Sujet: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Lun 9 Juil - 11:53
Transportée par les forces de Konoha, depuis la maison du vieil homme, qui pris soin de moi après ma chute et ma descente mortelle d'un des fleuves reliant le pays des rizières à celui du pays du feu. Le pêcheur inquiet de mon état de santé appela de l'aide.
Voyageant sous une garde plus que conséquente, mes yeux s'ouvrirent avec beaucoup de mal, ne voyant que temporairement les alentours. Ma vision fut assez trouble et le peu que je pus voir fut celle des portes massifs de Konoha. Fermant part la suite mes pupilles, je pus entendre les villageois s'exclamaient autour de moi. Intriguée sans doute par ma présence. Présence qui fut peut-être une attraction pour le commun des civils vivants ici. Ma garde pris les choses en mains bloquant les individus trop curieux pour apercevoir mon visage ainsi que mon bandeau frontale. Ce bandeau arborant le blason de ma patrie qui fut précieuse à mes yeux. Ce fut à ce moment-là que je perdis de nouveau connaissance. Laissant Konoha prendre en charge mes soins.
Plusieurs semaines passèrent et je fus hospitalisé dans l'hôpital central du village. Allongée sur mon lit, j'ouvris doucement mes mirettes, regardant à gauche et à droite, essayant de trouver des repères. Mon regard fut vide, comme si je sortais d'un terrible coma. J'avais perdu la notion du temps. Mes membres furent engourdis. Alors que j'essayais de me lever pour me mettre en position assise, je pus sentir une vif douleur à mon bras droit. Un petit "aie" sortit de ma bouche. Puis je fixais, toujours avec ce même regard mon bras droit qui fut attaché à mon épaule par un bandage. Je ne réalisa même pas la raison de mon hospitalisation ici. Ayant comme un trou dans ma mémoire. Hélas, je ne pus reprendre la recherche de mes souvenirs qu'un médecin entra dans ma chambre accompagnée de deux infirmières. Le docteur s'exprima d'un air satisfait et inquiet :
"Je vois que notre mystérieuse patiente à repris connaissance. Heureux de vous voir en forme. Je commençais à douter que vous repreniez connaissance après avoir subis de telles blessures.
Pour votre bien, ne forcez pas, les blessures ne sont pas encore guéries."
Je ne comprenais pas les paroles des personnes qui furent autour de moi, n'entendant qu'un murmure sourd et incompréhensible. Cependant, je pus comprendre que mes blessures n'étaient pas guéries. Je pus le comprendre grâce aux douleurs que j'avais ressenties peu de temps avant. La tête dans les nuages, je demandais à mon médecin où je me trouvais. Parlant de manière doucement et très lentement.
Ah, et bien, vous vous trouvez à l'hôpital central de Konoha. Vous avez été recueillis par un vieil homme. Un pêcheur je crois. Il vous à sauver la vie d'une certaine manière, car il semblerait que vous suiviez le courant du fleuve inerte, sans vie. Ce villageois courageux, vous à repêcher de la rivière et vous a transporté chez lui. Par la suite, il fit appelle à Konoha pour vous faire soigner. Voilà. Cependant, une question nous trottines, que fessiez-vous dans ce fleuve ?
"Un fleuve... Un pêcheur.... Konoha.... Je ne me souviens pas.... Désolée.Disais-je d'un air triste, car j'aimerais connaitre également le motif de ma venue ici.
Soupirant, le docteur m'expliqua, que peut-être que j'eus subi un choc durant la traversée du fleuve. Ce qui aurait pu altérer ma mémoire temporairement. Rien de méchant. Seulement je me posais la question...
Avez-vous mes affaires s'ils vous plait, peut-être que grâce à ça je pourrais répondre à vos questions par la suite.
Ce fut une infirmière qui me répondit à ma question, d'un air gêné et embrassée de ne pas pouvoir satisfaire ma demande Vos affaires ont été mises de côte, hélas nous ne pouvons pas vous les données, car des junnins les gardes. Désolés
Pourquoi donc ? Je ne vois pas en quoi mes affaires ont l'air si dangereux que ça. Vous ne me cachiez pas quelques choses par hasard ?Disais-je avec un ton plus sec, montrant un certain mécontentement.
Ne me forcez pas à me le répéter, je veux mes affaires. Je m'en fous que des ninja les gardent, je les veux ! Je suis bien en droit de les avoir non ? Ou bien est-ce le fait que je ne suis pas de votre village qui vous inquiètes ?! Vous avez peur que je vous trucide ? C'est pour cette raison qu'il y a un garde qui surveille ma chambre depuis quelques-jours. Ne me prenez pas pour une conne. Je sais que vous savez quelques choses que je ne sais pas. Alors, dit le moi bordel !!haussant le ton avec un brin de colère. Je m'apprêtais même à sortir de mon lit pour mettre en exécution mes paroles.
Cependant, deux gorilles vêtues de blanc étaient intervenues , portant des vêtements montrant l'appartenance à la clinique. Ils arrivèrent dans ma chambre sous les ordres du médecin qui les appela. Ce même médecin ordonna aux deux masses de me tenir fermement pour ne pas que je bouge. Au vue de ma colère et de ma détermination à sortir de mon lit, il m'injecta des calmants. Me laissant drogué pour ensuite dormir avant de repartir pour voir d'autres patients. Ce ne fut que lors que j'allais rejoindre Morphée que je vis que je n'étais pas seule dans la chambre. Un certain gamin aux cheveux de blé était dans la même chambre que moi. Hélas le sommeil me gagna et je ne sus combien de temps j'allais de nouveau dormir....
Dernière édition par Akane Mitsuki le Jeu 12 Juil - 7:41, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mer 11 Juil - 19:33
Evasion
Encore une fois, Naruto se retrouvait à l'hôpital de Konoha. C'est qu'il commençait à en avoir l'habitude, notre blondinet. Dès qu'il en fait un peu trop, il finit à l'hosto avec des bandages partout. Qu'est-ce que j'entends par " En faire un peu trop " allez-vous sans doute me demander ? Des choses comme sauver son village par exemple. Que lui était-il arrivé alors ? C'est simple, le blondinet s'est cassé la jambe lorsqu'il est tombé dans minable un piège durant une mission. Si c'est pas honteux ça ! Que vont dire ses fans lorsqu'ils verront ça ? Au pire, le Jinchuriki n'aura qu'à mentir en prétextant s'être pris une technique surpuissante ou que sais-je encore.
Ce que l'on s’ennuie ici, il n'y a jamais rien à faire. Je vous parie que même les infirmiers doivent s'embêter. Ce doit être ennuyeux d'être un Eisei-nin, toujours rester en arrière tandis que les autres se démènent pour affronter l'ennemi. Ça, l'héritier de la volonté du feu ne pourra jamais faire, même s'il pourrait être l'un des meilleurs ninjas médecins avec son énorme quantité de Chakra. Mouais ... Cela n'intéresse pas vraiment l'Enfant de la Prophétie. Puis de toute façon, l'Uzumaki est bien plus efficace pour cogner que pour soigner ses camarades. Vous imaginez notre Naruto faire quelque chose dans le genre médecin sans frontière ? Mais il ne fallait pas non plus se moquer des Eisei-Nin. En tant de guerre, ceux-ci sont très utiles.
M'enfin en attendant, il fallait trouver un moyen de s'échapper, le fils du Quatrième Hokage n'aime pas trop les endroits calmes et silencieux. Heureusement qu'il n'était là que pour quelques heures tout au plus. Pour l'instant, il n'y avait qu'une jeune femme aux longs cheveux couleur écarlate. Cette dernière semblait endormie, c'était donc le moment parfait pour s'enfuir sans que personne ne le crame. Par chance, ceux qui s'occupaient du blondin avaient laissé des béquilles sur le coin de sa table de chevet. Le plan d'évasion pouvait donc commencer. Tout d'abord, il fallait atteindre les escaliers sans se faire repérer. Il est vrai que la discrétion n'était pas l'un des points forts du Genin, mais il devait tout de même essayer. Lorsqu'il passa devant le local des infirmiers, l'hôte du plus puissant fragment de Jubi se baissa rampant comme un militaire au milieu des fils barbelés, encore un peu et il sera libre. Au moment où le rejeton d'Habanero la Sanglante s'apprêtait à dépasser la porte du coin où se réunissaient tous les médecins qui ne travaillaient pas pour l'instant, notre ami se trouva nez à nez un homme en blouse blanche se pointa juste devant lui, stoppant sa course. Eh mince ! Evasion échouée. Bon ben y avait plus qu'à retourner dans sa chambre.
