Sujet: Convocation au terrain numéro 7 ( privé équipe 1) Sam 10 Nov - 18:21
Voilà bientôt un mois que L’amnésique avait rejoint le village de kiri gakure no sato. Bien que la mizukage lui ai promis de l’affecter rapidement à une équipe, le courrier se faisait attendre jusqu’à ce matin. Ce matin ci n’avait apparemment rien de spécial, Nanashi s’était levé avant le soleil, douche, petit déjeuné et bientôt footing. La routine habituelle. C’est en se dirigeant vers sa porte d’entrée qu’il aperçut, glissé par-dessous la porte, deux lettres. Chose bizarre puisqu’elle avait dû être livrée dans la nuit car il n’y avait rien la veille. La première, blanche, d’aspect officiel semblait venir du bureau de la mizukage, la seconde, blanche également, était manuscrite et portait la notation « important » mais rien ne semblait vouloir indiquer d’où elle pouvait provenir. En effet, Nanashi ne connaissait presque personne au village alors pourquoi quelqu’un aurait pris la peine de lui écrire. Kitaki, une jeune Genin avec qui il avait fait une mission quelques jours auparavant n’avait aucun intérêt à lui écrire. L’anbu qui l’avait contacté à son arrivée savait très bien où il habitait et ne se gênait pas pour venir lui parler directement chez lui à l’improviste. Bien que la curiosité le poussait à lire la seconde lettre, son professionnalisme lui imposa de lire la lettre d’aspect officiel en priorité.
Comme il l’avait deviné, elle provenait du bureau du mizukage et indiquait qu’il avait été affecté à une équipe, la numéro 1. Ce qui avait pu arriver aux anciens membres de cette équipe, il ne préféra pas le savoir. La lettre disait qu’il recevrait sous peu d’autres informations par le juunin responsable du groupe. Nanashi relu la lettre une seconde fois, la retourna, mais elle ne laissait filtrer aucun renseignement sur les personnes se trouvant dans son équipe. *Enfin* se dit-il, finit les entrainements solo ou le lancer de kunaï et l’entrainement au jutsu l’avait lassé. Son ami Katoro étant réparti en mission et ayant retrouvé son équipe, il ne pouvait plus s’entrainer avec lui et les séances de combat lui manquait terriblement, l’entrainement solo ressemblait pour lui presque a une perte de temps.
Espérant trouver de plus ample information dans la seconde lettre, il la regarda, la retourna mais elle semblait avoir été amené ici par la personne qui l’avait écrit. Ni timbre, ni adresse au dos de l’enveloppe. Peut-être que la personne émettrice voulait être sûr que le message arrive à temps. L’amnésique ouvrit l’enveloppe, en sortie une feuille manuscrite elle aussi et commença la lecture dans sa tête.
La thèse prônant le fait qu’elle provenait directement du juunin qui superviserait le groupe se renforça dans son esprit. Le message était bref et claire. C’était tout bonnement une convocation pour l’après-midi même au terrain d’entrainement 7. C’était une bonne nouvelle, il n’aurait pas à attendre trop longtemps. Là encore, Nanashi essaya de lire entre les lignes mais il ne trouva pas d’indice supplémentaire lui indiquant avec qui il aurait à coopérer. Un peu stressé, il rangea les lettres dans un coin et décida de faire ce qui était prévu initialement, son footing. Après tous, il n’était pas question pour lui d’arriver à cette convocation dans un moment de faiblesse et il pourrait courir tout en réfléchissant.
Lors de son footing, il décida de passer devant le terrain d’entrainement numéro où il devrait se rendre l’après-midi même. Le temps était clément et la brume légendaire du village s’était levée tôt aujourd’hui. Un petit vent d’ouest se levait mais il ne semblait pas vouloir les déranger. Bien que s’étant entrainé dans tous les terrains, il les mélangeait et voulait être certain de ne pas se tromper d’endroit. Peut-être apercevrait-il son futur chef en train de préparer quelques choses pour l’entrainement. Au lieu de ça, une équipe de Genins s’entrainait à marcher sur les arbres et leur mentor avait, visiblement, le plus grand mal à garder son calme. Nanashi ne put s’empêchait de repenser a quel genre d’apprenti Genin il devait être ! Etait-il un cancre ? Ou un premier en tout ? Avait-il du mal à malaxer son chakra ? Qui était son senseï ? Tans de questions auquels il avait juré de ne pas chercher à obtenir de réponses. Le prix a payé était élevé mais il n’avait pas eu vraiment le choix. Nanashi essayait de faire confiance à l’anbu qui disait le connaitre et il n’avait pour preuve que sa parole.
