eclair Blanc. Le jeune Ninja se plongea donc dans un monde régit par des règles et des codes d’honneur comme de conduite shinobi, dictés par les autres, et qu’il se força à apprendre sur le bout des doigts. Son obsession pour les règles et les lois devient démente et peu à peu le fils Hatake se mua en un personnage détestable qui ne jurait que par l’efficacité des règlements et le respect de la parole donnée. Son attitude se fit plus froide que jamais et le travail d’équipe en soufra énormément. Les premiers heurts sévères avec Obito intervinrent durant cette période, l’attitude nonchalante de l’Uchiha ne cessant d’exaspérer Kakashi. Sa conception du devoir et de l’honneur remodelée par la vision globale des autres, Kakashi passa les années suivantes à servir docilement Konoha en compagnie de ses équipiers et de son Maitre qui le Jugea bien digne de recevoir ses enseignements en matière de Jutsu de sa propre conception. Ainsi, Minato Namikaze enseigna à son élève le Jutsu qu’il mit lui-même trois ans à perfectionner et qui ferait plus tard partie de l’héritage Ninjutsu du Yondaime Hokage, la première Technique Ninjutsu d’Hatake Kakashi : le Rasengan ! Dans le même temps, le futur grand Héro de Konoha fit part à son disciple, génie de sa génération comme il le fut lui-même autrefois, son intention de perfectionner ce Jutsu dépourvu d’Affinité élémentaire et c’est dans l’ombre de le fils de Sakumo s’entraina de son propre chef à la réalisation de ce fou projet, mais son entreprise fut soldée par un échec, ne parvenant pas à insuffler son affinité Raiton au Jutsu de Rang A crée par son Sensei. Pourtant, l’Eclair Blanc de Konoha n’avait pas dis son dernier mot et il passa des semaines, des mois à travailler sur un moyen de substitution après avoir subit un tel échec.
C’est donc en ces circonstances que l’Equipe Namikaze fut chargée d’accomplir une mission importante durant la Grande Guerre Ninja. Kakashi n’était alors âgé que de 13 ans. Et ce jour fut également celui où le Chuunin fut promu au rang de Jounin de son village. Chacun des membres de son équipe lui offrit un cadeau pour fêter l’événement, à l’exception d’Obito encore une fois en retard au point de rendez vous et ayant oublié ce fait marquant. Ce jour fut également celui où le détestable enfant à l’air supérieur fit part au monde de la seule technique originale de son répertoire Ninjutsu. Lui, le petit génie du Chakra se fit un devoir d’exposer à son maitre le jutsu qu’il conçut en plusieurs années pour se substituer au Rasengan. Dans un bruit assourdissant, des éclairs auréolèrent la main droite du fil de Sakumo alors qu’une immense quantité de Chakra siegait en son sein et accélérait son rythme cardiaque comme son système nerveux, développant une des plus redoutables Techniques d’Assassinat de tous les temps connue comme un coup d’Estoc de Type Raiton : Chidori, les Milles Oiseaux. Mais la faiblesse de ce Jutsu là fut bien vite mise au jour par l’œil expert du plus Grand Tacticien et Héro de Konoha, aussi le Sensei de Kakashi lui interdit il de l’utiliser de nouveau sous peine de voir une nouvelle fois sa vitesse prendre le dessus sur ses autres capacités et se rendre vulnérable à tout type de contre … C’est porteur d’une blessure physique comme morale que l’Eclair Blanc s’endormit, ne sachant qu’il venait en une nuit de se faire un nouvel ami. Au lendemain, la mission poursuivit son chemin et Minato fut contraint de quitter ses éléves pour rejoindre le front. A trois en territoires ennemis, les Ninjas de Konoha ne tardèrent pas à tomber dans une embuscade qui leur couta la perte d’un membre. Lin fut en effet prise en otage et les deux disciple du futur Yondaime se retrouvèrent seuls. Une violente dispute éclata entre eux deux sur la suite des événements, Kakashi se refusant à partir au secours de Lin alors qu’Obito considérait son sauvetage comme prioritaire. Les deux enfants se quittèrent finallement, empruntant deux voies différentes, après que l’Uchiha