Le garçon à la chevelure hirsute n'était même pas encore rentré qu'il entendit déjà du bruit provenant de sa cellule. Sa copine de chambre semblait s'être réveillée. En effet, quand le seul Uzumaki à ne pas être roux jeta un coup d'oeil, la jeune femme était retenue par deux hommes au physique imposant tandis qu'un médecin lui injecta de quoi la calmer avant de repartir. Enfin quelque chose d'intéressant dans ce foutu hôpital, mais que s'était-il passé ? Mais que s'était-il passé au juste ? L'énergumène imprévisible de Konoha s'allongea sur le lit lui étant destiné avant de se tourner du côté de l'autre patient.
Dis, tu dors ?
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Etant sous les effets des calmants, j'avais des pensées sereine, calmes. Je fus détendus. Alors que j'étais allongée dans mon lit à la couleur de la pureté. J'avais pus remarquée un peu plus tôt, une tête d'une personne un peu trop curieuse, du moins je le croyais. Cependant, j'avais mal jugé les éléments qui s'étaient présentés devant moi. Le garçon en question à la chevelure d'or avança dans la pièce après que les gorilles et les infirmières accompagnées de mon médecin lorsqu'ils avaient quittés le lieu de mon repos.
S'installant sur ce qui semblait être son lit de malade, le jeune homme se tourna vers moi. Me regardant étrangement. Que cherchait-il à faire en me fixant de la sorte. Me jugeait-il d'après mon physique. J'eus la réponse assez rapidement, car mon collègue de chambre se décida à prendre la parole. Enfin, sa question ne fut pas compliquée. Helas, la dose de calmant que j'avais reçu, me donna l'envie en effet de dormir. Ces médicaments avaient surtout pour but de calmer ma colère et ma frustration de ne pas pouvoir obtenir ce que souhaitait. J'espérais secrètement pouvoir me rappeler des choses se passant avant mon hospitalisation. Comment avais-je fait pour arriver en plein milieu du village de la feuille..
Comment la princesse du vent de la brume avait pu être sévèrement blessée à ce point. Cette question m'enrageas inconsciemment. Et ma perte de mémoire temporaire n'arrangeait pas tellement ma situation. Je ne savais même plus le pourquoi j'étais si loin de ma terre d'origine.
Quelle question stupide ! Disais-je, mais le regard de ce jeune garçon sur ma personne se fit toujours plus insistante.Tu comptes encore me reluquer pendant combien de temps comme ça ? Espèce de pervers ! ......
Tss on dirait l'autre. Soupirante, j'ignorais sa présence. Peu de temps après, je me mis en position assise, essayant de bouger mon bras plâtré, hélas la douleur fut trop importante, je ne pus le bouger. Dans le même temps j'allais observer mes jambes pour apercevoir les blessures que je m'étais faite. Cependant, comme je le disais avant, je ne savais pas le comment, ni le pourquoi , j'avais pu obtenir de telles blessures.
La fenêtre à côté de moi, fut ouvert. Une légère brise de vent frais s'infiltra dans la chambre, caressant mon corps et mon visage. Cette brise fit virevolté légèrement ma chevelure ardent aux couleurs de cette pierre précieuse que l'on nomme rubis.
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mer 25 Juil - 21:32
En dehors de ses longs cheveux rouges, la jeune femme n'avait rien de vraiment spécial physiquement. Cette dernière semblait être un peu dans les nuages, état sans doute dû aux choses que le médecin lui avait injectée. D'ailleurs, pourquoi lui avait-on donné des calmants ? Avait-elle tenté de s'évader comme notre blondinet ? Ou bien peut-être que sa camarade de chambre était une folle qui avait besoin de ce genre de choses pour rester tranquille ? De plus, l'autre patiente ne semblait pas venir de Konoha, ou alors Naruto ne l'avait jamais vu dans les parages. Elle pouvait tout aussi bien être une nouvelle recrue. Quoiqu'elle était un peu trop vieille pour n'être qu'une Genin. Si ça se trouve, l'inconnue n'était pas une Kunoichi. Non, un simple civil n'aurait jamais pu avoir de telles blessures.
Maintenant, notre ami devait trouver un autre plan d'évasion. Le blondin aurait pu faire la causette avec l'autre individu, mais vu les dégâts que celle-ci avait subi, il valait mieux la laisser se reposer. Et puis dans son état, elle ne répondrait probablement pas. Mais avant de faire quoi que ce soit, le Jinchuriki voulait tout de même sa voir ce que faisait la fille à la chevelure écarlate dans l'hôpital. Pour vérifier si la Kunoichi dormait, l'héritier de la volonté lui posa une question idiote à laquelle cette dernière répondit comme l'auraient beaucoup d'autres gens. L'hôte du plus puissant fragment de Juubi continuait tout de même de regarder son interlocutrice. Cette action n'avait pas l'air de plaire à cette dernière qui l'insulta de pervers. Pervers ? Mais pour qui elle se prenait ? Ce n'était même pas sa poitrine qu'il regardait ! Les veines sur le coin gauche de son front ressortait tandis qu'il affichait un air des plus colériques qui soient.
Répète un peu pour voir ? Et puis t'es qui d'abord ?
Nos deux amis ne connaissaient même pas, mais sa camarade de chambre lui donnait déjà une mauvaise impression. Et puis les calmants n'étaient justement censés la détendre ? C'était donc comme ça que se sentait Jiraya lorsque l'on le traitait d’obsédé ? Si ça se trouve, son défunt maître a déteint sur lui. Si ça se trouve, il observait les formes de l'autre personne se trouvant dans la pièce sans le savoir. Vous savez, un peu comme les cleptomanes qui volent sans s'en rendre compte. Le Konohajin frissonnait juste à l'idée de s'imaginer avec le même regarder pervers que le Sannin. Beurk ! M'enfin l'énergumène imprévisible de Konoha devait oublier la demoiselle, sinon cela allait encore dégénérer et le fils du Yondaime Hokage serait une nouvelle fois pris pour responsable pour avoir saccagé toute la chambre.
L'Enfant de la Prophétie se tourna pour cette fois être sur son dos, observant le plafond. Si cela dérangeait la Kunoichi lorsque le nouvel ermite la fixait, il n'avait qu'à plus la regarder. Le blondinet ne voulait qu'une chose : partir. Il est vrai que l'unique Uzumaki à ne pas être roux aurait pu rester avec la fille aux cheveux rouges, mais celle-ci ne semblait pas vraiment vouloir discuter avec notre ami. De plus, de quoi auraient-ils pu parlé ? Nos deux individus n'avaient aucun point en commun. Ils n'étaient pas obligés de discuter, mais le membre de la Team 7 s'ennuierait trop. Cherchant un sujet de discussion, quelque chose intrigua l'adolescent à la chevelure hirsute.
Attends un peu, de qui parlais-tu en disant " l'autre " ?
Il est vrai qu'il y a un tas de pervers partout dans ce monde, mais l'intuition de Naruto lui disait qu'elle parlait de l'ermite des crapauds. Après tout, son nom revient souvent quand on parle de ce genre de chose. Et puis c'était surtout le seul obsédé que le réceptacle du démon renard à neuf queues connaissait. Puis bon, l'élève du Troisième était quand même réputé pour être un sacré voyeur.
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Dim 29 Juil - 23:09
Face à la réponse du petit blondinet, une veine commença à apparaître sur le coin gauche de mon front. Il souhaitait que je me répète dans mes propos lancé tout à l'heure contre lui. Très bien. Je pus enfin comprendre qu'il s'agissait bien d'un abruti de première pour ne pas comprendre une phrase. Fermant les yeux un instant... prenant mon souffle, j'ouvris de nouveaux les yeux, laissant transparaître mon profond et terrible sentiment de colère envers les gens de son espèce. Son seul regard suffisait pour comprendre. Néanmoins, ce baka blond ne semblait ne pas comprendre dans quelle situation il avait mis les pieds.
Tu n'as pas saisi.... Continue comme ça et tu le regretteras !
Je ne vois pas pourquoi je devrais me présenter à un ero-baka de ton espèce. Avant de demander le nom d'une personne tu devrais te présenter toi-même..
Soupirant devant le manque de galanterie de ce gamin, un "pff" sortit de ma bouche. Un gamin mal élevé restera un goujat tant qu'il n'avait pas pris conscience de sa bêtise. Qu'il ne se demande pas pourquoi il n'eut pas de succès auprès de la gente féminine. Toutefois, il remarqua ma petite allusion à un autre pervers que j'avais connu étant plus jeune. J'en garde d'ailleurs un mauvais souvenir. le simple fait d'y repensait, me donna envie de frapper le mur qui se trouvait juste à côté de moi. Mais étant dans une clinique, j'y renonçais. Pour quelle raison, Pour ne pas subir de nouveau le gourous des médecins. Ces mêmes médecins qui allaient surement me doper de calmant de nouveau pour que je reste calme. Il était hors de question que ces imbéciles me droguent. Je ne pourrais plus penser par moi-même dans ce cas-là. Je devais donc trouver un moyen malgré mon état de chercher ce que je veux et ainsi peut-être retrouver la mémoire. Mémoire perdu dut au traumatisme de mon accident.