Le terrain d’entrainement numéro 7 était l’un des plus polyvalents de tout le village. Une rivière coulait en son centre puis une clairière de chaque côté et sur toute la longueur du terrain. Deux petites forêts bordaient les clairières. C’était un endroit réunissant tous les types de sol, a l’exception peut-être des déserts et des lacs qui étaient des zones de combat particulière. Le choix de son chef pour ce terrain pouvait indiquer qu’il ignorait lui aussi quel genre de ninja se trouvait dans son équipe et qu’il avait l’intention de les juger au plus vite afin de travailler le plus efficacement possible. C’était une bonne analyse aux yeux de nanashi qui espérait tout de même ne pas se tromper.
L’un des Genin tomba sur le dos d’une bonne hauteur dans craquement sourd, ce qui eut pour effet de sortir l’amnésique de sa réflexion, un léger sourire se forma sur ses lèvre lorsqu’il le vit se relever en se tenant le dos. L’heure avançait et il devait passer en revue son équipement. Il n’avait pas l’intention de manquer de respect à son supérieur en arrivant avec des kunaï mal aiguisé, un sabre éméché ou des parchemins à moitié effacé. Il serait prêt. De plus, un bon coup de rasoir ne lui ferait pas de mal. Nanashi retourna chez lui afin de procéder au nettoyage et la maintenance de ses armes, * un bon ninja a un équipement bien entretenu*. Il aimait bien s’occuper de rendre à ses outils leurs aspects brillants et leurs tranchants d’autrefois. L’amnésique en profita aussi pour faire un check up de ses parchemins, il n’y avait rien de plus embarrassant qu’un parchemin dont l’encre avait coulé et qui ne fonctionnait qu’à moitié ou pas du tout.
Le kirijin eut le temps de finir tous les préparatifs qu’il souhaitait avant de partir avec une avance confortable. C’est donc avec des armes en excellent état, les joues rasées de prêt et des parchemins sûr qu’il se rendit au terrain. Apparemment, personne ne s’y trouvait mais il avait une désagréable impression, essayant de se convaincre que c’était le stress qui lui jouait des tours, il ne pouvait s’empêcher d’avoir l’impression d’être observé, sans pour autant en avoir la moindre preuve. Il regardait les environs essayant de se rappeler l’entrainement qu’il avait fait ici avec katoro pour ce réapproprier le terrain lorsque, par la porte principale, un homme fit son entrée.
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Sujet: Re: Convocation au terrain numéro 7 ( privé équipe 1) Dim 11 Nov - 20:38
Quel endroit humide ce pays de l’eau, on peut l’avouer il porte bien son nom, de la flotte partout, même dans les chaussures. Il pleut neuf mois par ans et il grêle le reste du temps, tout ce qui pousse ici est rude est sans véritable saveur, pour un maître culinaire c’est un véritable enfer humide. Pourtant dans cet endroit l’homme y a trouvé sa place. Une place non enviable certes, qui voudrait passer sa vie dans un lieu où il flotte constamment ? Des fous certainement, quoi que l’homme est fou d’origine. Et oui on ne parle plus d’adaptation, mais bien de folie. Mais bon laissons cela de côté, intéressons nous plutôt au bâtiment qui colonise les rues du village caché de la brume. Je parle évidemment de Kiri. Lieu où les habitations sont aussi monotone que le pays dans le quel ils furent construit. C’est vrai que dans un tel endroit la beauté n’importe peu, pourtant ces constructions sont souvent des œuvres d’art, par leurs structures, leurs longévités et leurs résistances face au piteux état du terrain. Il est certains que face aux constructions de konoha où les conditions sont optimums, le méritent des constructeurs est plus grand que ceux du pays du feu. Mais bon voyageons au travers des rues pavés, intéressons nous uniquement aux ruelles malfamés où s’entasse bars et bordels, lieu ou la lumière du jour ne se fraye jamais son chemin. Oui, même dans un village ce genre d’endroit existe. Un lieu de ténèbres sans le moindre rai de lumière. Continuons nôtre pèlerinage vers les profondeurs de cette obscurité.