n’eut affirmé que pour lui, Sakumo Hatake fut un Héro et que dans le Monde des Ninjas ceux qui ne respectent pas les règles et transgressent les lois sont considérés comme des moins que rien, mais que ceux qui ne se préoccupent pas de leurs compagnons sont bien pire … Finalement, après un court trajet seul, l’Epouvantail vola au secours de son compagnon, l’aidant à terrasser son agresseur après lui avoir témoigner son changement d’état d’esprit en usant de l’épée de son père, qu’il conservait précieusement depuis toujours ! cette victoire là lui couta son œil gauche, mais elle permit à son équipier d’éveiller ses Sharingans … Tous deux unirent leurs forces pour se défaire d’un ultime adversaire et sauver Lin du Genjutsu qui la tenait prisonnière, quand soudains les parois de la grotte qui renfermait la geôle se mirent à trembler, leur adversaire survivant utilisant une Technique Doton pour les ensevelir vivant. Victime de son nouvel angle mort dans sa vision, Kakashi fut promis à une mort certaine, c’était sans compter Obito qui réussit à le sauver mais qui pour cela dut se sacrifier. La moitié de son corps écrasée sous un Rocher, l’Uchiha rassura ses partenaires et finit par trouver un cadeau pour la promotion de son ami. Le Sharingan de son œil gauche … Les Arts médicaux de Lin lui permirent de combler l’orbite vide du nouveau Jounin et c’est avec deux pupilles différentes que Kakashi se défit du meurtrier de son nouvel ami, cet ami qui lui avait permis de compléter son œuvre, son Chidori. Les adieux à Obito se firent sous les assauts de Shinobis d’Iwa et Lin comme Kakashi ne durent leur salut qu’à l’arrivée de leur Sensei ! Ce jour là, deux héros aux Sharingans virent le jour, l’un a depuis son nom gravé sur une stéle au cœur de son village et l’autre est depuis connu comme Sharingan no Kakashi à la renommée traversant les frontières !
Physique & CaractèreIl est commun de dire qu’il ne faut pas juger quelqu’un sur son apparence, mais il est de coutume, pourtant, de le faire et l’image que renvoi le Ninja de Konoha n’est pas forcément des plus flatteuses pour lui. En effet, d’apparence Kakashi semble plutôt ridicule, il parait assez lymphatique voire même carrément feignant. Il a tout le temps l'air fatigué et le fait que son visage soit entièrement caché excepté son œil droit rend difficile une description globale, rendant la désagréable impression que le personnage cherche à masquer ses traits pour pouvoir roupiller en douce ... Pour preuve, le Ninja Copieur prends un nombre de poses lascives incroyable dans une seule et même journée. Hatake ne donne ainsi pas au quotidien l’image du Ninja tel que l’on est en droit de l’imaginer. Il ne semble pas le moins du monde connaitre la ponctualité et affiche toujours des heures de retard au moindre de ses rendez vous, ceux qu’il subit comme ceux qu’il impose d’ailleurs ! Aussi désinvolte que tête en l’air dans son attitude, Kakashi se plait à justifier ses sempiternels retards par des excuses plus stupides et foireuses les unes que les autres. Je m’enfoutiste dans son apparence, il n’est pas rare de le voir lire une série de livres érotiques pour adulte dans quelque situation que se soit, Kakashi est bien le genre d’homme capable de prendre une expression béate à toute heure et de se gratter les fesses en toute discrétion durant les plus officielles des cérémonies. Le Shinobi semble ainsi toujours animé d’une joie de vivre et d’une gaieté surprenante pour ceux qui ne font que le juger d’apparence. Jamais l’Eclair Blanc de Konoha ne se montre affligé ou bien déprimé, il s’en remet toujours à une expression surprenante qui laisse à penser que ce personnage est toujours content bien qu’éternellement fatigué. Le seul véritable moment où l’Epouvantail troque son aspect épanoui et facétieux pour un masque d’amertume et de regret est quand il se retrouve seul au devant de la stèle sur laquelle est gravée le nom de ses plus proches amis, décédés dans l’exercice de leur fonction.