Toutefois, j'essayais de m'enlever de la tête l'image de Jiraya-sama en train de..... Arh je ne pouvais pas le faire, me tenant la tête, le visage contre ma couette blanche, je tentais par tous les moyens de m'enlever cette tête de gugusse. Impossible, cette longue chevelure blanche, son regard pervertis par le voyeurisme.Son sourire pervers... Impossible, je ne pouvais pas sortir cette tête de débile de mon esprit. Poussant de petits cris. Je tapais du poing pour évacuer l'envie de trucider l'ermite des crapauds.
Cela ne dura que quelques minutes avant que je puisse de nouveau repenser librement. Cependant, malgré le comportement de Maitre Jiraya, l'éducation qu'il donna était remplie d'une certaine vérité et de questions à laquelle il fallait répondre par nous-mêmes. Un bien étrange personne au finale.
L'autre pervers hein... Ma foi, il n'y en a qu'une seule personne qui soit assez fou pour osé mater dans les bains publics. Et y revenir après reçu une bonne correction...
Tout ça pour un foutu bouquin tsss, je te jure, si jamais je le revois, c'est mon poing dans sa figure
Une petite veine colérique apparus de nouveau, non pas contre le petit blondinet. Cette petite colère était destinée à l'un des sannins de Konoha. mais cette petite colère n'était pas haineuse et un minuscule sourire se plaça sur mon visage angélique. Car au fond Jiraya était un homme bon et de bons sens. Un personnage unique pour ainsi dire. Je fus contente de connaitre un homme tel que lui.
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Jeu 2 Aoû - 20:52
Ero-baka
Oh ? Le blondin avait-il déjà fait tomber la goutte qui fit déborder le vase ? Le regard de sa camarade de chambre n'exprimait rien de bon. Il était même très effrayant. Serait-elle prête à le tuer rien que pour ça ? Le blondinet n'en savait rien. Un combat allait sans doute commencé si ça continuait, même si nos deux amis ne sont pas en état de combattre. Toutefois, le jeune homme ne devait pas cogner trop fort. Après tout, s'il frappait une fille, qu'allait-on encore dire de lui ? De plus, la demoiselle était déjà couverte de blessures, cela ne servait à rien d’aggraver son cas. Surtout que ce sera encore lui le coupable. M'enfin ce n'était pas une raison pour ne pas répondre aux menaces de la dame. Le filleul de Jiraya se mit en position assise, regardant la Kunoichi dans les yeux.
Tu ne me fais pas peur !
Ces paroles, Naruto les avaient dit en pointant son interlocutrice à l'aide de sa béquille. Vous l'aurez compris, nos deux protagonistes ne risquaient pas de passer leurs vacances ensemble. L'inconnue était également curieuse de connaître le nom du réceptacle. Comme si l'adolescent allait se présenter alors qu'elle venait de le traiter de pervers ! Le jeune homme se contenta de tourner la tête, signe qu'il n'allait pas répondre.
Lorsque la jeune femme aux cheveux écarlates lui parla du Sannin, notre ami ne put s'empêcher de rire. Vu le caractère de cette dernière, l'ermite des crapauds avait du être dans un piteux états après sa séance de voyeurisme. D'un autre côté, le garçon se sentait un peu nostalgique, sa camarade de chambre et lui-même avaient rencontré le vieil homme à la longue chevelure hirsute de la même façon. Ah ... Jiraya ... Malgré son côté pervers, c'était un grand homme. En dehors de ses secrets pour écrire des romans érotiques, le bonhomme lui avait appris les trois interdits du ninja, un tas de techniques destructrices et surtout, il lui avait enseigné comment un vrai Shinobi devait vivre. Le genre de type que l'on ne rencontre qu'une fois dans sa vie mais qui restera inoubliable.
Alors comme ça tu connais Ero-sennin ? Enfin ... je veux dire Jiraya-sensei.
Tout d'un coup, sa camarade de chambre devenait beaucoup plus intéressante. Peut-être que le fait qu'ils aient tous les deux connu l'obsédé pourrait les rapprocher. Après tout, il suffit d'une seule chose pour que deux personnes qui se détestent deviennent amis. Puis le blondin n'aimait pas trop se disputer pour ce genre de chose. C'était peut-être à lui de faire le premier pas. M'enfin, nos deux individus ne pourront commencer à s'apprécier que quand l'inconnue ne le traitera plus d'Ero-baka. Maintenant qu'on y pense, l'héritier de la flamme de la volonté commence à avoir un peu trop de surnoms ...
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Sam 18 Aoû - 8:28
Ainsi ce garçon en avais dans le pantalon finalement. Bien, cela ne sera que des plus intéressant.Comment osait-il me montrait du doigt avec sa béquille. N'avait-il pas compris son impolitesse en s'adressant à une dame. A croire qu'il faudrait revoir de A à Z l'éducation de ce chenapan. Comment des parents ont-ils puent élever un goujat de la pire espèce. A ce moment précis je tournais ma tête de côté pour ne pas voir la tête d'ahurir de ce blondinet. Peu de temps après, j'avais mentionné le nom de Jiraya-sensei. Du moins j'en avais fait l'allusion dût à ses différents périples dans les bains publics pour.... femme. Chose qui me fit froncer le sourcils d'ailleurs, mais ça le jeune garçon ne put le voir. Cependant, je n'avais pas compris la réaction du garçon aux cheveux d'or. Pourquoi Riait-il ? Connaissait-il l'ermite ? Puis En y repensant cela me fit rire également. Ainsi Le garçon du village de la feuille et moi-même riions de la bêtise du Sannin de Konoha....
Ainsi après ce moment de détente, le blondinet lança une phrase particulière, ou plutôt une question, cherchant une justification à ma phrase précédente.
Jiraya... Je le connais en effet...
Puis je me mis à ricaner suite au surnom donné par mon compagnon de chambre, "Ero-sennin". Un surnom qui lui convient tout à fait. J'étais sûr que l'ermite des crapauds n'appréciait guère ce surnom. Ce qui me fit rigoler d'ailleurs, avant de continuer la phrase que j'avais commencéeun peu plus tôt.
Ha ha ha, Ero-sennin. Je dois dire que tu lui as trouvé un surnom qui lui colle bien. J'imagine qu'il ne doit pas trop l'apprécier...
Tu as employé le terme "Sensei". Tu es donc l'un de ses élèves ? Si tel est le cas, on peut dire que je suis ton aînée. Du moins d'une certaine manière.
Puis je repensais au passé.. Le passé que j'avais vécu avec l'ermite. Ce fut d'ailleurs une période de ma vie assez joyeuse, il y avait des hauts et des bas. On ne risquait pas de s'ennuyer avec une énergumène pareil. Ah ce Jiraya... L'homme à la toison blanche épineuse, le maître crapaud, tellement de surnom, mais celui de ce petit blondinet reflété très bien la personnalité de ce personnage haut en couleur. Il fallait l'avouer, mais ce garçon avait balayé temporairement la rancune que j'avais pour lui, mais je n'avais pas oublié la manière qu'il avait de me regarder. Je pouvais dire en toute honnêteté, il n'avait pas les manières de son maître. Cependant, je m'interrogeais sur la raison de son hospitalisation. Selon ce que je pus voir physiquement, il ne semblait pas trop souffrir de grosses blessures. J'en conclue donc, qu'il ne serait là que temporairement.
Et tu es hospitalisé pour quel raison ? Au vu de ce que je vois, tu n'as pas l'air mal au point.