Nous arrivons enfin dans un secteur isolé du reste du village. Là un lieu abandonné qui devait être un ancien dépotoir fut aménagé de façon précaire. Une cabane esseulée qui avait du être construite depuis des lustres et oublié. Pourtant un nouveau propriétaire semble avoir trouvé son bonheur en son saint, mais avant de révélé son identité qui n’est pas vraiment un secret. Je voudrais vous faire remarquer l’état des alentours qui n’est vraiment pas beau à voir pour les yeux et à sentir pour le nez. Des dizaines de carcasses d’animaux en putréfaction jonchant le sol, à moitié dévoré par les asticots. Spectacle insoutenable pour un estomac fragile. N’importe qui verrait cette scène, tournerait les talons sans demander son reste. Malheureusement pour un coursier malchanceux se cachant au coin de la rue tremblant comme une feuille, il devait livrer deux lettres pour l’occupant. Parlant seul dans son coin, essayant de se convaincre d’avançant tout en se morfondant. Se demandant sans cesse pourquoi ça devait lui à plusieurs reprises. « J’aurais du faire inspecteur des impôts comme tu me l’avais dit maman, je ne suis pas fait pour être coursier » Pas facile tous les jours la vie de coursier… Prenants son courage à deux il décida enfin d’aller frappé à la porte après avoir piétiné pendant trois quart d’heure dans son coin en ruminant. Marchant comme sur des œufs au travers de ce parcours d’obstacle ressemblant à un cimetière lugubre où les cadavres son exposé. Il avait entendu plusieurs rumeur au sujet de la personne qui habité ici, un monstre mangeur d’homme qui tue sans pitié ceux qui s’aventure sur son domaine. Même la baraque était terrifiante, des fenêtres cassé, des toiles d’araignée partout et un silence de mort. Montant les marches craquantes et grinçante d’un pas le plus léger, qu’est-ce qu’il aimerait être une plume à cette instant. S’approchant de la porte qui celle-ci était dans un triste état, comme tout le reste d’ailleurs. Le coursier se pencha pour faire glisser les lettres sous la porte, quand tout à coup la porte d’entré s’ouvrit brutalement montrant un intérieur sombre où l’œil humain ne pouvait voir. Mais à travers ces ténèbres deux yeux flamboyant s’éclairent comme une torche dans la nuit noire. S’extirpant de la cabane pas la petite porte, une chose qui ressemblait à un homme apparu sous les yeux du pauvre fonctionnaire le visage décomposé par la terreur. Sa taille imposante caché le peu de soleil qui arrivé à transpercé les nuages. Détalent comme un lapin de garenne en hurlant hystériquement, le pauvre coursier venait de battre le record de vitesse de sprint. Dans sa fuite il laissa tomber les deux lettres qui atterrirent dans le creux de la main du colosse. Expirant de sa bouche un nuage de vapeur tout en grognant, il ouvrit les deux enveloppes d’un revers de doigt, arrachant par la même occasion la moitié du document, mais il n’avait que faire de toutes ces écritures, le simple fait d’avoir lu « équipe » sur l’une et « rendez-vous terrain n°7 » sur l’autre lui suffisait. Attrapant sa hache accroché à l’intérieur de la baraque pour la mettre à sa ceinture et attacha sa peau de bête autour du cou avant de partir vers son lieu de rendez-vous.
Marchant d’un pas ferme et rapide, pendant sa traversé du village, le colosse était pointé du doigt par les habitants, non seulement pour son aspect animal, mais aussi pour sa tenu excessivement simple et peu habillé, c’est-à-dire appart sa jupe guerrière et ses deux bretelles croisé en X sur son torse, il ne porte absolument rien. Ce qui provoque chez les gens un certains mécontentement. Mais Zodd se fichait royalement de ce que pensaient ces larves. Il avait toujours vécu nu ou presque, alors pourquoi aurait-il honte de son corps ? Arrivant enfin à destination, pénétrant dans le sanctuaire sauvage, il jeta un rapide coup d’œil au environ. Rien de spécial à signaler, pas d’odeur dangereuse ou de présence inquiétante, enfin sauf lui. Se dirigeant vers le cours d’eau, le titan posa un genou au bord et plongea ses deux gargantuesque mains dans la flotte pour ensuite se rafraichir le visage. Il y’avait des gens ici, des enfants et un prof, ainsi qu’un shinobi quelque mètre derrière lui, surement un membre de ce pseudo groupe. Frottant son visage avec la fourrure qu’il porté au cou, le sauvage se releva et croisa les bras prêt à attendre le membre manquant dans un silence de mort.