C’est par ailleurs cet événement particulier, qui ôta de sa vie celui qui aurait bien pu devenir son meilleur ami, que Kakashi subit la seconde mue de son existence pour finalement devenir celui qu’il est aujourd’hui dans son fort intérieur et dans sa fonction. Car en bon être humain porteur de Groupe Sanguin O, le Kopï Ninja se voit gratifié des qualités chimériques attribuées aux détenteurs de ce sang : un être agréable, sociable au possible et optimiste en toutes circonstances. Mais le légendaire Shinobis se voit aussi accablé par les affres d’un tel héritage que sont les défauts relatifs à son groupe sanguin, selon la croyance populaire, à savoir que notre épouvantail favori accable son image d’une rudesse apparente. Rudesse tout aussi relative à son génome qu’à ses expériences passées. Une Rudesse en parfaite concordance avec la cicatrice qui barre son œil gauche, là ou somnole le second aspect de sa personnalité. Comme cette cicatrise, Kakashi reste un homme assez brut et droit. Son comportement passé comme sa responsabilité dans la mort d’un de ses plus précieux êtres chers lui impose un respect de ses convictions aménagées en un code personnel qui relègue le Code Ninja au rang de simple fil conducteur de sa vie et nom de chemin tracé. La problématique maxime qui impose au Shinobi de faire abstraction de sa personne et de ne pas vivre pour lui-même mais comme seul instrument de son pays, Hatake s’en ait fait sa propre opinion il y a bien longtemps et il ne pense pas réellement être en adéquation avec ce précepte qui accompagne le Ninja tout au long de sa vie. Son Nindô reste basé sur la protection et son attitude profonde transpire la mélancolie. Dans cette optique, il n’accorde son enseignement qu’a des jeunes gens qui font réellement preuve d’un esprit d’Equipe exacerbé et qui sont prêts à enfreindre les règles et les obligations pour le bien commun plutôt que pour le personne. Pour preuve, le Professeur n’a validé que très peu de Genin dans sa vie, trois seulement, et quels Genins … Dans ses méthodes d’enseignement, il reste des plus stricts et n’hésite pas à utiliser la méthode de la confrontation pour aiguiser l’esprit de compétition de ses protégés alors que ses entrainements sont réputés comme étant parmi les plus durs du village de la feuille. Mais c’est cette difficulté qui a façonné ce que Kakashi est en lui et qu’il révèle dans l’instant où il ôte son bandeau et ouvre son œil gauche …
Une fois l’œil scrutateur à la lumière, l’attitude de l’Eclair Blanc se fige en une attitude aussi sérieuse que vigilante. Cet Ultime cadeau d’Obito révèle le Kakashi guerrier, cet homme si puissant que nombre de Shinobis craignent de par le monde et qui jouit de la flatteuse réputation de Tacticien de Konoha. Ces facétie et sa fatigue apparentes disparaissent en un instant alors que ses mains referment Icha Icha Paradaisu pour prendre se refermer sur un Kunai. En ces instants, l’homme au Sharingan est une toute autre personne. Dans la fureur d’un combat, le Ninja Copieur illustre à la perfection la Maxime du parlons peu mais parlons bien. Sa parole est d’or et peu sont ceux qui peuvent le qualifier de bavard. Il reste le type d’homme à ne l’ouvrir que quand il a quelque chose d’intéressant à dire et quand son auditoire peut trouver ses informations des plus intéressantes. S’il ne parle presque jamais sous la tension des affrontements, l’Eleve du Yondaime Hokage a pourtant toujours le mot qu’il faut, la parole qui force le respect et le conseil que l’on serait bien fou de refuser. Pas le moins du monde blessant, le protecteur de Konoha se contente de remettre les gens dans le droit chemin en usant de sa morale sarcastique découlant de son attitude respectueuse mais aussi et surtout de son douloureux passé. Illustration même du sage guerrier qui a traversé l’enfer pour le raconter. Flegme et Stoïcisme régissent le mental de cet homme aux milles techniques qui n’est pas du genre à se laisser impressionner. Son visage ne se dépeint que très rarement de son sempiternel air autant las que concentré qu’il aime à employer face ses adversaires les plus communs comme les plus légendaires … Sa confiance en lui semble bien illimitée, mais les déconvenues qu’il rencontre sont pour lui une source de remise en question qui le poussent toujours plus loin sur le chemin du perfectionnement … Tacticien hors pairs et combattant complet sous tous les angles, il est rare que le Shinobi soit pris au dépourvu ou ne sombre dans la panique.