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Ven 24 Aoû - 21:55
L'ermite pas net
Les paroles du jeune homme habillé en orange n'avaient pas l'air d'être appréciées par sa camarade de chambre. Naruto lui avait bien fait comprendre que ses menaces ne fonctionnaient pas sur lui. Les yeux de la demoiselle montraient bien à quel point celle-ci ne plaisantait pas, mais ce n'était pas suffisant pour que le Konohajin soit effrayé, il en fallait beaucoup plus pour apeurer le Jinchuriki. Son regard avait changé, lui qui avait toujours air un bébête au visage affichait désormais une bouille colérique. Son sourire habituel avait disparu, preuve qu'il ne rigolait pas. Le blondin serrait les dents, tel un animal prêt à mordre, retenant tant bien que mal son envie de lui asséner une bonne droite dont cette dernière se souviendrait. La jeune femme aux cheveux écarlates ne répondit pas. Peut-être pensait-elle que se disputer ne servirait à rien ? Ou bien que cette dernière n'avait rien à dire ? Dans tous les cas, c'était mieux ainsi. Parce que si nos deux amis avaient commencé à se frapper dessus, il est clair que la chambre serait dans un sale état et bien sûr, Sakura sera au courant des dégâts causés par ces derniers mais ne retiendra que l'héritier de la volonté du feu. Résultat, l'adolescente aux cheveux roses enverra l'hôte du plus puissant fragment de Jubi vers d'autres cieux. Mieux vaut donc ne pas empirer les choses avec sa camarade de chambre.
L'attitude du blondin commença à changer lorsqu'il apprit que la demoiselle connaissait également l'ermite pervers. Il devait forcément s'agir de lui. Après tout, il n'existe pas trente-six-mille pervers qui prétextent écrire un livre en s'inspirant de ce que l'on peut voir dans les sources thermales. Tous les souvenirs qu'avaient le fils de l'Hokage du Sannin refirent surface dans sa tête. L'apprentissage du Kuchiyose no Jutsu, l'entrainement durant trois ans et tant d'autres choses. Ah ... Ce que son parrain pouvait lui manquer parfois ... Sa tête d'ivrogne lorsqu'il voyait une fille au physique plus que généreux, sa façon de bouger au moment où il se présentait en disant être l'obsédé le plus obsédément obsédé de l'univers, son petit rire quand lors de ses séances de voyeurisme, les longs discours qu'il faisait sur la paix et tout un tas d'autres choses ... Les meilleurs partent toujours en premier. M'enfin bon, l'énergumène imprévisible de Konoha avait fait son deuil, mais ce qu'il se demandait surtout, c'était si la Kunoichi était au courant du décès de l'homme à la longue chevelure argentée. L'inconnue avait donc également été la disciple de l'ermite pas net étant donné qu'elle disait être son aînée spirituel, un peu comme Nagato.
Ouais. Même s'il était l'un des types les plus louches que je n'aie jamais vu, Ero-sennin était aussi un formidable professeur. Maintenant que j'y pense, c'est vrai qu'il n'aimait pas ce surnom, mais il a fini par s'y habituer.
Discuter de leur ancien maître fit sourire le futur Hokage. Bien que l'Enfant de la Prophétie connaissait bien son parrain, peut-être apprendrait-il de nouvelles choses sur lui. Le Konohajin ne savait pas quand sa camarade de chambre l'avait vu pour la dernière fois, cela pouvait être il y a une dizaine d'année par exemple, l'Uzumaki apprendrait alors un deux-trois choses sur le Jiraya d'auparavant, quoique notre ami pense qu'il n'a pas changé depuis. Ou bien quelques anecdotes, même si celles-ci doivent souvent être semblables puisque l'un des trois ninjas légendaires de Konoha passait sans doute la plupart de son temps dans les bains publics. Le réceptacle du démon renard à neuf queues voulait savoir ce que lui avait enseigné le disciple du Sandaime Hokage, peut-être lui avait-il appris des techniques surpuissantes que la demoiselle aux cheveux écarlates pourra lui apprendre. Si ça se trouve, le maître de l’Éclair Jaune lui avait confié quelques petits secrets. Même si les deux élèves de Jiraya s'étaient disputés il n'y a pas longtemps, Naruto voyait désormais l'autre personne se trouvant dans la pièce comme une camarade de classe étant donné qu'ils avaient tous les deux eu le vieillard comme professeur.
Le blondin avait d'ailleurs oublié la raison de sa présence à l'hôpital, le médecin semblait mettre du temps avant de venir chercher notre ami. Y avait-il tant de monde que ça ? Le seul Uzumaki à ne pas être roux voulait savoir quand il allait guérir pour repartir en mission. Bordel ! Le temps qu'il passait à l'hôpital retardait son accession au poste d'Hokage ! De plus, cela pénalisait également ses entraînements. Dire qu'un simple pied dans le plâtre pouvait autant embêter le garçon renard ... Lorsque sa camarade de chambre désira connaître la cause de son hospitalisation, le Genin ravala afficha un léger sourire gêné. L'Uzumaki ne comptait pas dire la raison exacte, il avait trop honte d'avouer être tombé dans un piège pitoyable. La demoiselle aux cheveux écarlates rigolerait surement de lui. Comment le réceptacle du plus puissant fragment du démon à dix queues avait-il fait pour ne pas voir où il mettait les pieds ?
Ben c'est ma jambe au fait ... expliqua le jeune homme avant de baisser sa tête pour regarder le membre en question ... je me la suis cassée lors de ma dernière mission.
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mar 28 Aoû - 12:02
Le blondinet confirma que l'ermite était bel et bien un homme des plus louches de l'univers. Rien qu'à sa façon d'agir lors de "ces recherches". Le temps que j'avais passé avec lui fut court. L'homme à la toison blanche ne m'avait pas appris la moindre technique ninja. Pour cause j'avais déjà effectuée un parcours extraordinaire depuis mon plus jeune âge par le passé et mon ancien maître m'avait bien aidée à l'époque ; Ce que Jiraya-sama m'enseigna fut d'un tout autre registre. Malgré les différents assauts que le sannin tenta contre moi pour me voir nue, je pus être d'accord avec lui sur une chose.
La vision d'une paix future, seulement le cycle sans fin de la haine était problématique. Cependant, dans les discours que Jiraya-sensei, il semblait y émaner une chose étrange. Une sensation indéfinissable. Il était tellement convaincu qu'un jour les hommes se comprendraient entre eux. Je le croyais également, hélas nous connaissions tous les deux l'horreur de la guerre. Voyant de nos yeux les atrocités et la haine dans chacune des personnes, cherchant vengeance. Vengeance pour venger ses proches, ami(e)s, famille, amour.... Ce cycle je le connaissais que trop bien et j'y étais piégé. Ce fut d'ailleurs le maître des crapauds qui put apaiser ma soif de vengeance. Je devais au moins le remercier pour ceci.
Formidable, oui. Il est unique en son genre. On n'en rencontre pas deux des comme lui. J'imagine que tu as eu le droit sur son discours sur la paix non ?
Bizarrement parler de l'ermite calma la colère que j'éprouvais envers l'élève de Jiraya. Je ne le voyais plus comme une menace. Cependant, il devait quand même se méfier de mon tempérament ardent et surtout de ne pas toucher à ma fierté de femme ninja et de mon amour propre. Surtout s'il touche mon corps, même par maladresse, mon voisin de chambre pourrais finir dans le mur en face. Oui, oui je savais que mon comportement laisse un peu à désirer, mais bon que voulait vous, je fus une femme au caractère bien trempée. Même aujourd'hui je me demandais comment faire pour apporter la paix que Jiraya-sama recherchait... Allais-je trouver cette réponse....
Durant les quelques minutes qui suivirent ma pensée, je n'écoutais pas vraiment mon voisin de chambre. J'étais songeuse, pensif et cela pouvait se voir sur mon visage angélique ; le regard regardant le vide.
Une mission,je vois....
En parlant de l'ermite, Il traîne encore dans les source thermal, ou bien à mater les jeunes femmes dans divers endroits. Vu que je suis à Konoha Cela lui ferra plaisir de me voir et puis j'aimerais lui parler de deux ou trois choses.
Me frottant les mains, je m'imaginais déjà en train de le réprimander sur ces actes de voyeurisme. De plus obtenir mes affaires par l'aval de Jiraya pourrait être intéressant. Je pourrais lui parler de la trouvaille que j'avais ramenée de l'antre de son ancien camarade Orochimaru. Toutefois, je ne pouvais révéler mes dernières actions à ce jeune garçon. Ma rencontre avec Sasuke Uchiha, puis ce groupe d'inconnu qui avait pillé le repère de l'Ex Sannin. Pour finir par ces blessures que je m'étais faite dût à ma fuite du pays des rizières. Fuite se terminant par un plongeons dans les rapides pour être repêché par un vieillard, finissant ma course dans cet hôpital.