Akairyo Terumi ~Soul Hunter~
Messages : 587 Date d'inscription : 12/08/2012 Age : 31
Sujet: Re: Convocation au terrain numéro 7 ( privé équipe 1) Jeu 15 Nov - 16:03
Saint univers .. tu es si beau ..
Spoiler:
Lorsque j'étais enfant, je me suis pris au piège de mon fort intérieur.. Je n'étais plus capable de m'en échapper. Pendant des années, je me suis plongé dans un sentiment de solitude. J'ai attendu, tel un voyageur, je contemplait la galaxie d'un regard vague .. en attendant.. afin d'ouvrir de force une âme émotive qui avait été scellé. Un vent s'est mit à souffler, pour vaincre cette dureté extérieur.
J'attends patiemment ...
Cette nuit là l'univers n'a cessé de crier. Sa voix était tellement basse, nulle. Mais il l'entendait, qui résonnait clairement dans sa pensée. Que cherchait le saint univers ? il lui parlait.. Il criait son nom, l'interpelait. Sa voix était si paisible, douce, agréable. L’écho semblait sans fin, il se répétait, mais de plus en plus fort, telle une lumière éternel qui traversait le long des espaces obscures. Rien ne pouvait l'arrêter, d'où provenait-elle ? D'un espoir .. Cette lumière céleste s'approchait, splendide dans son mouvoir divin. Rapide, instantanément, sa robe blanchâtre gagnait du terrain, cette blancheur la remporterait-elle ? .. Kono Hikari ga totemo kireidatta !
C'est dans une pareille impulsion qu'ils traversaient les rafales. Les deux Shurikens frôlèrent les cheveux des deux Shinobi, avant de finir leur course au fond d'un vielle tronc. Avait-il manqué ses cibles ? Au vu de ses traits, cette question ne se posait même pas : Il les provoquait, les enflammait.. Il venait d'entamer le combat. Ses intentions demeuraient énigmatiques. Et pourtant le jeune Jönin venait de défier ses coéquipiers. Était-ce par pur curiosité ? Ou bien avait-il un but précis ? ..
Akairyo surgit à pas lents d'entre les arbres. Il brillait dans l'obscurité sombre des ombres. Son regard excité ne pouvait cacher sa supériorité. Tout en enfilant ses gants noir, il s'approchait doucement, un large sourire angélique occupait ses lèvres, le genre de sourire malhonnête. Tout d'abord classe, séduisant, n'importe quel femme tomberait sous le charme de ce sourire. Il peut aussi sembler psychopathe pour une personne "normale". Démoniaque, ce sourire reflétant profondément une cruauté infernale, aurait fait trembler plus d'un .. Ses lèvres laissèrent entendre des mots mystérieux, philosophiques comme à son habitude, de ce genre :
Quel bonheur est de la bonne entente, une beauté mémorable, que je vous offrirais à une pareille condition. Je m'attend à du même, venant de vous chers confrères. Akairyo Terumi, votre nouveau chef, et .. Votre ennemi du jour.
Son sourire semblait beaucoup plus "aimable", mais toujours aussi mystérieux. Il s'arrêta à quelques mètres puis reprit :
La beauté m'est chère, très chère .. Essayons de ne pas trop abîmer ce beau paysage, n'est ce pas ? (sourire) Mais .. ne vous retenez pas .. Il va falloir punir, ceux qui échouent ..
HRP/ tout d'abord dsl pour le retard, ma semaine n'a pas été facile. Et aussi du petit poste, j'ai essayé de faire vite. Je n'ai pas trop détaillé, je préfère garder cela pour la fin.
Sujet: Re: Convocation au terrain numéro 7 ( privé équipe 1) Ven 23 Nov - 19:39
Spoiler:
Malgré mon absence de connections internet, j'ai réussi a me connecter avec mon GSM, je posterai donc sous peu. c'est juste un petit message pour réserver mon tour et m'excuser de l'attente occasionné.