Physique : S’il y avait un mot pour décrire le Ninja aux Milles Techniques, je pense bien que j’emploierais celui ci. Du haut de son mètre et quatre vingt centimètres pour un poids de soixante et huit kilogrammes, qui le place sur la marche des hommes combattifs et combattants entretenant un bon rapport taille poids, Kakashi n’en impose pas vraiment physiquement, ne jetant pas au su et au vu de tous sa force physique comme son corps d’athlète façonné par le seul outil du Nindo. Hatake place son corps comme un vulgaire attribut naturel emprunt de banalité, ce genre de physique de soldat dont sont munis la pluparts des hommes d’âges mûrs une fois sortis de l’Enfer des Guerres de Shinobis. Morphologiquement, Kakashi se fond relativement bien dans la masse grouillante des hommes de l’ombre porteurs de mort, morphologiquement seulement …
N’allez cependant pas vous méprendre, sa taille moyenne ne fait pas de lui un vulgaire amateur aux déplacements gauches, au contraire de cela l’Ancien Pensionnaire du Commando Stratégique Spécial, qui n’as pas obtenu sa réputation mondiale pour son seul œil clos, impose une certaine aisance dans son jeu de jambe comme dans le balancé de ses bras alors qu’il parcourt toute distance avec une agilité qui cache quelque chose de bestial, de surnaturel, touchant presque au domaine des ombre et de l’éthéré ? Une allure de déplacement peu commune, un port altier et une agilité en parfaite opposition avec le brut de ses muscles saillants comme les veines d’un bois brut recouvert d’un épiderme couleur crème peint de douceur. Des pas réguliers et d’une longueur toujours égale à une coudée, une régularité surprenante qui caractérise la course comme la Marche de celui qui fut Jounin dès l’âge de 13 ans, un pas qui rappelle celui d’une de ces grands oiseaux échassiers, telle la grue blanche au cri perçant, pour sa régularité, mais également la délicatesse de déplacement du canidé traqueur lorsque l’homme au Sharingan pose son pied à terre. En cet instant, nul bruit ne transparait, nul retentissement et nul bruissement de semelle pour la simple et bonne raison que c’est la prudence et l’instinct du chien prédateur qui guide la régularité des pas du Ninja.
Puissant homme par son corps, le combattant de Konoha dégage une certaine aura de ruse et de malice dans sa chair comme dans son Chakra d’une blancheur immaculée. Un cou très légèrement allongé qui n’est pas sans rappeler celui d’un loup, large tout en étant affûté, dégageant au moindre sourire étiré outre nature deux muscles sous hyoïdiens saillants qui descendent de façon abrupte vers les clavicules du Maitre de Pakkun et encadrés par de puissants trapèzes rabattus sur de fines mais solides épaules de granit. Partant de ceci, le corps de Kakashi se trouve être parfaitement dessiné et dimensionné pour le combat au corps à corps. Son torse est étonnamment large comparé à sa taille, abritant une cage thoracique volumineuse et couverte par de puissants muscles pectoraux fortement développés, protégeant des poumons qui ne demandent qu’à engloutir des volumes d’airs sans répit dans des joutes éternelles qu’elles soient à courtes comme à longues distances. Si le torse est large, ainsi que je l’ai précisé il s’amincit en descendant vers la taille, dévoilant une ceinture abdominale où chaque muscle est détaché l’un de l’autre dans une succession de creux réguliers, semblable à des blocs de pierre brute empilés les uns sur les autres dans un jeu de construction à la régularité surprenante. De ses épaules charpentées tombent deux bras puissants terminés par des mains étonnamment striées de blessures et cicatrices en tout genre, la plupart étant due aux écorchures sournoises que provoquaient autrefois son Chidori à l’état de conception. Les biceps de l’ami d’Obito Uchiwa ne jouent pas dans le surdimensionné mais dans la cours des muscles secs, autant épurés qu’étirés et qui offrent une puissance rare comme surprenante. Si le haut du corps est un modèle de puissance, le bas est quand à lui une œuvre presque parfaite consacrée à l’agilité et la vélocité. D’une aine aux muscles taillés en V descendant d’un abdomen merveilleusement construits d’où découlent deux jambes parfaitement équilibrées, ni trop longues, ni trop courtes, juste équilibre entre allonge au combat et rapprochées pour des foulées aussi rapides que régulières. Des cuisses volumineuses sans en être proéminentes en passant par des genoux entourés de tendons semblant aussi solides que des chaînes d’acier pour ce terminer sur des mollets également allongés sur un péroné de taille normale, Hatake a réellement à sa disposition un corps taillé pour le combat.