Non je ne pouvais pas vraiment lui dire mes réels intentions et la raison de mon hospitalisation à Konoha. Je ne pouvais le dire qu'à Jiraya.. Ce fût la seule personne de confiance en qui je pouvais avoir foi. M'attachant à la seule personne encore en vie. Inconsciemment je me demandais si quelqu'un me persécutait dans l'ombre afin que de me voir souffrir devant la perte de mes ami(e)s, de ma famille.. Je n'avais plus t'attache dans ce monde corrompus. Je cachais mon chagrin derrière ma fierté. Montrant que j'étais forte, une koinichi pouvant tout supporter et continuer à avancer de l'avant. J'aimerais pouvoir le faire, seulement les démons de mon passés m'attachèrent de leurs chaînes glaciales. M'emprisonnant dans leurs griffes aiguisées.. Par ce sentiment, ma haine ne cessait pas de grandir petit à petit envers ceux qui m'avaient trahis. Cette haine Grattait chaque jour mon coeur meurtrie
Ce garçon l'avait-il ressentit en me voyant, savait-il que l'esprit de la vengeance me guidait... Pouvait-il sentir mon inquiétude et mes doutes ?
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mer 5 Sep - 18:30
Révélation
La rouquine était donc également une connaissance de l'ermite le plus pervers au monde. Avec tous ses voyages à travers le monde, il était normal que Jiraya ait un tas d'amis ou de disciples. Le vieillard avait rencontré la camarade de chambre du gamin renard dans les sources thermales, tentant de l'espionner afin de s'inspirer pour ses livres érotiques avant de se faire attraper par cette dernière et se faire tabasser. C'était à peu près comme ça que l'Uzumaki l'avait rencontré aussi il y a de cela trois ans maintenant ... Les années passent tellement vite, il fut loin le temps où notre blondinet sermonnait le Ninja Légendaire lorsque celui-ci se cachait dans les buissons, ne laissant dépasser que sa longue-vue afin d'observer des filles nues se détendre dans l'eau. La demoiselle aux cheveux rouges devait l'avoir connu avant Naruto, et pourtant il était toujours le même. Le Jinchuriki aurait bien aimé le revoir une dernière fois avant qu'il ne rejoigne Minato et le Troisième Hokage. M'enfin s'il voulait connaître d'autres histoires sur le bonhomme, il n'avait qu'à demander à Tsunade ou Fukasaku, ce sont des personnes qui ont été très proches de l'ermite pas net après tout.
L'ermite des crapauds avait également parlé à la jeune femme à la chevelure de son désir de paix puisque celle-ci demanda au baka blond si leur défunt Sensei en avait discuté avec lui. De quoi parlait-elle ? Ah oui ! C'était lors de l'entrainement de trois ans, l'adolescent habillé en orange demanda à son maître pourquoi Orochimaru, qui était l'un de ses amis, avait-il déserté et tenté de détruire Konoha, ce à quoi le Sannin répondit qu'il n'en savait rien du tout. Ce dernier poursuivit ensuite en expliquant au réceptacle de Kyubi qu'il désirait trouver un moyen de brise les chaînes de la haine. A voir comment il parlait, il semblait persuadé que tous les hommes se comprendraient mutuellement un jour.Le seul Uzumaki aux cheveux blonds ne l'avait écouté que d'une seule oreille, mais désormais, il comprenait ce que voulait dire l'écrivain pervers. Une léger sourire nostalgique se dessina sur le visage de l'hôte du plus puissant fragment de Juubi, l'ermite pas net lui avait donné des choses bien plus précieuses que des techniques dévastatrices.
En effet, il m'a confié la tâche d'amener la paix sur ce monde s'il n'y arrivait pas.
Suite à la question de la Kunoichi, le futur Hokage baissa à nouveau sa tête regardant le sol. L'héritier de la volonté du feu posa ses mains sur ses genoux avant de les serrer le plus fort possible. L'énergumène imprévisible du village caché de la feuille ressentait comme une énorme boule dans le ventre. L'air enjoué de Son regard s’embruma de larmes tandis que la partie avant de sa tête retombèrent devant son visage, créant une zone d'ombre qui dissimulait ses yeux. Il était dur pour le fils du Yondaime Hokage de parler de ce genre de choses, mais si la Kunoichi était également une disciple de Jiraya, elle devait le savoir.
Ero-sennin est ... mort
Le Genin ne pouvait pas continuer, il était trop difficile de parler de ça, c'était comme ré-ouvrir une plaie ... L'Enfant de la Prophétie avait l'impression de recevoir un tas de couteaux au niveau du coeur. Les larmes se faisaient de plus en plus nombreuses sur les yeux de notre ami avant qu'il n'essuie son visage à l'aide de son bras. Non ... La demoiselle aux cheveux écarlates devait connaître tout ce que Papy Grenouille avait expliqué au nouvel ermite. Le jeune homme releva la tête afin de regarder son interlocutrice, desserrant légèrement les poings, l'Hokage Orange s'était enfin ressaisi. Même si le garçon dont le prénom est le même que celui d'un repas ressentait toujours un poids près de l'estomac, celui-ci était désormais un peu moins lourd, mais toujours présent. M'enfin ! Ce n'était pas le genre de notre bonhomme de se morfondre, surtout quand tout est déjà passé.
Il est parti au village d'Ame afin de récolter des informations sur Pain, celui que l'on pensait être le chef de l'Akatsuki. Malheureusement, il fut découvert par ce dernier et fut obligé de se battre. Il savait ce que ce combat serait suicidaire, mais il a continué afin de nous transmettre le plus d'informations possibles avant de mourir.
Notre héros ne comptait pas en dire plus, il n'y avait rien d'autre à dire de doute façon. Comment allait réagir sa camarade de chambre ? Allait-elle éprouver de la haine pour Nagato même si notre ami lui apprend que celui-ci est mort ? Si elle avait également écouté le discours sur la paix de Jiraya, elle allait sans doute réagir autrement.
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Jeu 13 Sep - 11:40
Je n'étais pas la seule au final avec qui l'ermite avait parlé de cette paix qu'il recherchait au plus profond de lui. Tellement sûr qu'un jour cette paix arriverait sur terre et mettrais tout le monde d'accord. De plus Jiraya-sama semblait chercher quelques choses d'autres. Je l'avais déjà entendu évoqué "l'enfant de la prophétie, mais je n'arrivais pas à obtenir plus d'information concernant cet enfant. Fermant les yeux et souriant, je pouvais sentir en ce petit garçon, l'aura du sannin planait au-dessus de lui. C'était comme une impression, une étrange sensation pour dire vrai, mais qui n'était pas effrayante. Je connaissais les projets de Jiraya, mais je ne savais pas comment les mettre en place dans ce monde chaotique sans utiliser la violence. Ce qui engendrait plus de haine. Un cercle vraiment vicieux. Je ne connaissais pas la raison de l'intérêt de Jiraya me portais. Je n'avais rien d'exceptionnel, mais au bout du compte c'était peut-être pour cette raison que l'ermite des crapauds s'approcha de moi. Ou bien ce fut pour une autre raison bien plus flagrante.... C'était Jiraya quoi, un espèce de pervers qui s'inspirait à voir des filles dénudés pour ses romans érotiques. Fronçant un sourcils, il essaya de me faire poser pour que je l'inspire. Chose que je n'avais jamais réalisée. En général, mon poing suffisait à le calmer et le remettre dans le droit chemin. Toujours fut-il qu'avoir une conversation sérieuse avec lui était très rare. Surtout quand une femme l'accompagnait.
Néanmoins, au fil du temps, je pus le connaitre un peu mieux et lui de même. Ce fut l'une des rares personnes à connaitre mon passé ténébreux au sein de ma patrie. Comme je l'avais dit précédemment, il fut en quelques sortes le canaliseur de ma haine envers mon pays pour m'avoir trahi et de la haine que je portais pour les politiciens Kiriens et le quatrième Mizukage.
Je lui devais beaucoup, il m'appris également des choses, des bonnes, comme des mauvaises. Je le considérais comme un second père. Cette simple idée de le penser me fit sourire. Je pouvais voir dans le regard du blondinet, ce regard confiant. Une volonté qui semblait inébranlable. Jiraya n'avait pas choisi ce garçon par simple hasard. Cette aura de tranquillité et de calme. Du moins je pouvais le ressentir, mais je pouvais affirmer que ce garçon fut également une vraie tête brûlée. L'âge de la jeunesse ou on s'enflamme pour un rien.
C'est une bonne chose alors ; je ne sais pas vraiment si je suis à même de remplir cette difficile tâche. Je n'ai pas ton innocence. J'ai vu plus de choses qu'un simple humain ne devrait pas voir... mais je m'égare.
Je m'en remet-à-toi alors pour finir cette dure tâche qui te tient à coeur on dirait.