Voilà donc à quoi ressemblait son équipe. Son co-équipier avait tout d’un sauvageon et son visage avait vraiment des traits inhumains, il était vêtu de peau et il ne s’en fallait peu pour que sa seule présence devienne un attentat à la pudeur. Son chef d’équipe lui, avait tout du mec qui aimait s’entendre parler pour ne rien dire de compréhensible, il semblait vouloir dire qu’il souhaitait qu’une bonne ambiance naisse au sein de l’équipe mais l’amnésique n’aurait pu le parier. Nanashi l’imaginait facilement faire de longs discours galvaniseurs et inutile à chaque départ et fin de mission. Paradoxalement, il avait décidé d’engager l’entrainement par un combat, c’était plutôt bon signe a ses yeux, et puis, il n’aurait plus à l’entendre parler. Son hypothèse celons laquelle, le chef de l’équipe ne savait pas vraiment à quel type de ninja il avait à faire se renforça quelques peu dans son esprit, ce combat avait de bonne chance d’avoir pour but de les voir à l’œuvre et donc de repérer rapidement leurs points faibles.
*Akairyo terumi* Il faisait partit du même clan que la Misukage, peut être étaient-ils de la même famille ! Nanashi ne savait pas grand-chose du style de combat des Terumi mais il était persuadé que la Mizukage était une combattante à distance. L’amnésique choisit d’imaginer, faute de preuve, que son chef d’équipe était lui aussi un combattant de distance. Bien sûr, dès que le combat s’engagerait, il ajusterait son jugement en fonction des mouvements de son adversaire. De plus son co-équipié semblait taillé pour le corps à corps brutal voir bestial et il aurait été invraisemblable que l’équipe ne soit composé que de ninja possédant le même style. Le but d’une équipe étant de combler les points faibles de chacun afin de faire des groupes capables de survivre dans n’importe quelle situation, il ne serait pas étonnant que l’un des deux autres soit un médecin.
Pour l’heure, trop de réflexion ne servirait à rien, au vue de la carrure de son co-équipier, Nanashi supposa être le plus rapide des deux. Il avait l’intention de ne pas faire dans la finesse, l’attaquer rapidement et créer une ouverture à la grosse brute. Espérant qu’il saisisse cette chance.
Saisissant son sabre à l’envers, petit doigt contre la garde, il se mit à sprinter dans la direction de son chef, faisant de légère courbe dans sa course afin de ne pas être une cible trop facile pour un projectile. Sa façon de tenir le sabre à ce moment-là avait pour but de déstabiliser l’adversaire, il perdait en vitesse mais ça lui offrait un panel d’attaque peu conventionnel et donc moins connu par les ninjas peu habitué au maniement du sabre.
Lors de sa course, il tentait de gardé un œil sur son adversaire mais aussi sur le sol afin de ne pas tomber dans un piège bêtement. Un peu plus loin, les genins qui s’entrainait encore à marcher sur les arbres s’était arrêté et regardaient la scène d’un air mis intrigué mi curieux. Le senseï ne semblait pas leurs en vouloir et peut être pensait-il qu’ils apprendraient quelque chose en les voyants se battre. Leur chef lui aussi fixait le combat, trop heureux de pouvoir se détachait quelques instants de ses obligation de maitre.
Arrivé à mi-chemin du Térumi, il lança un kunaï de sa main gauche, sa main droite étant occupé à porter le sabre, sur son chef. Il se savait pas très bon lanceur de sa main faible mais il souhaitait juste le voir bouger, esquiver, quoique ce soit qui puisse lui donner un indice sur ce dont il devait s’attendre de la part d’Akairyo une fois le combat engagé.
Spoiler:
C'est très très court mais comme je vous ai déjà beaucoup fait attendre, je préfère débloquer la situation. maintenant que je sais que je peux me connecter (non sans mal) avec mon GSM je pourrais poster, pas autant qu'avec une vrai connections mais comme ça, on pourra continuer. DSL pour les fautes mais avec ma connections, je me vois mal passer mon texte sur "bonpatron" pour me le corriger, en espérant que vous soyez compréhensif et que ça ne dur par trop"