Il est temps de remonter cette construction musculeuse pour s’attarder sur un élément aussi charismatique qu’important du personnage, le visage. Visage qui rend le corps ordinaire du Shinigami tout sauf indifférentiable aux yeux de ses semblables comme de ses ennemis. Si le front n’est, à l’origine, pas allongé pour gagner en largeur, à la manière des fronts et crânes rasés des bonzes vivant sur les toits du monde, de par l’implantation capillaire du Shinobi comme par sa coiffure surprenante qui laisse ses tempes protégées un temps soit peu dégagé, ce front devient infiniment court en un instant quand il se voit couvert du bandeau frontal gravé du symbole de Konoha. Il reste ainsi couvert d’une étoffe sombre alors que ses cheveux se dressent vers les yeux dans une bataille sans nom. Un spectre de platine, cendre et argenté caractérise la teinte capillaire du Shinobi, ce qui lui doit également son surnom d’Eclair Blanc de Konoha. Un nez fin mais allongé placé au milieu de ce visage en longueur se terminant par un menton légèrement bombé qui s’aplatit soudainement non sans donner un air doux au Shinobi poursuit cette représentation du visage digne d’une des plus belles peintures traditionnelle sur de belles tasses de porcelaine. La finesse caractérise également les oreilles du Ninja, bien que l’une des deux se retrouve bien trop souvent masquée par l’étoffe du bandeau frontal, au gré des placements de celui-ci par les mains gantées de son porteur.
Ses yeux … Ils sont à eux seuls le reflet de la personnalité du Ninja Copieur. Bien souvent distincts l’un de l’autre, la pupille gauche du jeune homme se voit dissimulée par le bandeau frontal du Shinobi, placé de surprenante manière. L’œil droit d’Hatake peut se définir comme une mince pupille d’un noir aussi profond que luisant se heurtant parfaitement avec l’immensité blanche qui l’entoure, dégageant un regard étrange et une expression léthargique sans nulle autre pareille. C’est bien simple, cet œil et les cernes naturelles qui entourent l’œil du Ninja, à la manière des taches noires d’un Raton Laveur, peuvent faire penser que notre Ninja n’est pas un adepte de l’effort et qu’il serait bien mieux dans son lit que sur un champ de bataille. Cet œil là offre à Hatake un parfait air d’endormi qui trompe son monde. Mais la seconde pupille dénote une personnalité de Kakashi qui reste toute autre. Fermée et inquiétante, la paupière barrée d’une cicatrice verticale offre au visage angélique du Ninja Copieur un brin de vice et de folie alors que l’ombre la recouvre en partie et un air étrangement puissants lorsque l’entier visage se mue en une expression sérieuse au cœur des affrontements. Peu nombreux sont ceux capable de se vanter d’avoir Vu au travers de cette paupière close en un arc de cercle affuté comme une lame de rasoir. Mais quand cette fermeture inquiétante s’ouvre vers le sanctuaire de la vision, ce n’est qu’un fascinant spectacle qui jaillit au jour naissant … Une pupille mince et d’un rouge sang aussi profond que luisant se heurtant parfaitement avec l’immensité blanche qui l’entoure, dégageant un regard étrange et une expression aussi inquiétante que démoniaque. Les Trois Virgules noires qui le composent sont disposées à des distances égales sur un mince cercle sombre autour d’une prunelle centrale aussi noire que les plumes d’un corbeau. Cet œil est à lui seul une mosaïque de sentiments et d’expression diverses qui traversent sans cesse cette fine rondelle de couleurs aussi sanglantes que chatoyantes, allant du carmin au rubis en passant par le Grenat, un iris aussi complexe que l’histoire qui se cache au-delà de cette étrange pupille. Le Sharingan !
Du point de vue musculature, on peut dire qu’il émane de Kakashi une certaine classe et une certaine aisance. A noter que l’Eclair Blanc de Konoha porte à la perfection l’uniforme réglementaire imposé aux Shinobis du Village caché de la feuille. Ainsi, Hatake-San se retrouve porteurs de légers vêtements aussi noirs que résistant comme première couche sur le haut de son corps. Ce tissu tendu sur sa peau se prolonge d’ailleurs en masque sombre qui engloutit le bas du visage sous un voile d’ignorance. Les Dieux seuls savent ce que peut bien cacher ce fringuant jeune homme … La veste vert sombre des Jounin aurait bien pu être taillées pour lui tant elle lui va à ravir, alors que quelques bandages viennent se refermer sur les chevilles du jeune homme afin de sécuriser les chevilles du combattant. Des scandales de Shinobis protègent les pieds de l’Epouvantail alors que des mitaines noires renforcées d’une plaque de métal blanc se voient affectées à la protection des mains de chirurgien du Shinobi de Rang S. La Ceinture de Kakashi lui sert tout autant à retenir son pantalon qu’à accrocher sa sacoche Ninja remplie d’accessoires aussi divers que variés et d’un sempiternel exemplaire d’Icha Icha Paradaisu. Information importante, le fait que le Ninja Copieur porte son étui à Shuriken à la Jambe Droite indique qu’il est droitier, cette position lui permettant ainsi de dégainer ses armes de jet facilement d’un unique bras ...
© A.T.O |
|