Je pus remarquer qu'après ma réponse, le jeune garçon fixa le sol, serrant les poings. Quelques larmes semblaient sortir des pupilles du petit blondinet qui me tenait compagnie dans ma chambre. Pour une étrange raison, j'imaginais la réponse qu'il allait me fournir suite à ma demande si le bon vieux ermite traînait dans le coin. Je pus comprendre après un moment de silence, ce qu'allait me dire ce garçon, avant même qu'il prononce la phrase fatidique. Ce fut un choc assez important pour moi, tout comme lui, car les larmes commencèrent à faire briller mes yeux. Regardant par la fenêtre, fixant le ciel dehors. Je ressassais le bon vieux passé en compagnie du pervers à la longue toison blanche.
Tu n'entends pas la pluie qui frappe à nos fenêtres ? C'est un sale temps pour aller faire une balade tu ne trouves pas hein ?
A travers ces mots j'essayais de cacher ma tristesse derrière ma fierté. Pourtant, en regardant de plus près dehors, un magnifique temps était présent. Pas de temps grisâtre, ni de pluie. A travers mes mots, se reflétait ma tristesse, une tristesse que de perdre une fois encore un être important à mes yeux. La mort s'amusait-elle à me percuter ainsi, A me prendre tous les gens qui me côtoyaient ?...Mais j'en oubliais presque que l'élève de Jiraya devait lui aussi autant souffrir que moi de cette disparition soudaine. Avais-je ré-ouvert une plaie chez lui ? Étais-je un monstre que de faire souffrir les autres sans le vouloir ? Rien que d'y penser, cela me mis mal à l'aise.
Akatsuki.. Hmm oui j'en ai entendu parlé, mais ce groupe ne m'intéresse guère. Mon regard sur porte plutôt sur d'autres affaires que ce groupe de Nukenin qui fait couler t'en d'encre. Je savait que maître Jiraya les surveillaient.
Il y a une chose sur laquelle je suis sur concernant Jiraya-sensei. C'est sa ténacité, même s'il sait que les chances de réussite sont maigres. Tu as peut-être hérité de cela également ?
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Lun 15 Oct - 18:45
Le baka blond sourit lorsque la rouquine dont il ne connaissait toujours pas le nom lui confia la tâche d'amener la paix sur cette terre, comme l'ont fait précédemment l'ermite pas net et le Yondaime Hokage. L'Uzumaki était fier, de plus en plus de monde commençait à avoir confiance en lui, mais il n'avait pas encore l'ombre d'une idée pour éradiquer la haine de ce monde. M'enfin, ce n'était pas comme s'il allait abandonner maintenant. Même si ça doit lui prendre une éternité, il cherchera et cherchera jusqu'à ce qu'il y arrive finalement. Puis de toute façon, il n'était pas seul, ses amis le soutenaient, alors il ne devait pas les décevoir. Maintenant que le Jinchuriki de Kurama savait ce que pouvait faire la haine, il était encore plus apte à la combattre. Puis imaginons que Naruto meurt avant de changer le monde, que diraient l'ermite des crapauds et l’Éclair Jaune lorsqu'ils le verront au paradis ? La tâche n'était pas facile, mais il ne pouvait pas , non, il ne devait pas échouer. Après tout, les mots " échouer " et " abandonner " ne font pas et ne feront jamais partie de son vocabulaire. Sa camarade de chambre avoua également ne pas posséder l'innocence du petit blond. Que voulait-elle dire par là ? Aucune idée, mais ce n'était pas très important. Cette dernière disait avoir vu des choses qu'un simple humain ne devrait en voir. Elle avait donc eu un passé douloureux, comme toutes les personnes qui s'engagent dans la voie du Shinobi.
L'autre disciple de Jiraya paraissait également attristée par ce que venait de lui apprendre le gamin renard. L'ambiance était tellement maussade qu'elle en était presque palpable. En parlant de la mort d'Ero-Sennin, le Genin avait l'impression de ressentir la même chose que lorsqu'il l'a apprise. Le vieil homme homme à la toison blanche était le premier être cher que le baka blond perdait. Avant de faire son deuil, l'Enfant de la Prophétie ressentit quelque chose qu'il n'avait jamais ressenti auparavant. C'était un étrange sentiment ... La haine ... L'héritier de la volonté du feu ne désirait qu'une chose, se venger de celui qui avait assassiné son parrain. Mais son paternel l'avait remis sur le droit chemin. Avant sa mort Papy Crapaud lui avait transmis sa volonté et sa détermination. Si ça se trouve, le blondinet deviendra comme lui plus tard, quoiqu'en moins pervers peut-être ... La demoiselle tenta de changer de sujet en disant qu'il pleuvait. L'énergumène imprévisible de Konoha n'en avait pas l'impression, mais il colla quand même son visage contre la vitre froide de la chambre, créant un peu de buée en expirant par le nez. La jeune femme disait n'importe quoi, le temps était magnifique. Si l'Uzumaki n'était pas retenu prisonnier dans ce foutu hôpital, sans doute serait-il parti se balader.
Qu'est-ce que tu racontes ? Il fait super beau dehors.
Le ninja orange s'allongea ensuite sur son lit, croisant les bras derrière sa tête pour s'en servir comme support. Notre héros ferma les yeux, se rappelant une nouvelle fois tous les bons moments qu'il a passé aux côtés de l'ermite pas net. Un sourire finit par se dessiner sur son visage. Oui ... Il n'était plus là physiquement, mais il était toujours vivant dans toutes les choses qu'il avait laissées avant de disparaître. Sa volonté et ses convictions avaient rejoint tous ses disciples. Le nouvel ermite aimerait bien rencontrer les autres élèves de son parrain, voire comment ceux-ci le considéraient, ce qui leur avait appris et tout un tas d'autres choses. Depuis Nagato et Konan, la rouquine était le troisième disciple que le ninja de classe inférieure rencontrait. Mais de toute façon, vu tous les voyages qu'à fait le Sannin, cela mettrait du temps pour retrouver toutes les personnes qui ont reçu son enseignement. Ce dont il était sûr, c'était que personne d'autre n'avait signé un pacte avec les crapauds. En effet, sur le parchemin, seuls les noms de l'ermite des crapauds, de l’Éclair Jaune et de notre petit blondinet étaient marqués. L'Hokage Orange rouvrit finalement ses mirettes, fixant le plafond, toujours un sourire sur le coin des lèvres.
Tu sais, même si son corps repose au fond de la mer, son esprit, lui est toujours parmi nous. Je suis sûr qu'il est en train de nous surveiller de là où il est.
Un jour, le blondin rejoindra son défunt maître. Mais avant, il aura accompli un tas d'exploits, comme celui d'être devenu le Rokudaime Hokage. Lorsqu'il rencontrera à nouveau le vieil homme à la longue chevelure blanche, il lui sourira fièrement, ce qui signifiera qu'il n'aura pas failli à la tâche qu'on lui aura confié. D'ailleurs, que diront les autres morts qu'il a connu lorsqu'ils le verront ? Mamie Chiyo rigolerait sans doute en le voyant habillé en toge avec une auréole sur la tête. Puis à quoi pouvait bien ressembler le paradis ? Ce devait être un lieu extraordinaire puisque personne n'en est jamais revenu. Il devait probablement y avoir des ramens à volonté, des crapauds ailés qui volaient dans le ciel en jouant de la harpe et les plus grands ninjas de l'histoire s'affrontaient chaque jour. Ce serait trop cool de rencontre les deux premiers chef du village de Konoha ! Le Jinchuriki bavait juste à l'idée d'affronter le puissant Mokuton d'Hashirama Senju. Sans doute se ferait-il massacrer mais bon, s'il est au paradis, il ne pourra pas mourir une deuxième fois. Le futur Hokage leva légèrement la tête pour regarder sa jambe. Il ressentait un peu moins la douleur, sans doute que Kyubi avait finalement décidé de prêter un peu de son Chakra à son hôte pour le guérir. Et donc en gros, notre ami serait venu à l'hôpital pour rien ... Toutefois, en tenant de bouger son membre, le réceptacle du plus puissant fragment du démon renard à neuf queues put constater que cette dernière n'était pas complètement soignée, il fallait attendre ... Naruto laissa s'échapper un " Oh " de stupéfaction, comme s'il avait oublié quelque chose : se présenter.
Ah oui au fait ! Je m'appelle Naruto Uzumaki. Tu veux bien me dire ton prénom maintenant ?
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Lun 29 Oct - 13:53
Le blondinet ne connaissait pas le tact ou plutôt la compassion vis-à-vis de mes sentiments pour l'ermite "pas net" comme dirait ce Naruto. Mais cela n'était pas important, j'observais toujours depuis cette fenêtre le ciel magnifique de Konoha, séchant mes larmes de tristesse suite à l'annonce de la mort de Jiraya-sensei.
Les mots du Baka-blond me remonta le moral. Il veillait sur nous depuis le ciel disait-il. A croire que le ninja à la toison dorée semblait faire de la philosophie avancée. Même mort il veillerait sur nous hein....
Je levais la tête en essayant d'imaginer les traits du sannin se dessiner dans les nuages blancs qui flottaient dans l'étendue bleue. Mes cheveux ardents couvraient mes yeux, ne laissant que le bas de mon visage visible. Néanmoins, un léger sourire apparut. Le blondinet avait-il réussie à raviver la flamme de l'espoir qui avait disparu en moi. Me retournant vers lui, je pouvais le voir allonger sur son lit, le regard fixant le plafond de notre chambre, à quoi pouvait-il penser...
Un vide s'installa quelques secondes. Je songeais à ma sortir, à ce que j'allais faire. Les informations de ce Sasuke Uchiha ne m'avaient pas au final pas appris grand-chose, vu que je n'avais pas eu le temps de prendre connaissance des données que j'avais pris dans le domaine du serpent blanc. Peut-être que le Baka de Konoha pourrait m'aider dans cette tâche. Il était tout de même un disciple de Jiraya, je pouvais donc en toute logique lui faire confiance tout comme l'ermite du Mont Myoboku.
Un « oh » soudain me fit sortir de mon petit monologue interne dans ma petite tête. Surprise par l'expression de mon camarade de chambre, il enchaînait sur sa présentation. Il se nomma clairement devant moi annonçant enfin son identité.
« Uzumaki Naruto »
La fin de sa phrase était dite comme si cela était une obligation de décliner mon identité. Enfin, de toute manière à un moment ou un autre je l'aurais fait.
Akane Mitsuki.
Puis je me rapprochais l'air de rien, puis je commençais à le frapper sur le crane pour son manque de compassion vis-à-vis de ma tristesse
Espèce de Baka, je t'apprendrais à respecter les sentiments des gens quand ceux-ci pleure la mort d'un être cher. Enfin, on ne va pas non plus rester là à pleurer non ?! Je ne pense pas que Jiraya-sensei voudrait nous voir triste et ne pas avancer dans nos vies.
Reculant du lit de l'Uzumaki, je m'adossais au mur en face de sa position. Me recoiffant, laissant apparaitre un regard sérieux. J'allais finalement balancer à l'héritier du Sannin la raison de ma venue et le pourquoi je voulais lui parler personnellement.
Naruto, je vais te dire la raison de mon hospitalisation. Normalement seul Jiraya-sensei connaissait réellement mes intentions et mes objectifs. Pour ainsi dire nous avions une relation d'informateur à informateurs, pour te donner une idée réel.
Récemment je suivais les traces de mon frère dans le pays des rizières, Zone que tu dois connaitre n'est-ce pas ? Ce pays abrite en effet les différents antres du camarade de Jiraya-sensei : « Orochimaru » !
Je ne sais pas quelle relation il existe entre mon frère et lui, mais une chose et sûr ils sont liés d'une manière ou d'une autre.
J'étais sûr que ma petite histoire allait intéresser le petit ninja de la feuille surtout ma dernière phrase qui allait éveiller chez lui une vife attention envers moi. En effet j'allais évoquer ma rencontre avec le petit protégé du serpent blanc de la feuille. Le dernier membre du clan maudit des Uchiha : « Sasuke »
Et comme tu peux le voir mes blessures sont dût à ma rencontre avec un groupe d'individus vêtue de blanc qui semblait chercher des informations dans la tanière du camarade de notre maitre. J'ai pu prendre quelques rouleaux avec moi, hélas ces précieuses informations m'ont été confisqués avant même que je pus en lire quelques lignes.
Au final je peux dire merci à ce Sasuke Uchiha pour m'avoir permis de trouver cette antre sans trop de problèmes et peut-être de trouver mon frère disparu.
J’espérais avoir toute son attention avec mes belles paroles, peut-être que je pourrais enfin avancer dans le cul-de-sac que se trouvait devant moi.
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Lun 3 Déc - 19:20
La demoiselle s'appelait donc Akane Mitsuki. Ce nom ne disait rien à l'Hokage Orange. Jiraya ne lui avait jamais parler d'elle, ou bien alors c'est lui qui n'écoutait pas à ce moment-là. En y réfléchissant, le Konohajin ne connaissait pas tant d'élèves de Papy Crapaud que ça : Nagato, Konan, son père, Minato et maintenant Mitsuki. A combien d'autres personnes avait-il pu transmettre ses enseignements ? L'Uzumaki aimerait bien devenir comme son parrain : devenir un puissant ninja et transmettre sa volonté à la nouvelle génération qui fera de même. De toute façon, s'il devient Hokage, il sera bien obligé de léguer la volonté du feu à l'avenir de Konoha. Naruto se mit à rire, mais sa voix se faisait à peine entendre. Maintenant que l'ermite avait quitté ce monde, le Jinchuriki du plus puissant fragment de Jubi devait voler de ses propres ailes, il n'y avait plus personne pour lui coller des baffes lorsqu'il faisait des erreurs. Enfin si, il y avait toujours Sakura, mais ce ne serait pas pareil. Puis celles de son amie font cent fois plus mal que celles du vieillard. Il n'y avait plus personne avec qui il pouvait partager sa glace, plus personne qui lui donnerait des conseils foireux pour draguer une fille et plus personne pour vider son porte-feuille. Quoique ce dernier point n'allait pas lui manquer.
L'autre disciple de l'écrivain obsédé s'avança ensuite près de l'hôte du sac à puce, le sortant de son état pensif. Cette dernière se mit à tabasser le pauvre crâne de l'énergumène imprévisible du village caché de la feuille. Qu'avait-il fait cette fois ? Comme si elle avait lu dans ses pensées, la dénommée Akane lui répondit qu'elle allait lui enseigner le respect des sentiments des autres. Le ninja orange mit une dizaine de minutes avant de comprendre qu'elle faisait référence à ce qu'avait dit notre héros plus tôt. La Kunoichi rajouta après que le Sannin des batraciens n'aimeraient pas voir ses disciples sombrer dans la tristesse, ce qui fit sourire le fils du Yondaime Hokage qui se frottait l'endroit où il avait reçu des coups. Le futur chef du village observa à nouveau le ciel, adressant un sourire qui voulait dire à son défunt Sensei : " Regardez-nous bien. ". M'enfin ça ne servait à rien de lui dire ça puisqu'il était sans doute déjà en train de le faire, s'il n'était pas en train de mater les défuntes. Ben oui, maintenant qu'il est mort, il peut recevoir autant de coup qu'il voudra, il ne ressentira rien. Le Genin enleva finalement ses mains de son crâne tout en se retournant vers l'autre disciple, toujours le sourire aux lèvres.
Ouais, t'as raison.
Ce qu'allait raconter la demoiselle ensuite allait s'avérer extrêmement intéressant. A son regard, celui en qui Kurama est scellé comprit directement que le sujet allait beaucoup moins joyeux. En effet, Mitsuki lui parla de la raison pour laquelle elle se trouvait à l'hôpital de Konoha. Elle commença d'abord par lui dire que Jiraya et elle s'échangeaient des informations, il est vrai que le Sannin avait un réseau d'informateurs qui s'étendait sur le monde entier. Celle-ci cherchait son frère et a fini par atterrir dans le Pays des Rizières. Bien sûr, la première chose qui vint à la tête de l'héritier de la volonté du feu fut " Orochimaru ". D'ailleurs, cette dernière lui parla de celui-ci, disant que son frère et le Serpent Blanc avaient un lien. Elle continua ensuite en disant qu'elle affronta des ninjas habillés en blanc qui lui causèrent les blessures qu'elle avait en ce moment, désirant eux aussi quelque chose qui se trouvait dans le repère de celui qui désirait connaître toutes les techniques de ce monde. Akane réussit à prendre quelques rouleaux, mais ceux-ci lui furent confisqué à son insertion à l'hôpital. Le ninja de classe inférieure pensait qu'elle avait reçu toutes ces informations de Jiraya avant qu'il ne meure mais non, tous ces renseignements avaient été donnés par quelqu'un que l'Uzumaki n'aurait jamais soupçonné ...
Sasuke ?! Quand et où l'as-tu vu ? Comment allait-il ? Que faisait-il ? Ce sont les seules choses qu'il t'a dites ?
Le ninja orange bombardait son aînée spirituelle de question et il en avait encore un tas d'autres en réserve. La rouquine devait s'attendre à ça dès le moment où elle a prononcé le mot " Sasuke ". Et d'ailleurs, pourquoi lui avait-elle parlé de sa quête maintenant ? Naruto ne lui avait rien demandé. M'enfin ce n'est pas ça le plus important. Le rejeton d'Habanero la Sanglante aurait bien aimé l'aider, mais malheureusement, il devait devenir plus fort pour le jour où il rencontrerait à nouveau son meilleur ami. Toutefois, le réceptacle de Kyubi savait que la jeune femme finirait pas retrouver son frère s'il poursuivait ses recherches. Tant qu'elle n'abandonnera pas, il restera un espoir, c'est ce que leur a appris Jiraya. L'Enfant de la Prophétie repensa à Sasuke, sans doute s'entraînait-il pendant que notre ami restait là à glander à l'hôpital. M'enfin dans l'immédiat, ce n'était pas ça sa priorité. Ce qu'il désirait par-dessus tout, c'était quitter cet endroit pour aller s'entraîner, accomplir des missions et manger des nouilles, faire ce qu'il fait d'habitude donc.
Akane Mitsuki Juunin de Kiri
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mar 18 Déc - 14:12
Comme je l'imaginais, le nom de Sasuke avait titillé l'oreille du jeune Naruto. Jiraya m'avait prévenu à ce sujet, mais je ne pensais pas à une telle réaction de sa part et d'une rapidité déconcertante. Surprise par cette réaction vif, L'Uzumaki me bombarda de question concernant son compagnon, son ami. Je pus reprendre rapidement un air plus serein, fixant son jeune visage de mes yeux écarlates. un léger sourire apparut.Sans qu'il le sache, il n'avait pas vraiment compris le lieu où j'avais fait mes recherches, car ce fut au pays des rizières que j'avais rencontré Sasuke. Sans doute qu'il ne m'avait pas écouté lors de mes propos, ce concentrant principalement sur la seule information qui lui semblait capitale "L'Uchiha"
Cependant, la nuance entre ces deux garçons fut totalement différente, un marchant dans la lumière du soleil, tandis que l'autre parcours le chemin ténébreux de la nuit... Pour une étrange raison, la route qu'emprunté le jeune Sasuke, me semblait familière, un peu trop d'ailleurs. Toutefois, quelques fils de lumières me permirent de me tenir à l'écart. Ce Gamin, une étrange aura semblait émané de lui, une aura de tranquillité, de paix peut-être.. Cela me réconforta et je pouvais ressentir un certain bien-être en moi. Drôle de sensation, je n'avais pas vraiment ressentie cela depuis mon enfance... ..... Naruto Uzumaki.... Un étrange garçon.
Je me décidais donc à lui répondre après cette petite minute de réflexions. En effet, je l'ai vu il y a plusieurs mois. Je t'ai dit tout à l'heure que j'ai été au pays des rizières, c'est là que je l'ai rencontré par le plus simple des hasards.
Néanmoins, un souvenir me revint en tête, il cherchait son frère. Cette légère pensée me permit de continuer mon temps de parole.
Il recherchait son frère, d'ailleurs ce fut notre seul point commun. J'avais eu vent qu'Itachi Uchiha se trouvait au pays du vent. Tu peux toujours essayer de le retrouver, mais le pays du feu est grand et vaste...Par la suite je me suis retrouvée dans l'antre du serpent pour des rouleaux et je ne peux même pas les ouvrir et les lire.
Mais, pourquoi le recherches tu ?
Intrigué par cette volonté de connaitre l'emplacement de ce "Sasuke". J'avais déduit qu'il s'agissait d'un être important à ses yeux. Je n'avais aucune moral à lui dire concernant son obstination à vouloir le revoir. Cette expérience le ninja de Kohoha ne fut pas le seul à le ressentir. J'avais la brûlante idée de repartir sur les traces de mon frère, de mes frères......
Dernière édition par Akane Mitsuki le Mer 13 Mar - 11:38, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto] Mer 2 Jan - 17:55
Mitsuki avait donc rencontré Sasuke. En apprenant cela, inutile de vous dire à quel point le jeune homme fut intéressé. Il ne comptait pas partir à sa recherche une nouvelle fois, il lui avait promis de le laisser tranquille jusqu'à leur affrontement final qui ne devrait pas se produire avant un bon moment. Enfin c'est ce qu'espérais notre ami. Ce que ce dernier voulait savoir, c'était comment il se portait. Après tout, il restait encore son meilleur ami, son " frère ". Et qui ne demanderait pas de nouvelles d'un proche lorsqu'il en a l'occasion ? Pas le ninja orange en tout cas. Il est vrai que la discussion avec l'Uchiha l'importait plus que la recherche de son frangin. M'enfin quand on parle de son rival, plus rien ne compte, sauf que ça, la rouquine ne le savait pas vu qu'elle n'était même pas au courant du lien entre les deux adolescents. D'ailleurs, la dénommée Akane lui rappelait le survivant du clan maudit qui lui aussi désirait retrouver son aîné. Malheureusement, les informations qu'elle lui donna ne furent pas aussi captivants qu'il le pensait. En effet, sa rencontre datait de la période où le déserteur cherchait à se venger d'Itachi. Depuis, il s'était écoulé beaucoup de temps, puis Naruto avait revu son camarade au Pays du Fer.
L'autre disciple de Jiraya avait donc compris que le possesseur des Sharingan était très proche du nouvel ermite puisqu'elle voulait connaître la raison pour laquelle le blondinet était à sa recherche. En entendant cela, l'Uzumaki se posa la même question. Pourquoi partait-il toujours à sa poursuite alors que le Nukenin n'a fait que le repousser ? Il lui disait toujours des mots blessants, prétextant qu'il ne le considérait plus comme un ami, alors pourquoi le Jinchuriki de Kyubi s'entêtait-il autant ? Est-ce que cela servait à quelque chose ? La réponse semblait évidente, parce que même si celui-ci ne le considère plus comme un compagnon, ce n'est pas le cas de l'énergumène imprévisible. Jamais il n'abandonnerait un camarade sans rien faire, surtout lorsqu'il s'agit d'une personne qu'il peut comprendre rien qu'en le regardant dans les yeux. Ils étaient bien plus que de simples coéquipiers et même si le beau ténébreux le niait, il n'avait pas oublié tout ce qu'ils avaient accomplis ensemble, c'était impossible. Après tout, leur lien était indestructible. Comment pouvait-il ne fut-ce que se remettre en question ?
C'est mon meilleur ami et disons que je ne suis pas fier du chemin qu'il a pris. Alors, je fais tout pour qu'il revienne sur la bonne route.
Il y avait encore du chemin pour qu'il y parvienne, mais ce n'était pas comme s'il baissait les bras. Tant que Sasuke ne sera de retour à Konoha, le fils du Quatrième ne pourra reposer en paix. Non, s'il abandonne n'importe quelle connaissance, jamais il ne trouvera le sommeil éternel. Tous ses camarades qui le rendaient plus fort. Le seul désir de les protéger pouvait multiplier sa force par cent. Puisqu'il n'avait pas de parents, ils représentaient sa seule famille, il n'imaginait pas sa vie sans eux, ce serait tellement ... ennuyeux. C'est assez marrant de penser que ceux-ci le prenaient pour un boulet autrefois. Désormais, la jeune femme faisait également partie de ses amis, comme quoi l'Hokage Orange n'en a jamais assez. M'enfin mieux vaut en avoir trop que trop peu comme on dit.
L'hôte des neufs queues comprenait un peu ce que ressentait son aînée spirituelle en recherchant son frère vu qu'il faisait pareil avec l'ancien membre de la Team 7 même s'ils n'étaient pas liés par le sang. Pourquoi le recherchait-elle ? Peut-être était-il dans le même cas que l'Uchiha ? Ou bien peut-être avait-il disparu pour des raisons inconnues . En tout cas, il était clair que la rouquine l'appréciait puisqu'elle était à sa poursuite. Si ça se trouve, les rouleaux que l'on lui avait confisqués recelaient des informations importantes concernant le membre de sa famille. Peut-être que ces parchemins lui donneraient une nouvelle piste. Ou bien alors il n'y avait rien d'intéressant à l'intérieur. M'enfin, on ne pouvait pas savoir si on ne les ouvrait pas. Puis la Kunoichi s'était donnée beaucoup de mal pour les prendre vu ses blessures.
Que dirais-tu si l'on allait chercher tes rouleaux ?
Les médecins les avaient sans doute garder pour tenter d'identifier Mitsuki en regardant le contenu puisqu'elle ne semblait pas venir de Konoha. Ces derniers devaient les avoirs gardés dans l'une des pièces de l'hôpital réservées aux blouses blanches.
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Un maître en commun, la rencontre du Jinchuriiki et de la Princesse du Vent. [PV Naruto]